VACCINS ANTICANCERS : la grande escroquerie

Article N°23

Big pharma a de la suite dans les idées : après le vaccin contre le cancer du col de l’utérus et celui de l’hépatite B censé prévenir le cancer du foie, voici qu’on nous annonce un vaccin contre le cancer du sein. Un faux espoir de plus et une fumisterie scientifique puisqu’il est certain qu’un virus à lui seul ne peut être la cause unique d’un cancer !

Pour Françoise Joët, il s’agit là d’une nouvelle « grande escroquerie » qui n’est pas qu’intellectuelle puisqu’elle va remplir les caisses de l’industrie pharmaceutique sans aucune chance de progrès prophylactique.
Au contraire : les vaccins sont déjà des vecteurs de processus cancéreux et ces nouvelles agressions vaccinales du système immunitaire risquent bien de renforcer l’épidémie de cancers.

Le lancement du vaccin contre le cancer du col de l’utérus, après celui de l’hépatite B, a donné des ailes à la recherche sur les vaccins «anticancers». Un peu partout, les laboratoires planchent depuis des années sur ce type de vaccin, tellement tentant en raison du nombre croissant de cas de cancer et l’impuissance de la médecine classique à les guérir. Depuis longtemps, les scientifiques pasteuriens cherchent à prouver que le cancer a une origine microbienne, bactérienne mais surtout virale, ce qui arrangerait bien les affaires, car pour contrer les méchants virus accusés de provoquer des proliférations cellulaires anarchiques, il suffirait de sortir un vaccin qui les neutraliserait. Un jeu d’enfants ! Ce fut le rêve notamment des chercheurs américains dans les années 1950. Quoi de plus rassurant pour le public que l’espoir d’une vie sans cancer ! Promettre une protection grâce à un vaccin sauveur, sans rien remettre en cause ni sur les origines de nos maux ni sur la façon de les traiter, voilà le coup de génie ! Cependant, en 1980, la communauté scientifique s’impatientait de plus en plus devant le manque de résultats « de la guerre contre le cancer basée sur la chasse aux virus ». L’apparition du SIDA et son association au sarcome de Kaposi en 1981, permit aux « experts » de renforcer leur croyance dans le rôle essentiel des virus dans la cancérisation. Or, la cancérogénèse est d’une extrême complexité et il est bien certain qu‘un virus à lui seul ne peut être la cause unique d’un cancer. L’apparition d’un cancer suite à une infection virale n’est pas du tout automatique. Tout va dépendre des gènes introduits par le virus dans le génome, et surtout, de la résistance de l’organisme et du bon fonctionnement du système immunitaire.

Virus ou bactéries oncogènes

D’après le Pr Antoine GESSAIN [1], il y aurait environ une dizaine d’agents infectieux responsables de l’apparition d’un cancer : Helicobacter pylori, une bactérie liée au cancer de l’estomac, les virus des hépatites, en particulier l’hépatite B ou C, liés au cancer du foie, les papillomavirus liés au cancer du col de l’utérus, le virus d’Epstein-Barr lié à certains cancers de la gorge et des ganglions, le virus SV40 lié au cancer du cerveau, le virus HTLV-1 lié à une forme de leucémie chez les adultes, le virus de l’herpès HHV-8 lié à certains lymphomes et au sarcome de Kaposi, le virus de Rous responsable de sarcomes chez les poulets. Ce dernier fut le premier oncovirus découvert en 1911 par un chercheur américain du Rockefeller Institute de New York, Peyton ROUS. Par la suite, en 1924, Alexis CARREL, chercheur lui aussi au Rockefeller Institute, fit proliférer le virus du sarcome de Rous dans des lymphocytes, montrant ainsi que la culture des virus était possible. C’est plus tard, en 1953 que RUBIN et TEMIN réussirent à cultiver in vitro le virus de Rous. A partir de 1966, ce rétrovirus de Rous devint un outil de recherche pour de nombreux laboratoires et c’est à partir de ce virus que fut découverte l’enzyme appelée « transcriptase inverse » par Mirko BELJANSKI, TEMIN et BALTIMORE en 1970 [2].

