J’ai reçu récemment la visite impromptue de Théophiel Van Dyck, que j’avais rencontré au tout début de mon aventure BIOINFO, il y a 15 ans, et que je n’avais plus croisé depuis. Etonnant bonhomme, cet infirmier indépendant bruxellois passionné de médecines douces. Il est venu me trouver avec le manuscrit d’un livre qui pourrait révolutionner l’art de guérir, rien que ça ! Sous un titre un peu abscons (« Techniques immémoriales et neuves pour pertes de substance de jambes abandonnées et maltraitées ») , ce futur ouvrage en quête d’éditeur apporte en effet la démonstration qu’un produit de santé naturel peut réussir spectaculairement là où la médecine conventionnelle échoue lamentablement. Avec un mélange d’argile, de cire d’abeille et d’huile d’olive, on peut sauver quelqu’un condamné à l’amputation !
Par son métier, le brave Théophiel est amené à soigner de nombreuses personnes souffrant de complications de diabète ou de graves problèmes circulatoires. Leurs membres inférieurs finissent par se nécroser et se couvrir de plaies qu’il devient impossible de refermer avec les moyens chimiques classiques. Arrivés à ce stade, les patients sont envoyés à l’hôpital d’où ils ressortent – quand ils en sortent vivants – avec un orteil, un pied ou une jambe en moins. Persuadé que cette issue n’est pas inéluctable, notre infirmier a d’abord trouvé un médecin qui osait soigner différemment en comprimant sous des bandages la jambe préalablement enduite d’un crème à base de zinc. Surpris par l’efficacité de cette méthode hérétique, il a ensuite cherché à améliorer l’emplâtre en utilisant de l’argile, ce qui a donné d’emblée des résultats impressionnants. En y incorporant de la cire d’abeille, les cicatrisations miraculeuses sont devenues encore plus nombreuses. Mais c’est l’ajout d’huile d’olive qui lui a permis d’obtenir une formule de « compression dynamique » encore plus efficace : maintenues des heures durant dans le cataplasme qui ne sèche pas, les plaies profitent ainsi au maximum des vertus drainantes, désinfectantes et cicatrisantes de l’argile. En quelques semaines, il parvient ainsi à renverser des situations désespérées et à annuler l’obligation de mutilation, ce qui ne lui vaut pas la sympathie des chirurgiens décommandés !
Trop beau pour être vrai ? Si vous avez le cœur bien accroché, allez visiter le site crée par Théophiel (www.wax-argile.be) pour constater que les images ne mentent pas. Vous y trouverez des vidéos et de nombreuses photos « avant-après » montrant l’incroyable pouvoir cicatrisant de cette cire d’argile huileuse. Avec moi, il prêchait un convaincu puisque j’ai jadis connu une femme belge dont la jambe avait été sauvée par le naturopathe français André Passebecq. Grâce à l’argile, ses artères abîmées par le tabac et la boisson avaient retrouvé comme une deuxième jeunesse ! Par sa composition et son mode d’action, la « wax-argile » de Théophiel semble encore plus performante pour soigner toutes sortes de maux, des bobos bénins (cors aux pieds, mycoses, crevasses, boutons de fièvre…) aux affections de la peau les plus sévères (brûlures, ulcères, plaies purulentes…). Une méthode révolutionnaire de cicatrisation naturelle est née !
Yves Rasir
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