Un lundi au soleil

Vous avez passé un bon congé de Pentecôte ?  Le mien fut des plus agréables. Les samedi et dimanche, j’organisais pour la troisième fois ce que j’appelle un « séminaire de vaccination naturelle ». Il s’agit en réalité d’un week-end de détente pour « complotistes », c’est-à-dire pour gens normaux ayant compris que cette crise sanitaire n’en est pas une et qu’il s’agit de résister à la bouffée délirante totalitaire, pour reprendre l’expression de Louis Fouché ou Ariane Bilheran. Le principe, très simple, est de se réunir à une vingtaine dans une grande maison à la campagne et de prendre du bon temps (repas conviviaux, balades en forêt, soirée au coin du feu, musique, danse, échanges de hugs…) dans l’irrespect absolu des règles liberticides et parano-pasteuriennes. La consigne est au contraire d’oublier les gestes barrières, de tomber bien évidemment le masque et de se rapprocher socialement et physiquement.  Pas de gel hydro-alcoolique  à disposition et les seules bulles autorisées sont celles des  vins effervescents de nos apéritifs festifs. Cette façon de stimuler notre immunité en s’amusant et en créant du lien est apparemment très efficace car aucun des participants à mes séminaires n’est jamais tombé malade. Rentré à Bruxelles dimanche soir, je me suis réveillé lundi matin  en constatant que le ciel était vraiment bien belge – c’est-à-dire très chagrin –  et que le fond de l’air était plus que frais. Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous mais moi, je trouve que le réchauffement climatique devient de plus en plus pénible. Dans la foulée du mois d’avril, le mois de mai est bien parti pour battre tous les records de froid. Bref, je n’avais pas très envie d’aller me  promener sous la pluie et je suis resté devant mon ordinateur pour visionner quelques vidéos. Comme je n’ai pas le temps de regarder toutes celles qu’on m’envoie par courriel ou  que je  reçois via les réseaux sociaux,  je procède à l’instinct,  au feeling, en cliquant un peu au hasard. Ce tri intuitif m’a rarement déçu et je suis généralement très content de ma sélection aléatoire. Ce fut particulièrement le cas avant-hier. Les quatre vidéos que j’ai visionnées lundi m’ont beaucoup plu et ont même ensoleillé ma journée. Elles m’ont donné le sentiment  que les vérités étaient en train de percer et que le camp de la résistance avait désormais en main toutes les armes informatives pour confondre les menteurs et faire un sort à la dictature covidiste. Voici les quatre pépites audiovisuelles qui ont transformé une journée morose en vrai lundi de Pentecôte, autrement dit qui m’ont donné  encore plus envie de sourire à la vie et de convier les « covicroyants », comme les surnomme un ami complotiste, à lâcher leurs peurs et à abandonner leurs œillères.
 
