Parades à l’empoisonnement

S’il connaissait mon ami S., mon ami N. en serait sûrement très jaloux. Mon ami S. vient en effet d’apprendre une excellente nouvelle suite à une prise de sang de routine: il possède des  anticorps contre le sars-cov-2 et a donc reçu  son « passeport sanitaire » (un QR Code) attestant qu’il s’est récemment guéri du covid. Lui, « le complotiste » têtu qui ne porte jamais le masque, même dans le métro, ne  s’est  jamais fait trifouiller le nez pour un test PCR et ne s’est bien évidemment pas fait vacciner, a désormais  tout loisir de voyager et d’aller où bon lui semble. Comme il n’avait pas pris de vacances cet été, il envisage de profiter de son sésame pour aller prendre un peu de bon temps en Espagne. Il n’y croisera pas mon ami N. car ce dernier  a encore échoué à se faire contaminer ! Depuis un an et demi, cet autre  complotiste adorant les voyages cherche en effet à « attraper le covid » pour obtenir un test sérologique positif  et pouvoir ainsi traverser les frontières sans encombres. Chaque fois qu’il  a vent d’un « cas confirmé » dans son entourage, il se précipite pour l’embrasser, boire dans le même verre que lui et respirer ses postillons à pleins poumons. Mais rien n’y fait, il ne développe pas de symptômes et ses analyses sanguines restent désespérément vierges de réponse immunitaire. Histoire de forcer le destin – attention âmes sensibles s’abstenir – , mon ami N. a même poussé l’expérience jusqu’à  prélever des glaires de personnes malades et à s’en badigeonner les narines et la gorge ! Peine perdue car il ne parvient décidément pas à contracter cette grippe  pourtant réputée hautement contagieuse. Tandis que mon  ami S., qui ne se souvient même pas d’avoir fait un peu de fièvre, l’a « chopée » sans s’en rendre compte et dispose maintenant de ce qu’il appelle lui-même un « pass nazitaire ». Avouez que le sort fait un peu fort dans l’ironie et qu’il aurait pu inverser les rôles pour plus de justice…
 
Coque-vide et vagues vaccinales
 
Si je vous raconte cette double anecdote, c’est bien sûr pour illustrer le fil rouge de ma lecture de la crise depuis le début : il n’y a pas de pandémie virale. Pour autant qu’il existe et en dépit de son hypothétique manipulation en laboratoire, à Wuhan ou ailleurs,  le  « nouveau » coronavirus n’a rien à voir avec les pertes humaines qu’on lui impute. Tout ça est une gigantesque opération « Psy Op » (opération psychologique)  conçue dans d’obscures officines,  planifiée par la mafia  pharmaceutique et orchestrée à grand renfort de manipulations statistiques. Le covid est avant tout une grande coque-vide dans laquelle on a mis toutes les grippes et pneumopathies diverses, ainsi que l’explique encore un médecin italien dans cet article : en Italie, il y a eu  officiellement 5.000 décès en moins en 2020 par cancer du poumon ! C’est une preuve de plus qu’on nous a roulés dans la farine et que le prétendu fléau infectieux mondial est principalement une valse des étiquettes diagnostiques rendue possible par la fumisterie de la technologie PCR.  Mais attention : comme l’a fait remarquer très tôt l’essayiste Lucien Cerise, il faut toujours un fond de vérité pour mystifier les foules. Le 11 septembre 2001, c’est vrai que les deux tours jumelles se sont effondrées. Et depuis bientôt deux ans, c’est vrai qu’il y a des pics de mortalité légèrement anormaux à divers endroits du globe. À Néosanté, nous avons la ferme conviction que ces vagues de décès sont étroitement liées à l’administration de vaccins. Pour nous, la dite « première vague »  de mars-avril 2020 est la rançon quelque peu décalée de campagnes antipneumocoques et antigrippales automnales. Nous avons développé et étayé cette thèse dans nos numéros 100 et 103 du mensuel. Il y a un an, la deuxième vague s’est produite juste après la vaccination des aînés contre la grippe, une troublante « coïncidence » que nous avons soulignée dans un dossier publié en janvier (Néosanté N° 107). La troisième vague de ce début d’année ? Il faut être sacrément de mauvaise foi pour ne pas avoir remarqué sa concomitance avec l’arrivée des vaccins covid. La quatrième vague est  déjà en cours et elle sera probablement très haute cet automne qui va voir se conjuguer la vaccination corona et la vaccination influenza. En Belgique, les autorités prévoient même d’inoculer massivement la souche  grippale (dont elles nous disent pourtant qu’elle  a très  peu circulé dans l’hémisphère Sud) en même temps  que la 3ème dose covid. Les fanatiques de la seringue sont vraiment fous à lier !
 
