Kyste ovarien

Loredana m’explique qu’elle a un motif de préoccupation, parce qu’une échographie du bassin a révélé la présence d’un kyste ovarien (à gauche), d’une dimension assez grande. Son frère médecin lui conseille de suivre, avant l’intervention chirurgicale, un traitement hormonal. Mais elle ne veut ni un traitement hormonal ni une opération, elle veut comprendre et explorer d’autres voies. Lorsqu’elle m’explique ce problème, je comprends qu’elle est en phase active du conflit « peur de ne pas être assez féminine et de perdre son partenaire » : je me mets donc à sourire et je lui dis qu’elle a de la chance, parce que les kystes aux ovaires contribuent à la production d’hormones et qu’ainsi elle a un aspect plus beau et plus jeune que les autres femmes de son âge et j’ajoute qu’elle pourrait envisager de vivre toujours avec ce kyste en le considérant comme son élixir de jeunesse. Je lui dis que j’ai motif de croire qu’elle est amoureuse d’un homme et qu’elle sent le besoin de battre la « concurrence » d’une autre femme qu’elle considère plus attrayante qu’elle. Loredana se met à rire et me demande si je suis un devin. En effet, cela fait environ un mois et demi qu’elle est follement amoureuse d’un autre homme nommé Paolo ; mais le problème est que Paolo ne parvient pas à abandonner une histoire d’amour pourrie qu’il a avec une femme « qui n’est pas mal du tout». Je lui dis qu’à nouveau tout correspond et que son corps réagit de la façon la plus naturelle qui soit. Avec cette compréhension du problème, Loredana se tranquillise et elle commence à aimer son kyste, au point que lors de ses méditations, elle le visualise comme une source qui produit des hormones de jeunesse lumineuses. Elle en arrive à en parler à Paolo en lui fournissant l’explication de la Médecine Nouvelle. Paolo se sent responsable et lui jure qu’elle est la seule femme qui compte pour lui et qu’il n’y en a pas d’autres comme elle. Loredana se tranquillise totalement et l’échographie faite une cinquantaine de jours plus tard ne révèle plus rien d’anormal.

Pierre Pellizzari (Italie)

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