 Festival de lucidité
 
La première vidéo que j’ai regardée est l’interview de l’avocat Fabrice Di Vizio par le jeune et talentueux journaliste de France-Soir qui a relayé Richard Boutry à la barre du Défi de la Vérité.  Le successeur  de Ricardo m’a épaté car tout en étant clairement favorable aux idées de son invité, il ne lui a pas servi la soupe et a même cherché à le mettre en difficulté, voire à l’envoyer dans les cordes. Il n’y a pas meilleure manière d’interviewer quelqu’un qu’on aime. Je n’avais  encore jamais vu  à l’œuvre  Maitre Di Vizio, cet homme de loi petit en taille mais grand par son art oratoire. Quel  régal de l’entendre,  quel festival d’intelligence et de lucidité ! Certains pourront lui reprocher d’avoir l’ironie féroce, le verbe parfois perfide et l’accusation volontiers assassine. Moi, j’adore ceux qui appellent un chat un chat et un gros con un gros con. « Dans tout avocat, dit un moment le plaideur, il y a un anarchiste qui s’ignore.. ou qui ne s’ignore pas ». C’est à ce genre d’anar qu’on devra certainement une bonne part de notre future victoire. Ce qui m’impressionne beaucoup chez lui, c’est qu’il exprime rarement une opinion personnelle et qu’il se contente le plus souvent de poser des questions en confrontant ses adversaires à leurs contradictions.  La dialectique socratique, ça le connaît. Brandir les standards de l’OMS, des textes de la Commission Européenne ou des recommandations de la HAS pour dénoncer l’incohérence de la gestion politique, c’est pour le moins habile. À coups de métaphores judicieuses et de citations bien choisies, l’avocat du Pr Didier Raoult met aussi en évidence toute la « débilité » des décisions imposées depuis un an par les autorités « voulant appliquer des méthodes communistes à des problèmes individuels »  et « confondant santé et santé publique », laquelle n’est pas du ressort des médecins et leurs instances. Non content de ne pas manier la langue de bois en taxant  les gouvernants  et certains conseillers scientifiques d’ « abrutis », l’as du barreau développe des raisonnements touchant au rivage de la philosophie, voire à celui de la spiritualité. Dans le regard pétillant de ce faux misanthrope amoureux des chevaux, il me semble avoir perçu une sincère passion pour la fraternité et une foi  vibrante  dans un dessein divin pour l’être humain. Difficile d’épingler les moments forts de cet entretien  de plus d’une heure mais je vous suggère d’aller à la minute 36 pour écouter la distinction que fait l’avocat entre la peur – une émotion toujours mauvaise conseillère et l’instrument préféré des dictateurs – et la prudence qui est « une vertu  cardinale et une disposition de l’âme ». Je retiens aussi un adage qui revient trois fois dans ses propos : dans une société authentiquement démocratique,  « la liberté est la règle et la police l’exception ». Lorsque ce principe  de droit est inversé, il est indéniable qu’une démocratie ne mérite plus de revendiquer ce statut.
 
 
JDD chez Didier Raoult
 
Déjà ravi par le brio de Me Di Vizio, j’ai ensuite cliqué, sans le savoir,  sur un lien menant à la conférence qu’a donnée le 21 mai  Jean-Dominique Michel à l’IHU de Marseille. Je suis un grand fan de l’anthropologue suisse spécialisé dans les questions de santé. Avec Didier Raoult, son hôte du jour, il est le premier à avoir alerté sur une « déconnexion de la réalité » et  sur le  récit médiatique « halluciné » d’une banale épidémie virale. Devant les collaborateurs de l’infectiologue marseillais, JDD a brossé un excellent résumé de l’année folle que le monde a traversée, en égrenant les principales perles de bêtise, de non-sens et de déraison dont ont fait preuve les gestionnaires de la crise sanitaire. À l’instar de l’avocat, l’anthropologue n’y va pas de main morte  et  n’use pas de mots faibles : pour lui « la doxa du covid » a fait « basculer dans la barbarie » et a conduit à « l’effondrement des principes éthiques en santé ». Et à l’image de Fabrice di Vizio, Jean-Dominique Michel s’appuie sur des sources et des références incontestables pour argumenter. Par exemple, à partir de la minute 35, il dénonce  « la corruption systémique » de la science médicale en se référant à des documents émanant de l’ONU, de la Commission Européenne, du parlement britannique et… des plus grands journaux médicaux.  En 20 ans, souligne-t-il, les labos pharmaceutiques ont fait l’objet de 944 procédures judiciaires aux USA et ont dû payer 56 milliards de dollars d’amendes. Les frais de la corruption et de ses conséquences pénales sont intégrés dans le « business model » des labos fonctionnant comme une véritable mafia.  Ce que j’aime particulièrement chez JDD, c’est que sa lecture de la crise actuelle s’élargit en critique radicale d’un système médical favorisant la maladie au détriment de la santé. Il a inventé le terme de « salutogenèse » pour désigner un nouveau paradigme qui stimulerait des comportements et des soins vertueux au lieu d’alimenter un marché pathogénétique. Santé et salut, c’est la même étymologie, rappelle-t-il malicieusement et avec beaucoup d’à-propos. Des moments forts dans cette allocution télévisée ? Chacun y trouvera des passages intéressants selon ce qu’il sait ou ne sait pas déjà. Pour ma part, j’ai apprécié la courte mais lumineuse explication donnée en toute fin de conférence (minute 48)  sur la différence statistiquement cruciale entre « risque réel » et « risque relatif ». C’est important car c’est en brandissant le risque relatif que les manipulateurs  font croire que le covid est une nouvelle peste et que les bénéfices de la campagne vaccinale  sont supérieurs à ses dangers. Renouer avec les calculs de risque réel, c’est se rendre compte que la réalité est doublement autre que ce qu’on nous raconte. Dans cette vidéo, j’ai aussi appris quelque chose que je ne savais pas et qui m’a ébahi : la principale étude sur laquelle se fondent les virocrates et leurs larbins politiciens  pour imposer la distanciation sociale  remonte à 2006 et elle compte parmi ses auteurs une adolescente de 14 ans ! C’est assez vertigineux d’apprendre qu’un des piliers de l’idéologie covidiste a été co-cimenté par une gamine prépubère par ailleurs probablement très mal dans sa peau puisqu’elle n’est déjà plus de ce monde. Je serais vraiment curieux de connaître les causes et circonstances de son décès, à cette Greta Thunberg de la transition biophobique….
 
