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Néosanté hebdo
mercredi 07 août 2013

portrait de Yves Rasir

   Si vous  me lisez depuis un certain temps,  vous connaissez mon goût pour les calembours. Je prends surtout  plaisir à jouer avec les mots quand je conçois des titres d’articles ou que j’imagine des intitulés de rubriques. Non pas pour amuser la galerie, mais pour mieux mettre en valeur les textes qu’elles contiennent.  En créant la rubrique « Le plein de sens », dès le numéro 1 de  la revue Néosanté, je voulais précisément annoncer la couleur : cette page allait offrir un maximum d’infos sur le sens des maladies via des témoignages de décodage transmis par les lecteurs, qu’ils soient patients ou praticiens de santé.  Les premiers sont invités à partager leurs récits de guérison,  les seconds – médecins ou thérapeutes -  à nous raconter des cas cliniques issus de leur pratique.  En deux ans et demi, nous avons ainsi publié des dizaines  de  textes mettant en évidence le sens  psychobiologique de la « mal-a-dit », laquelle exprime une souffrance intérieure et ne doit rien au hasard ni à la fatalité.  Et nous en sommes très heureux !  D’abord parce que cette rubrique apporte un démenti positif aux articles de presse et aux émissions télévisées présentant la médecine nouvelle, la biologie totale et le décodage biologique comme des approches néfastes.  Au-delà des  cas isolés relatés dans les médias, nous apportons la preuve que l’exploration du « sens des maux » et de leur origine psycho-émotionnelle se solde souvent par des parcours thérapeutiques très réussis.  Et même pour des pathologies très graves, parfois considérées comme incurables par la médecine classique !  Plus réjouissant encore : cette rubrique contribue à déclencher des prises des conscience et suscite des éclairs de compréhension qui  s’accompagnent parfois de guérisons spontanées !   Nous sommes donc très contents d’avoir ouvert cet espace d’expression et de partage de décodages, dont je vais aujourd’hui vous offrir un petit aperçu : 13  témoignages choisis parmi la centaine déjà publiés.  C’est long, mais je vous incite à  lire jusqu’au bout, car je pense que le dernier témoignage  (fibrome utérin) est le plus émouvant et le plus éloquent :  il illustre à merveille que ce qui guérit vraiment, c’est la résolution pratique des conflits !
 Je remercie particulièrement le Dr Alain Scohy  et le Dr Jean-Claude Fajeau,  qui ont généreusement alimenté cette station-service  distributrice de sens. Et je remercie déjà tous les participants - médecins, thérapeutes ou particuliers -  qui vont continuer à jouer les pompistes bénévoles.  Vous désirez  découvrir leurs prochains récits ?  Je vous rappelle notre offre spéciale de l’été : l’abonnement annuel numérique à la revue Néosanté au prix  35 € au lieu de 40 €.  Si vous voulez en profiter, cliquez ici.

Yves Rasir

 

Le plein de sens

Ostéome à la hanche ( Dr Alain Scohy - Institut Paracelse -  Espagne)

Chantal, née en 1951, est venue nous consulter en avril 2005. Née avec une luxation congénitale, elle vit un accident grave à 28 ans qui implique une intervention chirurgicale sur la hanche droite. Elle reste ensuite plusieurs mois en fauteuil roulant. Ensuite, elle ne peut plus marcher qu’avec l’aide de deux cannes. Tout cela vient majorer ses problèmes. d'arthrose (usure prématurée des articulations). Elle se décide à se faire opérer à nouveau en mai 2002 et reçoit deux prothèses à 15 jours d'intervalle. L'opération est particulièrement délicate du côté gauche : elle nécessite des greffes osseuses et beaucoup d'autres “acrobaties” techniques. Dans les suites, des ostéomes se forment au niveau des capsules et des tendons qui en arrivent à souder complètement les deux articulations d'où une impotence quasi-totale des deux hanches. Le tout se complique d'une phlébite gauche en 2005.Elle présente par ailleurs une obésité assez importante. Elle nous arrive avec des béquilles. Elle souffre en plus des bras et de la main droite : elle ne peut même plus écrire. Question décodage, selon Hamer, ces problèmes de hanches relèvent d'un conflit de peur de l'acte sexuel. En effet, l'immobilisation des hanches en adduction (cuisses serrées) interdit cet acte. Les ostéomes peuvent relever par ailleurs d'un conflit de souillure avec peur d'être écartelée. La prise de poids relève d'un conflit de manque ou d'abandon. L'histoire de sa vie est significative. À sa naissance, elle est laissée pour morte et abandonnée pendant que le personnel médical s'occupe de sa mère.Ses parents se séparent et l'abandonnent quand elle a 4,5 ans. Ils se raccommodent 2 ans plus tard et elle subit alors des tentatives d'inceste de la part de son père, sous les yeux de sa mère. Elle est obligée de se taire sous peine de voir ses frères placés à l'assistance publique ! Et le “jeu” va durer des années avec des scènes odieuses où elle manque étouffer…Elle subit une première intervention sur la hanche gauche en 1962 mais fait un rejet du matériel orthopédique et doit être ré opérée quelques mois après. Lors d'un contrôle radiologique, nue et les jambes bloquées en position écartée, l'infirmière l'abandonne à la garde de son père ! C'est la terreur…Sa vie de femme continue dans le même sens. Elle est abandonnée par son premier amour. Son mari la brutalise et la néglige au profit des copains. Elle subit toutes les trahisons possibles, et les maladresses des médecins vont dans le même sens en la terrorisant un peu plus. au point de se voir carrément “écartelée”… Elle est complètement abandonnée par sa famille dans toutes ces circonstances – y compris lorsqu'un de ses fils a un accident de moto en 1994 et s'en sort miraculeusement. L'amélioration après le travail effectué ici est considérable. Chantal retrouve sa souplesse progressivement. Elle a quitté ses béquilles et n'utilise même plus de canne. Elle a commencé à maigrir. Vraiment, toute sa vie a changé…

