Editorial n°116

Autre brelan de dames

Ce mois-ci encore, nous modifions légèrement le canevas habituel du mensuel pour mettre trois femmes à l’honneur. Le nom de la première, Corinne Lalo, ne vous dit peut-être pas grand-chose. C’est normal car cette journaliste indépendante française fait de l’excellent boulot et n’est donc pas très (re)connue par une société qui préfère honorer des médiacrates médiocres et un « quatrième pouvoir » à la botte des trois autres. Il y a dix ans, Corinne Lalo avait pourtant déjà frappé un grand coup avec son brûlot « Le Livre noir du médicament », un livre qui apportait les preuves de l’emprise démesurée des laboratoires pharmaceutiques sur le système de santé et qui dévoilait que les médicaments font, chaque année, quatre fois plus de victimes que les accidents de la route. Il y a deux ans, dans un deuxième ouvrage, la journaliste expliquait pourtant que cette tragédie était facilement évitable puisqu’il était possible – c’était le titre de son second essai – de « Se soigner sans médicaments de A à Z ». Aujourd’hui, elle revient avec un livre-enquête sur « Le Grand Désordre hormonal » provoqué par la pollution chimique et les innombrables perturbateurs endocriniens largués depuis des décennies dans l’environnement. Via les plastiques et les pesticides, bien sûr, mais aussi via de nombreux médicaments ! Dans son bouquin, Corinne Lalo révèle d’ailleurs que le banal paracétamol figure parmi les grands fauteurs de troubles hormonaux, ce qui vient tout juste (lire page 4) d’être confirmé par une équipe internationale d’experts. Comme quoi, la consigne des autorités nazitaires de rester chez soi et de prendre du Doliprane pour « soigner » le covid était également un attentat terroriste contre notre système hormonal et notre immunité, les deux étant étroitement interreliés !
 
Le nom de Pamela Acker ne vous dit probablement rien. Et c’est normal aussi car cette biologiste américaine vient seulement de sortir de l’ombre en signant son premier livre « Les vaccins en question ». À mes yeux, cette jeune femme est une véritable héroïne de notre temps. Alors qu’elle s’était spécialisée dans le séquençage génomique et qu’elle avait entamé une thèse de doctorat sur une nouvelle façon d’administrer des vaccins génétiquement modifiés, la brillante chercheuse étasunienne a tout laissé tomber et a renoncé à la prestigieuse carrière universitaire qui s’offrait à elle, voire à un parcours très lucratif dans l’industrie car son talent et ses connaissances n’auraient pas manqué d’attirer les convoitises. Raison de son renoncement ? Elle avait découvert que les lignées cellulaires sur lesquelles elle travaillait étaient issues d’organes prélevés sur des fœtus avortés. Plutôt que de cautionner ce scandale moral, Pamela Acker a préféré sacrifier ses ambitions et se contenter d’enseigner les sciences dans différents établissements secondaires ou supérieurs. Dans son ouvrage préfacé par Alexandra Henrion-Caude, la scientifique ne se borne cependant pas à dénoncer une sordide réalité et à faire valoir ses scrupules éthiques motivés par sa foi chrétienne : elle remet en question son ancienne passion et s’interroge sur d’autres aspects de la vaccination. La sécurité ? Au-delà de leurs risques immédiats, elle estime que les vaccins affaiblissent l’immunité naturelle des populations et entraînent ainsi leur vulnérabilité accrue. L’efficacité ? Il n’est plus du tout évident pour elle que l’immunisation vaccinale procure le moindre avantage en termes de santé publique. Le système immunitaire humain est tellement complexe qu’il est vain de vouloir l’imiter et d’espérer le manipuler. La nature est trop bien faite et Pamela Acker a désormais conscience que la fausse science vaccinaliste est précisément dépourvue de conscience et qu’elle se base sur des fantasmes transhumanistes délirants. Parce que son livre tombe à pic en pleine campagne d’injections expérimentales contre le covid, Néosanté vous en propose un large extrait dans ce numéro (lire page 27 et suivantes) et dans celui de décembre. Ses lecteurs comprendront mieux pourquoi le déclenchement artificiel d’une réaction anti-corporelle ne peut en aucun cas être assimilé à une protection performante et durable face à la maladie.
 
En lisant l’interview de la troisième dame du brelan (pages 12 à 14), vous aurez une occasion supplémentaire de réaliser combien le scientisme médical moderne est ancré dans un détestable « mythe du progrès » supposant très bêtement que nos lointains ancêtres étaient moins intelligents que nous. La journaliste Frederika Van Ingen a déjà écrit plusieurs ouvrages sur ce qu’elle appelle les « peuples racines », c’est-à-dire les peuplades dites primitives (Kogis, Bushmen, Maasaï, Lakotas…) qui ont conservé un savoir phénoménal et des traditions immémoriales. On lui doit notamment « Ce que les peuples racines ont à nous dire de la santé des hommes et de la santé du monde », ouvrage paru en 2020. Dans son nouveau livre, Frederika continue de rendre justice à ces tribus fabuleusement connaisseuses de la nature et de ses ressources thérapeutiques, mais elle nous en transmet cette fois les leçons pratiques. Les moyens qu’elles emploient au quotidien pour se maintenir en santé et dont la science a aujourd’hui vérifié la pertinence et l’efficience. Se reconnecter avec la nature et revivre en harmonie avec notre Terre-Mère, c’est vraiment l’urgence que la « crise sanitaire » vient nous rappeler et nous suggérer de mettre en actes. Bonnes lectures et surtout bonnes actions de reconnexion !
 
Yves Rasir

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