Deux livres qui libèrent

Ce n’est pas pour rien qu’en latin, le mot « liber » signifie à la fois « livre » et « libre ». Si la langue française a conservé la consonance entre les deux termes, c’est sans doute aussi parce que l’écrit est un outil de connaissance et que le savoir est une arme de libération. La force libératrice d’un livre a toujours fait peur aux tyrans qui brûlent ou interdisent les ouvrages menaçant leur pouvoir. De nos jours, pas besoin d’autodafé pour maintenir les foules dans l’ignorance de la vérité. Il suffit aux despotes de contrôler les médias et de passer sous silence les parutions qui dérangent. Je parie dès lors tout ce qu’on veut que les journaux et les télés ne vont pas parler des deux essais dont Néosanté salue ce mois-ci la sortie. Ces deux bouquins traitent des vaccins et leur contenu subversif et explosif ne peut qu’effrayer les gardiens du dogme pasteurien.

Le premier porte un titre pour le moins étrange : on ne voit pas trop ce que veut dire l’image « des tortues jusqu’en bas ». Pour que le lecteur la comprenne bien, nous avons donc inclus dans les extraits publiés en primeur et en exclusivité (lire page 5 et suivantes) un encadré expliquant la métaphore « tortueuse ». La science des vaccins est semblable à un empilement de carapaces, autrement dit à un édifice brinquebalant. Celui qui prend la peine d’explorer les fondations découvre ainsi que le slogan « les vaccins sont sûrs et efficaces » ne repose sur rien de solide. Le château est en carton et ses piliers de tortues empilées sont en déséquilibre sur des sables mouvants. C’est surtout le mythe de la sécurité que le livre dézingue méthodiquement. Ses auteurs israéliens ont passé en revue toutes les études censées garantir l’innocuité des produits injectés pour découvrir qu’en réalité, l’absence de toxicité n’est absolument pas assurée. Elle ne l’est pas parce que les essais cliniques sont manipulés de telle sorte que les effets indésirables ne puissent être repérés. Il y a plusieurs manières de truquer les tests sur cobayes humains mais la plus courante consiste à inoculer un « faux placebo » au groupe contrôle. Celui-ci n’offre donc plus la possibilité d’observer le contraste avec le groupe traité et la manœuvre permet de simuler des bénéfices tout en camouflant les risques. Bingo pour l’industrie dont les saloperies en seringue sont ainsi autorisées sans avoir été sérieusement testées. Pour leur brûlot publié initialement en hébreu, les rédacteurs de « Des tortues jusqu’aux bas » ont passé au crible toutes les valences inscrites au calendrier vaccinal américain et n’en ont trouvé aucune qui réponde aux standards de la bonne science ! On peut comprendre que les lanceurs de cette bombe de papier aient préféré garder l’anonymat car son explosion ne va certainement pas plaire à la pharmafia…

Il en va de même pour le livre «Antivax toi-même ! », dont le titre ironique et volontairement provocateur ne doit pas faire oublier la grande rigueur et la robustesse scientifique. S’il écrit sous pseudonyme et ne veut pas apparaître en public, ce n’est pas parce que Xavier Bazin cherche à fuir la controverse et ses responsabilités de journaliste engagé. Sous réserve de ne pas révéler son vrai nom et de ne pas le prendre en photo, c’est sans hésiter qu’il a accepté de répondre aux questions de Pryska Ducœurjoly (lire page 27 à 31). Comme il le raconte lui-même, Xavier n’était pas du tout destiné à devenir un pourfendeur des vaccins, ni même à exercer son esprit critique sur la vaccination. Il est né dans un milieu où l’on ne se posait pas de questions et où l’on se soumettait docilement aux injections . Même quand il s’est spécialisé dans la santé naturelle, l’éditeur de la revue Santé Corps Esprit n’a pas usé de sa plume talentueuse pour s’en prendre à l’immunisation artificielle. Aujourd’hui encore, il refuse d’être catalogué « antivax ». Il veut juste informer avec honnêteté et dans le respect des règles du métier, notamment celle de s’appuyer sur des sources fiables et concordantes. La « crise sanitaire » et sa gestion catastrophique auront fait office pour lui d’électrochoc. Avec une puissance de travail et un don de vulgarisation que j’admire beaucoup, il a d’abord exposé la grande arnaque des vaccins covid avant de creuser le sujet et d’exploser la doxa des autres vaccins « sûrs et efficaces ». Fruit de sa longue enquête, son livre délivre magistralement de cette double illusion qui a fait son temps.

Yves Rasir

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