La vérité sur le cancer (IV)

La véritable cause du cancer

Dans cette série d’articles, Boris Sirbey aborde les nouvelles théories psychosomatiques sur le cancer. Son but est de montrer que, loin de se ramener à une simple affaire de génétique et de produits nocifs, cette maladie est toujours en relation étroite avec le vécu personnel du patient.

(…)
J’ai déjà parlé de Georg Groddeck, l’un des fondateurs de la psychosomatique moderne. C’est lui qui, le premier, a élaboré un modèle psychobiologique du cancer.


Groddeck a, pendant un temps, utilisé les médicaments et les méthodes classiques de la médecine pour traiter ses patients, mais quelque chose l’a frappé chez ceux qui souffraient d’un cancer. Dans une grande majorité de cas, en effet, les patients qui avaient vécu un certain type de conflit souffraient aussi d’un certain type de cancer, toujours le même :
« Groddeck cite le cas d’un homme qui illustre le rapport entre les excrétions et l’économie qui peut aller jusqu’à l’avarice. Cet homme tombe gravement « malade » et il éprouve des maux de ventre insupportables. Les chirurgiens diagnostiquent un iléus ou un cancer qu’il faut opérer. Le patient refuse, « préférant mourir » et la « maladie » se résout toute seule. Les douleurs diminuent progressivement. Mais il se met à souffrir des voies respiratoires et d’un énorme gonflement du ventre.
Groddeck est rappelé en consultation. Mais, de nouveau, la « maladie » se résout de « façon curieuse » en livrant la clé de l’énigme. L’homme est riche et non avare. Mais il est entouré de parents qui cherchent à le piller et à le dépouiller. Au moment où s’est enclenchée la première « maladie », il avait reçu une lettre de ses parents qui exigeaient de lui une forte somme d’argent. De la même manière, au moment de la deuxième « maladie », il a reçu une autre lettre de ses parents exigeant encore de l’argent. Groddeck lui explique que c’est cette demande qui l’a rendu « malade ». Et l’homme se rétablit. En se rendant « malade », il avait fait cesser les pressions de sa famille qui en avait conclu qu’il n’allait pas tarder à mourir et qu’il lui suffisait d’être un peu patiente pour tout hériter. Groddeck en conclut à un rapport entre l’or et l’ordure à propos des maladies intestinales(1).
Partant de l’intuition que les cancers n’apparaissaient jamais tout à fait au hasard, mais avaient toujours une signification précise dans le vécu du patient, Groddeck a alors entrepris de recouper les données psychologiques avec les différents types d’affection, ce qui lui a permis de mettre en corrélation la nature des conflits psychiques et le lieu de formation de la maladie. Démontrant que le cancer et les autres maladies dégénératives sont en réalité le produit d’un conflit psychologique vécu avec une intensité vitale et dans l’isolement, l’incapacité de verbaliser étant l’un des facteurs clés de leur déclenchement, il a alors pu élaborer une explication précise du rôle que le cancer jouait dans l’économie générale de l’organisme.

