Comment le corona a tué Pasteur (IV)

Yves Rasir

Suite et fin de notre série d’articles sur les failles du paradigme médical actuel apparues à l’occasion de la « crise du covid ». Voici quatre autres éléments qui plaident contre la théorie virale et invitent à chercher ailleurs les causes réelles des syndromes grippaux.

13) Les anticorps ne veulent rien dire

Dans la mythologie pasteurienne, le système immunitaire est un champ de bataille opposant perpétuellement des microbes hostiles à de vaillants défenseurs qui ne font que riposter à l’agression. Un peu comme une guerre d’Ukraine permanente avec les vils Russes dans le rôle des virus et les cellules de l’immunité dans le rôle des braves Occidentaux qui n’ont rien fait de mal et cherchent simplement à protéger leur camp de l’ennemi féroce. Lorsque ce dernier utilise de nouvelles armes, le corps humain s’adapte et mobilise des troupes appelées anticorps ou immunoglobulines. Selon la Sainte Église de Vaccinologie, il suffit de stimuler la production de ces protéines défensives en mimant une attaque pour que l’organisme soit dorénavant immunisé contre l’agresseur. Certes, depuis deux ans, le clergé pasteurien a appris à nuancer sa doctrine. Devant l’échec des vaccins rédempteurs et l’absence d’immunisation par infection, les prélats de cette religion sont bien obligés de reconnaître que le système immunitaire est plus compliqué que ça, que l’immunité humorale n’est qu’une fraction de la réponse et que les agents de l’immunité innée (macrophages, cellules NK…) ne font pas de la figuration. Il n’empêche que pour les gardiens de la Foi, le dogme des anticorps demeure coulé dans le bronze : s’ils sont  présents dans le sang, c’est qu’ils ont rencontré l’assaillant et sont aptes à l’éliminer. Une importante minorité de patients infectés par le coronavirus (8% selon certaines études) développe zéro anticorps ? On ferme les yeux. Plus de 99% des vaccinés ont développé des anticorps mais la plupart d’entre eux ont quand même fait la maladie ? Circulez, y’a rien à voir. Des tests sérologiques reviennent positifs alors que les testés n’ont jamais été malades ? Faisons semblant de rien. Les anticorps ne sont pas spécifiques au sars-cov2 et leur dosage n’est donc pas plus fiable qu’un dépistage PCR ? Chut, ne l’ébruitez surtout pas ! Avec le sida, ce secret est resté bien gardé. Très peu de gens savent que le test HIV peut réagir à 70 situations pathologiques autres que l’immunodéficience acquise, par exemple au palu, à la tuberculose ou.. à l’état de grossesse. Grâce au covid, on sait désormais que la séropositivité peut aussi découler d’une ancienne grippe ou d’un bête nez qui coule. La présence d’anticorps est d’autant moins significative que le procédé de détection, explique le biologiste Stefano Scoglio dans le Néosanté de février, consiste à faire réagir l’individu à une « protéine recombinante », autrement dit à un antigène trafiqué en laboratoire et qui n’existe pas dans la nature. En vérité, toute cette patascience des anticorps ne mérite qu’un sort : la poubelle.

