Editorial n°121

Dès l’entame du Corona Circus, j’ai pensé que cette plongée dans le délire allait avoir du bon. Que nous allions toucher le fond mais que toute cette folie allait déboucher sur des sauts évolutifs positifs en matière de santé et de compréhension des maladies. Dans l’infolettre Néosanté Hebdo, j’ai appelé « étoiles dans la nuit » tous ces signaux indiquant que la médecine allopathique pasteurienne ne sortirait pas indemne de la plandémie covidienne, et singulièrement que l’idéologie vaccinaliste risquait d’en prendre un coup. En septembre 2020, j’écrivais notamment que l’échec de la stratégie vaccinale était inscrit dans les astres puisqu’il y avait déjà des cas de réinfection suite à la variation du virus. Si l’agent infectieux mutait rapidement et si la maladie imputée à cet agent n’était pas immunisante, il n’y avait aucune chance que l’injection protège efficacement des infections. On a vu ce qu’on a vu et plus aucun virocrate n’ose prétendre aujourd’hui que le pseudo-vaccin protège bien. Il s’en trouve encore pour prétendre que les injectés échappent mieux aux formes graves mais cette illusion entretenue par la manipulation est également en train de s’envoler. Il est même de plus en plus clair que les piqûres exercent un effet négatif sur le système immunitaire.

 

Maintenant que l’inefficacité de l’immunisation artificielle ne peut plus être contestée, c’est au déni de sa dangerosité qu’il faut nous attaquer. Avec l’aplomb cynique qui les caractérise, les gouvernements et les autorités sanitaires persistent à nier l’ampleur des effets secondaires. Malgré près de 4 millions d’événements indésirables et plus de 40 000 décès enregistrés en Europe, l’église de vaccinologie s’obstine à affirmer que l’hostie en seringue est parfaitement sécure et qu’elle n’a causé que quelques accidents mortels. Grâce au phénomène de la sous-notification et à la difficulté de prouver un lien de causalité, le clergé vaccinaliste espère que le désastre passera inaperçu. C’est toujours comme ça, depuis leur invention, que les dégâts des vaccins ont été minimisés et dissimulés. Ce que les injecteurs fous n’avaient pas prévu, c’est que les failles de la vaccinovigilance seraient cette fois passées au crible et dénoncées par de nombreux médecins et scientifiques. Comme elle le raconte elle-même en préambule de son enquête (lire page 5 et suivantes), notre journaliste Pryska Ducœurjoly s’est retrouvée dans une situation inédite et inversée : alors que les données fiables font généralement défaut, elle a été ensevelie sous les infos chiffrées prouvant le bilan catastrophique de la thérapie génique ! Certaines d’entre elles, par exemple l’explosion des myocardites chez les jeunes, sont également mises en exergue par Nicole et Gérard Delépine (lire interview pages 27 à 30), ce couple de cancérologues très investis dans la réfutation de la propagande vaccinale. Comme le subodore le sociologue Laurent Mucchielli, on s’oriente  donc probablement vers « le plus grand scandale sanitaire de l’histoire ». L’auteur du livre « La doxa du covid » (lire page 26) est même d’avis que ça ne fait pas un pli. 

 

L’évidence découle d’un excès de coïncidences et de corrélations éloquentes. La principale est qu’une surmortalité toutes causes a été constatée en 2021 dans certaines catégories d’âge dans toute l’Europe. Selon les calculs du biostatisticien belge Patrick Meyer (Université de Liège), cette anomalie ne peut s’expliquer autrement que par le déploiement du vaccin anticovid. En sera-t-il de même pour le vaccin antigrippal et la mortalité infantile ? Non sans étonnement, des chercheurs français viennent de découvrir (lire page 4) que le nombre de bébés décédés peu après la naissance était en hausse dans l’Hexagone depuis une huitaine d’années. Selon leur étude, ni la fermeture des maternités de proximité ni l’augmentation des grossesses risquées ne suffisent à élucider cette dégradation du taux de survie. En conclusion de son dossier, Pryska fait observer que c’est en 2014 lorsque l’on a commencé à conseiller en France aux femmes enceintes de se faire vacciner contre la grippe. Y a-t-il relation causale ? Notre collaboratrice a-t-elle mis le doigt sur une autre faille de la surveillance vaccinale ? L’avenir le dira mais je parierais bien qu’il y a un lien et que la révélation de ce lien transformera la fissure en séisme pour le vaccinalisme. Le cas échéant, Néosanté aura été le premier journal à alerter sur cette affaire qui pourrait bien sonner le glas du dogme. 

Yves RASIR 

 
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