On dit du squelette qu’il est la charpente du corps. Ce n’est pas qu’une image, car les os sont les tissus les plus résistants de l’organisme, qui ont pour rôle de le soutenir, d’en supporter le poids et d’en protéger les organes. Aussi est-il logique – tous les « experts » en décodage en conviennent – qu’une pathologie osseuse soit la manifestation somatique d’une profonde dévalorisation, d’une perte d’estime de soi tellement sérieuse qu’elle affecte la structure même de l’être humain. Bien sûr, chaque partie du squelette correspond à un conflit psycho-émotionnel bien spécifique. Et comme toute partie du corps est forcément voisine d’un os ou d’une articulation, l’étude de cette charpente ouvre aussi la porte à la compréhension d’autres symptômes et maladies. Ostéopathe formé également au symbolisme et à la psychogénéalogie, Thibault Fortuner s’est lancé dans ce vaste travail d’identification des stress individuels ou familiaux reliés aux os et aux articulations. Il vient d’en faire un livre intitulé « Au Fil des Os » (*) dont, pour Néosanté, il a accepté de résumer le propos. Lire la suite