Editorial N°126

L’immunité mythique

Je me vaccine pour protéger les autres : derrière ce slogan adopté par les gouvernements pour imposer l’injection expérimentale, il y a la sacro-sainte notion d’immunité collective. Le fait de susciter une réaction immunitaire chez suffisamment de gens empêcherait l’agent infectieux de circuler et il s’érigerait ainsi une barrière invisible protégeant le reste de la société. La vaccination est présentée comme un geste altruiste et les réfractaires à cet acte médical sont taxés de sales égoïstes qui ne pensent qu’à leur pomme et mettent en danger les personnes pas encore vaccinées ou les immunodéprimées chez qui l’action du produit n’est pas garantie. Pour se défendre de cette accusation, de nombreux récalcitrants invoquent à leur tour l’immunité de groupe et revendiquent le droit d’y contribuer plus efficacement en affrontant le microbe à mains nues, l’immunisation naturelle étant plus solide et plus durable que l’artificielle. Si les stratégies divergent et s’opposent, les deux camps sont réunis dans la conviction qu’un parapluie immunitaire se déploie au-dessus de la collectivité dès lors qu’une majorité d’individus se sont frottés à l’agresseur via la seringue ou la contamination. Mais qui prend la peine d’interroger le postulat de départ ? Et qui est au courant qu’il s’agit d’une croyance sans grand rapport avec la science ? 

Le concept de protection grégaire n’est en effet rien de plus qu’un mythe, un narratif inventé en même temps que les vaccins pour leur attribuer de fausses victoires. En réalité, personne n’a jamais su expliquer pourquoi les épidémies viennent et s’en vont, s’allument et s’éteignent. C’est seulement depuis Pasteur que lui-même et ses émules ont imaginé que l’injection du germe atténué permettait de freiner et de flinguer les fléaux à partir d’un certain seuil d’inoculations. Les adeptes de cette théorie oublient un peu vite que des maladies comme la peste, le choléra ou la scarlatine ont déserté nos pays sans l’aide de la vaccination. Ils oublient ou ignorent aussi que les maladies prétendument éradiquées par un vaccin (diphtérie, tuberculose, polio…) s’essoufflaient avant son arrivée et auraient disparu sans lui. Ils feignent également d’ignorer que les vaccins antiviraux ont manifestement échoué puisqu’aujourd’hui, les flambées de maladies virales (polio, rougeole, coqueluche, oreillons…) se produisent systématiquement dans des populations hypervaccinées. Même totale, la couverture vaccinale n’empêche pas la résurgence des affections qu’elle est censée étouffer. À l’inverse, la grippe saisonnière s’estompe et s’évanouit chaque année sans que l’immunisation par vaccination ou infection puisse expliquer la régression. De toute évidence, l’immunité collective est une fiction que rien ne vient confirmer dans la réalité. Par la grâce d’un célèbre virus couronné, il va pourtant bien falloir regarder cette dernière en face !

La pseudo-pandémie de covid apporte en effet des océans d’eau au moulin de ceux qui ne croient pas à l’immunité de troupeau et mettent en avant la primauté du terrain individuel. En lisant le dossier de Pryska Ducœurjoly, vous allez voir que la notion de protection grégaire n’a pas résisté à cette crise sanitaire. Elle ne tient plus debout car elle est allègrement démentie par les faits. « C’est un concept flou », comme le reconnaît Didier Raoult. Non seulement la solution vaccinale est un échec magistral – les injectés peuvent contaminer et être contaminés – mais la maladie elle-même ne s’avère pas du tout immunisante. Vaccinés comme non-vaccinés subissent parfois des ré-infections à intervalles très rapprochés. Ce qui nous met en joie, c’est que l’effondrement du mythe « collectiviste » s’accompagne forcément de la remise en cause du paradigme pasteurien dans son ensemble. En démontrant que le fameux R0 est une fumisterie et que les courbes exponentielles ne sont pas au rendez-vous, le chercheur indépendant François Jortay, le statisticien Pierre Lécot ou le mathématicien Vincent Pavan remettent en question la notion même de contagion. Ce n’est clairement pas un virus qui attaque et se propage depuis bientôt 3 ans, c’est tout autre chose ! Les vrais facteurs pathogènes restent à identifier mais vous savez que Néosanté privilégie la piste du vaccin antigrippal. Dans son dossier, Pryska mentionne justement que notre suspect principal est coincé par une nouvelle étude : plus on vaccine contre influenza, plus il y a de décès attribués au corona. Il n’est que temps de se pencher sur le contenu des fioles. 

Yves RASIR

 

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