Édito n°108

Dépasteuriser les esprits

Les jours de la dictature covidiste sont comptés. Au moment d’écrire ces lignes, j’apprends que tous les collectifs de contestation français (Réinfo-Covid, Bons Sens, Laissons les Médecins Prescrire, AIMSIB…) se sont unifiés dans « Coordination Santé Libre » une coalition représentant plus de 30.000 médecins, autant de soignants et pas moins de 100.000 citoyens. La première initiative de cette structure unique est de mettre sur pied un conseil scientifique indépendant chargé de faire la lumière sur la gestion de la crise sanitaire, ses véritables causes et son ampleur réelle. Le moment est fatidique car c’est précisément maintenant qu’on va pouvoir juger si la « pandémie » de covid-19 est vraiment un événement hors-norme ou si son récit médiatique est démenti par les chiffres de mortalité globale toutes causes confondues. Les données sont encore incomplètes mais il ressort déjà que l’excès de décès ne va guère déroger à la normale : la surmortalité enregistrée chez les personnes (très) âgées est en bonne partie compensée par une baisse chez les – de 50 ans. Parmi les vérités qui vont sortir du puits, il y a aussi que ce bilan bien moins catastrophique qu’annoncé ne doit rien aux mesures adoptées par les autorités. Comme je vous l’ai signalé dans mon infolettre Néosanté Hebdo, certaines analyses statistiques montrent en effet l’absence de lien entre les restrictions liberticides et l’évolution des courbes épidémiques. Il existe en revanche de nombreux indices indiquant que le nombre de morts déplorés est lié au degré de confinement et proportionnel à la rigueur des contraintes imposées. Le remède aura été pire que le mal !

Un an après son ouverture, le démontage du Corona Circus est donc bien engagé. Mais vous savez bien que la révélation de cette gigantesque mystification ne suffira pas à notre bonheur : c’est la religion pasteurienne et sa virophobie irrationnelle qui sont dans notre collimateur. Notre ambition est de contribuer à l’avènement d’un paradigme médical enfin débarrassé de sa hantise envers le microcosme viral. Le mois prochain, nous vous proposerons notamment l’interview des auteurs du livre « Virus Mania », ouvrage allemand dont nous avons initié la traduction française chez un ami éditeur. Dans la foulée, nous aurons le privilège de divulguer les bonnes feuilles du livre « « What really makes you ill » (Qu’est-ce qui vous rend vraiment malades ? »), une brique qu’un autre éditeur de nos amis est en train de traduire et qui fait un sort aux croyances héritées de Pasteur. Dans ce numéro de Néosanté, nous y allons déjà d’un dossier sulfureux puisqu’il remet carrément en cause l’existence des agents infectieux ! En concevant sa « médecine nouvelle », le Dr Hamer ne niait pas que les virus existent. Il leur attribuait même un rôle d’éboueurs pour les tissus ectodermiques. À la fin de sa vie, le génial médecin allemand avait pourtant changé d’avis et il tournait la virologie en ridicule. L’origine de son changement de cap ? Les thèses iconoclastes d’un de ses compatriotes, le virologue Stefan Lanka. Ce dernier s’est distingué en mettant la médecine au défi de prouver l’existence du virus de la rougeole et il a remporté en appel le procès l’opposant à un scientifique ayant relevé le pari. Je vous en parle car les médecins américains cités dans le dossier de Hughes Belin s’appuient en partie sur l’argumentaire du trublion teuton. Pour Andrew Kaufman et Thomas Cowan, les virus seraient en réalité des exosomes, autres particules nanométriques découvertes au siècle dernier et dont la fonction principale est de nettoyer les cellules, d’en «vider les poubelles » lorsqu’elles débordent de toxines. Selon la théorie des exosomes, le sars-cov-2 en serait un et le covid serait le manifestation de l’épuration cellulaire nécessitée notamment par une pollution électromagnétique croissante.

Au terme de ses investigations, notre journaliste n’était pas pleinement convaincu par cette vision pour le moins audacieuse . Et je vous avoue que moi non plus. J’ai un peu de mal avec les théories très radicales. J’ai un peu l’impression de vivre le « remake » du débat sur le sida, lorsque les « repenseurs » se sont divisés entre négateurs du HIV et personnalités plus modérées, comme le virologue Peter Duesberg, admettant l’existence du retrovirus mais récusant son implication causale dans l’immunodéficience acquise. À mes yeux, c’est bien cela l’essentiel : qu’ils existent ou non, il est grand temps de dédouaner les virus et d’abandonner l’idée qu’ils s’invitent dans les organismes pour y exercer une action foncièrement malfaisante. Ils ne sont rien sur un terrain suffisamment sain. La grande « coronarnaque » nous offre justement la chance d’opérer cette prise de conscience : l’écart est tellement abyssal entre le nombre de personnes souffrantes et celui de cas asymptomatiques que l’inanité du dépistage ne peut plus être éludée. Au-delà de cette évidence, le providentiel (et irréel ? ) virus couronné permet également de mettre en doute la transmission des infections vu que le personnel soignant n’a pas été décimé et que les rassemblements autorisés ou prohibés n’ont pas donné lieu à des flambées épidémiques. C’est ça aussi, la spécificité de Néosanté : nous allons jusqu’à remettre en question la notion classique de contagion car la propagation des émotions et la traversée collective d’un stress conflictuel peuvent suffire à expliquer le téléchargement des informations virales par l’ordinateur cérébral. En route pour la dépasteurisation des esprits !

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