14) La grippe n’existe pas

C’est un argument que j’ai soulevé dès ma deuxième lettre consacrée à la « pandémie » débutante : la grippe de Wuhan ne serait probablement pas plus réelle que la grippe habituelle qui, elle non plus, n’existe pas. On peut bien sûr souffrir de syndromes grippaux, c’est-à-dire d’un ensemble de symptômes classables dans un tableau clinique appelé « grippe ». Mais il est faux de croire que ce tableau signale la présence problématique de telle ou telle particule virale. Dans un article retentissant paru dans le British Medical Journal en 2013, le Dr Peter Doshi  a révélé qu’aux États-Unis, 84% des diagnostics de grippe étaient erronés puisque le virus Influenza n’était retrouvé que dans 16% des échantillons. Pour leur étude publiée en 2017, des chercheurs néerlandais ont voulu évaluer la contribution du virus influenza et des autres pathogènes respiratoires dans les syndromes grippaux. Pour ce faire, ils ont suivi une cohorte d’adultes de plus de 60 ans pendant deux saisons hivernales.  Ils ont trouvé que le virus de la grippe était responsable de seulement 18 à 34% des épisodes fébriles accompagnés des autres symptômes caractéristiques de la maladie (céphalées, courbatures,  maux de gorge, rhinite, toux et douleurs thoraciques).  Certes, les scientifiques se sont empressés de pointer d’autres coupables du doigt : ils ont détecté d’autres micro-organismes réputés pathogènes (bactéries, rhinovirus, coronavirus, pneumovirus et autres « para-influenzae ») dans 60% des cas au cours de la première saison et dans 44% des cas la saison suivante. Mais ça ne suffit pas à dissimuler sous le tapis que la grande majorité des grippes surviennent en l’absence de leur virus attitré et qu’au moins 20% des épisodes grippaux se déroulent SANS présence virale détectée. Au passage, vous aurez noté que le vaccin est une belle arnaque puisqu’il ne contient que le seul Influenza et que ce dernier est de toute façon très minoritaire chez les personnes grippées. A fortiori, l’immunisation artificielle NE PEUT PAS marcher quand ces dernières n’hébergent aucun agent infectieux. On comprend dès lors mieux que la réalité des « maladies virales sans virus » soit entourée d’une telle discrétion : ça fout par terre le mythe vaccinal et la légende pasteurienne du germe causal. Avec le covid, on a eu la démonstration supplémentaire que seuls les tests de dépistage rendent possible un tri entre syndromes grippaux. Dans la vie réelle, le médecin est bien incapable de distinguer une grippe d’une autre…

15) La guerre biologique, c’est de la science-fiction

Dans son discours-fleuve à la nation, Vladimir Poutine l’a encore répété hier : les laboratoires de recherche ukrainiens financés par les Américains avaient pour mission de fabriquer des armes biologiques dirigées contre la Russie. Selon les documents trouvés par l’armée russe, le projet était de rendre des virus hautement pathogènes et de les disséminer vers l’Est, par exemple via des oiseaux migrateurs. Personnellement, je pense que cette accusation est plausible et crédible. Quand il peut mettre au point un arsenal illégal mais très létal, l’Oncle Sam ne se gêne jamais. On l’a vu notamment en Serbie et en Irak avec l’usage de bombes à uranium appauvri qui ont fait et continuent de faire des ravages dans la population civile. Il y a donc certainement des chercheurs qui cherchent obstinément à détourner la vie microcosmique pour semer la mort. Mais a-t-on la moindre preuve qu’ils aient trouvé et qu’ils soient parvenus à leurs fins ? Pas à ma connaissance. Jusqu’à démonstration du contraire, la guerre biologique est un oxymore et une fiction qui n’existe qu’au cinéma. Certes, il est possible d’empoisonner de l’eau ou de la nourriture avec des bactéries et de contaminer quelques personnes mises en contact tactile ou aérien avec des bacilles dangereux. Mais à part dans les films hollywoodiens, qui a jamais vu un microbe manipulé avec succès pour en faire une arme de destruction massive ? Dans une interview récente, le très pasteurien Christian Perronne affirme que les Japonais y sont arrivés au siècle dernier et que leurs armes bactériologiques ont fait des « millions de morts » en Chine. Ah bon ? Le professeur prend ses fantasmes biophobiques pour la réalité car cet article très documenté raconte tout autre chose. Le Japon a bien fait des expériences cruelles sur des prisonniers chinois et tenté de provoquer des épidémies de peste ou de choléra, mais avec des résultats très limités et décevants de leur point de vue. Les virus ? N’en déplaise au général russe Igor Kirillov, convaincu que celui du covid vient des labos ukrainiens, il n’y a pas non plus d’élément probant démontrant qu’ils ont déjà servi militairement. Ni civilement, d’ailleurs. Depuis trois ans, la thèse selon laquelle le corona aurait été manufacturé dans un laboratoire de haute sécurité puis relâché accidentellement ou intentionnellement dans la nature a fait beaucoup d’adeptes. Ceux-ci croient mordicus qu’un virus inoffensif a été tripatouillé à Wuhan ou ailleurs et que les « gains de fonction » obtenus sont à l’origine de la tragédie covidienne. L’inconvénient de ce scénario, c’est que l’hypothétique virus mutant a fait chou blanc et que la tragique pandémie virale n’a jamais eu lieu. Comme il l’a raconté la semaine dernière à Luxembourg, l’épidémiologiste Laurent Toubiana a obtenu les chiffres 2020 de mortalité par cancer et maladies cardiovasculaires : ils ont également et très étrangement chuté cette année-là !  Cela confirme clairement que la coque vide-19 a été fabriquée à partir de rien, ou plutôt à partir de toutes les autres pathologies rebaptisées pour les besoins de la psychose. Perso, je ne pige pas pourquoi beaucoup de résistants s’accrochent à ce récit improuvé  du virus échappé d’un labo. Ni pourquoi nombre d’entre eux souscrivent si facilement à la fiction de la « guerre biologique ». Si de telles armes étaient disponibles, m’est avis que l’empire étasunien les aurait déjà larguées sans état d’âme…