Dépression  (B.T. – Belgique)

Je souffrais d'une dépression de naissance. Certes, je n'étais pas un grand dépressif, mais néanmoins je traînais mon mal-être avec moi quotidiennement. Une consultation  de biologie totale a suffi pour lâcher ce programme. La nuit qui a suivi, j'ai fait un grand rêve de guérison, que nous avons décodé lors de la consultation suivante. J'ai aussi compris que je devais la vie à un programme PAS D'ENFANT (car enfant = mort, misère, drame, séparation) qui trouvait son origine dans la 4ème génération (celle de mes arrière-grands-parents). J'ai remercié mes ancêtres pour la vie qu'ils m'ont donnée, malgré ce terrible programme, et j'ai décidé de prendre ma place, de prendre ma vie en main, de faire de beaux projets pour me régaler dans l'amour et le travail. Les consultations suivantes nous ont permis de préciser les conflits de territoire que j'ai vécu et qui m'ont maintenu dans la dépression. En 3 ou 4 consultations, j'ai guéri de ma vieille dépression. Je donne à présent des conférences, moi qui avant me cachais au fond de ma timidité. Bien sûr, ma guérison a été particulièrement rapide parce que je n'étais pas un novice en la matière, j'avais la certitude absolue en moi, mais néanmoins quel résultat magnifique.

Tumeur  au testicule  ( Pierre Pellizzari - Italie)

Roberto est un libraire de Naples. Il a un fils, Marco, auquel il tient beaucoup mais qui lui cause beaucoup de préoccupations car il ne parvient pas à trouver un travail stable. Une nuit, il reçoit un appel téléphonique de la police : Marco a été tué alors qu’il effectuait un vol. Roberto reste sous le choc : il ne s’y attendait pas du tout. Il est profondément déçu, il ne parvient plus à penser positivement à Marco et il commence à penser qu’il a été un père inadéquat. Après environ deux mois de souffrance et d’insomnie, il rencontre par hasard dans la rue un ami de Marco qui lui fait les louanges de son fils et en parle comme d’une personne altruiste, généreuse, toujours disponible et intelligente. Roberto en est ému et il pleure de joie toute la nuit ; il dira que ce fut comme si son fils lui avait été rendu vivant. Le lendemain matin, il n’entend pas le réveil et il dort presque toute la journée. Dans les jours qui suivent, il se sent renouvelé et la nuit son sommeil est profond. Mais six jours après avoir rencontré l’ami de Marco, il commence à sentir une douleur anormale à un testicule et il s’aperçoit qu’il est enflé. Il va chez son médecin qui lui diagnostique une inflammation et lui prescrit des antibiotiques. Une semaine après, la douleur est encore là et le testicule est plus gonflé. Son médecin l’envoie chez un urologue ; celui-ci lui fait comprendre qu’il pourrait s’agir de quelque chose de grave. Roberto rentre au magasin démotivé et triste. Pour se distraire, il trie des livres qui lui sont à peine arrivés et il trouve le livre « La Médecine sens dessus dessous – Et si Hamer avait raison ? » . Il s’arrête, le feuillette. le trouve intéressant et le met de côté. Le soir, il commence à le lire et reste frappé en découvrant que le docteur Hamer a eu exactement la même maladie que lui, et à cause du même événement : la mort d’un fils. Roberto dévore le livre en une seule nuit et il recommence à vivre en ayant compris qu’il se trouve dans une phase de guérison (NDLR. : de solution-réparation) et qu’il ne doit rien faire et qu’il n’y a aucun motif d’avoir peur. Dix jours plus tard, vers deux heures du matin, il a une intense douleur au testicule, sans que cela ne nuise à la sérénité qu’il a retrouvée car maintenant il sait qu’il a eu une « crise de guérison ». Il ne parle à personne de ses découvertes. Il laisse agir le temps. Après quelques semaines, il n’a plus aucun problème : le testicule a presque retrouvé sa juste dimension (il est légèrement plus gros qu’avant). Roberto est guéri tout seul et, depuis, il n’a plus eu aucun problème.

