En finir avec la maladie parodontale

Lors du dernier symposium mondial de parodontologie, on a pu lire en introduction d’un article rédigé par l’équipe de parodontologie de Marseille : « Un malade atteint d’une maladie parodontale, quel que soit le type de traitement qu’on lui administrera, même couronné de succès, restera un malade atteint d’une maladie parodontale… ».

Dans le même esprit, nous pourrions affirmer, qu’une personne atteinte d’un rhume, quel que soit le traitement qu’on lui administrera, même s’il est couronné de succès, restera un un malade atteint d’un rhume…

Ceci peut être vrai si l’on considère toujours les destructions parodontales comme la conséquence d’une « maladie d’origine bactérienne auto-immune » qui aboutit à la perte des dents.Mais il suffit de changer d’angle de vision, pour changer d’avis et guérir définitivement ces pathologies.

CE QUE NOUS SAVONS ET QUI POURRAIT NOUS FAIRE CHANGER DE PARADIGME…

                        Sur LES MICROBES impliqués dans ces pathologies.

– Les bactéries (cyanobactéries) qui sont des « procaryotes» sont apparues il y a 3,5 milliards d’années , alors que les mammifères sont apparus il y a seulement 250 millions d’années, les Hominidés, 230 Millions d’années et les homo sapiens 100 000 ans….

  •  Au niveau planétaire, les Eucaryotes, dont nous faisons parti, au même titre que l’ensemble des animaux et végétaux, ne constituent qu’une infime partie d’un ensemble regroupant microbes et Eucaryotes.

Notre corps est composé de 1000 MILLIARDS de cellules environ, mais notre peau et notre tube digestif hébergent 100 fois plus de microbes!

De 10 à 100 000 milliards !

Nous ne représentons que de 1 à 10% de l’ensemble des cellules qui composent cet ensemble hybride « primate-microbes » comme nous nomment les micro-biologistes.

Ce que nous ne voyons pas est la partie « microbes », ce que nous voyons est la partie primate…la partie microbes constitue de 90 à 99% de l’ensemble !

Et c’est plus souvent la partie que l’on voit qui est encline à agresser, et faire la guerre!!

– Nous savons depuis peu que nous hébergeons quelques 10¹⁴ bactéries dans le tube digestif (cent milliards de bactéries par gramme de selle…), soit un kilo de bactéries dans un intestin humain adulte.

  • Flore très diversifiée, 1000 espèces différentes.
  • Ce « métagénome intestinal », est aujourd’hui considéré comme un organe à part entière.
  • Notre corps héberge toutes les bactéries impliquées dans des pathologies importantes, sans que nous développions de maladies (staphylocoques dorés, streptocoques beta hémolytiques …)
  • Gram négatifs…

-Tout se passe bien tant que ces microbes résident à l’extérieur, et nous à l’intérieur…!

LE MESSAGE à retenir, est que l’organisme humain, qui est apparu au milieu de bactéries, il y a plusieurs milliers d’années, a évolué avec et grâce à elles.

Il a acquis avec le temps toutes les ressources pour s’en défendre, si à l’occasion, elles pénétraient dans son intérieur:

                        Sur l’immunité .

Il est prouvé que c’est l’action de l’immunité par les lipopolysaccharides présents à la surface des bactéries Gram Négatif, qui va activer la destruction des tissus parodontaux et notamment le tissu osseux , par l’activation des ostéoclastes.

Cette action de l’immunité a peut être un sens biologique…

Il est aussi prouvé que l’immunité est sous la dépendance du stress: chocs émotionnels , stress chronique …

                  Au niveau de la TUNIQUE « PEAU-MUQUEUSES » qui protège les organes vitaux.

Cet ensemble « peau-muqueuses » possède deux caractéristiques importantes:

  • Etanchéité: à tout ce qui vient de l’extérieur, et notamment les microbes, mais aussi empêche l’eau de sortir du corps…
  • Cicatrisation spontanée.

La peau et les muqueuses constituent la première défense « physique » des organes vitaux, comme les murs d’une maison protègent l’intérieur de la maison.

  • La peau et les muqueuses enveloppent, et protègent les organes vitaux
  • Les dents lors de la croissance du nourrisson et du jeune adolescent, vont traverser la muqueuse buccale, on dit populairement qu’elles « percent »

La muqueuse buccale est alors très fermement adhérente à la racine, constituant un joint étanche.

L’émail est lui aussi, dans des conditions normales, étanche aux bactéries.

Chaque dent est responsable d’une partie de l’étanchéité de cet ensemble, peau-muqueuses, puisqu’elles font partie de cette tunique de protection, en la traversant.

On peut alors considérer que l’étanchéité de l’ensemble peau-muqueuses, sera dépendant de l’étanchéité des dents.

Les chirurgiens dentistes dans leur pratique, n’ont que trois pathologies principales à traiter: carie, fractures dentaires, atteinte des tissus mous (parodontopathies)

Ces 3 pathologies constituent des pathologies d’étanchéité…

La conséquence étant la perte d’étanchéité au niveau de l’ensemble peau-muqueuses.

            – La carie constitue par elle même une perte d’étanchéité au niveau de cette tunique de protection, que constitue l’ensemble peau-dents-muqueuses, puisque les microbes peuvent pénétrer l’organisme en empruntant les canaux radiculaires.

Lors du processus carieux, par exemple, le chirurgien dentiste, va tenter de reconstruire la partie délabrée de la dent, pour lui permettre de retrouver sa fonction, mais en même temps doit permettre à la couronne dentaire de retrouver son étanchéité.

Il en est de même, lorsque le processus carieux, est allé jusqu’à l’atteinte de la pulpe dentaire, il aura pour mission, d’obturer les canaux de la dent, pour empêcher les bactéries de pénétrer au delà, vers les organes vitaux.

            – Il en est de même pour le processus parodontal :

Une fois que l’attache épithéliale est rompue, autour de la racine, il convient d’agir pour retrouver l’étanchéité naturelle autour de la dent.

            – Idem pour les fractures, avec toute fois plus de risque d’extraction de la dent.

En cas d’effraction de cette tunique à n’importe quel endroit de celle-ci, et en cas de pénétration de microbes en profondeur, il va se déclencher une réaction de l’organisme connue depuis deux siècles : 

                           LE PROCESSUS INFLAMMATOIRE…

Il est intéressant de noter que n’importe quelle bactérie ou microbe, déclenchera la réaction immunitaire …

Et non, seulement des bactéries responsables d’une quelconque « maladie » fusse-t-elle  « Parodontale »…

Ce processus inflammatoire présente 5 signes connus:

  • Gonflement.
  • Chaleur.
  • Rougeur.
  • douleur.
  • Impotence fonctionnelle.

Pour qu’il y ait pénétration de microbes à l’intérieur de l’organisme, il faut qu’il y ait effraction de la tunique de protection, peau/muqueuses/dents.

Lors de la pénétration de microbes à l’intérieur de la peau et des muqueuses, il s’en suivra une lutte des défenses de l’organisme contre ces microbes, avec pour résultat des « morts » des deux côtés, le produit de ces combats est aussi connu, puisqu’il constitue le pus, qui sera évacué plus ou moins rapidement selon la profondeur de l’infection, cette évacuation peut se faire en quelques jours ou quelques semaines.(fistule)

C’est exactement ce que l’on retrouve, soit à la suite d’une infection, par les canaux dentaires, soit par une infection par le ligament alvéolo-dentaire.

Nous savons depuis de nombreuses années qu’il existe un « Bactériocycle » stéréotypé:

Sur une blessure cutanée on va trouver, en faisant des prélèvements successifs, des résidents cutanés, puis des Gram positifs qui auront chassé les premiers, puis des gram négatifs, qui auront chassé les seconds et lorsque la plaie aura cicatrisée, nous retrouverons des résidents cutanés…il s’agit d’un cycle connu.

Tous les microbes se trouvant au niveau d’une plaie, (sauf faute élémentaire d’hygiène), proviennent du patient…cette colonisation par les microbes est un processus biologique normal.

L’utilisation d’antiseptiques au niveau de la plaie est contre indiquée en première intention, car les microbes résidents ont un rôle important dans le nettoyage des plaies…

Il n’est pas utile de réaliser un prélèvement bactérien, sauf en cas d’extension de l’infection, au niveau logo-régional, ou général (fièvre), pour en déterminer l’antibiogramme, et mettre en place un traitement antibiotique adapté, tel est notre véritable rôle.

Si l’on suit l’évolution, de la perte des dents suite à une atteinte parodontale, nous pourrons constater :

  • Tout d’abord une rougeur caractéristique au niveau de la muqueuse, identique à toute rougeur suite à une blessure.
  • un gonflement des gencives, et un saignement.