Le conflit psychobiologique

L’ensemble des processus métaboliques sont en interaction constante avec le psychisme : c’est lui qui joue le rôle d’interface avec le monde extérieur, et fournit les informations qui, interprétées par le cerveau, décident de la direction que l’organisme va suivre. Si, par exemple, au tournant d’une rue, nous tombons nez à nez avec un berger allemand qui prend une posture agressive et à se met à grogner, notre psychisme va probablement interpréter la situation comme dangereuse. Or, cela va automatiquement enclencher une série de mesures destinées à nous permettre de répondre à la situation : tout d’abord, notre cerveau, ordonnant aux glandes surrénales de libérer de l’adrénaline, va provoquer une accélération du rythme cardiaque, une augmentation de la pression artérielle et une dilatation des bronches, ce qui va nous mettre en situation de fournir un effort violent. Il va également provoquer une dilatation des pupilles, afin de favoriser la perception des variations de l’environnement et l’estimation du danger qu’elles représentent, une contraction des muscles, qui permettra d’amoindrir la perte de sang en cas de blessure, et un amoindrissement de la sensibilité à la douleur, afin de préserver notre capacité d’action. Bref, nous allons immédiatement réagir afin de nous adapter au mieux à la situation.
Hans Selye, célèbre endocrinologue, père de la théorie du stress (c’est lui qui a introduit ce mot en médecine), définissait ainsi le stress comme une réponse non spécifique du corps à l’agression. Il a démontré que, face à un danger réel, potentiel ou même simplement virtuel, l’organisme réagissait en provoquant une véritable tempête hormonale destinée à assurer sa survie.
Or, devant une situation de stress permanent, l’organisme, plutôt que d’employer une stratégie à court terme comme celle de la décharge d’adrénaline, tend à prendre des mesures d’exception, en accroissant l’activité cellulaire dans les organes qu’il perçoit comme étant soumis au danger le plus direct.
Pour illustrer ce processus, je vais prendre un exemple cité par le psychosomaticien Jean-Jacques Crèvecœur, celui d’un renard qui n’a pas mangé depuis plusieurs jours et qui est sur le point de mourir de faim. Entendant passer un lapin dans les parages, il le pourchasse, mais, juste au moment où il parvient enfin à le capturer et qu’il se prépare à le dévorer, arrive un chasseur. N’ayant pas le temps de dépecer sa proie, il décide alors de gober tout entière une patte du lapin et de déguerpir à toute vitesse pour éviter d’être vu par le chasseur.
La patte qu’il vient d’avaler, bien qu’elle lui fournisse de la nourriture, risque fort de le tuer en provoquant une occlusion intestinale. Ne pouvant ni la rejeter ni la digérer, le renard se trouve dans un conflit de survie.
Pour le résoudre, le cerveau du renard va enclencher un programme de production de cellules digestives plus performantes, qui vont proliférer et lui permettront de digérer cinq fois plus vite que des cellules ordinaires. Le programme reste en place le temps nécessaire pour que la digestion se fasse complètement, et, une fois cette dernière accomplie, le cerveau donne aux cellules de l’estomac l’ordre de cesser de produire ces cellules spéciales. L’organisme se met alors à produire des bactéries qui les éliminent, car, si elles restaient vivantes et actives, elles finiraient par présenter un danger pour l’organisme.
Or, si l’on ouvre l’estomac du renard à ce moment-là, on pourra voir les cicatrices laissées par une tumeur nécrosée. Ces supercellules en question ne sont rien d’autre qu’un cancer, qui a été utilisé par le cerveau pour répondre à un conflit qui a mis en jeu la survie de l’organisme.
Il faut savoir que l’une des caractéristiques des cellules cancéreuses est leur suractivité. Ainsi, une cellule cancéreuse de l’estomac digère beaucoup plus efficacement qu’une cellule normale, une cellule du poumon a une capacité d’échange oxygène-sang accrue, une cellule du pancréas produit beaucoup plus d’insuline, et ainsi de suite.
En elles-mêmes, les cellules cancéreuses ne sont pas dangereuses, elles se comportent simplement comme des cellules travaillant à un régime beaucoup plus élevé que les cellules normales. Elles ne deviennent mortelles que quand le cancer, au lieu de disparaître après avoir rempli sa fonction, n’en finit pas de la remplir, et se met à croître au point de perturber gravement le fonctionnement d’un organe. On comprend ainsi que, bien que potentiellement nuisible, le cancer peut se révéler, en un autre sens, utile à l’organisme.