Elongation (M.M – Belgique)

Ma fille participait l’année dernière à un camp guide. Je le retrouve  en train de boiter, victime visiblement d’une élongation musculaire à la cuisse.  Je lui demande comment elle s’est fait ça et elle me raconte que la veille, elle a eu une grosse frayeur lors d’un jeu de nuit.  Leurs animatrices avaient surgi dans le noir et, se croyant attaquées, les filles avaient fui à toutes jambes.  Le sens biologique me paraît clair : il fallait décamper en vitesse et donc  allonger la jambe le plus possible pour échapper au danger.

Maladie de Crohn (Dr Alain Scohy - Institut Paracelse - Espagne)

Martine nous consulte en avril 2004 pour une maladie de Crohn. Il s'agit d'une iléite terminale – c'est-à-dire d'une inflammation grave d'une partie de l'intestin grêle qui évolue depuis qu'elle a 12 ans. Elle est traitée par corticothérapie et Imurel, une chimiothérapie anti-immunitaire puisqu'il s'agit, selon la médecine officielle, d'une maladie auto-immune. En médecine psychosomatique, il s'agit en fait d'un conflit d'assimilation avec construction d'un cancer en nappe tout le long de l'intestin grêle afin de mieux absorber la nourriture concrète ou virtuelle qui risque de faire défaut. Sur le plan symbolique, l'aliment à assimiler est toujours en lien avec le lait maternel et maman. Le décodage met rapidement le doigt sur le nœud du conflit : sa maman   a commencé une formation  qui l'accapare presque tous les week-ends dans un premier temps, puis pendant des périodes continues qui durent entre 15 jours et deux mois ensuite. Les premiers temps sont très durs à vivre pour Martine, elle pleure au retour de sa mère en se cachant dans sa chambre, elle a peur de gêne. La maladie – qui est le démontage de cette tumeur en nappe – commence à la Toussaint 1997, lorsqu'elle prend conscience que c'est fini : maman ne partira plus en stage, elle a terminé sa formation. Dans les préprogrammations, nous retrouvons trois évènements importants à sa naissance :
– À l'âge de 3 jours, elle s'étouffe avec des mucosités et il faut l'aspirer. Symboliquement, pour son cerveau, on lui enlève ce qui est déjà dans sa bouche, c'est-à-dire le lait de maman.
– Au 6e jour, un ictère se manifeste et elle est séparée de sa maman pour être installée dans une couveuse, sous lumière blanche, yeux bandés.
– Quelques mois plus tard, la fatigue de la maman amène le médecin à exiger le sevrage. Il se passe évidemment très mal, tant pour elle que pour sa maman.
La conscientisation et le travail de deuil de tout ceci, accompagnés d'une bonne cure de vitamine C et d'un peu d'homéopathie, amène une guérison spectaculaire et définitive en quelques mois. Bien sûr, l'Imurel est stoppé sans qu'il soit nécessaire d'y revenir. Martine va faire des séjours prolongés en Inde dans des conditions de salubrité limites, sans le moindre souci hormis celui de transporter sa vitamine C ! Elle est aujourd'hui en parfaite santé.

Cancer du poumon ( Témoignage anonyme - France)

En  1985,  un médecin m’annonçait que j’avais un cancer très avancé de la thyroïde. Les radios avaient montré des « métastases » un peu partout et surtout aux poumons : « un lâcher de ballons », comme ils disent dans le jargon de la médecine. Malgré les traitements répétés à l’hôpital Necker de Paris, mon état empirait. On me donnait 6 mois à vivre (je l’avais demandé, je voulais savoir).  Un  hasard bienheureux m’a fait rencontrer le Dr Hamer. Il m’a reçue et écoutée pendant 2h50. Etant très démunie financièrement, il ne m’a rien fait payer, m’a offert ses livres et m’a même proposé un séjour gratuit pour me rétablir sereinement dans sa clinique. Ce fut pour moi le début de ma guérison. Mon « lâcher de ballons » était dû à une peur intense de mourir de mon cancer. Cette peur me quitta dès ce jour. Quelque temps plus tard, je passai une nouvelle radio des poumons qui me confirma que je n’avais plus de « métastases », alors que je n’avais plus subi de traitement. Je n’oublierai jamais ma rencontre avec le Dr Hamer. Grâce à lui, je reste forte et je solutionne du mieux possible tous les problèmes que je rencontre. Cela fait maintenant 25 ans.

