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Néosanté hebdo
mercredi 19 février 2014

portrait de Yves RasirDepuis qu’existe cette infolettre hebdomadaire,  j’ai joué franc jeu et je vous ai plusieurs fois dévoilé sa principale raison d’être, à savoir vous  donner l’envie de découvrir nos publications, et principalement notre périodique Néosanté.  En guise d’ « hameçon » pour tous les lecteurs  de NéoHebdo qui ne sont pas (encore) abonnés à la revue mensuelle,  je vous ai déjà offert, parfois en primeur, de nombreux articles des journalistes et chroniqueurs qui la remplissent chaque mois.  Aujourd’hui, je m’aperçois que je ne vous ai pas encore  vanté l’existence de la rubrique « Sentiers de santé »,   animée par notre ami et collaborateur Jean-Jacques Crèvecoeur.  Etrange oubli, car ces deux pages présentes depuis le tout premier numéro et  situées  désormais au centre de la revue  en sont un des grands atouts, voire  le premier d’entre eux !  Parmi les abonn(é)es de la première heure ,  beaucoup ont d’ailleurs découvert Néosanté sur le conseil de Jean-Jacques Crèvecoeur. Et parmi tous ceux qui nous ont rejoints en cours de route,  beaucoup l’ont fait surtout pour suivre ses écrits.

Faut-il vous présenter cette personnalité d’origine belge et installée maintenant au Québec ? Licencié en physique et en philosophie de l’université de Namur, Jean-Jacques Crèvecoeur a longtemps travaillé comme consultant en gestion des ressources humaines et en résolution des conflits pour de grosses entreprises. Mais de fil en aiguille, il est devenu aussi un spécialiste de l’épanouissement personnel, puisque le bien-être et les performances au travail dépendent également des satisfactions de la vie privée.  Et comme celle-ci ne peut être heureuse si la santé est défaillante, Jean-Jacques s’est intéressé progressivement à la médecine, à ses dérives et  à ses alternatives, ainsi qu’à l’émergence de la nouvelle médecine psychosomatique.  Formateur et conférencier internationalement reconnu, il est l’auteur d’une dizaine d’ouvrages, réalisateur de films documentaires et producteur de nombreux outils pédagogiques au service, comme il le dit,  « de l’ouverture  des cœurs des consciences ». Son maitre-mot ? L’autonomie !  A travers toutes ses activités et productions, il promeut une approche pluridisciplinaire de l’être humain pour redonner du sens à la vie et pour favoriser chez chacun la prise en main de sa propre vie, de manière autonome et responsable.  Depuis quelque temps, il a cessé d’animer les  multiples conférences et séminaires qui l’ont fait voyager très souvent aux quatre coins de la francophonie.  Mais c’est par la magie d’internet qu’il continue à s’adresser à un plus vaste public qui peut, confortablement installé à la maison, suivre ses ateliers et ses stages de formation.  L’an dernier, Jean-Jacques Crèvecoeur a carrément créé une Académie de la Vie en Mouvement, qui enseigne à distance par ordinateur interposé. Pour sa première rentrée, en 2013, cette école virtuelle  fut véritablement prise d’assaut par des centaines d’élèves  originaires du monde entier. Le succès fut tel que son directeur, un peu dépassé, a dû embaucher d’urgence des assistants et construire une annexe de bureaux  à son domicile ! La deuxième rentrée académique a lieu le 22 mars prochain et les inscriptions sont d’ores et déjà ouvertes. Si cela vous tente, vous pourrez bientôt visionner, en cliquant ici,  plusieurs vidéos gratuites qui  vous donneront une idée la qualité de la formation dispensée. Pour ma part, je suis absolument certain que ses étudiants  sont ravis et enchantés d’être sur les bancs internautiques de cette académie unique en son genre.

