Les vraies armes plandémiques

C’est quand même ahurissant : depuis que l’Oncle Sam a tourné casaque et que toute l’Amérique (l’administration Biden, le FBI et les médias) penche désormais pour la thèse du virus échappé d’un labo chinois, tout le monde semble prêter foi à cette fable. Des lanceurs d’alerte les plus vigoureusement covidosceptiques aux cercles les plus rigoureusement covidistes, un improbable consensus est en train d’émerger sur le scénario du vilain coco manipulé et relâché à Wuhan. Même la très frileuse Académie française de Médecine, qui a organisé une conférence sur le sujet fin avril, n’hésite plus à relayer ce récit désormais dominant. Si la vénérable institution n’a pas pris ouvertement position, le but de la conférence était toutefois de « mettre en lumière le risque présenté par les laboratoires de haute sécurité et les expériences de gain de fonction ». Parmi les orateurs, il y avait Patrick Berche, ancien directeur de l’Institut Pasteur de Lille. Pour lui, tout porte à croire que le sars-cov2 n’est pas né dans la nature car si son origine était naturelle, l’épidémie serait apparue progressivement en plusieurs foyers dispersés et non pas uniquement à Wuhan à proximité du laboratoire P4. Et vu que les scientifiques chinois y procédaient à la manipulation de virus de chauve-souris très similaires, Patrick Berche en déduit qu’ils ont réussi et ont provoqué accidentellement le départ de la crise sanitaire planétaire.  Ouaw, quelle brillante déduction ! Quel raisonnement puissant ! Sauf que ces détectives amateurs n’apportent jamais les preuves de leurs allégations. Leur seul indice est que des chercheurs locaux cherchaient effectivement à tripatouiller des génomes viraux « sauvages ». Ça ne prouve nullement qu’ils ont trouvé le moyen de les rendre nuisibles ni qu’une chimère virale quelconque est déjà parvenue  à rendre quelqu’un malade. Pour rappel, toute cette histoire de « gain de fonction » repose sur  le mythe pasteurien que les virus sont la cause des maladies qu’on leur impute. Or aucun d’entre eux n’a à ce jour satisfait aux postulats de Koch et n’a donc démontré son caractère pathogène. Pourquoi un innocent génétiquement modifié deviendrait-il subitement  coupable ? 

La semaine dernière, je me suis farci le livre « Au Nom de la science », que vient de publier le journaliste du Point Jérémy André et que l’éditeur Albin Michel présente comme une enquête établissant la vérité sur « l’accident de Wuhan ». Cet ouvrage ne contient pourtant aucune révélation, seulement des spéculations et des suppositions sur ce qui a peut-être pu se passer. Une arme biologique, le corona chinois ? J’y crois encore moins – pour moi, cette expression est un oxymoron –  et je constate que les défenseurs de cette hypothèse militaire ne fournissent jamais non plus d’éléments probants pour l’étayer. Sur insistance de plusieurs lecteurs qui marchent à fond  dans cette narration, j’ai encore visionné plusieurs interviews de Joseph Tritto, ce chirurgien italien qui se pose en  spécialiste du sujet et qui pérore sur tous les plateaux alternatifs. J’ai beau écouter attentivement le bavardage de ce « professeur » transalpin, je n’y entends jamais le moindre argument solide sur l’existence d’armes bactériologiques ou virales. Qu’on cherche à en développer, c’est certain. Mais jusqu’à preuve du contraire, ce n’est que dans le cinéma hollywoodien qu’on est arrivé à les mettre au point et à les employer. J’attends toujours qu’on me montre une  bombe, un spray géant ou un autre procédé de destruction massive basé sur le vivant. Lors de l’International Covid Summit qui vient de se tenir au parlement européen, le Dr David Martin a expliqué que le projet de « militarisation de la nature » remonte aux années 60 et que sa concrétisation peut se suivre à travers la succession de brevets sur des séquences génomiques. Plus de cent patentes concernent les coronavirus et les vaccins destinés à les combattre. OK, mais en quoi ce bricolage informatique atteste-t-il de la létalité du virus chimérique  dans la réalité ? Et les expériences dont parle le Dr Martin,  qui peut affirmer qu’elles ont été couronnées de succès ?  À mon sens,  le ramdam scientifico-médiatique sur cette lubie de gain de fonction est plutôt une fiction gagnante qui permet de faire diversion. La théorie de la virologie dangereuse se substitue à celle du virus dangereux, mais c’est la même fumisterie du fléau infectieux qui sert d’écran de fumée et qui est servie à la crédulité des masses. Pendant que toute l’attention est attirée sur le « nouveau coronavirus » et  son étrange  « site de clivage de la furine », on oublie que des armes bien  réelles et bien mortelles ont été déployées par les autorités dans le cadre de la pseudo-pandémie planifiée. En guise de contre-feu à la manœuvre d’intox en cours, je vous propose cette semaine de nous remémorer la composition du véritable arsenal plandémique.  Voici un bref récapitulatif  – sans doute incomplet, je ne suis pas dans le secret des dieux transhumanistes –  de ce qui a été employé volontairement pour fabriquer notre consentement au saccage des libertés en nous faisant avaler qu’un ennemi invisible attaquait l’humanité .

