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Néosanté hebdo
mercredi 20 mars2013

Les ravages du Pandemrix

portrait de Yves Rasir  « Irresponsable », « obscurantiste », « conspirationniste » « adepte de secte »…En tant qu’ancien rédacteur en chef du magazine Bioinfo, je me souviens des volées d’injures reçues à l’époque de la fameuse « pandémie » de grippe H1N1.  Avec d’autres, dont l’association belge Initiative Citoyenne et  l’actuel collaborateur de Néosanté Jean-Jacques Crèvecoeur, je m’étais rapidement engagé pour dénoncer cette vaste escroquerie d’une très improbable épidémie dévastatrice combattue par un vaccin expérimental aux très probables effets dévastateurs. Pour moi, il était clair dès le début que le cataclysme viral  annoncé n’aurait pas lieu et qu’en revanche, la lutte vaccinale aurait de lourdes conséquences. Sur l’inexistence du péril, les faits nous ont donné rapidement raison. Les lois de la nature sont ainsi faites qu’une maladie facilement transmissible est très rarement mortelle, et inversément. Il ne fallait donc pas être devin pour prédire que la grippe mexicaine allait faire flop.  Quant aux dangers du vaccin H1N1, les faits dépendent malheureusement de ceux qui les relatent, c’est-à-dire des vaccinateurs eux-mêmes à travers le système de pharmacovigilance. Le problème, c’est que les médecins  répugnent à rapporter les accidents post-vaccinaux, ou ne font pas le lien,  et que ceux-ci sont donc très largement sousestimés. Néanmoins, une partie de la vérité n’a pas tardé à percer.

Des milliers de vies saccagées

Dès août 2010, en effet,  les autorités de santé finlandaises, imitées bientôt par leurs homologues suédoises,  ont lancé l’alerte :  l’inoculation du  vaccin Pandemrix, fabriqué par GlaxoSmithKline (GSK),  était associée avec une fréquence élevée de narcolepsie, une maladie très handicapante qui peut provoquer une brusque envie de dormir en plein jour.   Evidemment,  le mécanisme de déni s’est mis en route  et les « experts »  sont montés au créneau pour minimiser le risque et lancer l’hypothèse que les cas observés en Scandinavie étaient liés à des particularités génétiques locales. Et bien sûr, refrain habituel, qu’il fallait d’autres études pour vérifier les premières. En attendant que celles-ci soient effectuées, l’Agence européenne des médicaments décidait cependant de restreindre drastiquement l’usage du Pandemrix en  le déconseillant aux jeunes de moins  20 ans. Bien lui en a pris, puisque le doute n’est plus permis aujourd’hui :  il y a bien une association causale entre le vaccin H1N1 de GSK  et un risque accru de déclencher une narcolepsie ! C’est en tout cas la conclusion d’une très sérieuse étude publiée fin février dans le British Medical Journal. Les chercheurs ont examiné les dossiers des enfants britanniques dont le diagnostic de narcolepsie a été établi au cours de la période où le vaccin a été administré. Des questionnaires furent ensuite envoyés à leurs médecins traitants pour s’assurer que ces enfants avaient bien reçu le vaccin Pandemrix. Les résultats indiquent que la mixture de GSK a provoqué 14,4 fois plus de cas de narcolepsie que ce à quoi on aurait normalement dû s’attendre !  Si on extrapole les chiffres de Grande-Bretagne, ce sont ainsi près de 800 enfants européens, dont de nombreux Belges et Français,  qui ont déclenché la maladie à la suite du vaccin. Pour l’ensemble du globe, le nombre de victimes s’élève à plusieurs milliers. Des milliers de vies saccagées…

La narcolepsie, ce n’est pas rien

Car la narcolepsie, ce n’est pas un petit pépin de santé éphémère, comme l’était finalement la grippette porcine. C’est un trouble neurologique incurable et  aux effets ravageurs ! Malgré un sommeil suffisant,  les personnes atteintes se sentent épuisées au réveil et sont sujettes  à la somnolence diurne.  Et dans 80% des cas,  les patients souffrent, en plus, de cataplexie : des émotions comme le rire, la peur ou la colère conduisent à une brève  perte de tonus musculaire et elles se blessent en tombant. La narcolepsie peut également provoquer des hallucinations, des paralysies, des difficultés de concentration, de l’agitation, des cauchemars, et bien sûr des irrépressibles envies de dormir :  la personne s’écroule alors qu’elle est en train de vaquer tranquillement à ses occupations.  Les gens qui en souffrent ne peuvent donc plus faire aucune activité potentiellement dangereuse, comme conduire une voiture.  Le pire, c’est qu’il n’existe aucun remède connu. La médecine prescrit généralement des amphétamines pour contrôler les symptômes, mais sans espoir de guérison.  Ces puissants médicaments peuvent à leur tour provoquer de sévères effets secondaires comme de la tachycardie, de la diarrhée, de l’anxiété, des vomissements, des palpitations, des tremblements et des épisodes maniaques.  La maladie ne semble pas diminuer l’espérance de vie,  mais les enfants atteints de narcolepsie sont condamnés à une existence gâchée…

Le squalène ? On le savait !

