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Néosanté hebdo
mercredi 13 février 2013

Bonjour,

portrait de Yves RasirSpécialisée dans l’étude des vaccins et de leurs effets secondaires, la chercheuse canadienne Lucija Tomljenovic  a obtenu les transcriptions de réunions confidentielles du comité sur la vaccination et l’immunisation du ministère de la santé au Royaume-Uni.  Ces documents accablants montrent comment une politique vaccinale peut être définie au mépris de la vérité scientifique et de l’éthique la plus élémentaire.  Dans le prochain numéro de Néosanté (mars 2013),  un article  de Cyrinne Ben Mamou résume l’enquête de Lucija Tomljenovic. En voici  un extrait édifiant.

Yves Rasir

VACCINS : fraude,  mensonges et dissimulation

Cela ne fera pas les manchettes des grands médias, mais c’est pourtant une information capitale : des documents secrets du ministère de la santé Britannique, récemment déclassifiés, démontrent les pratiques systématiques de fraude, de mensonge, de dissimulation et d’incompétence scientifique du comité gouvernemental chargé de réglementer les pratiques vaccinales ces trente dernières années. Cette information est d’autant plus choquante que ce comité gouvernemental est censé veiller à la santé des citoyens. L’ensemble de ses pratiques est pourtant axé sur une propagande vaccinale, basées sur la peur de la maladie davantage que sur les preuves scientifiques, au mépris de la santé et de la sécurité des citoyens, adultes comme enfants.

Une scientifique de l’Université de Colombie Britannique au Canada, Lucija Tomljenovic, s’est spécialisée dans l’étude des vaccins, en particulier leurs effets neurotoxiques et immunotoxiques. Le présent article est basé sur ses travaux d’investigation. Tomljenovic a obtenu les transcriptions de réunions confidentielles grâce à la loi sur la liberté d’accès à l’information (Freedom of Information Act). Elle a passé au peigne fin les minutes des réunions du comité sur la vaccination et l’immunisation du ministère de la santé du Royaume-Uni (Joint Committee on Vaccination and Immunisation (JCVI)) de 1986 à 2010. Ses conclusions sont on ne peut plus claires :

  • Au lieu de prendre des dispositions appropriées lorsque des problèmes de sécurité de certains vaccins étaient identifiés par ses propres enquêteurs, le comité s’abstenait d’agir ou éliminait des rapports publics les données défavorables aux vaccins. Par ailleurs, il déployait de gros efforts pour rassurer le public et les autorités sanitaires à propos des vaccins concernés ;
  • Le comité gouvernemental a significativement restreint les contre-indications vaccinales afin d’augmenter les taux de vaccination en dépit des failles dans la sécurité sanitaire ;
  • Il a même poussé le zèle jusqu’à demander aux fabricants des vaccins de modifier leurs notices lorsqu’elles contredisaient les recommandations du JCVI ;
  • Il s’est continuellement appuyé sur des études à la méthodologie douteuse, écartant les études indépendantes afin de promouvoir les politiques vaccinales ;
  • Il a systématiquement minimisé les problèmes de sécurité des vaccins et en a exagérément amplifié les bénéfices ;
  • Il a élaboré et promu des stratégies pour introduire des vaccins à l’efficacité douteuse dans les calendriers pédiatriques de routine, en supposant que les autorisations de mise sur le marché seraient accordées ultérieurement ;
  • Il a activement découragé les recherches sur la sécurité des vaccins ;
  • Il a délibérément profité de la confiance des parents et de l’ignorance en matière vaccinale pour promouvoir des programmes de vaccination sans fondement scientifique qui pouvaient exposer certains enfants à des troubles neurologiques sérieux et persistants.

En agissant de la sorte pendant les 30 dernières années, les autorités sanitaires gouvernementales Britanniques violent non seulement leur propre code d’éthique, mais contreviennent également aux directives internationales en éthique médicale, notamment la déclaration d’Helsinki.
La fonction des comités gouvernementaux chargés d’élaborer la réglementation en matière de santé est de s’assurer que les médicaments, traitements et vaccins ont été adéquatement évalués sur le plan scientifique. La communication en toute transparence des données objectives relatives à l’efficacité et aux risques potentiels des vaccins fait également partie du mandat des autorités sanitaires. Dans son enquête, Tomljenovic révèle que les efforts du comité sont concentrés sur la manipulation du public et des intervenants en santé dans le but d’obtenir une adhésion maximale au calendrier vaccinal.
De nombreux membres du comité avaient des liens commerciaux avec les compagnies pharmaceutiques et le JCVI coopérait fréquemment avec les fabricants des vaccins pour élaborer des stratégies visant à dynamiser la consommation de vaccins. Une de ces stratégies était très simple : restreindre les contre-indications, réécrire le mémorandum et demander aux compagnies pharmaceutiques de modifier la notice du vaccin afin d’éviter les incohérences et les poursuites judiciaires.

Le rapport de Tomljenovic montre que le JCVI a sciemment ignoré des études qui mentionnaient des effets secondaires graves, même s’il s’agissait de symptômes neurologiques chez de jeunes enfants. Par exemple, à la suite d’une discussion sur une proposition de surveillance de troubles neurologiques sévères en lien avec le vaccin de la coqueluche chez les jeunes enfants, le comité a considéré qu’il serait déraisonnable de demander aux pédiatres d’en faire état pour une période de six ans. Aussi, des cas de convulsions fébriles de plus de dix minutes, répétées sur une période de 24h et pouvant entraîner de sérieux handicaps dans 10% des cas, n’ont pas été considérés comme problématiques pour les membres du comité. Ils ont préféré retirer la mention «convulsion fébrile» de la liste des effets secondaires sous prétexte que le public n’en comprendrait pas la signification.

Pour des cas encore plus sérieux, tels que des morts subites de nourrissons à la suite de vaccinations, les rapports font état de causes de décès inexpliquées. Cependant, aucun examen pathologique sérieux n’a jamais été réalisé pour vérifier si la cause du décès pouvait être liée au vaccin. À cet égard, l’aveu de la Food and Drug Administration (FDA), l’organisme fédéral qui a le mandat d'autoriser la commercialisation des médicaments aux États-Unis, est éloquent : « Historiquement, l’évaluation de la sécurité des vaccins préventifs n’a souvent pas inclus d’études de toxicité sur des modèles animaux, parce que le vaccin n’est pas considéré comme toxique en soi » . L’innocuité prétendue des vaccins est donc bien fondée sur une croyance et absolument pas sur des faits scientifiques. Le déni systématique de toute donnée objective qui pourrait entacher la réputation des vaccins est d’autant plus grave que le comité s’est engagé dans une propagande active visant à augmenter la consommation de vaccins, voire à la rendre obligatoire dans certains cas. (…)

(suite de cet article  dans la revue Néosanté N° 21)

disponible sur www.neosante.eu :
le numéro 20 (février 2013) de Néosanté, revue internationale de santé globale.
couverture du numéro 19
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