Cancer du sein ( Témoignage anonyme – France)

Vous avez eu la gentillesse de m'indiquer un thérapeute en décodage pour m'aider à guérir de mon cancer du sein. Je suis absolument sidérée de la compétence de Janine, grâce à laquelle je peux dire que je suis guérie de mon cancer.Nous sommes remontées au conflit initial en 6 séances et grâce à son professionnalisme, en plus de mon cancer, par effet ricochet, d’autres problèmes et maladies ont trouvé un sens.Je me sens libérée de tant de problèmes d'un seul coup. C'est comme si j'avais retrouvé une liberté et  une autonomie perdues depuis si longtemps. Vive la JOIE, vive la LIBERTE que procure le ressenti profond de la guérison; celle de la guérison physique mais aussi de la libération psychologique qui va avec. Merci le décodage !

Arthrose du genou  ( Marie-France Granier - Belgique)

J'ai acheté chez ma prof de yoga le premier numéro de Néosanté. Dans la rubrique le plein de sens, j'ai lu un petit paragraphe sur le genou (je/nous). Comme j'ai passé ma revue à une amie, je n'ai plus en tête le texte exact, mais peu importe, j'ai compris que les douleurs aux genoux étaient liées à un conflit entre le « je » et une autorité, devant qui finalement on plie les genoux; en tout cas un conflit je/nous. Depuis quelques années, je souffre d'arthrose au genou, il plie difficilement, j'avais des douleurs quand je marchais trop longtemps... Or depuis 4 ans maintenant, j'ai un compagnon qui vit avec moi, dans ma maison. J'ai 60 ans et ai vécu en célibataire la plus grande partie de ma vie : un homme à la maison, c’était pour moi une révolution. Tout d'un coup, je ne devais plus penser en Je mais en Nous et à certains moments c'est douloureux! Je me sentais "dépossédée" de ma maison, de mon jardin, l'impression de ne jamais faire bien assez ou en tout cas pas à sa façon à lui, qu'il considère bien sûr (sans méchanceté aucune) comme la bonne! Bref, je me laissais faire, dominer, je ne prenais plus ma place et j'en souffrais. Après la lecture de ce paragraphe dans votre revue, je me suis dit : Reprends toi! Affirme-toi et prends ta place dans l'organisation et les transformations de ta maison. Tes idées ne valent pas moins que les siennes. Alors, j'ai cessé de mettre genou en terre, je lui ai parlé de mon malaise, il a capté le message et je me suis remise à travailler pour notre maison et notre jardin avec lui. Et vous savez quoi? Je sens à peine mon genou! Je bouge, je marche, je remonte les escaliers (c'est encore un peu dur, mais quelle différence !). Comme nous avons besoin tous les deux d'exercices d'endurance, nous avons même acheté un tapis de marche que j'utilise sans problème!

Hypothyroïdie d’Ashimoto   (  C.R.  - Belgique)

Nous sommes en 2002, je me sens lourd, faible, anormalement fatigué. Mon médecin me prescrit une scintigraphie de la thyroïde à la clinique du Parc Léopold à Bruxelles. Conclusion : petit goitre diffus.  Remède conventionnel prescrit par le médecin : thyroxine 10 mg (5mg n’ayant pas eu d’effet suffisant). En février 2003, une nouvelle scintigraphie indique une situation stable. L’une ou l’autre prises de sang le confirment. En 2004, je découvre la Biologie Totale via une journée de résumé sur cette technique. Je suis emballé ! J’enchaîne avec le cursus complet de 16 jours. Lors d’une séance de cours, monsieur Claude Sabbah nous explique les « invariants ».  Bien lui en prit car il commence par l’invariant lié à la thyroïde. Mes oreilles bouillonnent d’impatience ! L’invariant de la thyroïde est « le temps ». Une énorme prise de conscience venait de m’exploser au visage. En tant que directeur du patrimoine immobilier d’une grande entreprise, je menais une vie infernale. Je ne prenais pas conscience de l’intense émotion qui me minait la vie : « le manque de temps ». J’adapte mon mode de vie, je quitte la société. Quelques mois plus tard, la prise de sang indique que la thyroïde est en ordre. Je ne prends plus de tyroxine.  Alors que cette maladie est considérée comme incurable par la médecine conventionnelle, une dernière prise de sang en juin 2006 confirme le retour à la normale. Je suis en pleine forme. Je reperds les quelques 5 kilos pris pendant cette maladie appelée hypothyroïdie d’Ashimoto. Merci la Biologie Totale, merci Claude Sabbah !