Car Jean-Jacques Crèvecoeur est un homme exceptionnel que je connais plutôt bien, et depuis fort longtemps. Début des années 80, en Belgique,  nous avons accompli en même temps, durant 20 mois,  notre service civil d’objecteurs de conscience. Et en  tant que réfractaires au service militaire, nous suivions  ensemble des formations à l’action non-violente, entrecoupées de débats et de séances de libre parole. Je peux vous dire que le jeune universitaire namurois était certainement le plus brillant d’entre nous. Avec son bagage déjà volumineux de physicien, de futur  philosophe et d’épistémologue des sciences, il subjuguait son auditoire par l’étendue de ses connaissances et  surtout par son talent de vulgarisateur hors-pair.  Pour tout dire, même la physique quantique nous semblait simple lorsqu’il se risquait à nous en décrire les implications révolutionnaires ! Après la quille, j’ai continué à suivre de loin le parcours et les activités de J-J C. Via les 32 articles qu’il a déjà publiés dans Néosanté, il en a déjà relaté quelques moments forts, notamment les persécutions dont il fut victime de la part des autorités belges et la guérison « miraculeuse » de son cancer du cervelet consécutif à ce grand stress. Mais je peux vous certifier qu’il a encore beaucoup de choses à raconter et d’expériences à partager. Par exemple, il n’a pas encore raconté son expérimentation de l’instinctothérapie il y a 30 ans, ni ses visites dans un ashram en Inde,  ni  encore son vécu d’un  très long jeûne total. Il n’a pas encore évoqué, non plus, le grand combat qu’il a mené en 2008 et 2009 pour dénoncer la pseudo pandémie de grippe porcine et la  scandaleuse manipulation politico-médicale  qui a  failli déboucher sur une vaccination massive obligatoire des populations occidentales. Sans lui et sa croisade solitaire, peut-être que cette grande escroquerie sanitaire aurait pu réussir !   Bref, je peux vous assurer que J-J C n’a pas fini de nous passionner en prenant mensuellement la plume et  que la rubrique « Sentiers de santé » possède avec lui un super  guide de randonnée…

Fière et heureuse  de compter Jean-Jacques Crèvecoeur parmi ses contributeurs, la revue  Néosanté lui octroie logiquement une place en vue dans sa médiathèque.  C’est ainsi que nous commercialisons  trois de ses livres  et les six DVD qu’il a produits et réalisés  jusqu’à présent. Vous les trouverez, sur notre site,  dans les différentes catégories de la  boutique.    Parmi ces outils d’information,  il y a un film (« Seul contre tous ») et  un livre (« Le langage de la guérison »)  que je suis particulièrement content de diffuser.  Le premier relate la vie et l’œuvre du Dr Ryke Geerd Hamer,  dont Jean-Jacques fut un des premiers à saisir l’importance des découvertes et à en vérifier la pertinence.  Le second, préfacé à l’époque par le Dr Claude Sabbah,  fut à sa sortie -  et demeure toujours - ,  une excellente introduction à la biologie totale des êtes vivants.  Laquelle, faut-il le rappeler, se fonde largement sur les concepts de la médecine nouvelle hamérienne, et notamment la 4ème loi biologique sur le rôle des microbes  qui va complètement à l’encontre de la médecine officielle et de ses dogmes hérités de Pasteur.  En ce moment, dans sa chronique mensuelle, Jean-Jacques Crèvecoeur  explique précisément qu’il est  très sain de mettre en doute les postulats de la médecine, de les confronter  à d’autres visions de la vie et de la maladie,  et d’en jauger soi-même la validité à l’aune du bon sens.  Dans le numéro de mars, il revient sur un thème qui nous est cher, à savoir cette gigantesque erreur pasteurienne qui consiste à assimiler les microbes, bactéries ou virus,  à des ennemis du genre humain.  Comme toujours, Jean-Jacques  manie à merveille les mots et les métaphores pour faire passer le message et apporter du sens là  où la pensée médicale  dominante ne propose qu’une guerre insensée et perdue d’avance. Ci-dessous, je vous offre en primeur cet article non encore imprimé : régalez-vous et n’hésitez pas  à faire suivre ou à partager sur les réseaux sociaux.

Yves Rasir

 

Remettre en question le postulat pasteurien

Voici quelques semaines, je suis tombé sur une information hallucinante. Si elle n’émanait pas de l’Institut Belge de la Sécurité Routière, et si elle n’était pas confirmée par les instituts d’autres pays, je n’y aurais jamais cru. D’après les études faites pendant ces trente dernières années dans plusieurs pays développés, il apparaît que « tous les accidents mortels de la route, dans 100 % des cas, sont provoqués par des gendarmes (en majorité), par des policiers ou des pompiers (plus rarement) ! » Vous vous rendez compte !? Tous les accidents mortels ! Dans 100 % des cas !