  1. L’arme psychologique

Qu’ils soient spécialistes de la psychologie des foules (Mathias Desmedt), de la psychopathie et des phénomènes totalitaires (Ariane Bilheran) ou des guerres hybrides (Lucien Cerise),  les premiers observateurs critiques de la bouffée délirante covidienne nous ont très vite alertés sur l’évidente application de la « stratégie du choc ». Décrite dans son ouvrage éponyme par la journaliste canadienne Naomi Klein, cette technique de manipulation psychologique provient de programmes secrets de la CIA et elle consiste à répandre la peur, à terroriser les peuples ou les individus pour leur faire accepter ce que le pouvoir ne pourrait imposer démocratiquement. Plongée dans la sidération et enchainée à son écran de télévision, la population est alors conditionnée, voire hypnotisée, par des experts en ingénierie sociale œuvrant sous le couvert des cabinets de conseil et par l’intermédiaire de politiciens aux ordres. Est-ce par manque de vocabulaire qu’Emmanuel Macron a parlé six fois de « guerre » dans son discours halluciné du 16 mars 2020 ? Est-ce fortuitement que lui et d’autres « Global Leaders » du Forum Économique Mondial (Justin Trudeau au Canada, Angela Merkel en Allemagne, Alexander Decroo en Belgique, Jacinda Ardern en Nouvelle-Zélande…) ont tenu exactement les mêmes propos mensongers au même moment, par exemple dès début 2020 en faisant miroiter la « seule solution vaccinale »  ou durant l’été 2021 en évoquant une « épidémie de non-vaccinés ». Prétendument éclose en Chine, la pandémie a curieusement épargné la quasi-totalité de cet immense pays, a mystérieusement survolé le continent africain  sans s’arrêter et a bizarrement affiché des affinités pour les pays membres de l’OTAN, comme l’a opportunément fait remarquer le général Delawarde dans ses analyses. Est-ce un hasard si les 7 pays européens (sur 35) qui ont déploré une (légère) surmortalité en 2020 sont tous membres de l’Alliance Atlantique ? Libre à chacun d’y voir de pures coïncidences statistiques. Ou la trace d’une opération psychologique rondement menée en territoires médiatiquement et politiquement propices…

  • L’arme chimique

Sitôt le test PCR bidon développé, des milliards d’écouvillons et autant de nouveaux masques – les anciens venaient   justement  d’arriver à péremption et d’être  détruits dans plusieurs pays, comme la France et la Belgique – ont providentiellement afflué en Occident. Outre leur fréquente contamination par des bactéries, les longs bâtonnets utilisés pour dépister le covid sont enrobés de nanoparticules toxiques (argent, titane, graphène…) susceptibles de franchir la barrière hémato-encéphalique. Il en est de même pour les muselières, dont les versions en tissu ont rapidement été déclarées inefficaces pour mieux laisser la place aux protections synthétiques industrielles nappées de substances et particules biocides. Via les écouvillons et les bâillons, les populations ont donc été soumises à une pollution chimique de grande ampleur et d’autant plus délétère qu’elle pénétrait directement les fosses nasales.  Et les désinfectants, n’oublions pas les désinfectants !  Selon cette étude récente, savons et gels chimiques contiennent souvent des substances toxiques qui, inhalées ou absorbées par la peau, peuvent engendrer – entre autres – des troubles respiratoires. En renforçant l’antibiorésistance des bactéries, la ruée sur ces produits a forcément contribué aussi à auto-réaliser l’épidémie. Vous remarquez que je ne vous parle même pas des « chemtrails », ces épandages chimiques aériens dont la fréquence semble s’être accrue pendant le confinement. En levant les yeux pendant mes promenades journalières, j’ai personnellement assisté  à d’incompréhensibles manœuvres d’avions volant en escadrille et larguant énormément de fumée dans leur sillage. Habitant un coin perdu des Vosges, une abonnée de Néosanté m’a raconté comment plusieurs aéronefs ont quadrillé sa région un beau matin  à l’aube en laissant dans le ciel bleu un maquis de nuages blancs artificiels. On ne nous dit pas tout, et même très peu de choses sur les délirants projets de maîtrise du climat par la géo-ingénierie. A fortiori, nous aurions peu de chance d’être informés si les épandages aériens poursuivaient d’autres desseins.  Ce qui est sûr, c’est que des milliards de gens ont été forcés de se coller sur le nez et de s’enfourner dans le nez des molécules qui n’avaient rien à y faire.

