Ostéome à la hanche

Chantal, née en 1951, est venue nous consulter en avril 2005.
Née avec une luxation congénitale, elle vit un accident grave à 28 ans qui implique une intervention chirurgicale sur la hanche droite. Elle reste ensuite plusieurs mois en fauteuil roulant. Ensuite, elle ne peut plus marcher qu’avec l’aide de deux cannes. Tout cela vient majorer ses problèmes. d’arthrose ( usure prématurée des articulations ). Elle se décide à se faire opérer à nouveau en mai 2002 et reçoit deux prothèses à 15 jours d’intervalle. L’opération est particulièrement délicate du côté gauche : elle nécessite des greffes osseuses et beaucoup d’autres “acrobaties” techniques.
Ensuite, des ostéomes se forment au niveau des capsules et des tendons qui en arrivent à souder complètement les deux articulations d’où une impotence quasi totale des deux hanches.
Le tout se complique d’une phlébite gauche en 2005.
Elle présente par ailleurs une obésité assez importante.
Elle nous arrive avec des béquilles. Elle souffre en plus des bras et de la main droite : elle ne peut même plus écrire.
Question décodage, selon Hamer, ces problèmes de hanches relèvent d’un conflit de peur de l’acte sexuel. En effet, l’immobilisation des hanches en adduction ( cuisses serrées ) interdit cet acte. Les ostéomes peuvent relever par ailleurs d’un conflit de souillure avec peur d’être écartelée. La prise de poids relève d’un conflit de manque ou d’abandon.
L’histoire de sa vie est significative.
À sa naissance, elle est laissée pour morte et abandonnée pendant que le personnel médical s’occupe de sa mère.
Ses parents se séparent et l’abandonnent quand elle a 4,5 ans. Ils se raccommodent 2 ans plus tard et elle subit alors des tentatives d’inceste de la part de son père, sous les yeux de sa mère. Elle est obligée de se taire sous peine de voir ses frères placés à l’assistance publique  ! Et le “jeu” va durer des années avec des scènes odieuses où elle manque étouffer…
Elle subit une première intervention sur la hanche gauche en 1962 mais fait un rejet du matériel orthopédique et doit être réopérée quelques mois après. Lors d’un contrôle radiologique, nue et les jambes bloquées en position écartée, l’infirmière l’abandonne à la garde de son père  ! C’est la terreur…
Sa vie de femme continue dans le même sens. Elle est abandonnée par son premier amour. Son mari la brutalise et la néglige au profit des copains. Elle subit toutes les trahisons possibles, et les maladresses des médecins vont dans le même sens en la terrorisant un peu plus, au point de se voir carrément “écartelée”…
Elle est complètement abandonnée par sa famille dans toutes ces circonstances – y compris lorsqu’un de ses fils a un accident de moto en 1994 et s’en sort miraculeusement.
L’amélioration après le travail effectué ici est considérable. Chantal retrouve sa souplesse progressivement. Elle a quitté ses béquilles et n’utilise même plus de canne. Elle a commencé à maigrir. Vraiment, toute sa vie a changé… Institut Paracelse –  Girona

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