Cancer du sein   (Dr Alain Scohy- Institut Paracelse-  Espagne)

Yvonne, née en 1938, vient nous voir en octobre 2004.En juin 95, elle présente un premier cancer du sein droit pour lequel elle subit une intervention délabrante en août 1995, avec ablation totale du sein et du muscle pectoral. Le bilan anatomopathologique montre une mastose importante avec un seul foyer de carcinome intracanalaire. L'intervention chirurgicale est complétée par une radiothérapie et un traitement hormonal. En juillet 2002, 2 nodules réapparaissent au niveau du sein droit, bien que la glande ait été enlevée totalement en 1995. Elle subit alors une radiothérapie massive.En mai 2004, un petit kyste axillaire est enlevé chirurgicalement. La biopsie est négative. Mais, dans les suites, d'autres kystes font leur apparition. Ils semblent contenir du liquide. Selon le Dr Hamer, le cancer canalaire du sein relève d'un conflit de séparation de l'enfant. C'est un peu comme si la tumeur devait prolonger le sein et construire un pont jusqu'à l'enfant. Il faut savoir qu'il y a controverse ici par rapport à la latéralité. Selon le Dr Hamer, le côté droit correspond à l'enfant virtuel. Selon nous, il correspond au contraire à l'enfant réel. Les localisations axillaires ne sont pas des ganglions lymphatiques mais des vestiges de sein qui viennent prendre le relais, en particulier après l'ablation du sein. Tous les livres d'anatomie expliquent la réalité de ces lignes mammaires le long desquelles des vestiges de sein peuvent se développer si besoin. Le cancer canalaire du sein évolue spontanément vers la guérison en général, mais avec une rétraction très importante et souvent inesthétique de la glande et des tissus de voisinage. Nous pensons et espérons que la guérison sera esthétique si la malade consomme assez de vitamine C, de vitamine E et de Silice organique. Mais cela reste à démontrer ! Dans de rares cas, ils s'abcèdent mais sans pullulation de germe. Dans ces cas, la tumeur se transforme en un liquide noirâtre qui s'évacue mais ne s'infecte jamais.Chez Yvonne, le travail de décodage va logiquement tourner autour de ses trois enfants, 2 garçons d'un premier lit nés en 1958 et en 1961, et 1 fille d'un second lit née en 1973. Les deux aînés quittent la maison en 1976 puis 1977, expulsés par son 2e mari. Elle vit ces séparations très douloureusement, ça lui fait mal au cœur… Mais elle ne biologise pas à cette époque, hormis sans doute déjà par de la mastose. Par contre, quand sa fille rencontre son compagnon en février 1995, elle vit très mal la chose : elle ressent très mal ce jeune homme. La jeune fille part vivre avec son ami au mois de mai… et le cancer se déclenche en juin ! En 2002, sa fille vit une crise très grave avec son compagnon qui a frappé leurs enfants. Il est question que ses deux petits enfants soient enlevés par la DDASS ! Par la suite, sa fille fait une dépression, pense au suicide et demande à sa mère de se charger des enfants si elle passe à l'acte ! Peu après, elle absorbe des somnifères en quantité et sa mère reste une nuit à la veiller, dans une angoisse absolue, en se demandant si ce n’est pas déjà une volonté de se suicider. Les choses s'arrangent lentement et très progressivement. Dans ses préprogrammations, elle vit la mobilisation de son père – et donc la séparation – à 18 mois. Suite à une blessure, celui-ci rentre à la maison et travaille dans une usine d'armement. Quelques mois après, cette usine est mitraillée par des avions et il meurt. Elle n'a alors qu'un peu plus de 2 ans. Il semble clair que pour elle, la séparation rime avec la mort. Sur le plan de l'évolution : les deux nodules percent l'un après l'autre quelques jours après son passage à Agullana. Elle ne perd pas courage, fait des pansements, prend de la silice organique et de la vitamine C. En septembre 2005, elle est totalement guérie sans qu'il y ait de rétraction inconfortable ou particulièrement inesthétique.

Maladie de Hodgkin  -    ( Dr Jean-Claude Fajeau -Suisse)