  • L’arme iatrogénique

Pour faire passer les pics de syndromes grippaux saisonniers pour une pandémie dévastatrice, les psycho-opérateurs ont pu faire usage d’une arme hautement létale : la médecine moderne occidentale. Depuis qu’Ivan Illich a décrit le phénomène dans son livre « Némesis médicale », on sait que cette dernière est devenue contre-productive et que ses interventions se soldent généralement par une aggravation de la situation sanitaire. Plus elle intervient, plus la médecine allopathique « scientifique » génère des problèmes de santé. Les médicaments, notamment, font plus de victimes qu’ils ne sauvent de vies. Avec ses centaines de milliers de morts, la « crise des opioïdes » aux USA montre à quel point l’art de soigner s’est transformé en permis de tuer dans les pays industrialisés. Depuis le début de la « crise », nous avons alerté sur sa dimension manifestement iatrogène. Outre le recours au remdesivir et à d’autres antiviraux mortifères, la consigne de consommer du paracétamol ne pouvait manquer d’alourdir le bilan humain puisque ce poison, entre autres méfaits, entrave la fièvre et agresse le foie. Dès que son usage a été recommandé par les autorités, nous avons également souligné que le Rivotril allait décimer les aînés vu que ce médoc « palliatif » est totalement contre-indiqué en cas d’insuffisance respiratoire. Sous prétexte d’abréger leur agonie, les vieux ont été massivement euthanasiés, autrement dit assassinés au printemps 2020. Dans l’arsenal iatrogénique, il ne faut pas oublier non plus la ventilation mécanique. Selon une étude américaine qui vient de sortir, la plupart des décès imputés au corona résultent en réalité d’une pneumonie bactérienne secondaire. Or les infections pulmonaires nosocomiales sont précisément une complication très fréquente de la mise sous respirateur artificiel. C’est ce traitement, et non la maladie, qui a achevé de nombreux patients. Last but not least, et quoi qu’en disent ses partisans, la chloroquine est à ranger parmi les armes pharmaceutiques qui ont probablement créé la surmortalité au lieu de l’empêcher. Même Didier Raoult, qui vient de reconnaître l’inefficacité de la molécule sur le variant Omicron, admet qu’elle est mortelle en cas de dosage « déraisonnable ». Dans un contexte de « repositionnement thérapeutique » précipité, de prescription sauvage et d’automédication, il va de soi que le remède antipaludique a davantage provoqué de décès qu’il n’en a évité. Est-ce pour protéger les gens ou les priver d’un antidote qu’Agnes Buzin a fait classer l’hydroxychloroquine parmi les « substances vénéneuses » en janvier 2020 ? Permettez-moi d’oser une troisième hypothèse beaucoup plus complotiste:  l’ex-ministre de la santé ne pouvait pas ignorer que le médicament génotoxique avait été utilisé lors de la première épidémie de SRAS en 2003. L’attrait de l’interdit aidant, sa mise à l’index ne pouvait manquer de doper les ventes du produit. Parallèlement, une politique d’omerta a été mise en œuvre sur les moyens naturels (vitamine D, zinc, sélénium…) de prévenir et de guérir la grippe covid, ce qui est un autre manière de susciter la iatrogénie. 