A ce stade nous pouvons parler de gingivite…

Il n’y a qu’un seul signe pathognomonique d’une parodontite, il s’agit tout simplement de la perte d’attache autour de la racine.

A ce stade là personne ne peut affirmer que les lésions sont d’origine bactérienne…

Bien entendu, il y a des bactéries qui vont tenter de pénétrer dans cet espace.

Il y a très certainement lésion préalable de la muqueuse, comme lors de toutes blessures.

On peut affirmer sans prendre trop de risque, qu’aucun patient qui consulte un cabinet dentaire, et qui serait porteur d’une lésion parodontale , n’a un jour de sa vie, rencontré un chercheur qui pourrait affirmer qu’une ou plusieurs bactéries, du groupe rouge , orange ou vert ,ont « attaquées » la muqueuse gingivale.

 Et pourtant il y aurait à en croire ces mêmes chercheurs, quelque 90 % de la population Française qui serait atteinte de cette pathologie…même la Covid n’est pas arrivée à ce score!

Qui peut prouver sur un patient lambda que l’étiologie est bactérienne, et que cela constitue une maladie?

Si personne n’intervient suite à la pénétration des bactéries dans cet espace, les bactéries vont s’installer sur les racines en couches superposées , constituant un biofilm.

L’organisme ne peut se défaire de ce biofilm.

Sous l’effet de l’immunité l’os autour des dents va se détruire.

La dent va, progressivement se « déchausser », c’est à dire, que nous verrons la hauteur de gencive diminuer, et apparaitre les racines dentaires: signe de perte osseuse.

Comme nous l’avons dit plus haut , cette perte osseuse est orchestrée par l’immunité, qui va activer les ostéoclastes.

Avec ce processus, le patient, présentera des saignements des gencives, un oedème des douleurs, liées, à la fois, au processus de défense inflammatoire, et des douleurs liées, au fait que les racines dentaires sont exposées à l’extérieur de l’os et de la gencive, et donc subissent des stimulis (chaleur, froid, acidité, contacts…).

Plus tard, nous verrons apparaitre une légère mobilité, qui s’amplifiera, sous l’effet de la mastication, entre autres, et à la fin du processus, la perte de la dent.

Durant cette période, nous retrouverons aussi une impotence fonctionnelle, le patient aura du mal à s’alimenter correctement, et même à déglutir, et s’exprimer correctement.

Il est facile dobserver qu’au moment où la dent tombe, suite à tout ce processus biologique, que l’on appelle encore à tord « maladie » parodontale, naturellement, on remarquera, que les saignements sont quasi inexistants, et que la muqueuse buccale a retrouvé son intégrité …c’est à dire son étanchéité. (épithélialisation autour de la racine.)

Il est d’ailleurs étonnant que dans la littérature de nos chercheurs, ce phénomène , n’ai quasiment jamais été observé, ni analysé…

Or il est plus facile d’observer le moment de la chute de la dent, que celui de la pénétration des bactéries dans cet espace biologique…

Il est facile d’observer que lorsqu’on laisse évoluer une parodontopathie jusqu’à la perte de la dent, celle ci tombe sans quasiment saigner, et que la muqueuse se referme très rapidement…

Le processus qui vient d’être décrit est le même que lors de n’importe quel processus de cicatrisation.

                                    LA CICATRISATION

Il y a bien eu cicatrisation, au niveau de la muqueuse.

Et plus aucune bactérie ne sera alors capable de franchir la barrière de la « peau-muqueuse», sauf en cas de nouvelle blessure, comme par exemple, lors de la pose d’un implant….

Le processus inflammatoire que l’on nomme « maladie » parodontale , reprend tous les critères du processus inflammatoire, que l’on retrouve lors d’une blessure cutanée, et qui s’achèvera par la cicatrisation spontanée de la blessure.

Alors si la perte de la dent permet de maintenir l’étanchéité de l’enveloppe qui nous protège, il convient de parler de cicatrisation d’une blessure et non de « maladie d’origine bactérienne » ou de « maladie auto-immune », comme c’est le cas.

A moins que l’on puisse dire que la cicatrisation constitue une maladie…?!

Il en est donc de même pour le processus carieux:

En effet la carie dentaire serait provoquée entre autres causes, par la transformation des hydrates de carbone en acides par les bactéries, ce qui entraine la déminéralisation de l’émail qui recouvre la dent.

La même action d’un acide sur la peau, qui est un autre tissu que l’émail, constituerait une blessure et non une maladie, il en est alors de même pour la carie, il s’agit plutôt d’une blessure, et la cause serait alors l’alimentation, et non les bactéries elles mêmes, on ne peut alors admettre de lutter contre la carie, qu’avec une simple action anti-bactérienne, il convient d’agir sur la cause alimentaire.

Mais le processus carieux peut avoir aussi d’autres causes, comme des chocs répétés , comme lors de n’importe quelle pathologie sportives par exemple.

La première chose qu’il nous faut alors repenser, afin de gérer au mieux les pathologies dentaires , consiste en l’idée que nous sommes plutôt devant des blessures, qui induisent des pertes d’étanchéité, de l’émail, pour les caries, et des gencives pour le processus parodontal, et non de maladies d’origine bactérienne .

Et accepter l’idée que nous perdons les dents parce que nous sommes en bonne santé, plutôt que malades…!

Il en va de même d’ailleurs pour la péri-implantite…

Nous cicatrisons à l’identique, que nos ancêtres lointains, les australopithèques.

Ce processus biologique n’a fait aucun progrès depuis les premiers hommes, et, il est redoutablement efficace.

Les progrès médicaux, ont eu juste pour résultats d’éviter autant que faire se peut les complications des blessures, voire éviter la mort au blessé.

L’immunité ne peut pas éliminer les bactéries organisées en biofilm qui recouvre la racine dentaire, alors que les mêmes bactéries en mode planctonique, sont immédiatement détruites, car connues depuis des millions d’années par l’organisme.

L’organisme ne peut que détruire l’os, qui entoure la racine.

La racine dentaire devient un corps étranger car recouvert de bactéries, et qu’il convient de retirer pour retrouver une étanchéité, il y a un sens biologique, à cela.

Et si l’on voulait déplacer un arbre sans en sectionner le tronc , il nous suffirait d’enlever la terre qui se trouve autour de ses racines….c’est exactement l’action de l’immunité autour des racines dentaires…

Mais c’est aussi ce que réalise le chirurgien dentiste lorsqu’il extrait la dent de son patient…il va accélérer le processus.

Je n’extrais plus de dents lors d’un processus parodontologique, l’organisme le réalise bien mieux que nous.

Le fait de considérer que l’on soit face à des blessures, va nous obliger à nous consacrer aux véritables causes de ces blessures, et non d’avoir juste une action anti-bactérienne, autant inefficace que  dangereuse pour l’équilibre de la flore bactérienne.

LES CAUSES DES BLESSURES DENTAIRES ET MUQUEUSES.

  • L’émotionnel:

Les effets délétères du stress prolongé sur la santé générale ont été prouvés.

Il y a une relation entre l’immunité et les processus hormonaux( Cortisol…) lors du stress.

Il y a une modification du comportement lors de stress, avec prise plus importante de produits  tels alcool, tabac…ou antidépresseurs.

Lors de stress important il y a aussi augmentation du « serrage » de dents, augmentant la force exercée sur celles ci en intensité et dans le temps.

  • les dents malpositionnées.

Peu de patients ont des dents naturellement alignées présentant de fait, un rapport traumatique avec leurs antagonistes.

Il convient, et c’est notre métier, d’aligner leurs dents.

De nombreux patients qui nous consultent présentent des arcades avec des dents manquantes.

Les forces de mastication quant à elles sont toujours très importantes, et ces forces très souvent, s’exercent sur des dents de moins en moins nombreuses et de plus en plus fragiles…

Le serrage des dents qui fait intervenir ces forces importantes, s’exerce aussi sur des dents qui ne sont pas dans des positions, ou des axes normaux, il y a alors souffrance des tissus dentaires, durs ou mous.

Le fait même que les dents ne soient pas alignées, au sein d’une même arcade, détermine des zones d’accumulation de plaque dentaire, qui est irritative au niveau de la gencive.

L’hygiène naturelle, réalisée par la fonction masticatoire, le passage de la langue sur les surfaces dentaires, et l’action de la salive, est de fait abaissée.

L’ensemble Stress/malpositions dentaires/secteurs édentés, est déterminant pour l’apparition de blessures parodontales , mais aussi sur les tissus durs.

  • les actes iatrogènes liés à l’exercice même de la chirurgie dentaire.

                        – prothèses mal adaptées.

                        – soins inadaptés à une bonne étanchéité dentaire et/ou parodontale.

