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Néosanté hebdo
mercredi 10 septembre 2014

    Vaccins : sale temps pour les menteurs

portrait de Yves Rasir Promouvoir la « nouvelle médecine du sens » et la compréhension biologique des maladies, mais aussi mettre en lumière les erreurs et les errements de la médecine classique dominante : tels sont les deux  objectifs principaux et complémentaires que nous poursuivons depuis la création de la revue Néosanté. Concernant ce deuxième but – mettre le doigt sur les failles du modèle médical allopathique -, nous attachons une importance particulière à la dénonciation de la vaccination comme pratique dangereuse,  inutile et faussement efficace. Sur ce sujet, la ligne éditoriale de Néosanté est bien plus radicale que celles des autres journaux de santé naturelle, lesquels  se contentent souvent d’appeler au libre choix des parents et se bornent à manifester une timide inquiétude quant à la lourdeur du calendrier vaccinal infligé aux enfants. Pour nous, une vaccination imposée ou facultative est déjà une vaccination de trop. Nous appelons à l’abandon pur et simple de cette pratique médicale que nous qualifions volontiers d’obscurantiste, c’est-à-dire fondée sur des croyances et non  sur des connaissances validées par la science. La vaccinologie est une idéologie, voire une religion, dont les dogmes ne résistent ni au bon sens ni à l’examen des faits. Exemple : il est totalement faux d’affirmer que les vaccins ont permis d’éradiquer des maladies et que leur apparition fût une avancée sanitaire décisive. Ce mythe est brillamment déconstruit dans un ouvrage paru l’année dernière aux Etats-Unis, Dissolving Illusions,  ainsi que dans un nouveau livre du biologiste français Michel Georget. Ces deux bouquins démystifiants et décapants pour les idées reçues forment l’ossature du dossier que nous publions ce mois-ci et que nous avons intitulé « Vaccins : la grande (dés)illusion ».

Ce que nous n’avions pas prévu, c’est que l’actualité allait déverser des tonnes d’eaux dans la roue de notre moulin. Il y d’abord cette bombe qui vient d’éclater aux USA et dont nos médias n’ont pas encore mesuré la puissance de déflagration :  Le Dr William Thompson, un éminent chercheur du CDC (Centres de Contrôle et de Prévention des maladies), vient d’avouer que cet organisme officiel avait dissimulé les données originales d’une étude montrant que le vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) augmentait le risque d’autisme chez les enfants afro-américains. Et pas un peu, puisque l’augmentation du risque est évaluée à 340 % !  Cette déclaration tonitruante a été relayée par CNN et n’est pas passée inaperçue puisque des centaines de parents d’enfants autistes se sont déjà mobilisés pour exprimer leur indignation  et réclamer justice. Il serait franchement étonnant que cet énorme scandale ne franchisse pas l’Atlantique puisque le vaccin ROR est massivement injecté aux enfants européens et que la prévalence des troubles autistiques  a également augmenté chez nous depuis son introduction. Les faits sont en train de donner raison à David Wakefield, ce chercheur britannique qui avait lancé l’alerte et dont les travaux ont été injustement discrédités (voir « le vrai visage d’Andrew Wakefield », Néosanté N° 9 ). Si vous voulez suivre cette affaire, je vous suggère encore une fois de surfer sur le blog de l’association belge Initiative Citoyenne, dont les animateurs bénévoles traduisent et commentent toutes les infos non répercutées par les journaux et les télés. Et voici un lien vers le communiqué de presse  publié hier par Initiative Citoyenne :  il fait référence à la situation en Belgique mais il pose les bonnes questions sur les conséquences sanitaire de cette fraude scientifique : combien de milliers de victimes en France et ailleurs ?