Le rôle du cerveau humain dans la naissance du cancer

Maintenant, si l’exemple de l’animal sauvage est clair, et montre bien comment des cancers peuvent se développer dans un but de survie, il peut sembler difficile à transposer chez l’homme, qui développe des cancers sans être soumis à des dangers directement liés à sa survie physique. Ce paradoxe s’estompe rapidement si l’on prend en compte le rôle joué par le psychisme conscient, qui sert d’interface entre les milieux interne et externe, et qui a pour principale caractéristique d’appartenir à un sujet, qui organise ses perceptions selon sa sensibilité particulière.
En effet, nous pouvons tout à fait interpréter une situation anodine comme s’il s’agissait d’une agression réelle, et amener notre organisme, qui ne fait pas de différence entre une perception raisonnable et une perception erronée, à réagir en conséquence. C’est ce qui explique que l’ensemble des symptômes décrits précédemment puissent s’appliquer à une situation où vous êtes agressé par un chien enragé, mais puissent aussi bien survenir alors que vous regardez un film où le héros se fait agresser par un chien enragé. Si vous vous identifiez fortement au personnage principal, votre organisme va réagir en conséquence, et c’est pour cela que, pendant les scènes d’action, votre pouls va accélérer, votre taux d’adrénaline va augmenter, et ainsi de suite, comme si vous étiez réellement soumis à une situation dangereuse.
C’est ce qui explique que, bien que le cancer soit une stratégie de survie, il puisse parfaitement provoquer la mort. Dans le cas d’un animal sauvage, la question ne se pose pas, car il vit en harmonie avec son milieu naturel ; lorsque son cerveau ordonne à son organisme de développer un cancer, c’est généralement pour répondre à un danger qui menace effectivement sa survie. Cependant, il en va tout différemment pour un être humain, chez qui une information virtuelle ou symbolique peut avoir autant d’impact qu’une réalité physique. A partir de là, on peut comprendre comment le cerveau peut déclencher un cancer sur la base d’informations symboliques.
Prenons le cas d’un homme qui a tendance à somatiser ses conflits affectifs au niveau de l’estomac. Un jour, il apprend que son meilleur ami l’a trahi. Dès lors, il se met à ressasser ce qui lui est arrivé en se répétant continuellement : « Je ne pourrai jamais digérer ce qu’il m’a fait. » Si le stress généré par le conflit est assez intense, son cerveau finira par le percevoir comme une menace réelle, et, en réponse, il va ordonner à l’estomac de produire des cellules qui seront capables de « digérer le morceau », tout comme pour le renard. La psychosomatique parlera alors de la somatisation d’un conflit de trahison centrée sur l’estomac.
La seule différence, c’est que, là où le programme va s’arrêter une fois la difficulté biologique résolue dans le cas du renard, il va continuer dans le cas de notre homme. Tant qu’il ressassera son conflit, qu’il persistera à ne pas vouloir pardonner à son ami, son organisme maintiendra le programme de crise, et la tumeur grossira, éventuellement au point de mettre sa vie en danger.
A ce stade, la médecine prendra le relais et utilisera la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, bref toute la panoplie de moyens qu’elle a à sa disposition pour éradiquer ce qu’elle perçoit comme une menace pour la vie du patient, et qui n’a pourtant débuté que sur un simple conflit psychobiologique.

Le rôle du cancer dans l’évolution

Cela répond d’ailleurs à l’une des principales incohérences de la médecine officielle dans ce domaine, incohérence que j’ai déjà évoquée en introduction. Inévitablement, une des questions que se posent les biologistes devant l’existence du cancer est de savoir pourquoi la nature a inventé un mode de division et de rendement cellulaire qui se traduit par une efficacité accrue, mais qui est, en même temps, si hostile à la vie.
Au sens même de la théorie de l’évolution, en effet, tout ce qui ne sert pas la survie doit être éliminé du patrimoine génétique : or, du fait qu’il représente un danger majeur pour l’organisme, le cancer aurait dû favoriser la reproduction des individus les moins sensibles à son emprise, et disparaître ainsi par la sélection naturelle. Pourtant, loin d’avoir été éradiqué, ce fléau a été conservé non seulement dans le patrimoine génétique humain, mais dans celui de l’ensemble du système biologique. Partout présent, il continue à exister aussi bien chez l’homme ou l’animal que chez la plante, presque aucune espèce ni aucun individu ne semblant en être exempt. Comment expliquer alors son omniprésence après des millions d’années d’évolution, si on pose par ailleurs qu’il est tellement préjudiciable à la survie ?
La réponse devient tout de suite logique si on considère que les cellules cancéreuses sont en réalité des cellules beaucoup plus fortes que les cellules ordinaires, et qu’elles sont donc un instrument utilisé par l’organisme. Le fait que le cancer serve en réalité la survie des individus explique qu’après des millions d’années il n’ait jamais été éliminé des gènes, contrairement à des phénomènes biologiques inutiles ou peu performants. Il est partout présent dans la nature parce qu’il est partout utile.