                        – traitement d’orthodontie, mal conduit, avec des méthodes inadéquates. (Hygiène impossible, forces mal gérées, extractions dentaires non obligatoires…)

  • Plan de traitement inadapté à la situation.

                        – secteurs édentés non traités.

Les arguments en faveur de l’alignement des dents au sein d’une même arcade et le rétablissement de rapports idéaux entre les dents des deux arcades sont évidents:

            – orthodontie quasi systématique chez le jeune enfant et adolescent.

            – les appareils complets haut et bas sont toujours réalisés avec des arcades toujours symétriques et des dents parfaitement alignées, gage de bonne tenue des appareils.

            – Les animaux sauvages ont les dents alignées et ne les perdent pas.

            – les représentations des arcades dentaires sont toujours parfaites.

TRAITEMENT DES LESIONS PARODONTALES.

Le protocole P.O.P (Paro/Ortho/Prothèse) parait être celui qui apporte le plus de solutions positives sur le long terme.

La principale raison, est qu’il établit une logique dans l’ensemble de la prise  en charge des patients, de l’analyse des causes au traitement conduisant à la guérison de la blessure.

Face à une blessure quelconque, on va commencer par nettoyer la zone blessée, ensuite on va réfléchir à supprimer la cause de la blessure, et enfin « réparer » la partie blessée.

Pour les dents et leur support, il en sera de même.

Première étape assainissement des lésions (parodontales ou carieuses): surfaçage radiculaire et curetage osseux. T.P.A (Traitement Parodontal Aérobie)

Deuxième étape: traitement des causes.( et non hygiène): Orthodontie.pour ce qui nous concerne, Reprendre les prothèses inadaptées…

Troisième étape: réparations . (Prothèses si nécessaire: implants..)

Il prévoit dans un ordre logique, chronologique :

                  – l’assainissement des lésions.

Pour cela:

Le T.P.A semble être le traitement le mieux adapté et le plus efficace.

Utilisé depuis près de 50 ans avec des résultats constants en une seule séance.

                        – le plus simple, le plus logique, le moins onéreux à mettre en place.

3 curettes, 2 à 3 heures de traitement en une seule séance, aucun leasing .

                        – le plus respectueux du milieu buccal, et de l’environnement.

Aucun produit chimique, hormis l’oxygène de l’air ambiant, quelque soit sa forme n’est utilisé, (anesthésique, antibiotique, anti-inflammatoire, antalgique).

L’oxygène ambiant est le meilleur produit pour lutter contre les anaérobies.

Aucune anesthésie: tout se déroule selon le ressenti du patient, et cela va éviter de créer d’autres blessures. Sentir n’est pas avoir mal!

Le surfaçage radiculaire et le curetage osseux lorsqu’il est nécessaire, doivent être réalisés sans anesthésie donc sans douleur, sous contrôle du patient, afin de ne pas blesser les tissus sains, et rajouter du mal au mal.

Ce traitement utilise, le seul instrument d’hygiène et de contrôle du marché, qui va « brosser » les racines dentaires, et aérer les poches parodontales. (Root In)

Tous les autres moyens d’hygiène du marché, que ce soit les brosses à dents, brossettes inter dentaires, bains de bouche, le fil dentaire, voient leurs actions situées au-dessus de la gencive et donc parfaitement inefficaces pour un traitement parodontal.

Le Root In est le seul instrument capable à la fois de permettre l’oxygénation de la poche parodontale, d’empêcher que les bactéries présentes dans la cavité buccale, ne reviennent s’installer sur les racines dentaires suite au curetage, jusqu’à la cicatrisation de l’attache autour de la racine.

Car il faut bien comprendre que la présence de bactéries dans la cavité buccale ne constitue pas un problème en soit, peut être même gage de bonne santé.

Mais ces bactéries, comme toutes celles qui vivent avec nous, doivent rester en-dehors de l’organisme.

Si elles ont pu franchir le joint étanche autour de la racine dentaire, c’est comme si elles avaient pénétrées au travers de la peau, et là n’importe qu’elles bactéries « bonnes ou mauvaises » déclencheront une réaction immunitaire…

Une fois l’assainissement terminé, et quelques jours plus tard, l’organisme retrouvant une situation saine, va alors refermer les lésions gingivales et reconstituer le joint étanche biologique autour des racines: cicatrisation.

                        – cet assainissement prévoit en une seule séance, la décontamination des poches parodontales, des racines dentaires et de l’os alvéolaire si nécessaire .`

Ensuite le protocole P.O.P, prévoit le traitement des causes des blessures, et non juste des conseils d’hygiène inefficaces.

                        – la remise en place systématique des dents.

Au sein d’une même arcade, et aussi en bonne concordance avec les dents antagonistes, afin que les fonctions qui leurs sont dédiées s’effectuent dans les meilleures conditions.

Ce traitement orthodontique s’effectue uniquement avec des gouttières transparentes , qui seront les forces qui vont déplacer les dents jusqu’à leur place idéale.

Ces forces sont déterminées par ordinateur, en prenant en compte la situation parodontale.

                        – la réhabilitation prothétique.

Elle se fait en dernier lieu, avec les moyens les moins traumatisant pour les différents tissus qui entourent cette prothèse.

Les implants dentaires sont les mieux adaptés à la situation de perte dentaire.

Lorsque la situation financière du patient ne permet pas de réaliser l’ensemble du traitement dans les meilleurs délais, on peut le faire stationner dans la dernière position dentaire obtenu, grâce à des gouttières passives portées la nuit uniquement.

CAS PARTICULIER DES PERI-IMPLANTITES

Les péri-implantites sont à l’implant ce que la parodontite est à la dent naturelle…

Des blessures par les quelles passent des bactéries, et l’organisme va , dans un but de protection, des organes vitaux, éliminer l’implant porteur de bactéries, grâce à la réaction inflammatoire, qui détruit le support osseux autour de celui-ci.

Il s’agit là aussi d’un soucis d’étanchéité autour de l’implant, mais pas que cela…

En effet quelles sont les causes logiques des péri-implantites?

Lorsqu’une dent est perdue, soit du fait d’une élimination naturelle, par le système immunitaire, soit sous l’action du davier du chirurgien dentiste, il résulte de cela que la muqueuse buccale sera intacte et étanche à la place de la dent.

Or afin d’installer son implant, le chirurgien dentiste, va devoir ouvrir la muqueuse buccale et l’implant percera cette muqueuse, donnant alors une blessure artificielle par laquelle pourront passer des micro-organismes.

Mais aussi, les implantologistes répondent à leurs prescripteurs quand ils ne sont pas eux mêmes leur propre poseur d’implants, et ils agissent en première intention.

Or ils n’ont pas correctement posé le diagnostic de la perte de la dent, puisqu’il est toujours admis qu’il s’agit d’un problème bactérien avant tout…

Les mêmes causes produisant très souvent les mêmes effets, ils courent le risque de voir alors leurs implants disparaitre sous l’effet de l’immunité…

                                   CONCLUSIONS.

En abordant les pathologies parodontales en pensant que se sont des maladies d’origine bactérienne qui touchent une proportion aussi importante que 80 à 90 % des gens, la profession a fait fausse route, à mon sens.

Il est préférable de penser que ce sont des blessures par lesquelles passent des microbes et qui vont se résoudre par l’élimination de la dent pour rendre l’étanchéité à la muqueuse.

Sinon, la cavité buccale serait le seul endroit de l’organisme qui ne cicatriserait jamais, et qui serait dans une très large proportion, le lieu d’attaques et de victoires permanentes par les micro-organismes…

Nous perdons les dents parce que nous sommes en bonne santé…

100% des humains se sont blessés.

80 à 90 % de la population a connue du stress ou des chocs émotionnels, qui ont provoqués des serrages de dents sur des dents mal positionnées, ce qui a déterminé des blessures par lesquelles des microbes ont put pénétrer .

Et cette proportion de personnes cicatrisant normalement , ont éliminé les dents non étanches et infectées, pour fermer la blessure, grâce à l’action de l’inflammation.

Notre action de chirurgiens dentistes, sera donc de réaliser ce que l’action inflammatoire ne sait pas faire, à savoir éliminer le biofilm bactérien sur les racines et l’os alvéolaire, afin de stopper cette action immunitaire de cicatrisation par élimination de l’organe dentaire.

Et d’agir sur, au moins la cause d’encombrement dentaire, par le traitement orthodontique systématique, comme il est opéré quasi systématiquement chez le jeune enfant ou l’adolescent.

Si l’on met en place un traitement orthodontique chez un enfant, c’est pour au moins deux raisons évidentes:

                        – une bonne santé dentaire et des tissus avoisinants.

                        – pour avoir des adultes qui ont des dents en bonne position…donc si un adulte se présente avec une denture en malposition il convient de lui proposer en tout premier lieu un tel traitement.