« Protector » est un jeune homme de 25 ans, qui, au retour d’un voyage d’études lointain de six mois, se retrouve porteur de ganglions au niveau cervical. Le bilan médical fait état de ganglions au médiastin, et d’une atteinte de la rate. Le diagnostic de maladie de Hodgkin ne fait aucun doute : cancer des ganglions lymphatiques. C’est le choc pour ce garçon qui se sent en pleine forme. Dès le premier entretien, nous avons pu retrouver tous les aspects de son conflit. Le conflit de la maladie des ganglions est l’insécurité, le manque de protection par le père (d’où le surnom de ce garçon). « Protector » a été, trop jeune et trop longtemps, le confident et l’ange gardien de sa mère. Il a, peu à peu, pris la place du père auprès de la mère. Cette femme est dépressive depuis toujours. Elle a fait de multiples tentatives de suicide. Depuis la plus petite enfance, « Protector » a assisté à de multiples scènes de disputes violentes entre les parents.  Le conflit déclenchant est ce voyage aux antipodes, loin de la mère. Le stress est au maximum pour lui qui redoute une nouvelle tentative de suicide de sa mère. Il serait impuissant, si loin, à lui porter secours. Au retour de voyage, il est enfin rassuré : il ne s’est rien passé, elle est vivante. Il passe alors en phase de résolution pratique de conflit, mais il n’est pas en conscience de ce conflit. Le plus grand choc de sa vie est à 11 ans, quand, un jour, il a assisté à un acte suicidaire de sa mère. Seul avec elle, il est totalement paniqué, à son chevet en attendant le service d’urgences. Elle a fait trois arrêts cardiaques, était dans le coma. Imaginez le surstress pour un enfant de 11 ans ! Tout le reste de son adolescence, il va vivre dans la hantise de rentrer à la maison et de la retrouver morte. D’autant qu’après la séparation des parents, il va se retrouver seul avec elle. Quand il est parti pour ses études, il a vécu dans l’angoisse quotidienne. Il relisait la « culpabilité » de laisser cette femme en insécurité, sans protection.
En Projet-Sens, on retrouve un conflit d’insécurité qui va lier l’enfant à sa mère, dans une problématique de vie ou de mort. Au début de la grossesse, la mère a fait une maladie infectieuse dont le pronostic était très incertain à l’époque. La solution était une interruption thérapeutique de la grossesse, le traitement par antibiothérapie étant très aléatoire dans cette affection. La surveillance va être très rapprochée pour la mère. Quant au fœtus, on n’avait aucun moyen de savoir comment il va. C’était l’insécurité totale. La vie de l’enfant dépendait de celle de la mère. Ce qui inscrit dans le cerveau de l’enfant : « Il faut protéger la mère (de la maladie), pour sauver l’enfant (moi) ». « Protector »  était désormais sur des rails. Pour sauver sa vie, il doit protéger la mère ! C’est son besoin, son attracteur, toute sa vie en dépend.
Il y avait également un conflit programmant généalogique. Le grand-père paternel est décédé à 35 ans  avec la maladie de …Hodgkin ! Ce garçon, fils unique, était le protecteur de sa mère, depuis l’enfance, face à un père violent. Il laisse une veuve et un orphelin de 5 ans, dans une insécurité totale. La mère devait travailler pour élever son enfant. Celui-ci était livré à lui-même, sans protection de la mère et du père. La grand-mère maternelle était orpheline de mère. Son père s’est remarié avec une femme qui a été une marâtre pour l’enfant. Celle-ci était le souffre-douleur et n’était pas protégée par son père qui ne pouvait donner tort à sa nouvelle femme.
La guérison de « Protector » a été spectaculaire. Il a eu le déclic, dès notre premier entretien, quand je lui ai dit que sa vie ne pouvait plus être liée à celle de sa mère. Il a accepté que chacun doit vivre son programme inconscient, et que rien ni personne ne peut en changer le cours sans prise de conscience de ce projet inconscient. Il a tout de suite basculé, et le deuil a commencé. Il a pu avoir une discussion avec sa mère, la mettant devant ses responsabilités. Ainsi, il ne se sent plus responsable de la vie de sa mère, il ne veut plus être son protecteur. Ni celui de personne. Il a beaucoup d’amour pour sa mère, mais pas un amour dévastateur comme précédemment. Il a suivi son traitement à la lettre (c’est son choix), sachant que de toute façon, il était guéri dans sa tête. Le traitement fut d’ailleurs particulièrement bien supporté, au grand étonnement des personnes de son entourage et du corps médical. Le bilan est tout à fait normalisé, à tous les niveaux, avec un recul de 5 ans.

Polyarthrite rhumatoïde  ( Dr Jean-Claude Fajeau - Suisse)

