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Néosanté hebdo
mercredi 19 novembre 2014

Les 3 clés de Daniella

portrait de Yves RasirComme vous le savez, les Éditions Néosanté ne publient pas seulement une revue mensuelle,  mais également des livres. C’est une activité secondaire, mais qui fut la première chronologiquement puisque nous avons publié notre premier livre, le tome Un du « Sens des Maux » de Bernard Tihon, en février 2011. Pourquoi nous être lancés dans ce métier difficile ?  D’abord parce que Bernard Tihon est un auteur belge très talentueux qui méritait que  ses articles  soient rassemblés en recueils. À ce jour, nous avons déjà publié sa trilogie sur le sens des maladies et le premier volet de son ouvrage « Décoder le sens de la vie » (Je dis ça, je ne dis rien, mais je pense que ce bouquin qui vient d’arriver en rayon est le cadeau idéal à glisser sous le sapin.) Nous avons également franchi le pas parce que d’autres  manuscrits en panne d’éditeur nous ont séduits : celui du philosophe des sciences Boris Sirbey consacré au cancer, celui du naturopathe Jean-Brice Thivent montrant la complémentarité entre la médecine naturelle et le décodage biologique, et celui de Daniella Conti intitulé « Mes 3 clés sur une santé vraie ». Nous avons  donc sept livres en catalogue et un huitième en préparation, dont je vous parlerai bientôt.

Éditer des livres, disais-je, est un métier assez compliqué. Primo, parce chaque ouvrage constitue un investissement lourd qui n’est (éventuellement) rentabilisé qu’après plusieurs années. Secundo, parce que le succès d’un livre dépend aussi, voire principalement, de sa promotion et de sa médiatisation. Et tertio, parce que l’évolution du marché de l’édition pose de sérieux problèmes logistiques aux éditeurs.  Qu’ils s’agissent de magasins ou de boutiques en ligne, les libraires essaient en effet de stocker un minimum d’ouvrages. Et en amont, les entreprises de diffusion et de distribution font logiquement la même chose en échelonnant les commandes. Ça signifie que le premier  maillon de la chaîne, l’éditeur, est celui qui doit se farcir l’essentiel du stockage. J’avoue que je n’avais pas vraiment anticipé cette difficulté au moment de louer les bureaux de Néosanté. Aujourd’hui, je me retrouve avec des caves trop petites pour accueillir toute ma collection livresque ! Que faire ? Louer des hangars ailleurs ou essayer de les vider un peu ?  En bon ange gardien de mes finances, ma comptable me suggère fortement d’opter pour la deuxième solution et de faire fondre rapidement mon « capital immobilisé ». C’est pourquoi, dans les prochaines semaines, je vais me livrer à une grande opération de déstockage accéléré. Je commence aujourd’hui avec le livre de Daniella Conti.

Daniella Conti est une thérapeute italo-française de la région lyonnaise. Professeur de lettres pendant 30 ans, elle a fini par quitter l’enseignement pour  se consacrer à plein temps à sa passion, celle d’aider les autres à améliorer leur santé. Les 3 clés de son trousseau thérapeutique figurent précisément parmi celles que nous préconisons à Néosanté. La première, c’est la médecine nouvelle du Dr Hamer.  Daniella est une des premières Françaises à avoir perçu l’importance des travaux du médecin allemand, qu’elle a côtoyé longtemps et dont elle a reçu l’enseignement en droite ligne. Bien qu’elle ne s’en vante pas et qu’elle se refuse à le faire valoir, elle est notamment une des rares personnes au monde capables d’interpréter des scanners cérébraux à la manière du Docteur Hamer !  Pour les lecteurs qui l’ignoreraient encore, je rappelle que ce dernier a fait une découverte absolument sensationnelle, à savoir que toute maladie somatique s’accompagne d’un impact dans le cerveau. Ce « Foyer de Hamer » est visible par imagerie médicale et il  permet de prouver que les pathologies du corps sont consécutives à des chocs psycho-émotionnels. Comme je l’ai raconté dans deux éditoriaux (Néosante n° 9, Néosanté n° 10), j’ai moi-même assisté à des réunions où le Dr Hamer démontrait la possibilité de situer une maladie sur la seule base d’une radio cérébrale. Et j’ai moi-même vérifié que ce savoir-faire révolutionnaire chamboulait complètement les connaissances médicales puisqu’un médecin a réussi à me diagnostiquer une capsulite de l’épaule rien qu’en examinant le scanner de mon crâne !  Bref, Daniella Conti n’a pas dû me convaincre que sa clé principale était d’une importance capitale.