Tous les antidotes connus…
 
Reste la question : l’humanité est-elle la cible d’une guerre biologique ou d’une attaque chimique par injections interposées ?  Le toxique qu’elles contiennent et disséminent  chez les non-vaccinés est-il la protéine spike ou  l’oxyde de graphène ? Ou un cumul  des deux ? À mes yeux, la piste de l’empoisonnement aux nanoparticules graphéniques n’a rien de fantaisiste. Dans l’enquête très fouillée de Dominique Guillet , que je vous recommande pour la troisième fois de lire, vous découvrirez que la toxicité  de ce matériau pour les cellules est solidement établie et que l’industrie médicale ne répugne toutefois pas à l’employer. La semaine prochaine, se déroule d’ailleurs une « Graphene Week »  sous les auspices de la Commission Européenne et en présence de  fabricants de vaccins. Il n’est pas sot d’imaginer que certains labos ont anticipé la généralisation de cette technologie  « disruptive », comme disent les technolâtres, et que le poison est  déjà présent depuis un certain temps dans les fioles, en plus d’être un composant de certains masques faciaux. C’est ce venin chimique qui serait la véritable cause des symptômes covidiens et non un virus même pas isolé dans les règles de l’art ni inculpé dans  le respect des protocoles de Koch. Et c’est la couronne moléculaire  de l’oxyde de graphène qui serait prise à tort pour une ceinture de protéines pointues. Comment s’en  protéger  ? Ce ne sont heureusement pas les solutions qui manquent car la pharmacie de la nature regorge de substances anti-oxydantes. Dans la foulée de ses investigations toxicologiques, Dominique Guillet  a encore fait un boulot fantastique en répertoriant tous les minéraux, vitamines et plantes pouvant faire office d’antidotes à l’oxyde de graphène. Je vous invite à consulter et conserver  ce précieux document car  l’information circule très vite et les herboristeries sont déjà en partie dévalisées. Chez leurs fabricants, certains compléments alimentaires sont également en rupture de stock et il vaut mieux en faire provision si vous en trouvez. 
 
… et trois remèdes méconnus
 
Ce que je pourrais reprocher à Dominique Guillet,  c’est de snober un tantinet la naturopathie. Le fondateur de Kokopelli (et  avant ça pionnier des élixirs floraux en France) a tendance à privilégier les ordonnances et à négliger les facteurs naturels de santé pouvant également remédier à un empoisonnement. Le jeûne, par exemple.  C’est un moyen très puissant de stimuler l’autophagie, de tonifier les émonctoires et de détoxiquer un organisme. L’année dernière, une amie thérapeute a soigné ainsi sa vieille maman  covidée  et pourtant porteuse de comorbidités. Une semaine plus tard, elle était sur pied. Et l’activité physique, n’est-ce pas le meilleur des médicaments ? Dans cette étude parue récemment dans Plos One, une vingtaine de scientifiques de haut niveau font état que les formes sévères de covid sont associées à une déficience de la réponse immunitaire médiée par la prostaglandine E2.  Or  si  la sécrétion de cette hormone peut être  facilitée en se supplémentant en taxifoline, elle est surtout épuisée par la sédentarité  et fabriquée à foison à la faveur de la pratique d’un sport.  Les auteurs de l’étude  recommandent dès lors l’exercice régulier pour prévenir les formes graves de la maladie. Samedi, j’ai eu la grande joie de rejouer au football après un an d’interruption. Mon équipe de minifoot m’a expulsé parce que je ne suis pas vacciné mais celle sur grand terrain n’est pas aussi parano et m’a permis de taper le ballon.  Sur l’herbe et dans le vestiaire, j’ai cependant côtoyé de près des injectés Pfizer et – hasard ou pas – j’ai encore dû me relever la nuit suivante pour me vidanger copieusement les intestins. Pas sûr que mon corps aurait si bien réagi sans l’effort préalablement accompli !   Dans sa liste de parades à l’empoisonnement, Dominique omet également de mentionner l’argile, remède naturopathique par excellence des encrassements toxiques. Depuis le début de l’épidémie, le Dr Jade Allègre signale qu’elle obtient de très bons résultats chez les patients à qui elle prescrit l’argilothérapie par voie interne. Vu qu’elle est sans doute la meilleure experte du monde en cette matière, le recours  à la terre argileuse  me semble également de bon aloi pour résister à l’offensive vaccinochimique déguisée en calamité infectieuse . Préparons-nous aux grandes turbulences prophétisées naguère pour cet automne  (et avec un grand sourire aux lèvres) par un dénommé Bill Gates….

PS : en ce 15 septembre, journée funeste pour la France  puisqu’elle marque l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale pour les soignants, je vous suggère vivement de lire l’infolettre de mon confrère Xavier Bazin intitulée « jour de deuil »Il y mentionne notamment   la création, par le nouveau syndicat Liberté Santé, d’une caisse de solidarité  pour soutenir financièrement  les réfractaires . Plus d’infos en cliquant ici : https://www.syndicat-liberte-sante.com/don/       

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