La bonne santé des enfants non vaccinés

Mon expérience personnelle de pédiatre homéopathe.

La clientèle d’un naturopathe ou d’un pédiatre homéopathe est composée de deux types de familles.

Celles qui, souvent dès la conception de l’enfant ou même avant, ont opté pour une recherche de santé plutôt que pour un recours à la médecine.

« Prévenir vaut mieux que guérir » est une attitude indiscutable, dans tous les domaines et quand il s’agit de sa santé et de celle de nos enfants, la démarche est vitale. Le thérapeute est alors un enseignant, qui a souvent vécu et pratiqué lui-même des modifications de son mode de vie, des changements alimentaires ou des jeûnes, ou encore a eu recours à un naturopathe, un ostéopathe ou un acupuncteur. On n’enseigne bien que ce qu’on a expérimenté soi-même.

Un autre groupe de familles sont celles qui sont déçues par la médecine traditionnelle et lassées des difficultés de dialogue avec les pédiatres allopathes, les abus de prescriptions d’antibiotiques ou de médicaments chimiques censés calmer l’enfant. Certains ont remarqué des effets négatifs des vaccinations et viennent car ils ont entendu parler de la possibilité de drainage homéopathique des vaccins. Il n’est pas rare d’entendre des témoignages du genre : « C’est après son vaccin qu’il a commencé à tousser » ou « depuis le vaccin, son nez n’arrête pas de couler. Et les enfants de la voisine, qui n’ont reçu aucun vaccin, ne sont jamais malades, ou alors cela dure au maximum deux jours ».

Etudes tout autour du monde

Elles sont nombreuses et j’en cite un bon nombre dans mon petit livre.
L’étude espagnole de nos amis membres du efvv porte sur 314 enfants non vaccinés suivis pendant vingt-cinq ans (1975-2000), en bien meilleure santé que la population en général. Elle met en évidence le profil des familles en question, observant une majorité d’accouchements naturels à la maison ou en maison de naissance, un allaitement prolongé, l’utilisation de thérapies douces en cas de maladies et un apprentissage à l’autogestion de la santé.
A propos du profil des familles vaccinant peu, d’autres statistiques montrent également chez les mères un niveau social et d’éducation plus élevé et l’appartenance à des professions touchant à la santé. Le profil des pères n’est pas significatif. En Italie, on note que ce sont des italiennes, et non des femmes immigrées.
Les médecins, c’est bien connu, vaccinent moins leurs propres enfants que leurs clients, et la proportion de ceux qui ont des doutes sur le programme vaccinal est importante.

Un groupe de pédiatres a étudié 14.893 enfants d’écoles Steiner de cinq pays (Autriche, Allemagne, Hollande, Suède et Suisse) en comparant la santé des enfants élevés dans le style de vie des anthroposophes avec un groupe témoin. Ces enfants sont moins vaccinés que la population générale et ont donc encore l’occasion de « faire leurs maladies d’enfance ». Ils se portent mieux que les autres.

Un autre grand groupe d’enfants peu ou pas vaccinés est constitué par la clientèle du groupe médical Homefirst à Chicago, où travaillent des pédiatres élèves de Robert Mendelsohn , un grand ami d’Ivan Illich. On n’y trouve que très peu d’enfants asthmatiques ou autistes.

Et il y a bien sur la fameuse étude de Dan Olmsted chez les Amish de Pennsylvanie.

Pourquoi les enfants non vaccinés sont-ils en meilleure santé que les vaccinés ?

La réponse est multiple, citons trois points importants.

  • Pour les problèmes cérébraux et neurologiques, la faute est le plus souvent imputable aux adjuvants et métaux lourds contenus dans les vaccins, toxiques pour le système nerveux.
  • Des impuretés contenues dans les vaccins, tel l’ADN étranger, créent des réactions immunitaires de défense contre les propres éléments du corps, base des maladies auto-immunes (sclérose en plaques par exemple).
  • Pour l’asthme et autres réactions allergiques, il est évident que le système de réponse immunitaire est malmené par les vaccins. Le corps humain se défend naturellement contre les germes naturels grâce à la peau et aux muqueuses, alors que les germes vaccinaux sont introduits directement dans la circulation sanguine. De plus, la nature n’a pas prévu de nous mettre dans la situation de nous défendre contre 3, 6 ou même 9 microbes différents le même jour. Les défenseurs de la vaccination mesurent le taux d’anticorps sanguins spécifiques pour juger de l’efficacité d’une vaccination, mais ce n’est de loin pas le seul facteur d’immunité, car l’immunité cellulaire, très importante, ne peut être facilement mesurée.

