Une galette royale

Yves Rasir

Il y a tout juste un an, je n’en menais pas large :  le vol d’une enveloppe contenant des dizaines de chèques nous avait mis en grande difficulté financière. Grâce à votre soutien, nous avons cependant maintenu le navire à flot.  Il y a 6 mois, j’étais à nouveau inquiet pour notre survie : je venais de découvrir que Google étranglait notre site  en nous déréférençant et que Facebook censurait nos publications en manipulant ses algorithmes.

Mais rien n’y fait : tous ces vents contraires ne nous empêchent pas de garder le cap et de continuer à publier notre « revue internationale de santé globale » axée sur le sens psychobiologique des maladies.  Mieux : un taux de réabonnement très encourageant m’a récemment permis de recruter une jeune journaliste pleine de talent pour réaliser des enquêtes et reportages.  Si cette nouvelle collaboratrice a été surprise du premier sujet que je lui proposais,  elle a cependant  relevé le défi avec brio.  Son article est paru dans le Néosanté de juillet-août  et il  porte sur la « placentophagie », autrement dit sur  la consommation de cet organe qui nourrit le fœtus pendant le séjour utérin mais qui est généralement jeté à la poubelle des maternités comme un vulgaire déchet.

Contrairement à ce qu’on pourrait croire, manger le placenta n’est pas une excentricité de stars hollywoodiennes mais un geste sensé qui est courant dans le monde animal et présent dans plusieurs traditions humaines, notamment la médecine chinoise. Et si le placenta était un véritable alicament ? Après tout, son étymologie renvoie  au mot latin signifiant « gâteau » ou « galette », et c’est  un concentré de  précieux nutriments. Au cours de ses recherches, Viviane a également découvert que le placenta était aussi utilisé en cataplasme au siècle dernier par certains médecins. Selon un témoignage retrouvé, l’application de ce « remède » sur des plaies dangereusement  infectées permettait de les cicatriser efficacement ! En guise de bienvenue à notre nouvelle plume, je reproduis ci-dessous son premier et passionnant « papier ».

Je ne doute pas que cet article vous donnera envie de lire les prochains et c’est pourquoi j’ai prolongé (voir « offre de la semaine »)la promotion de 25% sur les nouveaux abonnements à la version imprimée de Néosanté. Le lectorat supplémentaire nous permettra d’améliorer encore notre contenu rédactionnel et de vous étonner encore en explorant des sentiers de santé naturelle peu fréquentés, cette audace étant en quelque sorte notre marque de fabrique.  

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Un commentaire

  1. Bonjour,
    J’ai commencé ma carrière d’infirmière au début des années 80. Je me souviens d’un chirurgien qui soignait les plaie nécrotique ou infectée : 1/ au sucre pour décaper, 2/au « pérentérol » (entérol, peut-être aujourd’hui?) si profonde, et 3/pour la cicatrisation, nous appliquions des morceaux de placenta que nous découpions et congelions, en direct de la maternité; Cela donnait de bons résultats. mais ça ne rapporte pas grand chose au firmes sans doute? Il est à noter qu’à l’époque, les placentas n’étaient pas jetés, mais conservés au congélateur et je crois que c’était vendu aux firmes pharmaceutiques, sans doute pour en faire des crèmes cicatrisantes ou de beauté? Donc, oui, ce genre de pratique était assez courante, je pense? Même si je en l’ia plsu vue appliquer nulle part ailleurs ensuite

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