Le seuil critique

Bien sûr, on peut objecter que, à ce compte, toute personne qui subit un traumatisme psychologique produira un cancer. En réalité, pour que le cerveau enclenche un tel programme, il faut, d’une part, que le conflit soit très profond, ressenti comme vital par le sujet, et, d’autre part, qu’il soit vécu dans l’isolement, sans possibilité pour l’individu de se décharger de la pression qu’il fait peser sur le psychisme.
Le stress est une notion difficile à définir. On peut dire que, fondamentalement, il se produit un stress dans toute situation d’inadaptation, en particulier quand cette dernière met en jeu la survie de l’individu ou de l’espèce. Pour reprendre la définition de Hans Selye, le stress est le syndrome d’adaptation biologique du corps à toute situation dangereuse pour laquelle le cerveau n’a pas de réponse toute prête (par exemple, c’est grâce aux effets du stress que la gazelle peut mobiliser toutes ses ressources de fuite en face d’une lionne). Cette définition recouvre, chez la plante, chez l’animal ou chez l’homme tout cas de figure où l’harmonie avec le milieu est brisée par une menace extérieure, réelle ou imaginaire.
Or, le vivant n’a d’autre but que de réaliser et de prolonger le plus longtemps possible cet état d’équilibre. En termes de biologie, rien ne consomme plus d’énergie que le stress, puisqu’il n’est pas autre chose que l’expression d’un déséquilibre potentiellement mortel. Il est parfaitement envisageable que, faute d’autre moyen, l’organisme provoque ce qui nous apparaît comme une maladie pour y mettre fin. Il ne s’agit pas d’un dysfonctionnement, mais d’une simple stratégie d’adaptation, la seule différence entre l’homme et l’animal étant que l’homme est nettement plus enclin à développer des maladies en rapport avec des conflits psychologiques plutôt qu’avec de vraies situations de survie.
Au moment où nous sommes soumis à un stress particulièrement intense et continu, qui nous place dans une situation de conflit prolongée, l’organisme interprète la situation comme si sa survie même était menacée. Il enclenche alors, pour faire face à la menace à laquelle il se croit confronté, un certain nombre de programmes de survie archaïques, comme par exemple le cancer de l’estomac, destiné à accélérer les capacités digestives devant un « trop gros morceau » à avaler ; le fait que le « morceau » en question soit à prendre au sens propre ou figuré importe peu. Le corps provoque alors un court-circuit cérébral, tout à fait à la manière d’un disjoncteur, la nature même – précisément le ressenti biologique – du conflit décidant alors de l’aire cérébrale atteinte, qui va, à son tour, déterminer l’organe-cible. A ce moment-là, le codage des cellules change, et le cancer, qui représente un mode d’organisation cellulaire de crise, apparaît. Dès lors, l’organisme présente un certain nombre de symptômes bien précis, qui ne vont disparaître qu’au moment où le conflit psychobiologique sera résolu. A ce moment-là, l’aire du cerveau dans laquelle le court-circuit avait enclenché le programme biologique de survie interrompt le programme et se répare.
Nous touchons ici à l’un des points les plus intéressants de la psychobiologie : au moment où le conflit atteint un seuil critique et que l’organisme lance le programme de production des cellules cancéreuses, le cerveau est affecté physiquement. Et si la rupture du champ électrique n’est pas repérable immédiatement, elle est parfaitement observable au moment où l’organisme récupère du conflit.