Protocole P.O.P.

                               Dr Jean-Michel Pelé

Autoguérison holistique

Avec le LÂCHER-PRISE GRAVITATIONNEL PROFOND (L.P.G.P)

Le mot « lâcher-prise » est connu, mais connaissons-nous  l’extraordinaire potentiel d’auto-guérison de sa pratique régulière ? Il y a trois lâcher-prise :  le lâcher-prise mental (silence intérieur), le lâcher-prise  émotionnel et le lâcher-prise  physique. Aujourd’hui, nous allons  nous occuper du lâcher-prise physique et, plus particulièrement, du lâcher-prise gravitationnel profond.(L.P.G.P.) Il s’agit de supprimer les tensions corporelles inutiles, qu’elles soient ponctuelles ou chroniques et  inconscientes en utilisant la force gravitationnelle de la terre. Quel interêt ? Une tension corporelle chronique,  musculaire ou organique, exerce une compression constante  sur des millions de cellules qui les empêche de respirer, de se nourrir et perturbe leur reproduction. De plus, elle inverse la polarité bioélectrique de ces cellules, ce qui perturbe leur relation énergétique avec les cellules voisines, ce qui augmente les chances de  finir en maladie. Le lâcher-prise est donc beaucoup plus important que ce que nous pensons généralement et que ce que la médecine « académique » en pense. Rarissimes sont les médecins qui en tiennent compte dans leurs traitements.

ORIGINES  DES TENSIONS

Rappelons d’abord que, naturellement, le corps est soit tendu soit relâché, tout mouvement ou acte physique nécessitant la mise en tension d’une partie du corps pendant que la partie du corps non sollicitée reste relâchée, dans le meilleur des cas !

Mais, que nous agissions ou non, si une partie du corps est inutilement tendue, elle s’oppose alors à la circulation de l’énergie et ,si cela est régulier, cette tension va affaiblir le corps puis finir par créer une maladie.

Quand nous faisons  quelque chose ou vivons une situation qui demande beaucoup d’attention ou crée une émotion forte (colère, peur, anxiété, etc…), il arrive très souvent qu’une partie de notre corps se mette sous tension, cela se voit même sur notre visage.

Mais ce qui est plus grave, c’est que la répétition de cette situation va rendre cette tension chronique

De plus, si une situation offrant quelque ressemblance avec celle qui a causé la tension initiale se présente, cette tension va se renforcer alors qu’il n’y a pas lieu.

Vivre dans la hâte permanente, être toujours pressé, ce qui est, hélas, un stress très fréquent dans  l’ambiance de la vie moderne, est aussi une cause de tensions chroniques et inconscientes.

Autre cause, des traumatismes prénataux ou advenus dans la petite enfance entraînent des tensions qui deviennent chroniques et totalement inconscientes.

Enfin, une blessure physique peut créer une tension réactionnelle qui s’installle et devient inconsciente,même après la guérison de cette blessure.

EMPLACEMENTS PRIVILEGIES DES TENSIONS

Très souvent les muscles des trapèzes, la nuque, le cou,et encore plus fréquemment le ventre, les muscles de la ceinture abdominale, la zone intestinale et le plancher du périnée sont des zones privilégiées pour l’installation de tensions chroniques.

CONSEQUENCES DES TENSIONS MEMORISEES  DEVENUES CHRONIQUES

  • Fatigue chronique  – l’énergie vitale est perturbée par une tension chronique qui, soit affecte un organe proche de la tension, soit entraîne une perturbation de la symétrie posturale du corps
  • Dysfonctionnements organiques – souvent mauvaise digestion finissant par créer une haleine fétide, constipation chronique,  douleurs musculaires, douleurs articulaires, diminution de la libido, etc……..
  • Maladies variées  –  En effet, une tension affectant chroniquement un muscle, ou groupe de muscles proche d’un organe ( digestion, respiration, cœur, etc….) peut très souvent s’étendre à cet organe par proximité et, finalement cet organe finira par être lui- même malade.
  • Une tension chronique et inconsciente a très souvent pour effet de créer un déséquilibre postural de l’ensemble squelette/ musculature, ce qui empêche le corps de recevoir les énergies subtiles venant de la terre et du ciel et qui nourrissent son système nerveux.
  • Il s’installe alors très souvent un cercle interactif d’aggravation : la tension musculaire inconsciente a fini par atteindre un organe qui, devenu malade, crée une détresse émotionnelle, un sentiment de mal-être qui  à son tour aggrave la maladie de l’organe, ce qui renforce la tension
  • Dans l’être vivant, en particulier chez l’être humain, tout est relié à tout, chaque partie du corps, chaque organe est relié aux autres, le corps est relié au mental et le mental au cœur, et le cœur à tous les organes et vice-versa.

TOUT N’EST QU’ENERGIE MAIS L’ENERGIE EST TOUT !

Le L.P.G.P. est l’une des méthodes d’autoguérison parmi les plus efficaces  des tensions chroniques inconscientes et des nombreuses maladies résultant de celles-ci. De plus, par le travail d’unification de l’esprit et du corps, il prépare le pratiquant aux états de conscience élargie.

Malheureusement, la répétition médiatique de vulgarisation psychologique et médicale a fini par banaliser l’état de tension inconsciente du corps dont on ne retient plus que la notion d’  « énervement » et de stress alors que les conséquences sur la santé sont graves. L’immense fortune des grands laboratoires pharmaceutiques est fondée à 90% sur deux choses : la mise en tension chronique du corps (notamment d’origine civilisationnelle), la mal bouffe et la surbouffe.

PRATIQUE DU L.P.G.P.

Dans la pratique du L.P.G.P. 5 techniques s’associent naturellement : 

  • le développement de la proprioceptivité profonde (pour distinguer sensoriellement l’état tendu ou relâché des parties du corps concernées)
  • la mise en place de l’axe gravitationnel du corps entre les deux enracinements du haut de la tête avec les étoiles d’un côté et du dessous des pieds avec le centre de la terre, de l’autre .
  • Les étirements du fascia
  • La respiration abdominale et consciente
  • le silence du mental pour consacrer la totalité de l’attention à l’exercice

 Une petite parenthèse sur ce qu’est le fascia ,

Le fascia est un réseau de tissus conjonctifs élastiques constitués en grande partie d’un collagène contenant beaucoup de silicium semi-conducteur qui enveloppent tous les organes du corps un par un et qui relient ainsi toutes les parties du corps par la circulation d’énergie bio-électrique qui les traversent, cette énergie provenant en grande partie du double contact du corps avec la terre et les étoiles.

Plus on est conscient de son corps et de ces deux entrées d’énergie, plus celles-ci  sont efficaces pour  en nourrir le corps, d’où l’intérêt de la concentration de notre attention sur l’exercice.

OU  QUAND   ET COMMENT  PRATIQUER ?

On peut pratiquer le L.P.G.P. Dans quatres positions et situations différentes :

-Assis sur une chaise,

– debout en posture du guerrier debout (voir sa description détaillée dans mon livre « chamane, le chemin des immortels »)

– en marchant dans la nature

  • enfin dans toutes circonstances  de la vie quotidienne (peut-être la situation la plus efficace même si parfois il manque l’ajustement de l’axe terre/ciel, parce que corriger ces tensions aussi souvent que possible va venir en renfort des exercices pour permettre de vaincre la puissance des programmations corporelles devenues inconscientes)

UTILISATION DE LA GRAVITATION UNIVERSELLE DANS  LE L.P.G.P.

Tous les objets et corps physiques de l’univers sont soumis à la force d’attraction gravitationnelle et sont reliés entre eux par cette même force. Nous expérimentons cette force 24 heures sur 24 par le poids de tout objet lié à sa masse y compris celui de notre propre corps.

En plus de cette force qui nous colle à la surface de la terre et nous attire en permanence vers son centre, nous recevons par le dessous de nos pieds ( point yong-quan d’acupuncture de nos pieds)  d’autres énergies qui nourrissent plus ou moins bien notre corps en bio-électricité selon notre niveau de lâcher-prise musculaire organique, et cellulaire.

Quand vous soulevez votre bras les muscles de celui-ci sont obligés de se tendre parce que vous vous opposez à la force gravitationnelle de la terre qui attire en permanence votre corps vers son centre, Quand vous relâchez ces mêmes muscles, votre bras se détend et tombe vers ce centre.

Tout lâcher-prise d’une tension  du corps équivaut à vous abandonner à la force gravitationnelle de la terre.

Nous utiliserons l’intention et la sensation de  cette relation à la terre pour développer notre lâcher-prise global, considérant ainsi  la terre comme la grande amie de notre retour au bien-être et à la santé .

