Éditorial n°105

Les covidistes sont fous. Et foutus ?

Une fois encore, le canevas habituel de ce numéro est quelque peu bousculé pour cause d’actualité brûlante. Nous sacrifions provisoirement le Cahier Décodages pour vous offrir des outils de décryptage de la grande mascarade Covid-19. Comme nous l’avions malheureusement prévu dans nos infolettres, le retour des syndromes grippaux automnaux et la saturation tout aussi saisonnière des hôpitaux servent de prétextes à une deuxième vague de délire catastrophiste et de surenchère liberticide. Sous l’impulsion des virocrates et de leurs serveurs de soupe déguisés en journalistes, les gouvernementeurs et leurs commanditaires poursuivent le massacre de l’économie réelle et la destruction des libertés au nom d’une urgence sanitaire pour le moins discutable : s’il y a surmortalité globale en fin d’année, ce qui n’est pas encore prouvé, tout porte à croire que cet excès de décès découlera de la réponse à l’épidémie et non de la maladie elle-même. En guise de lunettes pour voir clair, nous avons finalement imprimé (pages 28 à 30) l’interview détonante que nous a accordée cet été François Jortay. Dans son analyse fouillée publiée sur Konfedera.org, ce chercheur indépendant démonte implacablement la mécanique de ce qu’il appelle le « covidisme», sorte de religion antiscientifique fondée sur les erreurs monumentales de ses « prêtres-experts ». Et à la fin de sa démonstration, il pose la vraie question qui s’impose : pourquoi les autorités politiques ont-elles cédé à la panique et décidé de terroriser la population ?

Taxés invariablement de complotistes, certains farouches opposants à la 5G ont déjà proposé une réponse : la « plandémie » serait une opération psychologique destinée à maquiller l’installation forcée de cette technologie numérique sans fil. Dans son enquête (lire pages 5 à 12), Pryska Ducœurjoly aborde les aspects inquiétants du dossier en termes de santé mais nous avertit que le passage à la 5G est porteur d’une menace encore plus grave : la possibilité de « tracer » tous les habitants de la terre et de les surveiller partout en permanence, comme le fait déjà la dictature communiste chinoise avec ses citoyens. Non sans raison, Pryska insiste également sur un versant méconnu du saut technologique en cours, à savoir la scandaleuse pollution visuelle qu’il engendre : si on laisse faire, il ne sera bientôt plus possible de distinguer les étoiles des milliers de satellites déployés dans l’espace. C’est la voûte céleste qui est en train d’être privatisée au profit de quelques milliardaires psychopathes à la Elon Musk ! Il faut être aveugle pour ne pas voir que le consentement à cette folie est fabriqué grâce au pseudo-fléau infectieux et à la paranoïa qu’il suscite. « La peur permet de tuer le libre arbitre », explique la psychologue et philosophe Ariane Bilheran dans l’interview qu’elle nous a accordée (lire pages 16 à 18). Et cette docteure en psychopathologie estime que la psychose actuelle constitue un « moment paranoïaque », c’est-à-dire une « décompensation de la folie au sein du réel, avec une extension de la contagion délirante fonctionnant à l’illusion collective ». La gigantesque manipulation de la masse à laquelle nous assistons aurait pour but de s’assurer sa soumission et de faire en sorte « qu’elle ne se rende pas compte qu’elle est traitée comme du bétail ». Sur son site www.arianebilheran.com, l’écrivaine-thérapeute va encore plus loin et nous prévient que la paranoïa pandémique va inéluctablement mener au totalitarisme mondial et à une tentative de mise en esclavage de l’humanité. Rien que ça !

Paradoxalement, Ariane Bilheran ne verse pourtant pas dans le pessimisme. À ses yeux, les moments totalitaires permettent aussi la révélation de ce qu’il y a de mieux chez l’être humain. Des « profils héroïques » sont en train d’émerger qui développent une énorme force intérieure et une foi vibrante dans le vivant, dans la victoire finale des énergies de vie. L’effondrement de notre civilisation est inexorable mais les graines d’un monde neuf sont déjà en train de germer ! Cette vision optimiste est comparable à celle de l’ingénieur physicien Philippe Guillemant. Cela fait longtemps que nous souhaitions vous parler des hypothèses originales de ce scientifique atypique. Selon lui, la linéarité du temps est une pure illusion et ce n’est pas seulement le passé qui influence le présent, le futur aussi agit sur lui ! C’est ce qu’il appelle la rétrocausalité et c’est ce qui expliquerait le phénomène des synchronicités, ces étonnantes coïncidences porteuses de sens pour leurs bénéficiaires. Cette fascinante théorie quantique est très bien vulgarisée dans le livre « Se souvenir du futur », largement inspiré des travaux de Philippe Guillemant. Depuis le début du Corona Circus, le chercheur du CNRS s’indigne de l’hystérie ambiante et des mesures de plus en plus ubuesques qui nous sont infligées. Mais il propose aussi une lecture très encourageante des événements : pour lui, ils sont le signe d’une sorte de chant de cygne du scientisme et du transhumanisme voués à l’échec. C’est un « futur foutu » qu’il désigne par le joli mot-valise de « foutur », autrement dit un avenir qui n’a pas d’avenir et dont cette crise sonne en quelque sorte le glas. Dans l’interview qu’il a accordée à Emmanuel Duquoc (voir pages 14 et 15), Philippe Guillemant va jusqu’à considérer le coronavirus comme un bienfait préludant à l’éveil des consciences. Sous la folie, la sagesse ? Acceptons-en résolument la promesse.

 

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