Sa deuxième clé, le crudivorisme instinctif, je la connaissais aussi pour l’avoir employée dans les années 80. Appelée également « instinctothérapie », cette méthode diététique consiste à   se nourrir d’aliments crus et originels, c’est-à-dire disponibles à l’état brut dans la nature, à ne pas les mélanger ni les assaisonner, et à les choisir en se fiant au sens de l’odorat.  Inventé par le Suisse Guy-Claude Burger, ce régime « ancestral » a malheureusement été discrédité par les dérives sectaires et les théories sexuelles de son créateur.  Et comme elle est difficilement praticable, l’instinctothérapie est tombée dans l’oubli.  Mais à l’instar de Daniella, je garde un excellent souvenir de cette période de ma vie. Aujourd’hui encore, deux de mes trois repas quotidiens sont constitués d’aliments  quasi exclusivement crus (fruits, noix, légumes, protéines animales…) tels que nos ancêtres pouvaient les consommer avant  la domestication du feu et l’apparition de l’agriculture.  Vitalité et énergie garanties ! De Guy-Claude Burger, je garde précieusement  dans ma bibliothèque le livre « La guerre du cru », préfacé par un certain ….Jean Seignalet. Il faut en effet savoir que feu le célèbre médecin de l’Université de Montpellier a puisé dans l’ instinctothérapie les grands principes  du régime qui porte désormais son nom. Ce qu’on appelle  l’alimentation « paléo » est aussi une version anglo-saxonne de l’ « instincto », avec l’instinct en moins et la cuisson en plus. Convertie aujourd’hui à l’ « alimentation vivante », à tendance plus végétalienne, Daniella Conti n’en est pas moins une experte en nutrition paléo-crudivore, une médecine du terrain très complémentaire à l’approche du Dr Hamer.

Sa troisième clé pour une santé vraie, ce sont les constellation familiales,  une thérapie et une voie de développement personnel qui consiste  à dénouer les secrets de famille et à se libérer de leur influence transgénérationnelle. Comment ? Non pas en fouillant et secouant son arbre généalogique, mais en « constellant » symboliquement sa famille, c’est-à-dire en la mettant en scène avec des acteurs amateurs, le plus souvent les autres membres d’un groupe. Si vous voulez faire plus ample connaissance avec cette méthode, je vous invite à (re)lire l’article que Daniella Conti a  écrit dans la revue Néosanté, et à visiter son site internet. Formée également en droite ligne  par le fondateur de cette approche, l’Allemand Bert Hellinger, Daniella en est certainement une des praticiennes les plus chevronnées du monde francophone.  Personnellement, je n’ai jamais participé à une constellation et n’ai donc pas une expérience pratique de cette troisième clé. Mais je me souviens en avoir longuement parlé avec le psychanalyste Didier Dumas, ex-proche collaborateur de Françoise Dolto. Complètement « fan » de cette technique,  Didier en explorait assidument les côtés en apparence irrationnels, puisque de simples quidams « constellés » se transforment, comme par magie,  en parents et en aïeux qui font des gestes et tiennent des propos n’ayant de sens que pour le patient « constellant ».  Seule la physique quantique pourra expliquer un jour ce phénomène qui flirte avec les limites du paranormal. Si Didier Dumas n’était pas décédé prématurément,  sûr que je me serais laissé tenter et que je me serais aussi aventuré sur ce terrain avant-gardiste. En tout cas, je suis convaincu que cette troisième clé de Daniella est tout aussi performante que les deux autres.

Vous avez envie d’en savoir plus ? C’est bien le but. Je vous rappelle que je dois désemplir mes caves. Et pour encore mieux vous appâter, je vous propose d’acquérir le livre « Mes 3 clés pour une santé vraie » à prix d’ami : je vous fais 23% de réduction (17 € au lieu de 22 € )  et je vous l’expédie gratuitement, sans frais d’envoi (*).  Si cela vous tente, ne laissez pas filer l’occasion et cliquez ici.  Sinon, sachez que je vais encore « déstocker » mercredi prochain, ainsi que le suivant.  C’est déjà Noël à Bruxelles !

Yves Rasir

(*)Désolé pour tous les lecteurs québécois, mais je suis  bien obligé de les exclure de cette offre, car ça me coûte trop cher d’envoyer des livres au Canada sous enveloppes individuelles. Je leur rappelle toutefois que cet ouvrage, comme les six autres de notre collection, est disponible dans les (meilleures)  librairies du Québec. Si vous ne le trouvez pas, appelez notre diffuseur sur place, la société La Canopée Diffusion (Tél : 1 45 024 890 84). J’ajoute que tous nos titres sont également disponibles sur notre site en versions numériques.

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disponible sur www.neosante.eu :
Le  numéro 39 (novembre 2014) de Néosanté, revue internationale de santé globale.
couverture du numéro 39