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Néosanté hebdo
mercredi 13 mars2013

portrait de Yves RasirBonjour,
Il est né et c’est un beau gros bébé !  les Editions Néosanté sont  heureuses de vous annoncer la sortie  très attendue du livre LE SENS DES MAUX  n° 3, d’ores et déjà disponible dans les bonnes librairie et sur notre site, en version papier ou numérique.  Ainsi s’achève une trilogie  riche à présent de 240 articles explorant le sens  d’environ 300 maladies, états-de mal-être et dysfonctionnements.  Les trois tomes de cette œuvre forment  un équivalent d’encyclopédie  dont on peut donc désormais apprécier l’entière valeur ajoutée, tant sur le fond que dans la forme. Quitte à verser dans l’autopublicité,  nous saluons cet événement  en publiant, dans le prochain numéro de Néosanté, une interview son auteur, Bernard Tihon,  par ailleurs collaborateur régulier de notre revue mensuelle .  Mais dans l’immédiat,  nous vous offrons un extrait de ce livre, la partie du chapitre introductif expliquant de façon claire ce qu’on entend par « sens biologique de la maladie ». Je gage que cette mise en bouche vous donnera envie de dévorer l’ouvrage, voire l’ensemble des trois tomes. 

Yves Rasir

Le sens biologique de la maladie

  Le cerveau inconscient = un super ordinateur programmé en termes biologiques de survie

Nous avons la grande chance d’avoir un cerveau. L’Homme a le plus gros cerveau qui soit parmi tous les êtres vivants. Il y a d’une part le cerveau conscient, la pensée, qui en constitue une petite partie. Mais il y a surtout le cerveau inconscient, qui occupe la plus grosse partie et dont la fonction est de gouverner le corps. Chaque organe est relié à un foyer de neurones qui le dirige. Par exemple, lorsque nous courons, le foyer de neurones chargé de faire battre le cœur lui donne l’ordre de battre plus vite. Lorsque nous avons mangé, c’est tout un travail d’équipe qui se met en place dans le cerveau pour donner aux nombreux organes de la digestion les ordres adéquats pour le passage et la digestion du bol alimentaire, de l’estomac à l’anus. On pourrait comparer le cerveau inconscient à un super ordinateur, un computer encore bien plus puissant et plus performant que ceux que les hommes ont inventés.
La chose la plus importante à comprendre et qui est le cœur du cœur du sens des maux, c’est que ce cerveau inconscient, ce super ordinateur, est programmé en termes biologiques de survie. Son boulot, tout au long de notre vie, c’est de trouver des solutions pour que nous soyons en vie, instant après instant, le plus longtemps possible. Il fait des milliards de calculs, en fonction des informations qu’il reçoit de l’univers par nos sens, et aussi de notre pensée, et il en ressort des programmes de survie qu’il applique là où il peut, c’est-à-dire dans notre corps, puisque notre cerveau ne peut agir que sur notre corps et non sur ce qui lui est extérieur.
Non seulement le cerveau trouve des solutions de survie, mais en plus il ne se trompe jamais, il est parfait, il prend toujours, en fonction des informations qu’il reçoit, la bonne solution, la meilleure pour notre survie. Un exemple très simple va nous aider à le comprendre. Vous êtes en ville sur un boulevard et vous voulez traverser la chaussée. Si, lorsque vous vous engagez sur celle-ci, votre cerveau enregistre l’information qu’un bus arrive vers vous à vive allure, vous allez avoir ce qu’on appelle un réflexe de survie : votre cerveau inconscient, dans l’instant même, va donner l’ordre à vos muscles d’agir d’urgence et vous allez vous jeter en arrière pour revenir sur le trottoir que vous venez de quitter. Le bus passe et vous avez la vie sauve. Votre cerveau inconscient, car tout cela est resté inconscient, vous n’avez pas eu le temps de penser l’acte avant de le faire, a joué son rôle. Imaginons maintenant que vous êtes plus avancé sur la chaussée, vous êtes presque arrivé sur le trottoir d’en face lorsque votre cerveau enregistre le même stress : un bus fond sur vous. Vous n’allez pas avoir le même réflexe de survie car, si vous vous jetez en arrière, vous restez en danger sur la chaussée : dans ce cas, la solution qui sera donnée par le cerveau inconscient, dans l’instant même, ce sera de vous jeter en avant pour rejoindre le trottoir d’en face. Le bus passe derrière vous et vous avez la vie sauve. A chaque fois, à chaque instant, tout au long de la vie, en fonction des informations qu’il reçoit, le cerveau a toujours la bonne réaction, la seule qui soit parfaite pour notre survie.