Utilité toute relative des vaccins proposés ou imposés à nos enfants…et leurs dangers

La diphtérie est absente de nos pays et facilement traitée par les antibiotiques ; le tétanos touche principalement les vieillards, et il n’a jamais été prouvé scientifiquement que le vaccin soit efficace (la maladie elle-même n’est pas immunisante) ; la polio a disparu de nos pays, et son vaccin comporte des dangers ; le vaccin contre la coqueluche est inefficace et dangereux ; le bénéfice du vaccin contre l’Hemophilus est discuté et certains parents croient abusivement qu’il protège contre toutes les méningites ; quant à l’Hépatite B, maladie d’adulte entre toutes, c’est le comble du ridicule de l’imposer à des bébés.
Nous avons déjà parlé dans un précédent article de cette revue de l’aberration de vacciner contre les maladies d’enfance. Nous renvoyons aussi les lectrices et lecteurs à notre article sur l’autisme, le vaccin ROR et Andrew Wakefield .
Les dangers peuvent être amoindris en retardant au maximum l’âge de la vaccination. Une étude récente sur plus de 10.000 enfants montre qu’à l’âge de 7 ans, le nombre d’enfants asthmatiques est de moitié moins important si la première injection du vaccin DiTePer est retardée. Lorsqu’en 1975, le Japon décida de retarder l’âge des vaccinations à 2 ans plutôt que 2 mois, les taux de mortalité infantile diminuèrent fortement. La « mort subite » du nouveau-né, souvent liée au vaccin contre la coqueluche est une des causes fréquentes de décès dans la première année de vie. Une récente étude confirme ce fait : la mortalité infantile à un an, dans les pays riches (Etats-Unis en tête), est proportionnelle au nombre de vaccins imposés aux bébés.

L’étude KIGGS

Le 26 octobre 2010, sur la chaîne de télévision allemande Alpenparlament TV fut diffusée une interview d’Angelika Kögel, à propos d’une étude concernant la santé de plusieurs milliers d’enfants allemands de 0 à 17 ans. Il faut signaler qu’en Allemagne la vaccination n’est pas obligatoire, mais bien sur « fortement recommandée ».
Il est certain que le but des très officiels responsables de cette étude n’était pas de démontrer l’excellente santé des enfants non vaccinés, mais ils avaient compté sans l’astuce d’une mère de famille dont un des enfants avait été touché par un vaccin : Angelika Kögel, mathématicienne, statisticienne et responsable en Allemagne d’une association d’information sur les vaccins.