Pouvait-on prévoir et éviter cette tragédie ?  Bien sûr que oui !  Les chercheurs anglais ont également clarifié le fait que c’est l’adjuvant ASO4 du Pandemrix, autrement dit le squalène, qui provoque la narcolepsie.  Lors de la pseudo pandémie, les  ministres de la santé et leurs conseillers  n’ont eu de cesse de rassurer la population et de railler les inquiétudes citoyennes. Le squalène, disaient-ils, n’est rien d’autre qu’une substance huileuse présente naturellement dans le corps humain ou l’huile d’olive, et qui est extraite du foie de requin par l’industrie du vaccin.  Ils nous ont  vendu l’adjuvant comme un produit banal totalement inoffensif.  Mais qui serait assez fou  pour s’injecter de l’huile de poisson  par voie intradermique ?  Entre l’usage oral et la seringue, il y a un monde de différence. Ce n’est pas parce qu’ils sont bons pour la santé qu’on injecte du jus d’orange aux personnes dévitaminées ou qu’on transfuse les hémophiles avec du vin de Bordeaux.  Tout comme le bouillon de culture viral des vaccins,  leurs additifs doivent l’essentiel de leur nocivité à la façon antinaturelle dont ils pénètrent le corps humain et violent son système immunitaire.  Bien avant 2009, de lourds soupçons pesaient déjà sur le squalène. Aux Etats-Unis notamment, on le suspecte d’être lié au fameux « syndrome de la guerre du Golfe ».   Et contrairement à ce que racontent aujourd’hui les experts dépités qui invoquent leur ignorance d’alors,  ses effets narcoleptiques étaient déjà connus.  

Onkelinx, démission !

A mes yeux, la responsabilité politique des ministres de l’époque est  clairement engagée : Roselyne Bachelot en France et Laurette Onkelinx en Belgique. Toujours ministre de la Santé en 2013, cette dernière s’était livrée fin 2009 à une scandaleuse manipulation médiatique. Sur un plateau de télévision,  la politicienne socialiste avait sorti de son sac un pot de gélules de squalène et lancé à la cantonade : « Vous voyez bien que ce n’est pas dangereux, puisqu’on trouve même ce complément alimentaire dans les magasins bio ». Mais c’est précisément parce que cette substance naturelle est appréciée par notre corps que sa présence dans un vaccin pose problème ! Selon certains auteurs, cette affinité facilite la pénétration du conservateur chimique à base  de mercure  jusqu’au coeur des cellules, avec les dégâts que l’on devine.  Pour justifier sa politique vaccinaliste, Mme Onkelinx avait déjà caché à l’opinion que le test du vaccin H1N1 sur des cobayes humains s’était soldé par des décès suspects.   En achetant des millions de doses de Pandemrix, elle est aussi en partie à l’origine du drame sanitaire  dont l’ampleur est désormais scientifiquement démontrée.  Questions : comment fait-elle encore  pour se regarder dans la glace le matin ?  Et comment n’a-t-elle pas la décence de présenter sa démission ?  Plutôt que de poser ce geste élémentaire,  la ministre belge a pour véritable obsession d’attaquer et de détruire les Editions Néosanté.  Dans la presse et dans des réunions consacrées « aux dérives sectaires », elle n’a de cesse de s’en prendre à la médecine nouvelle et à la biologie totale,  deux approches dont elle ignore absolument tout mais qu’elle se permet de condamner sans appel.  Et elle se vante d’avoir tout fait pour interdire le symposium sur « la compréhension biologique des maladies » que nous avons organisé à Bruxelles en juin 2012, en regrettant que la justice ne l’ait pas suivie dans sa tentative de bafouer les libertés d’opinion, de réunion et d’expression.  Tactique de diversion bien connue : quand on veut échapper à sa conscience, on se cherche un bouc émissaire.  Je n’ai pas cette vocation et je ne me laisserai pas faire. Merci de m’y aider en faisant circuler cette infolettre.

Yves Rasir

disponible sur www.neosante.eu :
Le  numéro 21 (mars  2013) de  Néosanté,   revue internationale de santé globale.
couverture du numéro 19
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