 Désormais, quand nous marcherons sur sa peau en y appuyant chacun de nos pas comme pour nous élever vers le haut par cet appui, le dessous des pieds bien collés à elle mais sans aucune tension, tout le corps relâché et léger, connecté avec les étoiles et dans notre axe, ressentirons-nous le cadeau de sa force immense pénétrant dans notre corps jusqu’au sommet du crâne.

 Enraciné par le bas, enraciné par le haut, peu à peu notre corps retrouvera sa vitalité et notre  enthousiasme pour la vie.

Une mention spéciale pour le périnée

La tension du périnée et du sphincter anal est très importante, elle bloque la montée de l’énergie de la terre et la descente de l’énergie du ciel vers le bas. Sans son lâcher-prise, tout le reste du travail ne sert à rien ( toutes les peurs de notre vie s’y cristallisent )

TRAVAIL SUR LE FASCIA ET LA RESPIRATION ABDOMINALE CONSCIENTE

La pratique des gestes conscients toltèques est une méditation dynamique qui s’accompagne  d’étirements  facilitant le lâcher-prise articulaire.

Les étirements lents, doux et progressifs assortis d’une respiration consciente et abdominale, peuvent être découverts et inventés par chacun s’il a compris que le fascia est l’élément d’architecture  qui donne à son corps son élasticité et que le solliciter ainsi va stimuler la répartition d’énergie bio-électrique qui y circule dans tout le corps. Les étirements spiralés, doux et lents favorisent  le lâcher-prise des muscles et organes  concernés par l’endroit de l’étirement et une bien meilleure oxygénation des cellules  de ceux-ci, en associant la tension musculaire à l’inspir et son abandon gravitationnel à l’expir.

LA POSTURE DU GUERRIER DEBOUT

Cet exercice  occupe une place à part dans le cadre de la démarche de lâcher-prise profond. Il se pratique à plusieurs niveaux car, en plus de permettre un lâcher-prise profond, il va permettre de rétablir notre contact avec les deux sources d’énergie subtile et le ré-équilibrage gravitationnel entre la terre et les milliards de milliards d’étoiles du cosmos. Les chamanes du Mexique affirment la possibilité de « réinventer notre corps » par le triple équilibre haut/bas, gauche/droite et avant/arrière, le couple squelette/fascia constituant alors un axe tridimentionnel de tenségrité, rénovateur du corps jusqu’au niveau cellulaire.

Une métaphore intéressante pour mieux intégrer ce travail : celle d’un arbre : plus il s’enracine dans la terre, plus il peut s’élever vers le soleil et plus il peut s’élever vers le soleil, plus il peut s’enraciner profondément dans la terre. Ainsi, certains séquoias ou chênes ont pu dépasser facilement 1000 à 2000 ans !

LE LACHER-PRISE EN SITUATION D’OCCUPATIONS QUOTIDIENNES

La mémoire corporelle est tenace. Elle ne lâche pas facilement des programmes tensionnels qui sont souvent là depuis des années, souvent des décennies.

C’est pourquoi on ira beaucoup plus vite dans la libération des tensions si on décide de se surveiller au quotidien.

On découvrira ainsi que dans de nombreuses positions et situations, on se croyait relâché corporellement alors qu’il n’en est rien !

En mangeant, en conversant, en regardant un film, en voiture, en tapant sur un ordinateur, ressentez souvent votre corps, vérifiez s’il n’est pas tendu quelque part.

Ce genre de découverte d’une nouvelle tension fait un bien fou !

Vous conversez  longuement avec un collègue, un ami, un voisin, ressentez votre visage, votre corps , sont-ils bien relâchés ? Lâchez et respirez discrètement mais profondément, quel bien-être, quel soulagement ! Vous lisez un livre, c’est pareil, votre visage est-il relâché ?

Que cela ne vous empêche pas de travailler le côté mental et émotionnel de vos tensions car esprit et corps sont toujours reliés, parfois en relation avec de très vieilles mémoires mais n ‘oubliez pas la guérison par le corps, vous irez plus vite en cernant le problème par les deux bouts !

 En résumé tout problème psycho-émotionnel, toute forme de stress banal et quotidien installe des tensions corporelles réactives et chroniques qui finissent par perturber le fonctionnement énergétique du corps ce qui génére des maladies qui renforcent à leur tour ces tensions !  Ça tourne en rond ! Travaillez votre lâcher-prise corporel  profond… votre esprit et votre corps se  guériront tout seul……

Surtout soyez patient ! N’oubliez pas que la persévérance est un constituant important du pouvoir intérieur !

PAUL DEGRYSE- Chamanisme-ecologie.com

Le jour où tout change

La seule observation des lois matérielles a pu faire penser que nous sommes dans un monde de limitations et d’injustice. Que tant de gens le pensent est compréhensible. Tout change le jour où l’on découvre que tout ce que nous pouvons vivre est intimement lié à la projection de notre monde intérieur et que notre conscience crée dans un processus permanent.

LE MONDE QUI NOUS ENTOURE N’EST PAS UN MONDE SOLIDE

L’extraordinaire de la physique quantique est qu’elle montre que le fondement de notre monde n’est pas matériel. Tout procède d’un champ d’énergie qui n’est fait que d’ondes, de densités, de fréquence et d’intensités très variées.

Mieux encore, cela invite à la compréhension magnifique que cet océan d’énergie qui nous entoure,  longtemps considéré comme « le vide », est animé d’une Intelligence Universelle réagissant à notre façon d’être.

Chose formidable, cette Force invisible, qui fait pousser le brin d’herbe et dirige la course des étoiles, peut être contactée constructivement pour devenir complice de nos désirs.

…..

À LA RENCONTRE D’UN FUTUR JOYEUX

Un pouvoir merveilleux nous attend dès que l’on apprendre à jouer avec ce grand principe de la création  qui fait de notre vie un jeu quantique:

Tout ce qui est visible était d’abord invisible.

Des pensées heureuses préparent des vies heureuses. Ce n’est pas avec des plaintes qu’une personne insatisfaite de son sort peut se diriger vers une vie plus épanouissante, ce qu’il lui faut, c’est élever son niveau de conscience pour envoyer un nouveau signal à l’Univers.

 «  Je m’en doutais ! »

Nous avons tous eu parfois la prémonition qu’un certain évènement allait se produire. Ce genre de situations démontre, s’il en était besoin, que nous participons à la création de notre réalité et la nécessité de se programmer pour le meilleur.

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NOUS DEVONS CRÉER L’EQUIVALENCE MENTALE DE CE QUE NOUS VOULONS VIVRE

La belle relation que vous attendez, la meilleure condition que vous espérez existent déjà à l’état latent sous forme de potentialités dans ce fameux champ quantique, cet océan d’énergie qui nous entoure.

Elles patientent silencieusement attendant que l’on soit mentalement prêt pour entrer dans votre vie mais il y a une condition à cela : il est nécessaire que notre conscience les appelle pour qu’elles aient la faculté de se matérialiser.

Vivre durablement la joie, l’amour mais aussi l’abondance demande absolument une équivalence spirituelle. Détruire les taudis des villes ne suffira pas par exemple si l’on ne détruit pas simultanément les taudis des esprits.

…..

Il est toujours étonnant de voir les gens parler en permanence de leurs problèmes, se montrer défaitiste et espérer en même temps que les choses s’arrangent.

Le malheur de la plupart est que face aux difficultés, ils ne savent pas penser autrement qu’en termes d’actions, ils comptent sur leur seule volonté ou un quelconque assistanat pour obtenir les choses sans s’interroger sur leur manière de penser, leur discours.

En effet, à l’instar d’une station radio, nous recevons les programmes seulement quand nous sommes sur la bonne fréquence.

106.7 n’est pas 106.8.

……

RIEN N’ARRIVE PAR HASARD
ON NE PEUT VOIR QUE CE QUE L’ON EST PRÊT A VOIR

Notre cerveau filtre en permanence l’information. Chacun possède, sans s’en rendre compte,  l’équivalent d’un moteur de recherche, Google ou Firefox dans son esprit, toujours à l’œuvre pour explorer le grand ordinateur cosmique.

Par exemple, une femme apprenant qu’elle va avoir un enfant remarquera des voitures de bébé qu’elle aurait totalement ignorées la veille.

Ce « moteur de recherche » inconscient ne se contente pas de répondre à nos préoccupations mais va mettre tout en œuvre nous proposer un monde répondant à nos croyances.

C’est ainsi que ceux qui parlent d’abondance la rencontrent, ceux qui parlent de crise la subisse. De la même manière, si vous voyez de l’amour dans ceux qui vous entourent, c’est ce qui grandira dans votre expérience.

Vous pouvez illuminer votre champ énergétique en vous construisant des repères dans la joie et en prenant la magnifique décision de croire en vous, aussitôt l’Univers se met à croire en vous.