Voici des extraits du témoignage courageux et original d’Angelika Kögel

« De 2003 à 2006, la plus haute instance de santé allemande, l’Institut Robert Koch, a réalisé une grande étude sur la santé physique et mentale de 17641 enfants et adolescents âgés de 0 à 17 ans. On avait demandé aux enfants et à leurs parents de remplir au préalable un long questionnaire. Un médecin les interrogeait ensuite et procédait à une analyse de sang et d’urine des jeunes concernés. Les carnets de vaccination furent copiés quand ils existaient. On disposa ainsi pour chaque participant de 15 000 données, ce qui représente au total 26 millions d’informations.
J’étais très curieuse de connaître les résultats, car déjà à ce moment je savais que les vaccinations seraient concernées par cette étude. Un an après que l’étude soit terminée, les résultats en furent publiés dans un double numéro du Journal de la Santé, sur plus de 900 pages, ainsi que dans 200 communications scientifiques. La relation entre le statut vaccinal et la santé était complètement laissée de côté dans ces études et le thème souvent discuté publiquement « les vaccinations déclencheurs d’allergies » ne fut même pas mentionné.
Il était officiel que les données brutes de cette étude seraient mises à disposition des gens intéressés dans un dossier Internet ouvert au public. Je fus très satisfaite de pouvoir commander au début 2009 une copie de la banque de données et je travaille sur ces documents depuis le printemps 2009. Dès la première publication de mes résultats en 2009, je fus violemment attaquée par l’Institut Koch. Ils déclaraient que mes conclusions étaient grossièrement erronées, ma manière de procéder incorrecte et qu’aucun lien de cause à effet publié par moi n’était exact. Une interprétation contradictoire devait être publiée par eux au milieu de l’année 2010 dans la revue spécialisée « Deutches Aertzeblatt », mais cela n’a pas été le cas jusqu’ici.
Le lecteur averti peut deviner pour quelle raison une des plus hautes autorités de santé allemandes a attaqué d’une manière aussi peu éthique et sans fournir la preuve de ses allégations une personne qui accomplit un travail d’information honnête et soigné. Ceci me conforte dans mon opinion que nous arrivons à une époque où les dégâts causés par une industrie pharmaceutique avide de gain et ses hommes de main ne pourront plus être dissimulés.
Mon analyse de l’étude KIGGS n’a pas été facile. Des réponses précieuses concernant les vaccinations avaient été retirées des données globales à la fin de l’enquête, réponses qui auraient permis de mieux différencier les enfants volontairement peu ou pas vaccinés de ceux qui n’étaient pas encore vaccinés pour cause de maladie ou de négligence. Je pus cependant déjà retirer de ces maigres indications des premières conclusions montrant clairement que, dans cette très vaste enquête, on peut trouver des résultats importants concernant la meilleure santé des enfants et adolescents non vaccinés.
Lors de la première conférence que j’avais organisée en 1997 sur les dangers des vaccinations, un médecin homéopathe expérimenté avait rapporté que ce n’est qu’après l’introduction de la vaccination antivariolique qu’on avait commencé à décrire les symptômes du rhume des foins. L’étude KIGGS montre également que les enfants vaccinés comparés aux enfants non vaccinés ont presque deux fois plus souvent une névrodermite (dermatite atopique), plus de deux fois plus souvent un rhume des foins, et cinq fois plus souvent une allergie au nickel. Si l’on pouvait retirer du groupe des enfants non vaccinés ceux qui ne le sont pas à cause d’une maladie, les différences seraient encore plus grandes. Il est regrettable aussi que la proportion d’enfants pour lesquels les indications quant aux vaccinations manquent totalement dans soit si important (7%). On peut supposer que se cachent dans ce groupe des enfants sciemment peu ou pas vaccinés. Pour éviter des démêlés désagréables avec les médecins de l’enquête, des parents ont manifestement refusé de donner les indications concernant les vaccinations. Cette attitude des parents est compréhensible, car les médecins faisaient pression sur les parents, directement sur le lieu de l’enquête pour qu’ils fassent les vaccinations manquantes. Les parents des enfants non vaccinés ne connaissent que trop bien ce chantage à la peur et cette mise sous pression. Mes analyses fourniront pour eux un puissant argument de prudence quant aux vaccins.
Les différences dans les taux de vaccination montrent clairement que la décision vaccinale est souvent un processus tout à fait conscient et qu’il y a de nombreuses possibilités intermédiaires entre être totalement vacciné ou pas du tout. Ces chemins individuels sont cependant de plus en plus difficiles à suivre pour les parents car on ne trouve actuellement dans le commerce que des vaccins combinés qui ne laissent plus que le choix entre un refus total ou une vaccination complète.
Des 17641 participants à cette enquête, 217 n’étaient pas vaccinés contre le tétanos, maladie encore la plus redoutée de la plupart des parents. Si l’on extrapole le taux des enfants et adolescents non vaccinés de notre étude à tous les enfants d’Allemagne âgés de 0 à 17 ans, il y en a plus de 100 000 qui ne sont pas vaccinés contre le tétanos. Malgré cela, et depuis des décennies, il n’y a eu aucun décès dû au tétanos dans ce groupe d’âge. Les rares enfants qui chaque année, d’après les statistiques des hôpitaux, contractent cette maladie (entre 0 et 4 enfants par an), sont traités avec succès. Le statut vaccinal des enfants malades n’est pas connu. Il y a certainement parmi les malades des enfants vaccinés.
On trouve dans cette enquête 1779 enfants qui avaient déjà reçu plus de 30 vaccins, cachés bien sûr dans des vaccins combinés. En moyenne, les 0 à 17 ans avaient eu près de 23 vaccins.
L’analyse de cette étude confirme aussi que les vaccins précoces et nombreux nuisent au développement du cerveau et favorise en particulier l’apparition de troubles de comportement tels que l’hyperactivité.
Si les enfants vaccinés ont plus souvent des allergies et des déficits dans le développement du cerveau, sont-ils au moins, ensuite, mieux protégés contre les maladies infectieuses et grâce à cela, en meilleure santé ?
Au contraire, la réceptivité aux maladies infectieuses augmente à cause des vaccins. Plus les enfants ont reçu de vaccins, plus ils sont réceptifs aux maladies. Du point de vue de l’industrie pharmaceutique, c’est un effet secondaire des vaccinations tout à fait souhaitable car on crée ainsi de nouveaux marchés pour les médicaments traitant les infections. Les enfants vaccinés sont aussi plus souvent affectés par les maladies graves comme des pneumonies et des otites de l’oreille moyenne.
Plus de 5% des enfants vaccinés ont un diagnostic de scoliose, déformation ou déviation de la colonne vertébrale suite aux atteintes neurologiques vaccinales. Dans le groupe des enfants non vaccinés, aucun cas de scoliose n’a été observé.
Les thérapeutes et les parents attentifs et expérimentés observent ces liens de causalité depuis des décennies. Il n’est donc pas étonnant que le nombre d’enfants vaccinés dans une famille soit inversement proportionnel au nombre de frères et sœurs. Les enfants non vaccinés ont en moyenne, selon leur classe d’âge, jusqu’à un tiers de plus de frères et sœurs.
Il est plus facile aux mères ayant un meilleur niveau d’éducation de comprendre les informations concernant le thème des vaccinations car elles sont souvent rédigées dans un langage spécialisé difficile. Plus le niveau d’étude des mères est élevé, moins on vaccine. Je ne considère évidemment pas les mères dont le niveau scolaire est plus bas comme moins responsables, mais je regrette vivement l’absence d’une information critique sur les vaccins à la portée de tous.
Le niveau d’étude des pères paraît par contre n’avoir aucune influence sur la décision de vacciner les enfants. Je peux malheureusement confirmer cette réalité en me souvenant des nombreuses conférences que j’ai données pendant ces quatorze dernières années, où les pères ne constituent qu’une toute petite proportion du public. Je souhaiterais de tout cœur que la décision de vacciner ou de ne pas vacciner soit prise par les deux parents.
D’autres facteurs influençant la santé des enfants et des adolescents n’ont pas été retenus dans cette étude. Les parents anxieux font vacciner leurs enfants davantage et plus tôt et vont plus souvent chez le médecin. Cette anxiété rend les enfants particulièrement réceptifs aux maladies. La peur des parents et des médecins est la plus mauvaise conseillère imaginable et une mauvaise base pour élever des enfants indépendants et résistants à tous points de vue.
La diffamation des enfants non vaccinés et de leurs parents doit immédiatement cesser, ainsi que les obligations vaccinales. Les parents raisonnables et informés ne font pas vacciner leurs enfants ni ne les laissent être vaccinés! »