J’imagine que, comme moi, vous ignoriez totalement cette information pourtant capitale ! Quand on pense aux milliards investis pour réduire la mortalité sur nos routes, on ne peut que se réjouir de la publication de cette étude scientifique effectuée avec le plus grand sérieux… Enfin, nous détenons une piste pour réduire (et peut-être supprimer complètement) les accidents mortels sur nos routes : faire disparaître les gendarmes, les policiers et les pompiers de la voie publique ! Génial, non ? Enfin une mesure dont on se félicitera longtemps…

Quoi ? Vous êtes sceptique ? Vous doutez !!!? Moi aussi, je doutais. Jusqu'à ce que j’examine la publication dans le détail. On peut y lire que, chaque fois que les chercheurs se rendaient sur les lieux d’un accident mortel, ils constataient la présence de gendarmes, de policiers ou de pompiers sur la voie publique. Vu l’étonnant systématisme de cette observation, ils ont pu établir une corrélation à 100 % entre la présence des forces de l’ordre d’une part, et la gravité de l’accident d’autre part. Du coup, la conclusion s’est imposée d’elle-même : ce sont les forces de l’ordre qui sont à l’origine de tous les accidents mortels de la route… Par contre, concernant les accrochages mineurs et les accidents non-mortels, les chercheurs explorent encore quelles pourraient être la ou les causes à l’origine de ces phénomènes… Ils penchent pour les dépanneuses, mais sans certitude. Il sera donc nécessaire de collecter des fonds supplémentaires pour soutenir les chercheurs dans leur quête au service de notre sécurité ! D’ailleurs, le prochain « Télécon » d’avril prochain (à ne pas confondre avec le Téléthon) permettra de financer cette recherche d’une importance de tout premier rang !

Quand corrélation se confond avec relation de cause à effet !

J’espère, à présent, que vous avez compris ce que j’étais en train de faire avec vous, chers lecteurs. J’illustrais de manière provocatrice la manière dont les successeurs de Louis Pasteur conçoivent l’origine de la plupart des maladies. Remplacez dans mon exemple « accident mortel de la route » par « maladie grave », « forces de l’ordre » par « microbes » ou encore « gendarmes, policiers et pompiers » par « virus, bactéries et champignons », et vous vous trouverez en présence de ce que je considère comme le postulat le plus désastreux de toute la médecine moderne. Postulat qui affirme que : « Les microbes sont à l’origine de la plupart des maladies. »

Évidemment, vous pourriez objecter que les maladies infectieuses et que les grandes épidémies sont une réalité indubitable ! Il n’y a qu’à se souvenir de la peste noire qui a décimé la moitié de la population européenne au milieu du quatorzième siècle, de la grippe espagnole de 1918 qui a fait plus de morts que la guerre elle-même, des grandes épidémies de polio, de variole et de choléra, de l’épidémie de SIDA qui décime depuis plus de trente ans des millions d’êtres humains… Sans compter la tuberculose, provoquée par le bacille de Koch et le cancer du col de l’utérus provoqué par le papillomavirus. Alors, doit-on vraiment douter de ce postulat central de la médecine moderne ? Doit-on vraiment remettre en question ce legs que Pasteur a offert à l’humanité ?

Pour répondre à cette question fondamentale, revenons quelques instants à mon exemple provocateur relatif aux accidents de la route. Vous avez compris que mes chercheurs imaginaires avaient tout simplement inversé la relation de cause à effet. Il est vrai qu’ils arrivaient toujours APRÈS que l’accident mortel ait eu lieu, et qu’ils voyaient toujours la présence de gendarmes, de policiers et/ou de pompiers sur la voie publique. Du coup, ils ont déduit de cette corrélation toujours vérifiée un lien de causalité où ils ont identifié les forces de l’ordre comme étant la cause des accidents mortels. Or, nous savons tous que ce sont les accidents mortels (cause) qui nécessitent la présence des forces de l’ordre sur place (effet), et non l’inverse.

La méprise de Louis Pasteur

Revenons aux microbes. Pasteur et ses successeurs ne se sont pas trompés en observant la présence de microbes lorsqu'une maladie ou une épidémie se déclaraient ! Pour eux, il ne faisait aucun doute que les microbes étaient bien à l’origine des maladies. Pourtant, on sait à présent que Pasteur s’est trompé. Pourquoi ? Pour au moins deux raisons…

La première raison, c’est que ce chimiste français était convaincu (sans l’avoir vérifié) que les cellules du corps humain étaient aseptiques, c’est-à-dire exemptes de tout microbe et de tout germe infectieux. Il était convaincu également que, si on observait la présence de microbes dans le corps, c’est que ceux-ci devaient nécessairement venir de l’extérieur ! Cette croyance, bien qu’il ne l’ait jamais démontrée, constitua le fondement sur lequel il échafauda toute sa théorie ! Depuis lors, les chercheurs savent pertinemment que ce postulat était totalement faux. Donc, comme je l’ai démontré dans mon article précédent, toutes les conclusions qui en découlaient devraient être fausses également. Pourtant, la médecine moderne, pour je ne sais quelle raison, a préféré conserver cette posture idéologique et étendre les conclusions de Pasteur à d’autres domaines que ceux des maladies infectieuses…