 
Ré-information massive
 
La troisième vidéo qui a éclairci mon lundi  de pluie,  c’est la 6ème visioconférence  du CSI , le Conseil Scientifique Indépendant mis en place par l’association Réinfo-Covid. Dans ce sixième épisode, il y a bien sûr quelques interventions toujours aussi brillantes du Dr Louis Fouché, cheville ouvrière de cette initiative de ré-information massive. On y retrouve aussi la microbiologiste Hélène Banoun, qui remet  les pendules à l’heure sur ses compétences en virologie et dont l’intervention consiste à montrer l’incapacité des tests PCR à servir de baromètre épidémique fiable.  Ce n’est pas la première fois qu’un tel dézinguage du dépistage génétique est accompli mais c’est un ouvrage qu’il importe sans cesse de remettre sur le métier puisque la mystification continue de plus belle. Via  la réduction des cycles d’amplification, on cherche maintenant à nous persuader que la vaccination porte ses fruits et qu’elle est à l’origine du reflux de contaminations. Mais dans ce sixième « sommet » public du CSI, ce sont surtout les deux premières interventions qui m’ont réjoui. La première met à l’avant-plan  mon  chouchou  parmi les  scientifiques « rassuristes », le statisticien Pierre Chaillot. Je vous ai déjà plusieurs fois recommandé les capsules de sa chaîne Youtube « Décoder l’éco » et je ne peux que vous inciter  à suivre sa mini-conférence où il résume toutes ses recherches.  Non, la grippe covid n’a pas été plus meurtrière qu’une grippe saisonnière un tantinet sévère ! Il y a eu un excès de mortalité en 2020 mais cela résulte d’une évolution démographique naturelle et d’une inadéquation structurelle du système de soins à  répondre au vieillissement accéléré de la population. On peut tirer l’échelle, le mythe du fléau infectieux dévastateur ne résiste pas aux analyses chiffrées de Pierre Chaillot. L’intervenant qui suit,  se faisant appeler Surya, je vous avoue ne pas le connaître et ne pas savoir de quelle planète il débarque. Mais c’est aussi un jeune gars doté  d’une  évidente intelligence, de connaissances impressionnantes et d’une faculté extraordinaire à les vulgariser.  Intitulé « introduction à la pharmacovigilance vaccinale », son exposé est à mes yeux capital car il démontre que le système de surveillance des accidents post-vaccinaux est nul et non avenu : sauf exception rarissime, il est  strictement impossible d’imputer à un vaccin  ses suites dommageables. La méthode scientifique étant ce qu’elle est, la pharmacovigilance NE PEUT PAS faire ressortir un lien de causalité indubitable, faire clignoter les signaux d’alerte  et donc orienter à bon escient  la politique sanitaire. Un génocide vaccinal peut avoir lieu en ce moment qu’il faudrait encore des mois pour s’en apercevoir ! Au terme de son Power Point, j’étais encore moins repentant d’avoir raconté la semaine dernière l’histoire dramatique de Laetitia et d’avoir fait le lien avec le vaccin sans en avoir la preuve. La collecte de témoignages et le relai des récits sur les réseaux sociaux sont les meilleurs moyens de remuer les consciences  et de briser l’omerta sur la tragédie en cours. (*)
 