A ce moment-là, l’aire cérébrale qui a commandé l’apparition du cancer est parfaitement visible au scanner, mais aussi de façon palpable, l’intensité de l’activité métabolique de réparation du circuit cérébral se traduisant par une chaleur perceptible au toucher.
C’est d’ailleurs ainsi que le modèle que Georg Groddeck a élaboré au début du siècle a pu être vérifié. Groddeck, en effet, avait postulé que c’est le cerveau qui déclenchait le cancer, mais il ne pouvait pas le prouver. Avec l’invention du scanner, des médecins comme le Dr. Ryke Geerd Hamer ont pu démontrer à quelle aire cérébrale correspondait chaque type de cancer, et même dire avec précision si le conflit qui se trouvait à l’origine du cancer était encore actif ou pas. En dépit du fort dogmatisme dont a fait preuve le Dr. Hamer quand il a fait la promotion de sa découverte, cette dernière représentait bien une révolution médicale, puisque ses observations démontrent de façon rigoureuse que c’est bien le psychisme qui déclenche la maladie (qui est donc, en réalité, un programme biologique de survie), et que, par conséquent, tant que l’on ne traite pas le conflit qui l’a provoqué, on ne fait que traiter des symptômes.
C’est ainsi que le cancer des testicules se rapporte à un conflit de perte (souvent lié à l’enfant), et survient dans le lieu symbolique de la paternité. De la même manière, le cancer du col de l’utérus chez la femme se développe généralement après une relation sexuelle perçue comme malsaine ou coupable et demandant donc un « nettoyage efficace ». Même une simple infection de la vessie a un sens biologique, puisqu’elle répond à un conflit symbolique de territoire : tout comme l’animal marque son territoire par l’urine, le cerveau d’une personne qui a le sentiment qu’on « marche sur ses plates-bandes » réagira en ordonnant à la vessie de produire plus de liquide pour marquer les limites symboliques du territoire(2). Toutes ces affections ont un sens à la fois psychologique et biologique, et entrent dans le cadre des stratégies de survie archaïques.
L’évolution de l’humanité, en effet, s’est déroulée pendant des millions d’années. Par rapport à cette période, la civilisation telle que nous la connaissons ne représente que quelques millénaires. Il n’y a donc rien d’étonnant que, en réponse aux messages que nous lui envoyons, le cerveau réagisse par des programmes biologiques qui se sont révélés efficaces sur des périodes de temps quasi géologiques. Si on juge ces maladies selon les critères de la civilisation moderne, il est évident qu’elles vont apparaître comme des aberrations ; mais, si on les replace dans un contexte plus large, leur utilité biologique devient claire.
(à suivre)

NOTE

Richard Sünder, « Médecine du mal, médecine des mots », ed. Quintessence, p. 98
L’autre sens possible des infections de la vessie étant le conflit de souillure, qui se traduit par un besoin d’évacuer.

Cette série d’articles est largement empruntée au contenu du livre « La vérité sur le cancer que la médecine ne nous dit pas encore », premier ouvrage de Boris Sirbey et cinquième livre publié aux Editions Néosanté. En vente dans toutes les bonnes librairies et sur le site neosante.eu
Docteur en philosophie, Boris SIRBEY est l’auteur d’une thèse sur la théorie des sciences à l’université de Paris X. Il y aborde la science du XXIème siècle par une approche finaliste et systémique. Il a écrit cet essai sur le cancer en hommage à sa mère. Il y raconte la tragédie qui s’est déroulée lorsqu’elle a été hospitalisée, démythifie la vision officielle de la maladie, explore la piste psychosomatique et développe une série de réflexions sur l’avenir de la médecine.
(www.sirbey.com)
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