« Peau de chagrin » est une femme de 62 ans (née en 1940), qui a déjà « survécu » à un cancer du colon et à un cancer du sein. Elle fait partie des bons résultats et des bonnes statistiques ( !) de la médecine. En effet, tout cela date de plus de vingt ans !
Par une recherche en Psycho-Bio-Généalogie, nous avons pu constater que si elle avait guéri de ses cancers, c’est que les conflits correspondant (crasse abjecte impardonnable et danger pour l’enfant du nid , j’y reviendrai à l’occasion) à ses deux maladies, avaient été solutionnés en pratique.
Quand elle me consulte en 2002, « Peau de chagrin » est atteinte depuis quelques années d’une polyarthrite rhumatoïde (PR) ou Polyarthrite chronique évolutive. Les douleurs articulaires ont commencé en 1999 au niveau des doigts, suite à une chute à vélo. On se demande bien quelle peut être la relation entre une chute à vélo sans aucune gravité et le début d’une maladie chronique !
Les douleurs vont gagner peu à peu les mains, puis les poignets, les coudes, les pieds et les épaules. Les traitements de corticoïdes, d’anti-inflammatoires et même de chimiothérapie (!) se sont succédés, en vain.
Le conflit de la PR est un conflit de grande dévalorisation par le geste. C’est une affection auto-immune. Comme toutes les maladies auto-immunes, c’est la vie au conditionnel, sous condition. Conditionnel négatif de vie ! Le geste qui peut tuer, pas toujours brutalement, parfois à petit feu. La personne détruit ses propres tissus par des auto-anticorps. Cela veut dire que pour ne pas faire le geste qui tue, le Cerveau Biologique doit détruire les articulations.
Comme pour toute maladie acquise, je cherche le conflit déclenchant (CD) qui précède, de quelques jours à quelques mois, le début des symptômes. En 1997, soit 18 mois avant les premiers symptômes, elle apprend que son mari, âgé de 60 ans, a une liaison amoureuse avec une jeune femme de 35 ans. Après quarante ans de mariage ! C’est une femme que « Peau de Chagrin » connaît bien, en qui elle avait toute confiance. De plus, elle juge que tant qu’à faire, il aurait pu trouver mieux ! Elle subit cette situation comme un choc émotionnel intense, tant c’est brutal et inattendu. Cela réveille en elle la cassette programmante BIOLOGIQUE. Comme elle me le dit spontanément,  elle aurait voulu leur « faire la peau ». En lieu et place, elle entre dans un grand chagrin. Nous verrons pourquoi, lorsqu’elle est en danger, elle relit la cassette : « Il faut lui faire la peau ».  Un an et demi après ce choc, elle fait sa chute à vélo, chute symbolique d’amour (« vélo : love »), avec léger traumatisme au genou (soumission au mâle dominant).
Comme de coutume, je passe ensuite à la recherche d’un conflit programmant. Celui-ci se situe toujours,  à mon humble avis,  entre 1 an et 6-7 ans. A six ans, en 1946, son père revient de captivité en Allemagne. Il n’avait plus donné de nouvelles. A son retour, c’est le drame. La mère est enceinte d’un deuxième enfant et accouchera trois mois après son retour ! Le mari voudrait savoir qui est le père, pour lui faire la peau. Alors que « Peau de chagrin » est heureuse de retrouver son héros de père idéalisé (elle a été élevée dans la mémoire du père, avec une photo), il ne la reconnaît pas et la rejette, elle aussi.
Il n’a jamais pardonné à la mère (le côlon), et doutera même rétroactivement de la paternité pour la première. En effet, « Peau de chagrin » ne ressemble à aucune autre sœur. Elle est la seule blonde aux yeux bleus ! Tout le reste de son enfance et adolescence, Peau de chagrin, dans sa souffrance, en a voulu à son père qui la maltraitait. Elle aurait voulu lui « faire la peau », pour se défendre. Dans la Nature animale, comme chez les lions, le mâle dominant tue un petit qui ne serait pas de lui. Evidemment cette femme a une peur et une dévalorisation qui lui ont été transmises lors de la période du Projet-Sens. « Peau de chagrin » est l’aînée des enfants du couple. Elle a été conçue avant mariage et le père va partir à l’armée peu après, et ensuite il est mobilisé pour la guerre. Il a eu une permission pour venir se marier. Il s’est senti obligé d’épouser cette femme parce qu’elle était enceinte, mais il ne l’aime pas vraiment. Il ne sera pas là pour la naissance. Le couple avait prévu de donner à l’enfant le prénom du père, au cas où il mourrait à la guerre. Il est fait prisonnier et envoyé en Allemagne. La famille n’a plus de nouvelles. Nous comprenons mieux qu’après la trahison de sa femme, il vit dans le regret de l’avoir épousée. Et c’est l’enfant qui est devenue le bouc-émissaire. Si elle n’était pas née, il n’aurait pas eu à se marier !  Lorsque « Peau de chagrin » avait trois mois, la famille a fui en exode. Elle a fait une broncho-pneumonie et elle était au plus mal, mourante. Un remède de « grand-mère » va la sauver. On la couvre avec la peau d’un lapin dépecé vivant ! C’est là qu’elle a enregistré la cassette : « Il faut lui faire la peau pour que je vive ». Quand elle est en danger, elle relit la cassette de lui faire la peau pour sauver la sienne. Conflit par le geste qui tue. Elle se souvient que toute son enfance, les parents élevaient des lapins et que c’est son père qui devait les tuer, et c’était elle qui les tenait. 
Dans cette famille, les enfants n°1 sont de père inconnu ou d’un autre homme que le mari. La grand-mère paternelle, très jeune, est enceinte d’un homme qui fuit pendant la grossesse. La grand-mère maternelle, élevée par des religieuses dans un couvent, est abusée très jeune et se retrouve enceinte. Elle épousera plus tard un homme beaucoup plus âgé qu’elle. Elle avait été abandonnée à sa naissance à la porte d’un couvent, un matin d’hiver, avec pour toute protection contre le froid, une peau de lapin !Dans la Nature, la fuite d’un mâle est un signe de faiblesse. Le nouvel occupant du territoire doit faire des petits forts pour la survie du clan et de l’espèce. « Peau de chagrin » a totalement guéri de sa polyarthrite rhumatoïde invalidante par la compréhension de son histoire. Elle a basculé au mot dérouiller. Elle a reçu tant de « dérouillées » de son père, que, pour ne pas lui faire la peau, il faut qu’elle reste « rouillée », avec un blocage des articulations. Elle s’est rendu compte que, dans sa vie, il y a eu plusieurs lapins symboliques sacrifiés pour lui sauver la vie. Elle a lâché la rancœur par la connaissance de son histoire et des Lois Biologiques. Elle a beaucoup d’Amour en elle, car elle est une enfant de l’Amour.