NE CHANGEZ PAS VOS RÊVES SIMPLEMENT VOS PENSÉES

Quelque chose de vraiment magique se passe lorsque l’on cesse de se concentrer sur nos manques pour donner l’essentiel de notre attention à ce qui procure de la joie.

Les années qui viennent peuvent être pleines de promesses pour celles et ceux qui décident de faire le sacrifice de leurs doutes et de leurs croyances dans un monde de limitations.

L’UNIVERS N’A QU’UNE VOLONTÉ : L’EXPANSION

Si l’on sait regarder, l’Univers est généreux par nature et à l’évidence les grandes limites sont celles de notre esprit et pas celles de l’Univers.

Pour permettre à l’énergie cosmique de se déployer au travers de nos désirs, nous devons lui laisser le champ libre.

Le secret d’une énergie attractive est d’aimer la vie en se rappelant que l’Univers nous accompagnera d’autant plus facilement que nous souhaitons le meilleur aux autres et avons des projets respectueux de la planète.

A mesure que cela sera votre quotidien, votre vibration s’élèvera et vous attirerez naturellement les gens et les circonstances qui viendront vous confirmer la générosité de l’Univers.

Choisissez d’avancer joyeusement en ayant l’audace d’anticiper votre futur, en contemplant votre désir, et en ressentant joie et gratitude comme s’il était déjà accompli. Ce que vous êtes capable d’imaginer l’Univers peut l’accompagner !

« Tout le monde me dit que je brille, que je rayonne.

Je n’ai changé qu’une seule chose,

 je vis dans la  QUANTIQUE ATTITUDE ! »

                                                      Diana

Dr Christian BOURRIT

NOS LUNETTES, CES BÉQUILLES QUI NE NOUS VEULENT PAS QUE DU BIEN…

Lorsque notre œil n’est plus capable de voir net tout seul, la solution qui s’offre à nous est simple, facile, efficace : elle consiste à porter des lunettes avec des verres correcteurs !

Existe-t-il en vérité une autre alternative que de porter des lunettes quand on ne voit pas bien ?

Il faut dire que notre société moderne offre cet avantage non négligeable, de nous servir sur un plateau une solution idéale pour quasiment chaque problème que nous avons à résoudre !

Et parce que nous courons souvent après le temps, nous préférons ce « clé en main », cette solution pratique et peu couteuse en énergie… peu importe finalement les conséquences sur le long terme, on ne se préoccupe pas de ce qui se passera derrière…et pourtant…

Tout le problème est là : quelles sont les conséquences de notre paresse qui consiste à ne pas chercher ailleurs ? Est-ce que nous ne passons pas à côté de l’essentiel en adoptant cette attitude ?

Dans le cas de nos yeux, quand on ne voit pas clair, on prend rendez-vous chez un ophtalmologiste, qui mesure notre difficulté à focaliser net sur la rétine, trouve une valeur (parfois différente pour chaque œil), gribouille des chiffres sur une ordonnance que l’on donne à un opticien, qui lui-même fait fabriquer des verres correcteurs et les installe sur des montures. Nous repartons alors avec des lunettes et le problème est résolu !!!

Du début à la fin de la chaine notre chemin est déjà tracé :

  • D’une part NOUS allons chez l’ophtalmo parce que nous ne savons pas où aller ailleurs.
  • D’autre part, IL nous prescrit des lunettes parce qu’il ne sait pas quoi proposer d’autre

Nous avions un problème et nous avons trouvé une solution : point final.

Généralement, on ne se pose pas la question de savoir pourquoi on ne voit pas clair.

C’est sans doute une fatalité : il y a des personnes avec des lunettes et d’autres sans lunettes, c’est une certaine forme de « loterie », soit vous êtes chanceux et tant mieux pour vous, soit vous avez tiré le mauvais numéro et c’est dommage pour vous, mais comme de toute façon les lunettes peuvent compenser votre défaut visuel, vous ne passerez pas trop de temps à vous questionner…

C’est la même chose d’ailleurs avec les maladies qui nous tombent sur la tête : ça ne vient pas souvent à l’esprit des gens de s’interroger sur leur éventuelle responsabilité dans ce qui leur arrive… Hélas !!!

Pourtant nous savons tous ce que préconisait Hippocrate, à savoir chercher la cause de nos maladies, et une fois la cause identifiée, chercher la cause de la cause.

Personnellement j’ai toujours trouvé ça plutôt amusant de faire ma petite enquête et de découvrir « l’origine » de tout ce qui me tombe dessus, et surtout de chercher l’endroit où je peux intervenir.

Bien sûr, prendre la responsabilité de ce qui nous arrive n’est pas toujours confortable parce que pour beaucoup d’entre nous, responsabilité rime surtout avec culpabilité…

De mon côté, je n’ai jamais eu très envie de porter des lunettes !  Je m’estimais chanceuse d’être tombée dans le groupe des « sans lunettes », bien décidée à ne surtout pas changer de camp, et c’est peut-être cette simple peur de perdre mon « privilège de naissance » qui a guidé mon parcours depuis maintenant une bonne trentaine d’années !

Au moment de commencer mes études, je suis passée par la « case prépa », et en France, les élèves des classes préparatoires aux grandes écoles scientifiques, on les appelle les « taupins » !!

Alors pourquoi les taupins ?  Et bien tout simplement parce que la plupart des élèves de ces fameuses classes prépa, qu’ils aient besoin de lunettes au début de leur parcours ou qu’ils n’en aient pas besoin, ressortent quasiment tous avec des lunettes à la fin de leur cycle de 2 ou 3 ans !!

Et c’est bien connu, comme toutes les taupes sont myopes, on a fini par attribuer ce joli surnom de « taupins » à tous ces malheureux élèves…

Quel triste constat en vérité… Un peu comme si c’était la rançon de la gloire : vous faites de belles études, oui, mais en échange, on vous prend vos yeux !!! J’exagère peut-être un peu, mais à ce stade c’était exactement mon ressenti… Alors j’ai commencé ici à me poser mes toutes premières questions…

Et bizarrement, je crois que j’étais la seule élève de ma classe à me poser ce genre de question…

J’ai donc cherché rapidement autour de moi, ce qui pourrait renforcer mes yeux et j’ai identifié à l’époque deux choses basiques que je pouvais déjà mettre en place facilement :

  • Manger de la confiture de myrtilles
  • Ne pas forcer sur mes yeux

Ces deux habitudes, c’est vraiment le b-a-ba en matière de santé des yeux !!! Et visiblement c’est assez efficace !!!

Les myrtilles, ce sont de très bons anti-oxydants, tout le monde sait qu’elles sont bonnes pour les yeux, comme beaucoup des fruits et légumes colorés d’ailleurs… et la fatigue des yeux, je l’avais expérimentée plusieurs fois en lisant tard avant de me coucher, mon intuition me disait que si je commençais à voir trouble ce n’était pas forcément bon signe…

Moralité, grâce à ces deux petits trucs tout simples, j’ai échappé à la malédiction des taupins : en fin de prépa, dans ma classe de 40 élèves, nous n’étions plus que deux élèves à avoir réussi à préserver nos yeux et à ne pas porter de lunettes !!!

Je suis donc passée à travers les mailles du filet, mais ce n’était que le premier épisode de la série : je savais déjà qu’il y aurait un jour une deuxième épreuve dans mon parcours, puisque tous les adultes sans exception deviennent presbytes vers la quarantaine, du moins c’est ce qu’on m’avait dit, et d’ailleurs mes parents venaient tout juste de tomber dans cette fatalité-là… J’étais donc prévenue !!!

Mais en réalité, quand on a vingt ans, la quarantaine, ça nous parait trèèèèès loin… alors franchement je ne me suis pas sentie trop concernée, et j’ai continué à profiter de mon étiquette « œil de lynx », privilégiée dans le camp des « sans lunettes » …

Même si figurez-vous qu’en vérité les lynx n’ont pas spécialement une bonne vue !!!

Bref…

Finalement, c’est à l’âge de 43 ans, que je réalise que j’approche de l’échéance, et que je commence à forcer sur mes yeux, à allonger les bras pour focaliser net quand même, et qu’un beau jour je suis obligée de me rendre à l’évidence : je ne peux plus lire, prendre des notes, signer mes chèques ou voir ce qu’il y a dans mon assiette… Mes yeux n’arrivent plus à accommoder seuls…

Mais mon ophtalmo a été franc et radical avec moi dès le début : si vous commencez à porter des lunettes, dans un an vous aurez besoin d’une correction encore plus forte !!!

