La contagion, ce mythe à abattre

On va tous mûrir ! Aperçu sur un réseau social au début de la mascarade Covid-19,  ce joli slogan m’a d’emblée paru pertinent : non seulement les Terriens n’allaient pas massivement mourir de cette pseudo pandémie, mais les  quelque 7,7 milliards de survivants  allaient jouir d’une chance inouïe, celle d’échapper à  une médecine obscurantiste qui voit la maladie comme une malédiction et nous impose sa biophobie délirante depuis plus d’un siècle. Enfin, nous allions pouvoir en finir avec cette mystification scientifique consistant à croire que les microbes nous font la guerre et envahissent nos corps pour les détruire. Espérance naïve ?  Optimisme béat ? Cinq mois après le déclenchement de la « crise sanitaire », je continue de penser qu’elle sera salutaire et qu’elle permettra à l’humanité de réaliser à quel point elle s’est fourvoyée en adhérant à la « théorie du germe » chère à Louis Pasteur et à  ses disciples.  Certes, le dogme du microbe contagieux semble plus solide que jamais. À l’heure où une « deuxième vague » semble se dessiner à Pékin, la croyance que les virus exogènes se transmettent d’humain à humain pour leur nuire semble quasiment indestructible. Ce credo est tellement implanté dans les cerveaux qu’on ne voit pas très bien comment l’en déloger.  Le mythe pasteurien a des allures de montagne de granit impossible à dynamiter.  C’est pourtant une illusion car ce récit a été construit par les Hommes il y a à peine plus de 100 ans.  Ce n’est pas une montagne immuable mais un simple mur fait de briques et de broc, et déjà considérablement lézardé. Dans une de ses vidéos récentes, Jean-Jacques Crèvecœur explique qu’il suffit que 5%, ou même 3% de la population commence à penser autrement pour ébranler une société et faire basculer l’opinion publique vers un nouveau paradigme. La mythologie et les contes de fées fourmillent de légendes montrant qu’un David peut terrasser Goliath  ou qu’un petit poucet peut vaincre l’ogre. Chez les Romains, on savait que « la roche tarpéienne  est proche du capitole », autrement dit que le sommet de la  gloire précède souvent de peu la chute. Il y a 30 ans, le mur de Berlin s’est déconstruit en quelques nuits lorsque quelques individus  ont commencé à le piocher et que les foules ont suivi. Bref, la démolition du pasteurisme n’est pas un rêve inaccessible et il suffit de se mettre au boulot. Ce n’est  pas parce que la durée du chantier est inconnue qu’il faut renoncer à l’entamer !
 
Quelques outils existants
 
Chez Néosanté, ça fait déjà  longtemps qu’on a entrepris d’attaquer les fondations et d’agrandir les fissures. Pour ce faire, nous avons notamment diffusé et promotionné l’excellent livre du Dr Eric Ancelet « En finir avec Pasteur ».  Dans ses tout premiers numéros, en 2011, la revue a d’ailleurs  publié plusieurs articles de son auteur,  une série intitulée « Vaccination : science ou croyance ? ». Il y a quelques années,  à l’occasion de la 4ème édition de son ouvrage, Éric Ancelet a enregistré une conférence qui est en ligne sur Youtube et que vous pouvez écouter en cliquant ici. . Soyez aux aguets sur la toile car notre ami et ancien collaborateur Jean-Jacques Crèvecœur va également diffuser très prochainement une interview qu’il a réalisée d’Éric Ancelet. Ce vétérinaire-homéopathe très cultivé vaut vraiment la peine d’être écouté en ce moment !  Dans notre mensuel, nous avons aussi  publié plusieurs textes du Dr Alain Scohy, ce médecin rebelle  qui œuvre inlassablement à faire connaître les travaux d’Antoine Béchamp,  médecin et chimiste qui s’opposa à l’époque aux conclusions de Pasteur et qui perdit malheureusement la bataille des idées, non sans avoir été pillé par son rival. Cette toute autre vision de la vie, des bactéries et des virus, a été présentée dans les numéros 44 et 52 de Néosanté. À travers sa rubrique « Sentiers de santé », qu’il a tenue de 2011 à 2016, Jean-Jacques Crèvecœur a lui aussi entrepris, à plus d’une reprise,  de faire vaciller le mur des fausses certitudes pasteuriennes.  Et pour ma part, je lui ai donné de multiples coups de marteau via de nombreuses infolettres et éditoriaux. Depuis janvier,  je me suis attaché à montrer que cette doctrine monolithique dévoilait à présent, grâce au virus couronné et à sa protéine en forme d’épée, ses  failles béantes et ses incohérences évidentes. Maintenant, il est l’heure de passer à la vitesse supérieure !
 
