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Néosanté hebdo
mercredi 12 mars 2014

Nos jeunes filles sont des cobayes !

portrait de Yves Rasir Le vaccin anti-HPV ? Une bombe sanitaire !  C’est le titre et la conclusion du dossier  que signe Pryska Ducoeurjoly dans la revue Néosanté du mois de mars. Journaliste indépendante et auteure du livre « La société toxique  », Pryska collabore depuis ses débuts à notre mensuel. On lui doit notamment  des articles percutants sur « Les ravages du dépistage » (Néosanté n° 10), « Les dangers de l’aluminium vaccinal » (Néosanté N°11) « Les bienfaits du soleil » ( Néosanté n°13),  « La supercherie du cholestérol » (Néosanté n°14 ), « L’hyperactivité et le scandale Rilatine » (Néosanté n°20) , « La contraception naturelle » (Néosanté N° 26)  ou encore « La santé par le froid » (Néosanté n° 30 ).  Quand, en décembre dernier,  a éclaté en France le scandale Gardasil, je lui ai demandé d’enquêter plus avant sur la vaccination anti-HPV, dont on nous dit qu’elle protège du cancer du col de l’utérus et que nos autorités de santé tentent d’imposer à un maximum d’adolescentes.  Le moins qu’on puisse dire, c’est que les faits et les chiffres collectés par notre collaboratrice confirment les inquiétudes citoyennes à l’égard ce vaccin : oui, les jeunes filles vaccinées sont traitées par l’industrie pharmaceutique et leurs relais politiques comme de véritables cobayes !

En découvrant le dossier de Pryska Ducoeurjoly , j’ai moi-même été surpris par l’ampleur du scandale et par la puissance explosive de cette « bombe sanitaire ».  Officiellement,  il n’y a pas de problème avec le Gardasil (Sanofi/ Pasteur) et le Cervarix (GlaxoSmithKline), les deux produits vaccinaux censés prémunir la population féminine contre la cancérisation du col utérin. Mais sur le terrain, la réalité est très différente ! Aux Etats-Unis, depuis l’introduction de ce vaccin, le registre de la pharmacovigilance a déjà enregistré près de 33.000 effets secondaires indésirables et 155 décès.  En tenant compte du phénomène de « sous-notification » (10% à peine des accidents sont signalés), les lanceurs d’alerte arrivent toutefois à plus de 330.000 effets secondaires et à 1500 morts !  En extrapolant les  chiffres américains, le vaccin anti-HPV aurait déjà tué 150 fois en France et 30 fois en Belgique ! Des dégâts acceptables en regard des bénéfices  pour la santé ? Détrompez-vous : l’efficacité du vaccin n’est nullement prouvée, sa tolérance à long terme est totalement inconnue, l’affirmation selon laquelle il permet d‘éviter 70% des cancers est erronée et – bien pire encore – les lésions cervicales s’avèrent  beaucoup plus nombreuses chez les personnes vaccinées que chez les autres. Autrement dit, le « remède »semble favoriser  le mal  qu’il est (faussement)  réputé combattre !

Je ne peux pas vous résumer ici tous les éléments à charge réunis dans le dossier de Néosanté : ceux-ci s’étalent sur  sept pages de la revue !  Mais je vais en extraire deux qui sont particulièrement ahurissants.  Le premier, c’est que les placebos utilisés par les labos pour évaluer la toxicité de leurs vaccins n’étaient pas de vrais placébos puisqu’ils contenaient les adjuvants, et notamment l’aluminium.  Les études étaient donc carrément truquées et n’offraient aucune possibilité de comparer l’injection de la mixture vaccinale avec celle d’une substance parfaitement inoffensive.  Le deuxième élément accablant, c’est que les laboratoires ont parachevé le sabotage en vaccinant le groupe des non vaccinés à l’issue du protocole. Sous le fallacieux prétexte qu’il ne fallait pas les priver de cette « chance », les marchands de vaccins ont donc torpillé l’expérience : on ne saura  jamais rien des effets à moyen et long terme !  Cette double escroquerie scientifique fait dire à des experts que le Gardasil et le Cervarix n’auraient jamais dû arriver sur le marché.  Comment est-il possible qu’ils y soient quand même parvenus ? La réponse à cette question est la même que pour les autres scandales sanitaires : la manipulation des  essais cliniques,  la pression des labos, la multitude des conflits d’intérêts et la lâcheté politique.  Avec pour conséquence des milliers de jeunes filles victimes d’effets indésirables graves et de maladies auto-immunes incurables qui saccagent leur vie, quand celle-ci n’est pas brutalement interrompue.  Selon Pryska Ducoeurjoly, qui  a notamment examiné les investigations menées par le site internet Pharmacritique,  le scandale HPV pourrait même éclabousser la Fondation Nobel, dont le prix de médecine 2008 est soupçonné d’être entaché de corruption !

Bref, je pense que notre dossier du mois de mars mérite vraiment d’être lu et d’être partagé à large échelle, surtout avec les jeunes filles de votre entourage ou avec leurs parents.  Ce que vous pouvez déjà faire, c’est de cliquer sur les boutons ci-dessous, le vert ou le bleu, qui permettent de partager cette newsletter via Facebook ou de la faire  suivre à votre carnet d’adresses.  Ce que vous pouvez faire aussi,  c’est offrir généreusement ce numéro 32 de Néosanté  à vos connaissances  potentiellement concernées. Dans la boutique de notre site, vous pouvez par exemple en acheter la version numérique (format PDF)  pour la modique somme de 4 €.  En principe, le lien que vous recevez automatiquement  quelques secondes après votre achat (*) est réservé à votre usage personnel.  Mais pour cette fois, nous fermerons volontiers les yeux si vous le transmettez tous azimuts, et même si vous copiez et diffusez votre exemplaire sans notre autorisation. C’est trop important.   Nos jeunes filles sont traitées comme des cobayes et il faut que cela cesse !

Yves Rasir

(*) Du mois si vous effectuez le payement avec une carte de crédit ou via un compte Paypal.  Pour les autres moyens de payement (chèque, virement), nous effectuons l’envoi manuellement dès réception de la somme.

 

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