Le gars n’avait certainement pas idée à quel point il me démoralisait en me faisant ce triste pronostic ce jour-là… il me prescrit donc mes premières lunettes…

 Mais j’avoue que cette double injonction contradictoire m’est un peu restée en travers de la gorge :

  • Tenez voici une ordonnance pour vos lunettes !
  • Mais attention, vous entrez dans une spirale qui va faire baisser votre acuité visuelle de plus en plus…

Alors je continue à chercher une alternative et à lutter aussi… Mais très vite, il y avait des tâches que je ne pouvais plus du tout faire, comme par exemple lire les petites étiquettes avec la composition des aliments sur les boites, au fond d’un magasin mal éclairé…

Bon, pour vous décrire à quel point j’ai lutté, dans un premier temps, je me suis d’abord achetée une loupe !!!

Toujours pas de lunettes, mais jusqu’à quand allais-je tenir ?…

Alors je me souviens que je me suis aussi fait prescrire des séances chez un orthoptiste avant de craquer : peut-être qu’en faisant des exercices, je pourrais récupérer mes yeux ? Mais l’orthoptiste a enfoncé le clou de l’ophtalmo : « non madame, jusqu’à l’âge de 65 ans, ça ne va faire que baisser, on ne peut vraiment rien faire pour vous !!! »

Lunettes ou pas lunettes, étais-je finalement condamnée ?

Pourtant, l’orthoptiste c’est un peu « la solution naturelle » pour l’œil, la solution douce, non invasive, celle qui laisse au corps la possibilité de se régénérer par lui-même…

J’avais d’ailleurs assisté à la disparition totale de l’amblyopie d’un de mes fils quand il avait 4 ans grâce aux séances chez l’orthoptiste et en portant un cache œil plusieurs heures par jour sur l’œil dominant pour laisser l’œil paresseux travailler.

Mais si la régénération de la vision binoculaire est bien connue des orthoptistes et des ophtalmologistes depuis longtemps, en revanche celle de la presbytie est encore complètement ignorée du corps médical…

À ce stade, j’avoue que j’ai moi-même commencé à douter : si même l’orthoptiste me décourage en affirmant que ce n’est pas possible, où allais-je pouvoir trouver la force d’y croire ?…

Alors je craque pour pouvoir écrire mes chèques, pour lire mes sms, pour lire le soir à la faible lumière de la table de nuit, pour recoudre un bouton… bref, c’est fou comme nos yeux sont sollicités de près tous les jours et en permanence ! J’avais besoin d’eux mais il fallait me rendre à l’évidence : ils n’étaient plus capables de me servir comme autrefois…

J’allais devoir me résoudre à changer de camp…et passer dans celui des personnes « avec lunettes » …

Je fais donc fabriquer des belles lunettes bleues assorties à mes tenues, et finalement comme elles sont plutôt chouettes, je fais contre mauvaise fortune bon cœur… en attendant de trouver la solution miracle…

C’est alors que je découvre le Yoga des Yeux !!!

Renforcer nos muscles en faisant du sport, c’est bien connu, ça fonctionne, alors pourquoi ne pas faire travailler aussi notre muscle oculaire ? L’idée me plait assez, alors je lis un livre consciencieusement, et puis je teste…

Résultat, ça n’a pas fonctionné pour moi : oui, voilà, c’est encore un truc bidon, qui fonctionne sur certaines personnes mais pas sur tout le monde… et pas de chance, sur moi ça ne fonctionnait pas !

Ma première rencontre avec le Yoga de Yeux a été un échec, mais aujourd’hui quand je l’analyse, je réalise que j’avais uniquement mentalisé mes exercices, mais pas vraiment pratiqué sérieusement !!!

Un peu comme si, savoir que la musculation va nous donner un corps musclé, suffisait à nous donner ce corps musclé… Non, il faut se bouger un peu quand même… et pas juste une fois de temps en temps : dans ce domaine, c’est la régularité qui paye !

Et puis finalement, je m’étais un peu habituée à mes lunettes, entretemps j’en avais acheté plusieurs paires, et en avais même fait un accessoire assorti non seulement à mes tenues vestimentaires mais aussi à la déco des pièces de ma maison… affaire classée, je portais des lunettes pour voir de près, le reste du temps je les mettais au-dessus de ma tête et elles me servaient à tenir mes cheveux !!!

Le vrai déclic a seulement eu lieu quelques années plus tard sur les pistes de ski : mes enfants étaient adolescents à l’époque, ils skiaient déjà seuls mais je ne savais jamais où ils étaient et leur faire des sms sur les pistes étaient devenu un vrai casse-tête : enlever les lunettes de ski, sortir les lunettes de vue au fond du sac à dos pour lire les messages, enlever les gants pour répondre aux messages… bref à la fin de la semaine j’ai pris une bonne résolution qui allait transformer ma vie : en rentrant chez moi, c’était décidé, je mettrais en place mon Yoga des Yeux tous les jours jusqu’à ce que je puisse enfin me passer de mes lunettes définitivement !!!

Quand on essaye de créer quelque chose dans la matière, il y a une étape énergétique indispensable au préalable, et c’est à mon avis cette étape, cette certitude au fond de nous, cet engagement qui nous permet de mettre des actions en place, des actions efficaces et adaptées à la situation, et de matérialiser finalement ce que l’on souhaite car cette étape énergétique nous ouvre un chemin virtuel qui nous conduit tout droit vers un vrai chemin physique !

J’étais enfin certaine que je pouvais régénérer ma vision, j’avais des exemples de personnes qui témoignaient dans les livres, ils ne pouvaient pas tous avoir menti quand même, et puis le Docteur Bates, celui qui a inventé le Yoga des Yeux il y a un siècle, n’avait-il pas permis à un aveugle de retrouver sa vision ?

Régénérer une presbytie de quelques années était probablement plus facile que cette incroyable prouesse du Dr Bates !

Alors je m’y suis mise, sérieusement, avec un protocole à suivre pendant 6 semaines, en répétant éventuellement la dernière semaine encore et encore si le résultat n’était toujours pas atteint, avec des petites adaptations au début pour éviter de porter mes lunettes et permettre à mon œil de travailler pour accélérer la régénération : moralité en 3 semaines chrono, même si ma vision n’était pas encore parfaite, je pouvais déjà me passer complètement de mes lunettes !

Mon muscle oculaire avait enfin retrouvé une bonne partie de sa mobilité !!!

Ce protocole qui incluait également de s’occuper du terrain autour de l’œil, pour avoir des yeux en bonne santé a été suffisant dans mon cas pour régénérer la presbytie, et j’avoue que j’ai continué de longs mois à faire mes exercices tous les jours, terrorisée à l’idée de reperdre tout ce que je venais précieusement de gagner…

Mais est-ce que cette technique allait suffire pour régénérer n’importe quel problème de vision ?

Le livre que j’ai utilisé disait que oui, tout le monde pouvait y arriver, avec de la persévérance !

Tous les problèmes de vision sont réversibles : Myopie, Hypermétropie, Astigmatisme, Presbytie… les exercices à pratiquer sont d’ailleurs presque toujours les mêmes !!!

Mais lorsqu’on travaille sur sa vision, il y a néanmoins une composante à ne surtout pas négliger, c’est la composante psychologique !

Quel que soit d’ailleurs le symptôme que le corps nous présente : il y a TOUJOURS une signification psychologique à décoder !!

Un problème de vision n’est finalement lui aussi qu’un symptôme, et chercher le message que nos yeux ont voulu nous envoyer, sera indispensable pour faire disparaitre ce symptôme !

C’est un principe universel, bien plus efficace à long terme que de faire disparaitre le symptôme artificiellement :

  • Avec des lunettes dans le cas des problèmes de vision
  • Avec des médicaments dans le cas des maladies…

Je me suis alors mise à chercher les causes psychologiques responsables des problèmes de vision classiques !

Lorsque les gens travaillent sur eux, en développement personnel ou en énergétique, il arrive souvent qu’ils guérissent sans le savoir, les causes psychologiques de leurs problèmes de vision…

Mais sans la pratique du Yoga des Yeux pour rendre au muscle oculaire sa mobilité, l’œil peut rester figé longtemps dans sa mauvaise posture initiale !

De même, si l’on pratique assidument le yoga des yeux sans avoir travaillé sur sa posture énergétique et psychologique, alors le symptôme va provisoirement disparaitre, mais il finira par revenir, puisque l’organe aura toujours besoin de nous délivrer son message !!!

 Mais quels sont donc tous ces messages que nos yeux on besoin de nous envoyer ?

 

 NOS YEUX ONT DES MESSAGES À NOUS TRANSMETTRE !

 On dit souvent que « les yeux sont le miroir de l’âme » et je pense qu’on n’a même pas idée à quel point cette affirmation est pertinente…

Plonger dans le regard de quelqu’un, c’est quelque chose que j’adore faire parce qu’on y lit souvent des informations que la personne ne verbalise pas !