16) Le virus est seulement… informatique

Et si les virus eux-mêmes n’existaient pas ? Si vous lisez régulièrement Néosanté, vous savez que cette question insolente est posée par des scientifiques sérieux et que plusieurs d’entre eux y répondent par la négative. Le « nouveau » coronavirus a relancé la controverse et ces mêmes trublions virosceptiques (Andrew Kaufman, Stefan Lanka, Thomas Cowan,  Stefano Scoglio, Sam Bailey…) proclament que l’agent infectieux n’a jamais été inculpé dans les règles de l’art, c’est-à-dire prélevé chez un malade,isolé et cultivé sans artifices puis réintroduit dans un organisme sain en réussissant à le rendre malade. Je ne suis pas qualifié pour prendre part à ce débat mais ça ne m’empêche pas de le suivre attentivement. Or récemment, une pièce saisissante a émergé dans le dossier sous forme d’un article de The Exposé. Il s’agit  en fait d’un échange de mails entre la blogueuse britannique Frances Leader et la MHRA (Medicine and Healthcare products Regulatory Agency), l’agence qui contrôle les médicaments au Royaume-Uni. Dans ces courriels datant de fin 2020, les responsables de l’agence confessent que la séquence génomique qui a servi à la mise au point du vaccin Pfizer ne provient pas d’un prélèvement chez une personne infectée mais qu’elle a été générée par ordinateur. Autrement dit, le virus utilisé n’a pas de réalité matérielle prouvée, il émane d’un modèle informatique lui-même alimenté par une banque de gènes viraux séquencés de main d’homme. Et le vaccin non plus n’a pas été conçu sur base de particules virales trouvées chez un patient mais obtenu par « combinaison de synthèse génique et de technologie recombinant l’ADN ». Lorsqu’elle a divulgué ces échanges, Frances Leader a été immédiatement censurée par Twitter mais leur contenu est toujours lisible sur son blog personnel.  On comprend que les censeurs ont vite réagi car c’est de la dynamite, ces aveux de la MHRA. Au-delà de la grande coronarnaque, ils pourraient faire s’écrouler tout le château de cartes pasteurien déjà copieusement lézardé…

Yves rasir

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Offre de la semaine

C’est dans le Néosanté de février que le microbiologiste italien Stefano Scoglio explique pourquoi il ne croit ni à l’existence du virus couronné ni à sa fameuse protéine Spike. Le propos semble quelque peu extravagant mais je peux vous assurer que ses arguments sont assez convaincants. Dans le Néosanté de mars, nous publions une grande enquête de Senta Depuydt sur les vaccins anticovid, leur qualité douteuse et leurs composants plus que suspects, avec des photos exclusives qui pourraient s’avérer explosives. 
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