Protocole additionnel

Cette semaine, j’avais prévu de mettre l’infolettre en congé pour m’atteler aux tâches comptables de fin d’année mais c’était sans compter sur une rencontre faite dimanche dernier. À une fête « complotiste », j’ai discuté avec une dame d’un certain âge, voire d’un âge certain, qui m’a raconté avoir contracté deux fois le covid, une fois début 2020 et une autre fois fin novembre. Les deux fois, cette réfractaire au vaccin s’en est bien sortie et n’a pas eu besoin d’être oxygénée. Son secret ? Outre la prise de compléments reconnus efficaces (zinc, sélénium, vitamine D et C)et le renfort de l’ivermectine lors du deuxième épisode infectieux, elle a eu recours aux inhalations à haute température. C’est étrange d’avoir oublié cette approche naturelle dans ma liste de recommandations car je lui avais consacré un message spécial le 19 mars 2020. Je répare donc l’omission et je vous propose un protocole anticovid additionnel, un 13ème conseil à appliquer en prévention de la maladie ou dès son apparition.

 
13) Aux inhalations à haute température tu t’adonneras
 
 En fait, cette solution a été brandie dès le début de l’épidémie par le Dr Pierre-Jacques Raybaud. Ce généraliste français diplômé en immunologie l’avait exposée dans un article posté sur le site de Médiapart, article qui est toujours en ligne et que vous pouvez (re)lire en cliquant-ici. La partie la plus utile et la plus pratique se situe en fin de texte, sous l’intertitre « inactivation des virus par la chaleur ».   Juste en dessous, le médecin décrit en détail le protocole à suivre, les règles de prudence à observer et les contre-indications à respecter (c’est pas pour les enfants !). Convaincu que le port du masque et cette méthode simple pouvaient  suffire à enrayer la première vague, le Dr Raybaud avait même adressé une lettre ouverte à Emmanuel Macron  où il implorait le Président de la République d’étudier en urgence l’intérêt de la chaleur inhalée.  Attention : comme le précise bien le protocole, il s’agit d’inhaler de l’air chaud humide porté à haute température par un inhalateur électrique. L’inhalation « classique », avec bol et serviette, ne marche pas aussi bien car la température retombe rapidement à moins de 42°c. Avec un air beaucoup plus chaud (minimum 56 °C), le coronavirus serait éliminé dans la sphère ORL et dans le tractus trachéo-bronchique, c’est-à-dire là où sa présence massive pose problème. Dans son article, le généraliste-immunologiste admettait que le procédé n’avait pas été cliniquement testé contre le sars-cov-2 mais il ajoutait que les données scientifiques existantes étaient probantes quant aux effets des inhalations « hot » sur les infections virales. Vingt mois ont passé et cette voie de traitement précoce n’a évidemment pas été explorée comme elle l’aurait dû l’être. Il ne fallait pas encombrer le tapis rouge déroulé aux vaccins avec cette solution simplissime qui ne rapporte rien aux labos pharmafieux. J’ai néanmoins trouvé une petite étude italienne  publiée il y a un peu plus d’un an et dont les résultats sont encourageants : sur les 10 patients ayant bénéficié de l’inhalation, 6 ont rapporté une amélioration de leurs symptômes (notamment la perte de goût et d’odorat) et 2 seulement ont vu leur état s’aggraver. Chez tous les participants, le test PCR était négatif après quelques jours. Alors, performante, la chaleur humide ? On ne peut pas l’affirmer mais il serait sot de ne pas essayer une technique dénuée de danger, si n’est celui de se brûler avec l’eau bouillante. Tester prudemment le procédé, c’est ce qu’a fait cette femme doublement « rescapée » du covid et elle s’en félicite car elle est persuadée que l’inhalation lui a été d’un grand secours. Précision importante : cette personne a ajouté des huiles essentielles à l’eau chaude, en l’occurrence le complexe Aromaforce de la société belge Pranarôm, dont voici la composition : eucalyptus globuleux, ravintsara, pin sylvestre, eucalyptus radié, menthe poivrée, giroflier, romarin, gingembre, lavande vraie. En soutien avéré de l’immunité, l’aromathérapie aurait également mérité de figurer dans le protocole Néosanté. Avec ses 13 recommandations, ce dernier est cependant  déjà de taille à vous aider à prévenir et guérir  la grippe covid. J’en reste là et je vous donne rendez-vous à l’année prochaine pour d’autres aventures. D’ici le 5 janvier, passez un bon réveillon et entamez 2022 en veillant à votre vitalité : il faudra en effet une bonne dose d’énergie vitale pour résister vaillamment à la suite du programme plandémiste prévoyant d’imposer les injections expérimentales.

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