En 1941, ROUS proposa une théorie virale du cancer, théorie selon laquelle tous les organismes hébergent des « virus masqués » héritables, inoffensifs donc non repérables mais qui, soumis à l’action d’un carcinogène, pouvaient muter et rendre les cellules auxquelles ils étaient associés cancéreuses. Cette théorie n’est pas dénuée de fondement, car on sait que si la genèse des cancers est multifactorielle (rôle certains des radiations, des hormones, des agents chimiques, du stress, de facteurs génétiques…), il faut qu’existe un élément déclencheur. A partir de 1950 et en quelques années seulement, les virus des leucémies et des cancers devinrent l’un des principaux axes de la recherche en cancérologie. Mais la nature infectieuse du cancer ne faisait pas l’unanimité. Nombreux étaient à l’époque les spécialistes qui tenaient le cancer et l’infection pour deux notions incompatibles. La question n’est pas résolue même aujourd’hui. « Les affections latentes à virus constituent l’un des domaines les plus intéressants de la virologie, mais aussi l’un des moins connus », reconnaissait le biologiste François JACOB [3]. Mais comme nous l’avons dit, tous ces travaux laissaient entrevoir un objectif : trouver des vaccins contre le cancer. « La piste virale était séduisante parce qu’elle laissait espérer la mise au point rapide d’une thérapeutique anticancéreuse efficace et inoffensive : un vaccin », écrit Christelle RIGAL [4]. Inoffensive !! Ne sont-ce pas les vaccins qui provoquent une inflammation et des infections permanentes dans l’organisme et notamment des processus auto-immuns qui ne s’arrêtent jamais ? Ne sont-ils pas les premiers responsables de mutations génétiques, phénomènes précurseurs des maladies de dégénérescence dont le cancer ?

Comment agissent les virus oncogènes ?

« Les oncovirus peuvent modifier l’ADN des chromosomes des cellules qu’ils agressent, soit directement, lors de leur prolifération, soit indirectement, au moment où ces cellules se régénèrent après l’infection. Ce processus s’opère en plusieurs étapes et il peut s’écouler plusieurs dizaines d’années avant que les cellules lésées par ces agents ne deviennent cancéreuses. » Pour mieux comprendre l’évolution d’une cellule saine vers un état cancéreux, le Pr David KHAYAT, chef de service d’oncologie de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris, en décrit le mécanisme : « Chaque cellule contient des gènes qui en gèrent la multiplication pour assurer le renouvellement cellulaire du corps. Si des mutations les touchent, ils peuvent se multiplier sans contrôle, en intégrant ces transformations. Des gènes réparateurs sont appelés à la rescousse mais, à partir d’un certain moment, ils sont dépassés par les anomalies ». Toutefois, « ce n’est pas parce qu’on est infecté par un oncovirus qu’on aura forcément un cancer» rassure le Pr GESSAIN [1].
Le génome viral peut persister dans le corps sous forme libre (c’est le cas des rétrovirus) ou être intégré dans les cellules infectées (c’est le cas du SV40 dont certains éléments suffisent pour jouer un rôle majeur dans la cancérisation). Comme dans toutes les cellules tumorales, on observe des modifications importantes de la croissance et de l’aspect de ces cellules, une « immortalisation » de ces cellules (par inhibition de l’apoptose ou mort cellulaire) et des altérations physiologiques et morphologiques caractéristiques de l’état de transformation.
Comme l’explique Etienne De HARVEN [5], grâce au microscope électronique on a pu mieux cerner les virus et éliminer des milliers d’images de «virus-like particules» observées dans des cancers chez l’homme. Concernant le VIH, il précise que : « L’observation des particules en voie de bourgeonnement au niveau des surfaces cellulaires nous permettait d’identifier les cellules infectées et de conclure que celles-ci sont parfaitement viables … l’infection par des virus de ce type (oncogènes à ARN ou rétrovirus) n’ont aucun effet cytolytique (capable de tuer les cellules) ». Autrement dit, un rétrovirus ne peut à lui seul désorganiser les cellules et amorcer un processus cancérigène, a fortiori un sida qui n’a rien à voir avec un cancer.
Tout ce que l’on peut constater, c’est que les enfants qui reçoivent une cinquantaine de stimulations antigéniques jusqu’à l’adolescence, alors que leur organisme est en construction, sont en grand danger, car les vaccins, de par leur nature et leur mode d’administration, induisent nécessairement des mutations génétiques, des modifications chromosomiques en introduisant dans le génome de nos cellules des éléments favorisant la cancérogénèse. Naturellement, ces processus sont très lents et ne deviennent visibles qu’à l’âge adulte : il est alors difficile de les relier à l’acte vaccinal.

