L’argile peut-elle soigner le cancer ? Malgré la date de cette infolettre, ceci n’est pas un poisson d’avril. Ni un poisson d’argile ( sorry pour le jeu de mots, mais je ne peux pas m’en empêcher). Vous savez tout le bien que je pense de l’argile, qui n’est pas seulement un ingrédient cosmétique, mais aussi un remède naturel qui remonte à la nuit des temps et que même certains animaux sauvages utilisent pour se garder en bonne santé, tant par voie interne qu’en applications externes. Si vous lisez cette infolettre depuis son lancement, vous connaissez aussi mon enthousiasme pour le wax-argile, l’invention d’un infirmier bruxellois qui a eu l’idée de mélanger de l’argile avec de la cire d’abeille et de l’huile d’olive pour soigner les plaies. Cette pâte cicatrisante donne des résultats étonnants et je lui ai consacré un numéro de ma newsletter en juillet 2013. Retrouvez cet article en cliquant ici.
Depuis cette date, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts et beaucoup d’amputations ont été évitées grâce au wax-argile de Théophiel Van Dyck. Il y a quelques mois, celui-ci est passé me voir au bureau pour acheter un livre et il m’a raconté un truc à peine croyable : un médecin de ses connaissances a eu l’idée d’employer le wax-argile pour soigner sa maman, atteinte d’un mélanome invasif à la jambe. Les oncologues, c’est le cas de la dire, ne donnaient plus cher de sa peau et considéraient que sa maladie était arrivée au stade terminal. Mais après 6 mois de soins quotidiens, le cancer était totalement guéri ! En cliquant ici, http://www.wax-argile.be/204783204, vous pouvez lire le récit de cette guérison et voir les photos qui en attestent. Il se trouve que je connais aussi ce médecin, abonné à la revue Néosanté, et qu’il est également venu me rendre visite récemment. Il m’a confirmé la totale véracité du récit et le plein rétablissement de sa maman, dont le cancérologue était ébahi et a parlé de véritable « miracle ». Mais comme le souligne ironiquement Théophiel sur son site internet, Bruxelles n’est pas Lourdes et les guérisons miraculeuses sont généralement fulgurantes. Ici, c’est en six mois que l’épiderme de la vieille dame s’est progressivement réparé grâce à la lente et évidente action des cataplasmes. Ce n’est pas la Vierge ou le Saint-Esprit, mais l’argile verte améliorée qui a manifestement favorisé la « décancérisation » de la patiente.
Un peu de terre grasse semble donc efficace contre le cancer de la peau. Depuis ce cas encourageant, le wax-argile a donné de bons résultats chez deux autres patients souffrant de mélanome. Mais se pourrait-il que le remède « marche » sur d’autres types de cancer ? Sur son site, l’infirmier confie que des cancéreuses du sein sont en train de tester sa méthode. Il ne les a pas encouragées, mais elles ont voulu essayer car elles y croient. Affaire à suivre. Cela m’a rappelé quelque chose que j’avais complètement enfoui (refoulé ?) dans ma mémoire : lors de ses séminaires, dans les années 80 -90 , le naturopathe André Passebecq passait des diapositives illustrant les prouesses thérapeutiques de l’argile, dont il était un fervent partisan. Le « clou » du spectacle, si je puis dire, était une femme soignée de la sorte pour une tumeur mammaire. Le diaporama montrait un nodule dégénérant en plaie ouverte, puis en magma purulent et sanguinolent, mais qui se refermait petit à petit et qui finissait par disparaître complètement. En quelques mois, le sein malade était remis à neuf !
Ne me faites pas dire ce que je ne dis pas : je ne suis pas en train d’affirmer que l’argile ou le wax-argile a des propriétés anticancéreuses, ni que ce protocole naturel a participé réellement aux guérisons constatées. Néanmoins, je me risque à formuler l’hypothèse qu’il pourrait en être ainsi. Personnellement, et à plusieurs reprises, j’ai vérifié que la pâte d’argile soignait très efficacement des problèmes cutanés. Et plus d’une fois, j’ai ressenti que ce « produit » agissait en profondeur, comme si mon organisme entier se mobilisait, comme si tout mon sang affluait vers le lieu d’application. Est-il si fou de penser que la substance minérale puisse, par un mécanisme mystérieux, stimuler l’immunité et tenir le crabe en respect ? Raymond Dextreit, un autre naturopathe français du XXème siècle, soignait les tumeurs avec de l’argile. Son livre « L’argile qui guérit » présente plusieurs témoignages de personnes ayant vaincu le cancer et attribuant leur guérison à ce traitement naturel. Et puis, il y a le wax-argile, ses victoires indéniables comme cicatrisant hors-pair et ses premiers succès dans le traitement du mélanome. N’est-il pas temps d’envisager sérieusement la question ?
Évidemment, aucune étude scientifique ne vient pour l’heure accréditer cette spéculation. Mais à ma connaissance, aucune recherche n’a non plus démontré le contraire. Pour la mauvaise et simple raison que l’argile, - pas plus que la cire d’abeille et l’huile d’olive - n’intéresse l’industrie du médicament : les molécules du sous-sol sont naturelles et non brevetables, il n’y a donc donc aucun profit juteux à espérer ! L’absence de preuves ne signifie pas preuve de l’absence d’effets anticancéreux. Dès lors, et avec une témérité assumée, j’encourage les malades à éprouver cette méthode complémentaire. Si la science s’en désintéresse, c’est aux patients de la faire avancer ! Après tout, la Genèse nous raconte que Dieu créa l’être humain avec un peu d’eau et d’argile ( le nom Adam vient du mot Adama, qui signifie la terre en hébreu.) Et cette terre semble de nature à éveiller des pouvoirs autocuratifs lorsque nous l’absorbons ou l’appliquons en cataplasme. Ce matériau biblique n’est-il pas un cadeau divin, une sorte de panacée du terrain, une ressource thérapeutique inépuisable offerte aux êtres vivants, pourvu qu’ils en découvrent toutes les vertus ? Je me prends à rêver que la fin du cancer est là, à portée de main, sous nos pieds….
Yves Rasir
PS : S’il le fallait, je précise que je ne perçois aucun dividende sur les ventes de wax-argile. Théophiel Van Dijck en commercialise via son site www.wax-argile.be, mais il en divulgue la composition et la recette de fabrication. Chacun peut donc en faire chez soi ! L’infirmier me donne l’impression d’être très peu intéressé par l’argent, et beaucoup plus par sa vocation de soulager son prochain.
PS2 : Néerlandophone, Théophiel serait bien sûr né Théophile dans une famille francophone. Lequel prénom signifie « ami de Dieu ». Encore un clin d’œil linguistique qui me rend le bonhomme sympathique. |