Tandis que les mamans d’enfants autistes font du ramdam chez l’Oncle Sam, ce sont des mères d’adolescentes qui crient leur colère en Colombie : dans ce pays, des centaines de jeunes filles ont été frappées par un syndrome mystérieux à la suite de la vaccination contre le cancer du col de l’utérus. Les symptômes allaient des maux de tête à l’évanouissement en passant par un engourdissement anormal des extrémités. Plus de 200 victimes ont dû être hospitalisées dans la  seule ville d’El Carmen de Bolivar. Toutes ces filles avaient, dans les jours et les semaines qui ont précédé leurs troubles, été vaccinées avec le vaccin Gardasil contre le HPV.  Un lien de cause à effet ? Bien sûr que non, rassurent les autorités. Elles ont maintenu la campagne de vaccination dans la région et insinué qu’il s’agissait  probablement d’un phénomène d’hystérie collective. À propos de ce vaccin controversé, je vous rappelle la parution d’une enquête  de Pryska Ducoeurjoly dans le Néosanté n° 32 de mars 2014. Ce n’est pas pour rien que nous avions qualifié cette vaccination de nouvelle « bombe sanitaire » en sous-titrant que « les jeunes filles sont des cobayes » d’une expérimentation à grande échelle.  Depuis la publication de ce dossier, la députée européenne Michèle Rivasi a encore  fait du bon boulot en organisant une rencontre-débat le 23 juin  au parlement européen  et  en mettant en valeur  le travail critique effectué par le Dr  Philippe de Chazourne et son association  Medocean. De son côté, le Dr Marc Girard a publié le 6 juillet  sur son site  une excellente mise au point sur le Gardasil. Je vous invite chaleureusement à lire cet article très informatif, nuancé et  étayé par de nombreuses précisions scientifiques. Mais je ne résiste pas à l’envie d’en reproduire  ici la conclusion:  «  Avec l’autorité objective que me confère l’âge associé au précédent d’avoir été  le premier à suspecter l’escroquerie de la « pandémie » porcine (…), je le dis solennellement :
1) aux jeunes parents : ne laissez pas menacer la santé de vos enfants par un vaccin dont l’évaluation a été aussi lamentable ;
 2) aux jeunes femmes : préservez votre précieux corps de ce produit multidéfectueux, et fermez vos oreilles à une propagande graveleuse dont les scandaleux excès auraient déjà dû être sanctionnés depuis longtemps. »

Le moins qu’on puisse dire, c’est que le spécialiste en pharmacovigilance affiche clairement sa défiance envers le vaccin  HPV et  envers ses promoteurs « graveleux ».

Comme si ça ne suffisait pas, l’actualité est venue aussi  porter atteinte  à la vache sacrée de la vaccinologie, à savoir l’inattaquable vaccin anti-polio. D’abord, il y a ce fait divers assez incroyable : en Belgique, le 2 septembre dernier,  le laboratoire GSK a déversé dans une rivière 45 litres d’un liquide contaminé par le virus de la poliomyélite ! C’est une erreur humaine finalement  sans conséquences pour la santé des riverains, mais ça en dit long sur les dangers des manipulations opérées chaque jour  dans l’industrie du vaccin. Ensuite, il y a surtout cette  étude qui fait du bruit et a même fait l’objet de plusieurs articles de presse : des chercheurs  ont mis en lumière que dans 29% des cas étudiés en République Démocratique du Congo suite à l’épidémie meurtrière de 2010, des personnes pourtant vaccinées contre polio n’avaient pas produit assez d’anticorps pour combattre l’infection. Le vaccin antipolio n’a donc conféré quasiment aucune protection contre une souche mutante du virus, a précisé le virologue Christian Drosten, de l’Université de Bonn, principal auteur de cette étude. Autrement dit, il s’avère que la stratégie vaccinale mène à l’échec et que la redoutable maladie pourrait bien flamber de plus belle dans les prochaines décennies. Comment l’éviter ? Les menteurs d’hier nous resservent le même mensonge éculé : en maintenant la vaccination de masse et  en développant rapidement de nouveaux vaccins pour écraser la résistance  virale. La vérité, c’est que cette guerre est perdue d’avance et que les vaccins n’ont jamais permis d’éradiquer les fléaux qu’ils sont censés combattre.  Vous pouvez compter sur Néosanté pour continuer à propager cette  évidence que la religion pasteurienne continue à vous cacher. (1)

Yves Rasir

(1) Sur ce sujet, je vous rappelle aussi la publication de l’article « Vaccin polio : ce qu’on ne vous dit jamais », dans la revue  Néosanté n° 23 de mai 2013.  À l’instar du dossier sur le vaccin HPV, cet article n’est pas encore accessible gratuitement sur notre site (il faut bien qu’on gagne un peu de sous avec les abonnements à la revue).  Mais les numéros numériques complets  sont disponibles au prix de 4 € dans la boutique 

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