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Néosanté hebdo
mercredi 13 mai 2015

Un autre regard sur les allergies

portrait de Yves RasirC’est la saison : celle des allergies, et aussi de la floraison d’articles de presse qui vont aborder la question des allergies.  À  juste titre, les journaux de médecine naturelle vont vous expliquer qu’il existe des moyens de soigner les allergies sans faire appel à des médicaments classiques,  lesquels ne font que réprimer les symptômes tout en instillant des effets secondaires, parfois lourds et sévères.  Savez-vous, par exemple, que beaucoup d’antihistaminiques provoquent de la sécheresse buccale et que celle-ci favorise les caries dentaires ? Ce n’est franchement pas malin de ruiner la dentition des enfants en voulant leur éviter quelques éternuements printaniers.  Comme nous l’avons naguère expliqué dans Néosanté, il existe pourtant une façon très simple de réduire les réactions allergiques, à savoir un changement des habitudes alimentaires allant dans le sens de ce que préconise le modèle paléo.  Vous pouvez retrouver  l’article d’Yves Patte sur « l’assiette hypoallergénique » en cliquant ici. Moi qui suis né allergique et qui ai souffert très longtemps de plusieurs formes d’allergie (rhume des foins, eczéma atopique, crises d’asthme…), je peux vous garantir que l’amélioration a été spectaculaire dès que j’ai suivi la voie diététique impliquant notamment l’élimination du gluten et de la plupart des laitages.

  Mais vous savez que Néosanté s’intéresse surtout aux causes réelles des maladies. Et  que contrairement aux autres revues de santé -  conventionnelles ou non -, nous sommes en désaccord  profond avec le paradigme pasteurien qui envisage le système immunitaire comme un dispositif militaire chargé de refouler des assaillants. Avec celui des  pathologies infectieuses, le thème des allergies illustre clairement ce qui nous différencie des médias de masse et des autres journaux alternatifs : ces derniers continuent à considérer que les allergènes (acariens, pollens, poils d’animaux , etc)  sont des ennemis que l’immunité a pour mission de repousser, le phénomène allergique étant en quelque sorte l’expression de ce combat.  Pour nous, c’est une vision puérile et dépassée,  rendue obsolète par les découvertes du Dr Hamer sur l’origine psycho-émotionnelle des maladies.  L’éclairage de la médecine nouvelle et de la biologie totale permet de comprendre très différemment les manifestations allergiques, qui sont en réalité des phases de réparation de conflits de séparation.  L’allergène naturel n’est donc pas un agresseur – l’être humain a  d’ailleurs vécu pendant des millions d’années en harmonie avec son environnement -  mais un élément contextuel  mémorisé par le cerveau archaïque et qui réveille l’émotion conflictuelle d’une séparation douloureuse.  Le but biologique étant, évidemment, de nous aider à en guérir.  Dans notre mensuel, nous  avons déjà plusieurs fois développé cette vision novatrice , notamment à travers un « grand décodage » rédigé par le Dr Salomon Sellam, en avril 2012. Vous pouvez y accéder gratuitement et le (re)lire en cliquant ici.

Malheureusement, notre travail informatif demeure  trop confidentiel. Et puisque tous  les autres magazines – de médecines douces ou de médecine dure -  « tartinent » chaque année la même couche d’allergophobie,  le grand public est encore plus persuadé que la cause de ses tourments allergiques se trouve dans la fleur respirée, l’animal caressé ou la poussière remuée.  Il faudra encore des années pour faire progresser l’intelligence du vivant et éveiller les consciences au  (bon) sens des maladies.  Bien qu’il  y ait déjà beaucoup contribué, le Dr Jean-Claude Fajeau  est de ceux qui persévèrent et  qui cherchent à corriger la  compréhension erronée du phénomène allergique.  Il m’a envoyé un article dont je vous livre l’essentiel ci-dessous.  Le texte commence par un petit « coup de gueule », mais il  se poursuit  par une explication  instructive et un récit de guérison très éloquent. Une version plus longue, illustrée d’autres exemples et cas cliniques, sera publiée dans le Néosanté du mois de juin. Je vous en souhaite  une bonne lecture et vous encourage à le diffuser tous azimuts. Vive le printemps et son bon air, avec ou sans gêne !

Yves Rasir

PS :  Grâce à vous,  les éditions Néosanté  sont en bien meilleure santé financière qu’au début de l’année.  Mais gaffe à la rechute !  Histoire de consolider notre convalescence, continuez à nous prodiguer vos soutiens fortifiants, dont la plupart ne sont pas sonnants et trébuchants et peuvent même vous faire gagner de l’argent !

LE PHÉNOMÈNE ALLERGIQUE

Lecteurs de Néosanté, vous êtes probablement aussi lecteurs d’autres revues ou infolettres alternatives qui apportent souvent de bons conseils. Malheureusement, ces supports véhiculent aussi des erreurs fondamentales sur la médecine et la santé. Elles continuent ainsi à entretenir ou à créer des peurs chez de nombreuses personnes.