  • L’arme vaccinologique

Dans l’arsenal de la pharmafia, les vaccins sont des armes capitales. La croyance en leurs bienfaits est tellement répandue que leur nocivité passe le plus souvent inaperçue. Est-ce parce que Néosanté combat la religion vaccinale depuis sa création et que nous sommes habitués à en dénoncer les dogmes ? Toujours-est-il que nous avons été les seuls à pointer le fait que des campagnes de vaccination contre la méningite avaient eu lieu fin 2019  en Lombardie et à Madrid, deux régions particulièrement  touchées par la « première vague » de covid.  Dans un silence médiatique persistant,  nous avons également souligné à travers plusieurs dossiers  que la « deuxième vague » était clairement liée à la vaccination antigrippale, celle-ci étant  déjà connue auparavant  pour faciliter les infections  à coronavirus. Dans leurs enquêtes, nos journalistes Pryska Ducoeurjoly  et Senta Depuydt ont exposé que les vaccins en général, et le vaccin contre la grippe en particulier, pouvaient rationnellement être suspectés d’avoir  joué un rôle dans l’avènement  de la pseudo-pandémie. Non seulement parce que leurs antigènes perturbent l’écosystème viral et entrainent des effets pervers comme la facilitation des infections ou le déplacement épidémique, mais aussi et surtout parce que leurs composants et adjuvants chimiques sont nuisibles à la santé et à l’immunité. Concernant les injections  géniques expérimentales,  nous campons  sur cette position en pensant qu’elles ne sont pas  des armes biologiques – la protéine spike n’est jamais qu’une spicule présente à la surface de tas d’autres virus – mais que l’ARN synthétique et les nanoparticules lipidiques qui l’enrobent  peuvent déjà suffire à expliquer leur toxicité. À moins que les fioles contiennent aussi des dérivés de graphène et des nanostructures métalliques ? Cette éventualité nous a toujours paru crédible  et l’absence totale de recherches officielles sur la composition exacte des vaccins ne fait à nos yeux que renforcer le soupçon. Ce qui ne fait plus de doute, c’est que les  deux « vaccins » covid  américains, le Pfizer et le Moderna, ont blessé et tué dans des proportions inédites. Dans un chapitre de  son ouvrage démystifiant, le statisticien Pierre Chaillot relève de nombreux signes d’une mortalité  post-vaccinale anormale.  Mais il  a besoin d’autres chiffres pour le prouver.  Si les risques des injections géniques  ne sont pas supérieurs à leurs bénéfices,  pourquoi l’État français lui refuse-t-il toujours l’accès aux données permettant de comparer vaccinés et  non-vaccinés ? Poser la question, c’est y répondre.

  • L’arme électromagnétique

Terminons cet inventaire par ce qui est peut-être le principal facteur causal de tous les fléaux grippaux de l’ère moderne : la pollution électromagnétique.  Au début de la mascarade, je pensais que la technologie 5G n’avait probablement rien à voir avec les pics de décès enregistrés localement en Occident. Notamment parce qu’une « smart city » comme Monaco n’avait pas connu de surmortalité  avant de faire vacciner ses personnes âgées. Entretemps, j’ai cependant appris que le caractère néfaste des radiofréquences pouvait considérablement varier en fonction de la longueur d’onde adoptée. Et j’ai découvert aussi  que l’électrosensibilité pouvait donner lieu à une symptomatologie  rappelant étrangement celle du covid. Dans cet article récent d’Epoch Times, est rapporté le cas d’une Suédoise dont la vie a radicalement changé et est devenue un enfer depuis qu’une antenne 5G a été installée à proximité de son habitation. Parmi les symptômes dont elle a commencé à souffrir, il y a les maux de tête intenses, la fatigue extrême, les dysfonctionnements cognitifs, la toux, des problèmes de peau et des troubles de la fonction urinaire.  Un beau tableau clinique de type covidien, n’est-il pas ? Pour peu que cette femme ait subi un test PCR positif, on l’aurait probablement cataloguée comme victime du coco au lieu de  lui diagnostiquer un « syndrome des micro-ondes » médicalement avéré. Bien sûr, je ne prétends pas que tous les covidés sévères ont eu à pâtir de la technologie sans fil de 5ème génération. Il n’empêche que son déploiement accéléré et téméraire, notamment à Wuhan, est corrélé avec l’émergence de la « nouvelle » virose. En regardant la carte de la couverture 5G dans le monde, il saute aux yeux qu’elle se superpose parfaitement à celle du fléau infectieux. Partout où les antennes fleurissent, le présumé virus a frappé fort ! Quand je vois ça, je finis par me demander si la 5G  n’est pas  la principale arme plandémique et si le reste de l’arsenal n’a pas servi à en masquer la dangerosité. Car pour procéder au « great reset » dont elles rêvent, les élites mondialistes n’ont pas impérativement besoin de nuire aux populations. En revanche, il leur est absolument indispensable d’imposer le « progrès » numérique et le contrôle social que cette digitalisation à tout crin rend possible. Dans cette optique, il est d’autant plus malin de brouiller les pistes et de noyer le poisson – en l’occurrence plutôt le poison – en agitant l’épouvantail du gain de fonction.

                                       Yves RASIR


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