Le pavé de Pierre
 
Dernière et beaucoup plus brève, la quatrième vidéo qui m’a scotché sur ma chaise de bureau n’est  toutefois pas la moindre. C’est un coup de gueule de 7 minutes lancé sur Youtube par Pierre Barnérias, le réalisateur du film Hold-Up. Ce documentaire, je ne l’avais pas porté aux nues à sa sortie. À mon sens, il privilégiait trop l’hypothèse  du virus trafiqué et  la thèse de la machination  mûrement préméditée. Néanmoins, j’avais beaucoup apprécié qu’un cinéaste ose enfin proposer une autre narration de la pandémie et donne la parole, entre autres « rassuristes », à l’épidémiologiste Laurent Toubiana. La semaine dernière, j’ai eu la chance de déjeuner avec Pierre Barnérias, de passage à Bruxelles. C’est un type très sympa, qui ne  se la ramène pas, modeste malgré des airs un peu narquois, et très à l’écoute de ses interlocuteurs. C’est un vrai passionné de vérité qui a vraiment à cœur de comprendre et de mieux informer. Sa vidéo du 23 mai, c’est un gros pavé dans la mare,  ou plutôt un double pavé  constitué par deux documents officiels. Provenant de Santé Publique France, le premier confirme que la très grande majorité des victimes de l’épidémie ne  sont pas mortes du covid mais bien de leurs comorbidités.  On veut vacciner toute la France alors qu’ à peine 14.000 décès  français peuvent être, d’un point de vue pourtant pasteurien,  attribués à la seule action  d’un virus ! Le deuxième document est un avis discrètement rendu le 7 mai au gouvernement français par le Conseil d’Orientation  de la Stratégie Vaccinale.  Cet aéropage vaccinaliste préconise à présent une « vaccination en anneau », autrement dit l’injection systématique pour toutes les personnes ayant été en contact avec un sujet infecté, ou même avec le « premier cercle » d’un individu contaminé. C’est la stratégie qui a été utilisée à l’époque pour éradiquer la variole.  Cela veut dire clairement que les conseillers du gouvernement préconisent de rendre le vaccin obligatoire pour les réfractaires puisqu’il suffira d’avoir croisé un parent d’une personne positive pour être obligé  de subir l’inoculation.  Certains refuseront encore la piqûre ?  Les stratèges y ont pensé et recommandent  dans la foulée « une quarantaine stricte et surveillée» pour les rebelles. C’est quoi, ça, sinon un appel à ouvrir des camps d’internement ou à créer  des prisons pour y enfermer les opposants à la vaccination ? Ce n’est pas un fantasme conspirationniste mais un projet qui se devine en creux dans ce document accablant estampillé « Ministère de la Santé ».  On  y est, les fous furieux qui nous dirigent ou ont l’oreille des dirigeants arrivent à l’acmé de leur délire liberticide. Le coup de gueule de Pierre n’a pas gâché mon lundi car je me suis dit que son cri de colère ne pouvait pas ne pas réveiller les moutons endormis.  Il y a 15 mois, je parlais déjà de traquenard vaccinal. Aujourd’hui que le piège se referme, il me paraît inéluctable que les yeux s’ouvrent et que la révolution se mette en marche.  Ce samedi 29 mai, les amoureux européens  de la liberté se donnent rendez-vous à Bruxelles pour une grande manifestation d’opposition à la dictature covidiste. On vous y attend nombreux ! 

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