C’est le cas notamment en ce qui concerne les microbes, avec cette psychose paranoïaque entretenue, notamment envers les dangereuses salmonelles transmises par les œufs ! Rendez-vous compte de l’effet produit chez les personnes déjà pas mal angoissées par les maladies quand elles lisent ce genre d’affirmations : « La salmonellose est une grave maladie provoquée par une bactérie appelée salmonelle. Elle commence par de la diarrhée, de la fièvre, puis de terribles crampes abdominales. Le calvaire dure environ une semaine. Mais certaines personnes ne guériront pas toutes seules. Une hospitalisation est indispensable. Car les bactéries, après avoir proliféré dans l'intestin, rejoignent la circulation sanguine, provoquant une infection généralisée et la mort du patient. » Rien n’est plus faux, et je vous renvoie au très important article de notre ami Alain Scohy dans le n° 44 de Néosanté sur les microbes.

Aujourd’hui, je ne vous parlerai pas des maladies infectieuses. Je veux revenir sur ce que vous avez aussi pu lire dans ces revues ou sur internet concernant le phénomène allergique. Classiquement, il y a allergie quand on a un contact avec un allergène (« à l'air gêne » : il y a de la gêne dans l’air). C'est une affection qui est très fréquente, touchant 25% de la population mondiale. En fait, c’est bien plus que cela,  car tout le monde est plus ou moins soumis à ce phénomène « allergique » ! Et vous allez comprendre pourquoi.

En fait, tout se passe majoritairement de façon symbolique ou imaginaire dans les allergies. Il y a différents degrés dans l’allergie. Depuis le simple éternuement ou la petite démangeaison, en passant par l’urticaire plus ou moins étendu, et cela peut aller jusqu’à l’œdème de Quincke et même le choc anaphylactique. En Psycho-Somatologie, « l’allergie » correspond TOUJOURS à la SOLUTION de conflits de séparation à des personnes, des animaux, des lieux, etc. Il y a eu rupture de contact.

Lors de ces séparations, en phase active de conflit, le sujet souffre en « silence » de la séparation, dans son esprit. Et au niveau organique, il fait des ulcérations au niveau de la peau ou des muqueuses concernées.

Tous les symptômes se manifestent dans la phase de conflit résolu : démangeaisons (peau, yeux), éternuements suivis d'écoulements (nez, sinus), toux (trachée) pouvant aller jusqu‘à l’asthme.  Tous ces symptômes évoquent le rejet vers l'extérieur (extériorisation). C’est donc lorsqu’on retrouve l'objet du désir ou du conflit que la réparation des lésions se produit et que cela rebouche grâce aux œdèmes : eczémas, rhinites, trachéites, sinusites, conjonctivites. C'est ce que j’ai donc appelé le conflit de retrouvailles (puisque les signes se manifestent lors de ces retrouvailles). Soit à l’objet du conflit, soit à l’objet du désir. Dans les séparations avec peur de perte de contact physique, la cible est la peau ; dans les séparations avec puanteur, c’est  le nez, les yeux et les sinus ; celles avec conflit de territoire, la trachée (asthme trachéal).

C’est une petite fille « allergique » aux poils de chat qui m’a donné l’explication logique et la conclusion que « l’allergie », ça n’existe pas au sens de rejet, de quelque chose de nuisible, de dangereux.  L’intervention du système immunitaire n’est en rien responsable de ce phénomène, contrairement à ce qui est affirmé. Il y a bien une réaction immunitaire, non pas pour rejeter quelque allergène que ce soit, mais pour informer le sujet qu’il n’a pas fait le deuil ce certaines situations de séparation.

Que s’est-il passé pour cette petite fille de 7 ans « allergique » aux poils de chats depuis toute petite, sous forme de rhinite et de trachéite asthmatiforme ? Elle a déjà fait des cures thermales, et présente toujours ses crises dès qu'elle est en présence de chats. Et pourtant, elle les aime, les chats.  Très tôt, vers deux ans, ses parents lui ont offert un petit chat, qui était devenu son compagnon. Cette relation est très affective.

Puis, deux ans après, elle a quatre ans et un petit frère est né. Les parents ont décidé de se séparer  du chat, par peur pour le bébé. On ne juge pas les peurs des gens, chacun ses croyances. La petite fille en a été triste de ne plus voir son chat bien aimé, « remplacé » par le frère. Et son allergie a débuté très vite en présence du frère. Elle est officiellement allergique aux poils de chat, mais c’est la présence du frère qui symbolise la séparation.  Quand elle est en cure thermale avec sa mère, sans le frère resté avec le père, elle ne fait aucune crise. Naturellement, puisqu’elle n’est plus en contact avec lui. Mais dès le retour à la maison, les retrouvailles provoquent les crises. Elle est donc bien « allergique » au « frère-chat » !

Et elle l’aime son petit frère, autant qu’elle aimait son chat. Elle comprend alors le mécanisme et me dit : « Mais alors, c'est idiot d'être allergique à ce que l'on aime ».
Je lui réponds qu'elle a parfaitement compris la démonstration et qu'elle va donc guérir très vite.

Quelques jours plus tard, elle est avec ses parents chez des amis qui ont deux chats. Encore un peu « coincée », elle dit à sa mère : « Maman, tu crois vraiment que je peux jouer avec les chats » ? La mère, qui n'a plus de doute sur la Psycho-Généalogie, lui répond : « Tu sais bien ce qu'a dit M. Fajeau, ça n'existe pas, l'allergie ».L'enfant a alors joué avec les chats et n'a plus de phénomène d'allergie ! Voilà le beau cadeau que peuvent nous faire les enfants !

                                                                                Jean-Claude Fajeau

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Le  numéro 45 (mai 2015) de Néosanté, revue internationale de santé globale.
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