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Néosanté hebdo
mercredi 16 octobre 2013

portrait de Yves Rasir  Bon, autant vous l’avouer d’emblée :  en conclusion de ce message un peu spécial, je vais tenter de vous faire acheter quelque chose, en l’occurrence un abonnement d’essai à la revue Néosanté. Ce n’est pas facile pour moi, car je n’ai aucune formation en marketing, contrairement à la plupart des éditeurs de journaux de santé. De plus, ces derniers emploient des techniques de vente que je me refuse d’utiliser parce qu’elles me mettent mal à l’aise. Certains, par exemple,  lancent des grandes campagnes d’e-mailings  assorties d’une pétition pour s’indigner de telle ou telle chose,  par exemple un scandale sanitaire,  une mesure  gouvernementale liberticide ou une perspective écologique alarmante. Cela part certainement d’une bonne intention, mais cela relève quand même d’une stratégie  commerciale consistant à ferrer de nouveaux clients. D’autres éditeurs, parfois les mêmes,  accroissent leurs revenus en faisant de la publicité pour des produits de santé naturels et/ou en les commercialisant eux-mêmes. C’est un business parfaitement honorable, mais ce n’est pas la  tasse de thé de Néosanté.  La revue mensuelle et  le rédactionnel de notre lettre hebdomadaire  ne contiennent  aucune publicité, ni visible ni cachée,  pour aucun produit  d’aucune sorte. C’est le prix que nous payons pour notre liberté éditoriale, mais c’est surtout le corollaire de nos convictions « psychosomatiques » :  pour nous, la cause des maladies se situe très majoritairement dans les conflits émotionnels, et leur guérison repose essentiellement sur les ressources de l’intériorité. Aucun remède extérieur ne pourra jamais remplacer le médecin qui sommeille en vous ! Outre les abonnements et la vente au numéro, notre troisième source de revenus est la commercialisation des livres que nous éditons ou diffusons sur le sens psychobiologique des maladies et les errements de la médecine classique. Et notre quatrième moyen de subsistance, ce sont les maigres commissions que nous percevons lorsque nous relayons, sur notre site et au bas nos newsletters,  des messages conformes à notre éthique.

N’étant pas un expert-vendeur, j’ignore tout des ficelles de l’e-marketing. Je sais par exemple que mes confrères parviennent à se constituer de vastes fichiers de prospection grâce à Google, ce que je suis bien incapable de faire ! Je balbutie dans les réseaux sociaux et je viens seulement de découvrir en quoi consistent les programmes d’affiliation.  Bref, je ne suis pas un homme d’affaires ni un as du web, juste un journaliste-éditeur qui cherche simplement à faire survivre sa petite entreprise artisanale, laquelle emploie .. . 3 personnes et rémunère modestement une poignée de collaborateurs.  Et  même après 2 ans et demi d’existence, ce n’est pas encore gagné ! Les fins de mois ne sont pas toujours faciles à boucler….

Mais je ne me plains pas, j’apprends de mes erreurs et je cherche à devenir meilleur vendeur.  Sur le conseil d’amis plus futés que moi, je vais donc me risquer à une tactique de vente éprouvée :je vous propose de découvrir la revue Néosanté grâce un abonnement d’essai de 3 mois !  C’est un bon plan, me dit-on,  car, bien souvent, les nouveaux lecteurs souscrivent par après un abonnement plus long et deviennent de fidèles lecteurs.  Mais pour ça, il faut ajouter un  autre astuce : un prix d’ami qui rend l’offre irrésistible. Je vous propose donc de découvrir Néosanté en recevant les 3 prochains numéros (novembre 2013, décembre 2013 et janvier 2014) pour  seulement 15 € (version papier) ou seulement 10 € (version numérique).  Avouez que c’est bon marché pour un journal de 48 pages  100% indépendant avec  0% de publicité ! Toujours bien intentionnés, mes amis m’avaient  conseillé de fixer d’autres prix : par exemple 14 € pour la version imprimée et  9 € pour la version PDF. Ou, mieux encore : 13,99 € et 8,99 €.  Mais ça, c’est le genre d’attrape-nigauds auxquels je renonce résolument.  Je pense que les futurs abonnés de Néosanté sont assez intelligents pour ne pas se laisser embobiner de la sorte ! Ce sera donc, en guise d’offre-découverte, 15 € pour  recevoir 3 numéros dans votre boîtes aux lettres ou  10 € pour les réceptionner dans votre boîte mail.   C’est à prendre ou à laisser, et je ne vais pas vous faire non plus de cadeau supplémentaire si, plus tard, vous souscrivez un abonnement d’un an. Je vous offrirai seulement la réduction habituelle de 10% accordée aux anciens abonnés. Alors, que pensez-vous de mes premiers pas d’apprenti-vendeur ?  Si mes arguments vous ont séduits,  profitez de cette offre-exceptionnelle-unique-à-ne-pas-rater en cliquant ici.  Vous pouvez encore réfléchir un peu, mais je vous informe que cette offre est limitée dans le temps et que j’y mettrai fin le jeudi 24 octobre 2013 à 24h00 précises, heure de Paris. Bienvenue, pour employer un terme branché,  parmi la « communauté » des lecteurs de Néosanté !

Yves Rasir

 

 

disponible sur www.neosante.eu :
Le  numéro 27 (octobre 2013) de Néosanté, revue internationale de santé globale.
couverture du numéro 27
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