                 La maladie = une réaction de survie du cerveau inconscient

On a longtemps cru que la maladie était une chose moche qu’on « attrape » pour Dieu sait quelle raison, une sorte de fatalité venue de l’extérieur, qui s’abat sur nous, et personne ne s’inquiétait trop de savoir pourquoi l’une faisait des angines et son voisin des rhumes. Comme si tout cela n’avait aucun sens et était dû au hasard. Or il n’y a pas de hasard. Le hasard n’existe pas. Tout a un sens car tout ce qui est vivant est gouverné par une logique de vie. Si on essayait de regarder la maladie autrement…
Puisque le cerveau inconscient dirige tout le corps et qu’il est programmé en termes biologiques de survie, chaque maladie qui arrive dans un organe du corps est donc elle aussi une réaction de survie, une solution envoyée par le cerveau inconscient dans l’organe, parce que, en cet instant-là, en fonction des informations qu’il reçoit de l’univers par nos sens et de notre pensée, il vaut mieux mettre cet organe-là en maladie pour notre survie, pour nous décharger d’un sur-stress global qui peut être mortel, pour ne pas qu’on meure d’épuisement ou par inadvertance. Et puisque le cerveau est parfait, il ne se trompe jamais, la maladie en question ne sera pas « choisie » au hasard, elle sera très précisément, avec une précision de laser, la solution parfaite au sur-stress émotionnel vécu par la personne.
Un exemple dans le règne animal, va nous aider à comprendre. Prenons un renard qui vit dans la nature sauvage. Il a tué un lièvre pour se nourrir et s’apprête à le dévorer lorsque arrive un concurrent, il avale vite un gros morceau, une patte entière sans la croquer, pour ne pas le laisser à l’autre. Notre renard va à ce moment se trouver dans une situation de grand stress : il a dans l’estomac un morceau très indigeste, il lui faudra très longtemps pour le digérer par l’action des cellules digestives et il risque de mourir d’inanition car il ne pourra plus se nourrir. Le chronomètre de la survie est enclenché. L’information arrive au cerveau inconscient et celui-ci doit réagir, trouver une solution. Quelle sera-t-elle ? La seule qui sera parfaite pour lui sauver la vie. Un rhume, une grippe, une sclérose en plaques, un cancer des poumons, une dépression,… ? Non, toutes ces solutions seraient inefficaces. Même un ulcère à l’estomac, ça ne suffirait pas. Il va avoir la seule maladie qui puisse lui permettre de digérer ce morceau indigeste rapidement, à savoir un cancer de l’estomac. On a fait des tests en laboratoire pour mesurer la capacité de digestion des cellules cancérigènes et des cellules normales de l’estomac, la conclusion est nette : les cellules cancérigènes peuvent digérer le morceau 10 fois plus vite ! Un cancer à l’estomac, c’est mettre le turbo pour digérer le morceau. Ainsi, notre renard, au lieu de mettre 40 jours, grâce à sa tumeur, il ne mettra que 4 jours pour digérer sa patte avec de l’os, des poils, des ongles, etc. Ensuite, lorsque le morceau sera passé, l’information de la solution du conflit arrivera à son cerveau, il sentira qu’il peut se réalimenter et, à l’instant même, le cerveau enverra l’ordre d’arrêter le programme « cancer » puisqu’il n’a plus de sens dans la logique de survie.
Quand cela n’a plus de sens en terme de survie, le cerveau inconscient arrête le programme « maladie » et il passe au programme « guérison ».
         

Bernard Tihon

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couverture le sens des maux 03
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