Etudes futures et conclusion

Lancée par l’équipe d’un naturopathe de Suisse alémanique, une étude internationale basée sur un questionnaire est en cours, touchant en été 2012 plus de 11000 enfants non vaccinés. Les résultats partiels recoupent largement les chiffres publiés par Angelika Kögel. Il suffit aux parents d’encoder simplement les initiales de l’enfant, dans le respect de son anonymat. Voici le lien vers le questionnaire en ligne: http://www.vaccineinjury.info/vaccinations-in-general/health-unvaccinated-children.html (pour le français, passer la souris sur le i bleu).

La quatrième conférence publique sur les vaccinations organisée les 2 et 3 octobre 2009 aux Etats Unis par le « National Vaccine Information Center » créé par Barbara Loe Fischer avait réuni plus de quarante experts internationaux dans le domaine des vaccins (aspects scientifiques, politiques, juridiques et éthiques). Un fonds international de 100 000 dollars y a été constitué pour des recherches scientifiques à propos de la santé des enfants vaccinés ou non et pour identifier ceux qui sont à risque d’être lésés par les vaccins. Cette étude prévue sur dix ans évaluera également les mécanismes biologiques des effets secondaires des vaccinations.

Aux Etats Unis, une instance officielle “The Institute of Medicine”, organisation faisant partie de la “National Academy of Sciences”, va lancer une étude comparative entre la santé des enfants vaccinés et non vaccinés, en y incluant les opinions du public au sujet des programmes de vaccination recommandés (ou plutôt imposés) par le gouvernement . Il faut espérer que les chercheurs seront honnêtes, et que si leurs résultats sont inquiétants pour l’establishment, ils ne disparaîtront pas aux oubliettes !

L’équilibre des forces entre la toute puissante industrie pharmaceutique et la masse grandissante des « dissidents des vaccinations », Goliath contre David, est-il en voie d’être menacé ? Le colosse aux pieds d’argile va-t-il s’écrouler ?
Des lueurs d’espoir pointent à l’horizon, mais restons vigilants.
Il nous paraît de plus en plus évident qu’une des mesures de santé publique la plus efficace serait…de bannir à jamais toute vaccination !

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Un commentaire

  1. Les vaccins détruit le système immunitaire pour le remplacer par un système artificiel que j’ai lu et c’est vrai pour moi car je suis en présence de petits enfants de 9 mois à 5 ans après chaque vaccination l’enfant est malade

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