Cystite  ( Anne-Laure T. - France)

Suite à la lecture de l'article concernant le biodécodage de la cystite (Néosanté n° 1),   je vous fais part de mon témoignage. Je suis une jeune femme ayant été en relation avec un homme. Notre histoire d'amour a duré environ un an, et durant tout ce temps, je n'ai fait que des cystites et mycoses à répétition. Nous avons chacun fait de notre côté des examens biologiques pour tenter de résoudre ce problème. Nos résultats réciproques démontraient une absence totale de tout germe.A la lecture de l'article, j'ai eu comme un déclic vis-à-vis de la compréhension de ce qui nous est arrivé. En effet, je me sentais complètement en insécurité dans cette relation. J'avais l'impression de pouvoir le perdre à tout moment, ce qui expliquerait pourquoi je déclenchais ces  cystites (marquage de territoire). Le plus fort, c'est que lors de notre séparation, j'ai eu une crise d'énurésie  quelques jours avant que je sois totalement séparée de lui, au  moment  même où je venais de prendre un appartement. J'ai donc honteusement taché  son matelas… Je précise que je n'ai eu ce problème avec aucun autre homme, car dans toutes mes autres relations j'ai toujours été en confiance.

 FIBROME   (Jacqueline M. -Belgique)

Je ne sais pas si mon témoignage vous intéressera, mais je ne résiste pas à l'envie de vous le confier tout de même. Voici ce qui m'est arrivé. En 1999, lors de ma consultation annuelle, ma gynécologue pose le diagnostic d'un fibrome utérin. Il est énorme, de la taille de la "tête d’un bébé", me dit -elle. Elle parle de l'enlever , donc de procéder à une hystérectomie totale puisque le fibrome est bien accroché à la paroi utérine.  Dans le même temps, après huit ans de vie commune, ma compagne et moi ressentons l'envie d’avoir un enfant. Nous nous lançons donc avec ferveur dans ce beau projet: autorisation d'un comité d'éthique aussitôt acceptée, inséminations avec donneur anonyme dans un grand centre hospitalier liégeois. C’est ma compagne qui portera l'enfant car, pour moi, il est un peu tard, j'ai déjà passé la quarantaine. Pendant cette période je mets évidemment mon fibrome en suspens. Notre projet aboutit: notre petite Marion arrive en mars 2000, un vrai bonheur! Après cet heureux événement, je consulte à nouveau ma gynéco afin de faire le point sur mon fibrome et décider d'une date d'intervention éventuelle. Elle m'ausculte , il n 'y a plus de fibrome, il a disparu! Ma gynéco est stupéfaite , mais  elle me dit aussi que dans sa longue carrière, je suis son deuxième cas semblable, c' est-à-dire le cas d'une femme homosexuelle atteinte d'un fibrome utérin et qui le perd à la suite d'une naissance. Pour moi, il n' y a pas de doute (et le décodage du fibrome utérin dans le Neosanté n° 8 le corrobore), " j ' ai accouché " de mon fibrome à la naissance de ma fille. Mon désir d'enfant était assouvi.

LA RUBRIQUE EST OUVERTE

  Cette rubrique est la vôtre : que vous soyez thérapeutes ou simples particuliers, vous pouvez y déposer vos témoignages  vécus  sur le sens des maladies.  Nous ne certifions pas que les décodages publiés seront toujours  pertinents, mais nous pensons que ce partage d’expériences et de réflexions pourra profiter à ses lecteurs.  Il suffit d’envoyer vos textes  par courrier ou en format Word à l’adresse info@neosante.eu (anonymat garanti)

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Le  numéro 25 (juillet - août 2013) de  Néosanté,   revue internationale de santé globale.
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