Le saut dans l’inconnu
On nous fait croire que des vaccins peuvent nous protéger du cancer, c’est là une des plus grandes escroqueries de la médecine moderne, qui n’en est pas à un mensonge près. Le mensonge cependant est bien passé puisque la moitié de la population française s’est fait vacciner contre l’hépatite B entre 1994 et 1995 pensant ainsi échapper au cancer du foie ! Le mensonge se poursuit avec le vaccin contre les papillomavirus qui a engendré une couverture vaccinale dépassant les 30% en 2010 en France [6]. Pourquoi s’arrêter en si bon chemin : voilà qu’un vaccin contre le cancer du sein est en route pour l’AMM !
« Les difficultés à développer des vaccins prophylactiques contre le cancer tient principalement au fait que les antigènes tumoraux sont des variations des propres protéines de l’individu ; s’ils étaient utilisés dans un vaccin préventif, ils entraîneraient probablement des complications auto-immunes » explique le Dr NGUYEN [7]. Eh oui, c’est bien d’ailleurs ce qui se produit avec la plupart des vaccins et notamment avec le vaccin hépatite B !
Le Pr TUOHY de l’Université de Cleveland, Ohio, qui mène des recherches sur le vaccin contre le cancer du sein, précise : « Nous pensons que le cancer du sein est une maladie qui peut être prévenue complètement. De façon plus large, nous entrevoyons un programme de vaccination de l’adulte visant à apporter une protection contre des maladies de l’adulte, comme le cancer du sein, le cancer de la prostate, le cancer ovarien, le cancer du côlon, etc., un programme imitant les résultats enviables du programme vaccinal de l’enfant qui confère une protection contre des maladies pédiatriques comme la rougeole et la poliomyélite. Nous croyons vraiment qu’un vaccin préventif contre le cancer du sein fera au cancer du sein ce que le vaccin polio a fait à la polio » !
Soyons clairs : il n’y a pas de vaccin anticancer, il n’y a pas de vaccin susceptible de protéger un organisme contre le cancer, il n’y a pas de prévention des cancers par la vaccination. Au contraire, les vaccins sont des éléments déclenchant des processus de cancérisation. Les «ingrédients» contenus dans les vaccins, qu’ils soient biologiques ou chimiques, une fois dans notre organisme, auront un comportement que personne ne peut prévoir et dans la mesure où ils sont faits pour agresser nos cellules, les désordres engendrés peuvent parfaitement déboucher, des années après, sur un cancer bien installé.

Vaccins versus immunité

«Car les vaccins ne sont-ils pas en train de faire fonctionner le système immunitaire à l’envers ?» comme s’interrogent Harold BUTTRAM et Catherine FROMPOVICH (« Are vaccines turning our children’s immune systems inside out ? “ International Medical Council on Vaccination, 12 juin 2011).
Lorsqu’un organe n’est plus utilisé il s’atrophie. C’est une loi de la nature qui s’applique à tous les processus physiologiques du corps humain. Les vaccinations successives empêchent le système immunitaire de fonctionner normalement, elles entraînent, avec le temps, une « cessation d’activité », voire un « détournement d’activité » de tous les éléments qui permettent à l’organisme de se défendre. Lorsque le petit bébé met tout ce qu’il trouve à sa bouche, ce n’est pas simplement parce qu’il a des dents qui sortent, c’est surtout pour faire connaissance avec tous les germes de son environnement et faire marcher son système immunitaire qui a besoin de cette rencontre avec les micro-organismes pour se fortifier. Les vaccinations privent l’enfant de ce mécanisme naturel instructif et bénéfique et par conséquent elles l’affaiblissent. Le système immunitaire n’est plus opérationnel. La porte est ouverte aux maladies auto-immunes, aux processus de dégénérescence, aux cancers. Comme l’a montré John CLASSEN dans plusieurs de ses études sur le diabète de type 1 [8], les problèmes d’auto-immunité ne sont pas liés à un type particulier de vaccin ; c’est l’impact de la vaccination elle-même qui engendre ces désordres auto-immuns, tout comme tout autre type de désordre.