Opération déconstruction
 
Pour accélérer la prise de conscience que la théorie de Pasteur est une monumentale erreur, nous allons d’abord, comme je vous l’ai annoncé, monter un dossier scientifique « alternatif». En francophonie, il n’y a plus guère de chercheurs et de praticiens qui osent remettre en cause la médecine dominante. Dans le monde anglo-saxon, en revanche, il y a de plus en plus de voix qui s’élèvent  pour contester «The Infectious Myth » et qui commencent à trouver une audience.  Je suis occupé à  les (faire) traduire,  à rassembler de la documentation et à confier les premières tâches rédactionnelles à mon équipe de journalistes. D’ici fin 2020, nous allons notamment publier une enquête sur la « théorie des exosomes », une vision assez décoiffante du microcosme viral et de son rôle d’épurateur corporel. Certains scientifiques américains vont jusqu’à dire que les virus sont  en réalité des excrétions de toxines accumulées !  Dans l’immédiat, j’ai le plaisir de partager aujourd’hui un texte rédigé par Catherine Courson,  fidèle abonnée et « compagne de route » de Néosanté depuis ses débuts. Intitulé « Appel aux humains dépossédés d’eux-mêmes »,  ce texte invite à revisiter « nos mythologies pasteuriennes » et  à se mobiliser, chacun à son niveau et avec ses compétences, pour faire reculer cette idéologie mortifère et  pour lui substituer  une « médecine coopérative » respectueuse des lois de la vie.  Vous pouvez découvrir cet appel en cliquant ici et vous pouvez le télécharger  en format PDF.  N’hésitez pas à diffuser le lien un maximum ou à envoyer ce document à toutes vos connaissances, c’est un élément important du plan  de démolition  !   Pour augmenter sa diffusion, nous l’avons traduit en anglais et vous pouvez  trouver ici cette version plus internationale. Envoyez-la aux quatre coins du globe ! Mais il y  a encore plus important pour faire avancer le chantier : votre vécu et vos témoignages relatifs à l’inexistence de la contagion infectieuse ! Votre expérience et vos connaissances empiriques valent en effet toutes les études scientifiques du monde car elles n’ont pas besoin de démonstration. Elles parlent d’elles-mêmes et elles expriment tellement de bon sens qu’elles sont , à mon avis, de nature à convaincre  plus efficacement que les  longs discours savants. 
 
Vos témoignages en partage
 
Suite à mon billet du 27 mai, vous avez été nombreux à m’envoyer des récits attestant que la transmission de prétendus assaillants microbiens au sein de l’espèce humaine est une fable risible et dénuée de fondement.  Les faits infligent de constants démentis à cette vision totalement fausse de la santé et de la maladie ! Histoire d’influer – pourquoi pas ?  – sur le cours de l’Histoire, j’ai donc sélectionné quelques-unes de vos histoires que j’ai « copié-collé » ci-dessous. Une douzaine parmi la centaine reçue.  Celles qui revenaient le plus souvent et  qui m’ont semblé les plus éloquentes. Émanant de médecins ou d’infirmières, mais aussi de parents et de quidams confrontés à des porteurs de pathologies prétendument contagieuses, ces récits sont autant de brèches potentielles dans « le mur de Berlin » du paradigme pasteurien. Lisez-les, savourez-les, et faites en profiter tous vos contacts : ils ne risquent rien, sauf  commencer à s’éveiller à la vraie logique du vivant. Et si vous avez encore des expériences de vie à partager, n’hésitez pas à me les envoyer à l’adresse info@neosante.eu.  La semaine prochaine, je publierai une deuxième douzaine d’entre elles Je profiterai  probablement de l’été pour en publier la plus grande partie, sinon la totalité. Les petits ruisseaux finissent par former de grandes rivières auxquelles peu de digues résistent. Avec votre aide, notre futur pilonnage informatif finira bien par  faire s’effondrer ce mythe  séculaire stupide.  Le microbe n’est  véritablement RIEN, le terrain est  véritablement TOUT. La contagion, ça n’existe pas !

