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Néosanté hebdo
mercredi 18 septembre 2013

Non à la dictature vaccinale !

portrait de Yves RasirDepuis plusieurs semaines, les lecteurs suisses de Néosanté nous demandent de relayer  un message qui leur tient  très à coeur: ce 22 septembre, les  Suisses doivent protéger leur démocratie et voter NON  à la révision de la loi sur les épidémies !  C’est en effet  ce dimanche qu’a lieu en Suisse un référendum populaire – on dit là-bas une « votation » - extrêmement important, voire même capital pour l’ensemble de la planète :  si le projet du gouvernement fédéral n’est pas repoussé par une majorité de la population, la nouvelle loi sur les épidémies permettra aux autorités  d’imposer comme bon leur semble des campagnes de vaccination massives. 

Souvenez-vous : c’est exactement ce qui a failli se passer il y a quatre ans en France et en Belgique lors de la pseudo-épidémie de grippe A/H1N1.  Sous prétexte de nous prémunir urgemment d’un grand péril,  les gouvernements de l’époque avaient échafaudé des mesures spéciales prévoyant la réquisition des forces armées, la vaccination à la chaîne dans les écoles ou les casernes, et  des sanctions pour le bétail humain réfractaire. Il s’en est fallu de peu que ce scénario se réalise et que le vaccin expérimental – dont les graves effets secondaires se sont malheureusement vérifiés – ne soit inoculé de force  à des dizaines de millions de citoyens. En Suisse, la révision de la loi actuelle  représente une menace encore plus sérieuse pour les libertés individuelles :  les mots « circonstances exceptionnelles » y sont remplacés par le terme « situation particulière », donnant  tout pouvoir au Conseil Fédéral  de  déclarer obligatoire la vaccination contre une « grippe pandémique modérée » et d’édicter des mesures coercitives envers les personnes récalcitrantes  Pour la première fois dans l’histoire de  ce pays démocratiquement modèle,  la décision échapperait complètement aux cantons et le pouvoir fédéral serait lui-même dépossédé de ses prérogatives ! En effet, le texte prévoit qu’  « il y a situation particulière  si l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a constaté le présence d’une urgence sanitaire de portée internationale ».  Or, il est notoire que l’OMS fonctionne sous l’influence croissante de ses donateurs privés et de ses sponsors pharmaceutiques.  Le lobby industriel est présent à tous les échelons de l’organisation et le groupe d’experts qui détermine les phases de pandémie a de forts liens d’intérêt avec les grands laboratoires.

Attention : je ne suis pas un conspirationniste parano qui voit des grands complots partout.  Je ne crois pas, par exemple,  comme  le veut la rumeur qui circule sur la toile, que le milliardaire  Bill Gates sponsorise l’Unicef et l'OMS à des fins génocidaires , dans le but diabolique de réduire la population mondiale au profit de la géostratégie américaine, elle même inspirée par une mystérieuse oligarchie secrète. Je  pense que l’ex-patron de Microsoft est sincèrement convaincu  des  bienfaits de la vaccination et qu’il  est persuadé de faire bon usage de son argent. La  lucidité réclame  cependant de considérer l’immense pouvoir de nuisance des multinationales pharmaceutiques.  On ne me fera pas croire que leur soif de profits est totalement étrangère à la volonté  de changer la loi helvétique. En recherchant qui était à la source de ce projet de révision législative, un des comités à l’origine de la votation a d’ailleurs découvert qu’une conseillère du gouvernement suisse collaborait avec la Novartis Foundation fort Sustainable Development, dont les objectifs officiellement philanthropiques  sont pour le moins douteux.  Derrière l’offensive politique, il serait donc naïf de ne pas apercevoir la main de Novartis, dont le département commercial doit hautement apprécier cette approche autoritaire, voire totalitaire de la santé.  La vaccination de masse au moindre virus qui passe, c’est le jackpot pour Big Pharma !  

Alors, passera ou passera-pas ?  En se mobilisant, de nombreux citoyens  suisses – et parmi eux beaucoup de médecins – ont réussi à  récolter  les 80.000 signatures requises et à faire aboutir le référendum. Maintenant, il faut voir quelle en sera l’issue.  La bataille de l’information fait rage et un  débat très vif oppose les partisans de la nouvelle loi aux défenseurs de l’ancienne. Si vous voulez vous forger une opinion, je vous recommande de découvrir les arguments de ces derniers en cliquant sur le lien suivant :
http://loi-epidemies-attention.ch/fr/depliant

Ils témoignent que l’enjeu de ce 22 septembre est  crucial et que le précédent suisse pourrait préfigurer une véritable dictature vaccinale, mise en place dans ce pays pour être élargie ensuite aux pays moins démocratiques.  Si vous avez des amis helvètes,  transmettez-leur cette lettre et suggérez-leur de bien réfléchir avant dimanche : leur vote ne sera pas seulement  d’une importance majeure pour la protection de leurs libertés,  il va  enrayer ou déclencher un processus qui nous concerne tous dans ce que nous avons de plus cher : la santé !

Yves Rasir

 

PS :  merci aux internautes de partager cette lettre hebdomadaire et bienvenue aux nouveaux abonnés de notre revue mensuelle. Vous pouvez  vous abonner à  la version numérique en cliquant ici !

 

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Le  numéro 26 (septembre 2013) de  Néosanté,   revue internationale de santé globale.
couverture du numéro 26
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