Les dangers de l’hybridation génétique

Une étude menée par des scientifiques de l’Université de Genève [9] a montré que toute substance biologique qui entre directement dans notre circulation sanguine peut faire partie intégrante de nous-mêmes, partie de notre matériel génétique, selon le principe des « gènes sauteurs ou transposons » découverts par Barbara Mac CLINTOCK. Nous sommes donc face à un processus « d’hybridation génétique ». Or c’est bien ce processus que mettent en route les vaccins qui nous sont administrés. « Ce phénomène d’hybridation génétique représente sans aucun doute le plus grand danger des programmes de vaccinations actuels vis-à-vis des générations futures », concluent les scientifiques genevois. Les vaccins sèment les graines des mutations génétiques. Sachant que les vaccins ont été fabriqués à partir de cultures cellulaires sur tissus de fœtus avortés, de reins de singe, de fibroblastes de poulet, de cerveau de lapin, et autres tissus animaux, on peut imaginer les passages, les mélanges, les mutations que ces substrats biologiques peuvent engendrer et la considérable modification génétique qu’en quelques années les vaccins ont fait subir au corps humain.

Références

1 – www.mutualite.fr/L-actualite/Evenements/manifestations/uncaner-sur-six-est-du-a-un-virus
2 – Nature, 27 juin 1970
3 – WOLLMAN E., JACOB F., « La sexualité des bactéries », Ed. Masson, 1959, p.221
4 – Thèse de doctorat sur la leucémie aiguë de Christelle RIGAL dirigée par Anne-Marie MOULIN, soutenue le 19 décembre 2003 à l’Université Paris 7 UFR de Sciences sociales et d’épistémologie, p.28 et suivantes.
5 – Etienne DE HARVEN « L’origine virale du SIDA n’a jamais été démontrée », Votre Santé, n°10, juin 2000, p.9
6 – BEH n°11, 25 mars 2010
7 – Dr Véronique NGUYEN « La piste d’un vaccin anti-cancer du sein », Quotidien du Médecin, 2 juin 2010.
8 – CLASSEN JB et CLASSEN DC “Association between type 1 diabetes and Hib vaccine, causal relation likely », British Medical J, 1999, 319 : 1133
9 – World Medicine : “Mobility of genetic material between life forms”, 22 septembre 1971

Lexique

Oncovirus ou virus oncogène = virus responsable de cancer (onkos en grec voulant dire tumeur)
Transcriptase inverse = enzyme associée aux virus cancérogènes, à ceux de certaines leucémies, et au sida. Elle permet la transcription d’une chaîne d’ADN sur une chaîne d’ARN, opération inverse de celle qui se produit dans la cellule normale. Elle permet donc aux virus à ARN de s’intégrer aux chromosomes de la cellule qu’ils infectent et qui sont formées d’ADN.
Sarcome = tumeur maligne qui se développe aux dépens du tissu conjonctif lequel occupe les intervalles entre les organes pour les soutenir. Sarcome de Kaposi = affection cancéreuse de la peau qui se couvre de tâches rouges foncées.
Carcinogénèse = cancérogénèse, processus de formation du cancer (karkinos en grec voulant dire crabe, cancer)
Néoplasie = tumeur maligne
Lymphome = cancer du système lymphatique (moelle osseuse, rate, ganglions lymphatiques, vaisseaux sanguins)
Leucémie = cancer des cellules sanguines de la moelle osseuse

Enseignante à la retraite, Françoise JOËT a été présidente pendant 15 ans de l’Association Liberté Information Santé (ALIS), dont elle est désormais présidente d’honneur. Rédactrice en chef de la revue « Le Courrier d’ALIS » (revue trimestrielle d’information sur les vaccinations), elle est aussi l’auteure du livre : « Tétanos, le mirage de la vaccination » et co-auteur avec Claude BERNARD du livre : « Hépatites, les vaccinations catastrophe » (publiés par ALIS) et co-auteur avec Sylvie SIMON du livre : « Vaccinations, l’overdose » (Ed. F. Belfond). Membre du groupe européen EFVV (European Forum for Vaccine Vigilance), elle donne des conférences et a participé à de nombreux congrès. www.alis-france.com – siege@alis-france.com

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