Yves Rasir

À titre personnel, en complément de ma lettre à L'Ordre des médecins, je peux ajouter ceci à propos de mon histoire personnelle: Mon grand-père était médecin, mon oncle médecin et ma mère pharmacienne. Mon père travaillait à l’hôpital de Besançon et j'allais faire mes devoirs dans son bureau. Étudiant en médecine, j'ai fait un stage de 4 mois dans un établissement qui accueillait les patients tuberculeux. Interne, j'ai fait un stage de 6 mois dans un service de pneumologie qui accueillait également des patients tuberculeux. Depuis mes plus jeunes années dans la pharmacie de ma mère, et plus tard à l’hôpital ou en cabinet privé, j'ai été exposé sans la moindre protection ni précaution, ni "geste barrière" et sans jamais contracter une maladie transmise par un patient, ni personne d'autre de notre grande famille, puis de mes enfants.

Dr Jean-Michel Crabbé

 
En lisant le très intéressant article sur le port du masque, j'ai eu envie de vous faire part de ma petite expérience: au début des années 60, toute jeune infirmière nouvellement diplômée, j'ai travaillé plus de 3 ans dans un service de pneumologie. La grande majorité des patients étaient des tuberculeux en attente de partir en sana dans les Alpes, pratiquement tous contagieux bien évidemment. Les soins strictement infirmiers m'occupaient la matinée seulement. Le reste du temps, je le passais avec les malades car je considérais que leur moral devait quand même être maintenu “presque” au beau fixe. Je parlais beaucoup avec eux et je me souviens que je faisais aussi …des parties de baby-foot. Pensez-vous que les poignées étaient désinfectées ? Pensez-vous que je me lavais les mains toutes les 5 minutes ou que je portais un masque ? Le bacille était considéré comme virulent pourtant. Je ne me souviens pas avoir vu un cas de contamination parmi les soignants. Je n'y pensais pas et je n'avais pas peur.

Thérèse L.

 
 
 
Fin Décembre I968, j'étais infirmière libérale dans la Loire. Durant plus d'un mois cet hiver là, il y eut une épidémie de grippe classique nécessitant un séjour de quelques jours au lit  … et je me souviens avoir pratiqué des antibiotiques en I.M. quotidiennement pendant 5 jours à plus de 4O patients/ jour ; et s'il y avait contagion dans les familles  elle était banale, et plutôt bien vécue !  Bien sûr, je me désinfectai les  mains avec l'alcool avant et après chaque soin normalement, mais pas de peur, ni de "bavette", ni de distance "sociale", (!!!) mais plutôt un vrai et grand  sourire  échangé fraternellement, et parfois même,  plus rarement une bise  … Je me souviens  m'être interrogée, à cette période-là, sur le fait que le plus important n'était peut-être pas seulement  dans la seringue ! … Mais il y à 50 ans, le soin n'était pas un objet de "consommation"  ni présenté  avec le discours  de propagande  ; au contraire l'"humain" passait avant tout le reste … ! Je n'ai  jamais contracté cette grippe ni les médecins locaux à qui je m'en étonnais … 

Madeleine B.

 
Lors de l'épidémie de H1N1 de 2009-2010, j'exerçais le métier de conducteur de bus urbain à Nice .J'étais en contact journalier avec plusieurs centaines de personnes, contacts proches (50cm environ de visage à visage) lors de l'achat des tickets, échange de paiement par pièces de monnaie et billets, demandes de renseignements. Je n'ai jamais attrapé cette fameuse grippe, et à ma connaissance, sur à peu près 700 chauffeurs de la société, personne ne l'a attrapée. Je dois ajouter que pendant les dix ans où j'ai effectué ce métier dans cette ville, j'ai côtoyé des centaines de milliers de personnes, et je suis toujours en excellente santé et à la retraite maintenant.

Pascal L.

 
Voici mon expérience : je suis médecin généraliste en France installée en libéral depuis 32 ans . Je ne me suis jamais faite vaccinée contre la grippe ni jamais pris de précautions particulières, même ces dernières années (masques, gants, gel hydroalcoolique, désinfection …..) et je n'ai jamais eu la grippe ni moi ni mes proches ni d'ailleurs aucune gastro-entérite ni autre maladie dite contagieuse en dehors des rhumes. Mon expérience conforte tout à fait vos dires. Par ailleurs je ne crois pas avoir vu un seul patient ni une seule personne utilisée un masque de façon correcte (c'est-à-dire mis de façon efficace et ne pas le toucher………) Lors des épidémies de grippe, j'ai rarement vu tous les membres d'une même famille touchés par la maladie : comme quoi le virus n'est rien et le terrain est tout. Merci pour votre approche et votre revue (à laquelle je suis abonnée depuis 2013) qui sont un soutien pour moi au quotidien dans ma pratique centrée sur l'Homme dans sa totalité , c'est-à-dire avec son vécu psycho-émotionnel et pas seulement des symptômes.