L’autre raison pour laquelle Pasteur s’est trompé, c’est qu’il ignorait que les maladies se développent toujours selon un processus en deux phases, ce que les médecins de la Chine ancienne appelaient les phases froide et chaude des maladies. Dans la phase froide de la maladie, l’individu est en stress (ou en surstress). Son système orthosympathique est activé pour lui assurer sa survie, l’essentiel de la circulation sanguine est mobilisée pour les organes vitaux, la vasoconstriction provoque le refroidissement des extrémités de membres (d’où le nom de phase froide). Habituellement, cette phase dans laquelle l’individu s’éloigne de l’équilibre ne s’accompagne d’aucun symptôme morbide visible. Lorsque l’individu a réussi à se sortir du danger, son stress diminue rapidement et il entre dans la phase chaude de la maladie. À ce moment, c’est son système parasympathique qui est activé pour permettre la réparation des lésions, la régénération, le rééquilibrage de l’organisme. Ce retour à l’équilibre s’accompagne, la plupart du temps, de symptômes visibles et de fièvre (d’où le nom de phase chaude).

Quant aux microbes, ils sont toujours présents dans l’organisme. Les biologistes modernes disent que nous portons en nous cent mille milliards de microbes dans le corps, qui pèsent au total près de deux kilos ! Comme vous voyez, on est très loin de l’asepsie prônée par Pasteur ! Par contre, ces microbes présents en permanence (qu’on soit en phase froide ou chaude), ne jouent pas tout le temps le même rôle ! Et c’est ça que Pasteur n’a pas compris. Pendant la phase froide, les microbes ne jouent aucun rôle actif : la virologie classique affirme d’ailleurs qu’ils sont, à ce moment, « non pathogènes ». Pendant la phase chaude, là, ils jouent un rôle actif : celui d’éboueurs, de réparateurs, de purificateurs…

Sont-ils pour autant la cause de la maladie ? Non, évidemment, puisque tout d’abord, ils étaient DÉJÀ PRÉSENTS dans le corps alors qu’aucune maladie ne se développait. Ensuite, ils sont TOUJOURS PRÉSENTS lorsque l’individu bascule en phase de stress et s’éloigne de l’équilibre (quelle qu’en soit la raison), mais sans jouer de rôle particulier… Enfin, ils deviennent actifs PARCE QUE l’individu sort de sa phase de stress et revient vers l’équilibre. C’est donc parce que l’individu se rééquilibre, c’est parce qu’il entre en phase chaude que les microbes sont appelés au service du corps pour accomplir ce qui est nécessaire. Exactement comme les gendarmes et les pompiers. Tant que tout va bien sur la route, les gendarmes sont déjà présents, mais n’interviennent pas. Lorsque l’accident survient (phase de stress), les gendarmes ne sont toujours pas actifs ! Après l’accident, il est nécessaire de réparer et de déblayer la chaussée : c’est là qu’ils entrent en action.

Toujours pas convaincus de mon analogie, chers lecteurs ? Le mois prochain, j’illustrerai mon propos à travers plusieurs exemples concrets. Mais en attendant, je vous invite à méditer sur les deux faits suivants. On dit souvent que la température du corps s’élève À CAUSE des microbes présents. Or, les observations montrent que c’est le corps qui contrôle l’activité des microbes en modulant sa température. Jusqu’à 38,5 °C, les microbes sont activés et se multiplient ! Aux alentours de 39,5 °C, ils sont stabilisés. Au-delà de 40,5 °C, les microbes sont éliminés… Si on empêche la montée de température à coup de médicaments antipyrétiques (contre la fièvre), on empêche en même temps la disparition des microbes ! Preuve, si l’en est, que ce ne sont pas les microbes qui contrôlent la fièvre, mais bien l’inverse… Autre fait intéressant : dans différents domaines de la médecine moderne (en particulier la cancérologie et la chirurgie), on fait appel de plus en plus souvent aux vertus réparatrices des virus pour guérir certains cancers ou pour ressouder certaines fractures. Des publications de plus en plus nombreuses vantent les mérites de ces thérapies virales ! Alors, les gendarmes seraient-ils toujours la cause des morts de la circulation routière ? Rien n’est moins sûr, à présent…

Jean-Jacques Crèvecoeur

 

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Le  numéro 31 (février 2014) de Néosanté, revue internationale de santé globale.
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