Agnès B.

 
 

Infirmière à la retraite, diplômée en 1978 (pour situer), je n'ai reçu aucun vaccin, je n'étais pas convaincue de leur utilité mais déjà convaincue de leur toxicité !  – je me suis "débrouillée "   – très discrètement bien sûr…J'ai travaillé avec des tuberculeux, sans protection particulière, sans peur ; élève, j'ai vidé, nettoyé les crachoirs, sans gants bien sûr ; ils n'étaient pas à usage unique à cette époque ! Plus tard, j'ai soigné des malades du SIDA, avant les trithérapies, sans protection particulière non plus. Je n'ai JAMAIS attrapé de maladie contagieuse.
Anne-marie F.

 
Ce dont je peux témoigner c'est que j'ai exercé la profession de déléguée à l'information médicale des années 2000 à 2015 avec un secteur géographique majoritairement rural. Dans ce cadre, j'ai eu, à de multiples reprises, en période hivernale, l'occasion de passer de longs moments en salle d'attente close, avec une dizaine de personnes dont plusieurs consultaient pour bronchite, état grippal.. et je me souviens être sortie une fois parce que ça avait été particulièrement pesant, en me disant : "si je n'attrape rien, j'aurai de la chance". Au final, je ne sais ce qui était à l'œuvre, toujours est-il que sans jamais avoir été vaccinée, je n'ai jamais attrapé la grippe et même les rhumes ont été rarissimes. Ce qui est sûr ,c'est que je ne vivais pas quotidiennement dans la peur, qu'il n'y avait pas de masque, pas de mesures d'hygiène drastiques ni même parfois un simple lavage de main entre le serrage de main du patient qui sort et celui qui rentre, sachant que la plupart du temps c'était de la même porte qu'il s'agissait et que les patients se suivaient les uns après les autres.

  Édith C.

 
Un petit témoignage suite à votre appel : quand j'étais en CM2, en 1978/79, j'ai porté les devoirs pendant plusieurs semaines à une camarade qui avait une hépatite (jaunisse) A ou C je ne sais plus, qui était dite contagieuse. J'ai aussi porté les devoirs à une camarade qui avait une mononucléose. Dans les deux cas, nous avons joué ensemble tous les soirs, et je n'ai rien eu par la suite. J'ai aussi joué une journée avec des enfants qui avaient les oreillons sans rien avoir ensuite. A l'époque nous n'avions pas peur de ces maladies et ne prenions pas de précautions particulières. Il y a quelques années, mon fils a eu les oreillons et je n'ai rien eu non plus.

 Françoise J.

 
 
Infirmière en salle d’op,  j’ai du aller aux soins intensifs pendant le confinement pour aider les équipes. Compliqué de se retrouver dans un service qu’on ne connait pas et d’être efficace!! De tous les malades que nous avons eus et perdus, bien malheureusement, aucun membre de leur famille ne s’est retrouvé à l’hôpital, malade de ce covid, et personne dans le personnel n’est tombé malade. Ill est vrai qu’on a opté  pour des procédures difficiles à supporter  pour nous, mais comment se fait-il que les membres des familles de ces patients ne sont pas malades ? Une seule solution: ce n’est pas contagieux…. 

 Martine D.

 
Dans les années 60, j’avais attrapé une pneumonie et bien sûr ,  on restait chez soi avec les soins du médecin traitant .   Une amie d’école venait me voir et assise sur mon lit elle me demandait de souffler sur elle ( elle n’avait pas envie d’aller à l’école, comme ça peut arriver ….)  et bien sûr je le faisais .  On avait 14 ans ,  je crois .   Mais elle n’a jamais été contaminée !!!   Elle continuait donc à me donner les nouvelles des profs etc . En tout j’ai dû rester 6 semaines chez moi. Si j’ai bonne mémoire , j’avais comme thérapie un sirop blanc ( avec de la pénicilline ) et des tisanes .

Ariane Z.

 
 
 Mon mari souffre d’une maladie depuis son enfance qui lui donne entre autres une immunodépression. Il est donc malheureusement coutumier des infections ORL, bronchites et pneumonies. Au rythme de au moins une à deux grosses bronchites / pneumonies par an. J’ai pour ma part une santé de fer, je n’ai jamais eu peur de ses microbes et ai toujours été très proche de lui pour le soutenir dans ces moments difficiles. Embrassades, bisous et autres câlins sont toujours au rendez-vous! Je n’ai jamais porté de masque, de gants, désinfecté quoi que ce soit et je n’ai jamais, jamais été contaminée.

                      Garance B.   

 
 
Une amie est sortie 5 ans avec un séropositif qui a tout fait pour lui refiler  le HIV sans qu’elle le sache. Un détraqué.  Ils se sont quittés depuis. Elle va bien. Et lui est toujours là depuis 25 ans. Il va bien aussi.

Sylvie L.

 
Je travaille dans un foyer de vie pour adultes handicapés (70 résidents et +/- 40 professionnels). Fin février, nous avons eu quelques malades qui présentaient divers symptômes. Courant mars, quelques résidents ont déclaré les symptômes décrits concernant le covid, d'où suspicion. N'étant pas un foyer médicalisé pour adulte ni Ephad, pas de test concernant les résidents et pas de protection (blouses, masques…) pour les salariés. Me concernant, je n'ai jamais eu la moindre crainte et surtout la certitude de ne rien attraper. Mon corps (que j'écoute et ce depuis longtemps) est très réfractaire à l'allopathie, J'ai comme d'habitude utilisé des huiles essentielles, ainsi que du zinc et de l'argent colloïdal . Aujourd'hui 3 juin, je suis en pleine forme et pourtant depuis fin février et jusqu'à ce jour, beaucoup de résidents ont été malades, avec pour certains des hospitalisations. Je me refuse à porter un masque et à utiliser le gel hydro et ce pour diverses raisons. Je suis au contact de ses résidents depuis déjà plusieurs années avec tout ce que cela implique de maladies et au bonheur je n'ai jamais rien eu.

 Michelle. L
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2 commentaires

  1. Cher Monsieur Rasir,

    Je ne doute pas que la maladie n’est rien et que le terrain fait tout pour en avoir fait l’expérience moi-même. Mais je suis quand même très perplexe.

    Je vis en Asie, plus précisément aux Philippines. Dans ce pays, il n’y a ni hiver, ni été, juste une courte saison sèche.

    On ne peut donc pas vraiment parler de saison pour la grippe, qui touche ici aussi pas mal de gens chaque année, malgré l’absence de saison froide.

    Ainsi aussi, la crise Covid 19 n’est pas du tout en régression, malgré qu’on soit déjà au mois de juin. L’épidémie aurait même tendance à reprendre dut poil de la bête. Elle touche surtout les grandes villes, comme Manille et Cebu, et leur banlieue. Dans ces villes, le « confinement » et la « distanciation sociale » sont pour beaucoup une utopie : comment voulez-vous par exemple les appliquer lorsque vous vivez à 5, 6, 10… dans quelques m² d’une maison en tôle ? Sans compter que les Philippins sont loin d’être le peuple le plus discipliné.

    Parler d’absence de contagion et d’extinction naturelle de l’épidémie dans de telles conditions me laisse perplexe et contraire à la réalité, je vous l’avoue.

    Aujourd’hui encore, une de nos employées nous a témoigné que le père d’une de ses connaissances venait de décéder de la maladie, laissant toute la famille contaminée et en souffrance respiratoire. En l’occurence, ce n’est pas une famille logée dans un bidonville. Les membres de cette famille se sont donc rendu à l’hôpital, mais celui-ci est sursaturé à tel point qu’ils ont dû rester dans leur voiture durant de longues heures dans la chaleur en attendant de pouvoir être aidés. Bon, vous me répondrez que la peur et l’angoisse sont pour quelque chose dans cette « contamination », mais tout de même, je m’interroge.

    On nous a fait état aussi de personnes encore jeunes, apparamment en pleine santé, parties en deux jours à peine ! Laissant trop peu de temps aux médecins de tenter de les soigner.

    Je ne demande pas que vous me répondiez à ce message. Je ne vous donne d’ailleurs pas assez d’éléments pour le faire. Je voulais simplement témoigner des doutes qui m’assaillent et de ce qui se passe loin de l’Occident qui, je trouve, a trop souvent tendance à réduire le monde à lui seul.

    Bonne fin de journée.

    Thierry Braun.

    • Merci pour ces informations. Sous les tropiques, la grippe est présente toute l’année à plus bas bruit. Je ne nie pas qu’il y a eu un peu partout une épidémie (non contagieuse) de détresse respiratoire. Je vais parler de ça dans ma prochaine infolettre.

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