À l’instar de nos empreintes digitales, il n’y a pas deux personnes avec des yeux identiques !!!

Et contrairement à ce que j’avais appris à l’école, la couleur de nos yeux peut en réalité se modifier avec l’âge : j’ai moi-même observé depuis une quarantaine d’année, une modification très nette de la couleur des miens : de marron foncé pendant mon enfance, ils sont devenus couleur noisette à mon adolescence et aujourd’hui, c’est plutôt le vert leur couleur dominante !!!

D’ailleurs en me formant à l’hygiénisme, et en pratiquant régulièrement diverses techniques de détoxification de l’organisme, je peux suivre l’évolution de leur couleur qui s’éclaircit au fur et à mesure que j’assainis le terrain de mon corps !

Pour en revenir aux messages que nos yeux ont à nous transmettre, je dirais que nos problèmes de vision sont les premiers signes que nous pouvons apprendre à décoder.

En effet, ne pas voir DE LOIN, ne pas voir DE PRÈS ou encore avoir une VISION DÉFORMÉE, sont autant de pistes différentes à explorer et qui sont véritablement passionnantes :

De près, l’invitation c’est de regarder en soi :

  • Qu’est-ce que je refuse de voir me concernant ?
  • Quelle partie de ma vie je néglige ?
  • Quelle facette de moi n’est pas conforme à ce que j’aimerais être ?

De près c’est aussi regarder le moment présent, par opposition au passé et au futur :

  • Est-ce que je suis obnubilée par mon passé qui a encore un impact sur moi ?
  • Est-ce que je suis inquiète pour mon avenir au point qu’il soit présent à mon esprit en permanence ?

L’invitation quand je ne vois pas bien de près, c’est de regarder quelle partie de moi j’ai délaissé et à laquelle je peux refaire de la place, là, tout de suite, maintenant…

De loin au contraire, il sera plutôt question des « autres », de mon entourage ou encore de mon futur…

  • Quel avenir je ne veux pas encore intégrer dans ma vie ?
  • Sur quel chemin je ne veux pas avancer ?
  • Est-ce que je me sens forcée de prendre une route qui n’est pas la mienne ?

Ne pas voir de loin, c’est aussi peut-être qu’il m’a fallu développer une vigilance extrême dans mon cercle rapproché, en me dotant alors d’une vision hyper nette de très près puisque le danger viendrait de mon entourage proche…

Alors le danger peut être réel évidemment, comme il peut être aussi juste « perçu » !

Chaque personne sera différente dans sa perception du danger… Par exemple dans une même fratrie, un parent perçu comme « étant sévère » aux yeux de l’un de ses enfants, sera peut-être complètement ok pour son frère ou sa sœur qui aura besoin d’un cadre hyper structuré pour s’épanouir…

Le message de nos yeux sera à l’image de notre propre perception du réel uniquement et pas forcément à l’image de la perception du voisin !

Enfin avoir une vision déformée, sera en quelque sorte le reflet de la façon dont je me contorsionne psychologiquement pour me fondre dans un moule qui ne me ressemble pas, pour plaire à mon entourage, ou tout simplement pour ne pas être rejetée…

Pour avoir des yeux en bonne santé, j’ai identifié trois grands piliers incontournables :

  • Physiologique
  • Mécanique
  • Psychologique

Pour résumer, je dirais qu’il faut d’abord vérifier que le terrain est sain :

  • Vérifier que l’œil est capable de recevoir beaucoup de bons nutriments pour fonctionner, et qu’il a un circuit d’évacuation des déchets opérationnel pour se nettoyer au fur et à mesure que ces déchets sont produits ! Ceci reste d’ailleurs valable pour tous les organes de notre corps, pas seulement pour nos yeux !!!

 Ensuite il faut s’assurer que notre œil bouge correctement :

  • Bien souvent lorsqu’on porte des lunettes, on fige notre œil dans une posture qui l’empêche de travailler et on atrophie donc le muscle oculaire en le rendant paresseux et inutile. Il faut donc faire des exercices pour lui rendre toute sa mobilité.

Finalement, il faudra aussi s’interroger sur tout ce qu’on n’a pas envie de voir dans notre vie :

  • Regarder en nous et autour de nous dans nos relations, pour mettre de la conscience sur les causes premières de nos problèmes de vision. En prendre conscience sera évidemment un bon début, mais savoir les dépasser reste une étape indispensable pour que la régénération de nos yeux soit définitive.

Les piliers de la régénération des yeux se travaillent bien évidemment en synergie les uns des autres : notre corps et notre psychisme ne faisant qu’un, chaque petite avancée sur l’un des plans aura donc des répercussions sur l’autre plan.

Lorsque j’ai finalement régénéré complètement ma presbytie en 2016, beaucoup de personnes m’ont alors posé des questions, demandé des conseils, et à force d’expliquer à chacun et chacune ce que j’avais compris et mis en place, j’ai trouvé judicieux de me filmer et mettre les vidéos sur une plateforme en ligne.

Dans la formation VOIR CLAIR SANS LUNETTES, j’ai mis à la disposition des personnes qui veulent régénérer leur problème de vision, des outils efficaces pour travailler sur les 3 GRANDS PILIERS DE LA VISION :

  • Physiologique : avec un grand module sur la santé des yeux
  • Mécanique : avec des exercices de Yoga des Yeux
  • Psychologique : avec un décodage des principaux problèmes de vision mais aussi des outils énergétiques pour guérir les blessures à l’origine de ceux-ci

Chacun de nous peut se débarrasser de ses lunettes en portant une attention particulière à ces 3 grands domaines à l’origine de nos problèmes de vision !

Encore faut-il avoir envie de remettre nos yeux au contact direct des autres et du monde…

Parce que nos lunettes, si elles nous servent de béquilles et finissent par atrophier notre œil en le rendant paresseux, sont peut-être aussi un bouclier, un écran, un rempart qui nous protège inconsciemment de l’extérieur, et c’est parfois préférable de les garder tant que nous n’avons pas réussi à soigner nos blessures intérieures.

                                Aurèle Minassian

Ingénieur de formation,  Aurèle Minassian s’est reconvertie dans le coaching en Santé Holistique et spécialisée dans le lien entre le corps, les émotions et les problématiques relationnelles. En revenant aux sources des interactions avec votre entourage, elle vous guide pour dépasser vos blessures. Une fois libérées, vous allégez votre corps et accédez à une vie plus chargée de sens. Depuis 2019, elle accompagne aussi les personnes qui sont prêtes à travailler sur elles pour abandonner leurs lunettes.

COVID , VACCIN & OSTÉOPATHIE COGNITIVE
Par Claude Mangeot

 

 
Dans l’exercice de mon métier et depuis deux ans, je suis confronté presque quotidiennement à des personnes présentant des séquelles à long terme de la maladie Covid-19 ou souffrant d’effets indésirables liés à l’injection d’ARNm. Voici ce que je pense en avoir compris, en terminant  ces quelques explications  par un remède à essayer. 
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Itinéraire de guérison d’un burn out sévère

“Du burn out au light in “, le chemin de guérison d’Estelle
Estelle a 28 ans quand elle se retrouve clouée au lit presque  du jour au lendemain. Après une batterie de tests, le diagnostic tombe, elle souffre d’un burn out sévère. Sacrée quelques mois auparavant  «  entrepreneuse de l’année » dans la Silicone Valley de Rio de Janeiro, Estelle ne se doutait pas  que les multiples défis professionnels relevés  avec enthousiasme  la détruisaient à petit feu.
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LES MICROZYMAS
Une découverte fondamentale du Pr. Antoine Béchamp

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Bill Gates
BIG PHARMA

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LA BOUCHE, MIROIR DE L’HOMME

Pendant plus de 35 ans de pratique de Chirurgie Dentaire, j’ai été frappé par la quantité d’articles concernant les conseils en Santé aussi bien en alimentation, hygiène de vie, activité sportive, sommeil, prévention, spiritualité, etc. et pratiquement rien sur la bouche et les dents.
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« Nous devons nous éloigner du paradigme Santé de Big Pharma » Interview vidéo de Zach Bush
par Robert F. Kennedy Jr

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La quête de sens en médecine aurait elle un sens ?

Pour discuter du sens que peuvent prendre nos troubles de santé, nos symptômes, bref nos souffrances, l’exposé d’un point de vue rénové sur la nature de la vie pourrait être fructueux.
Le phénomène de la vie s’exprime à l’aide d’informations, d’organisations, de relations interactives, d’eau, d’ions et d’un peu de matière organique.
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DES PENSEES HEUREUSES
FONT DES CELLULES HEUREUSES

Cette formule du célèbre médecin endocrinologue d’origine indienne Deepak Chopra, qui a consacré sa carrière à étudier les relations corps-esprit,  a grandement contribué à attirer l’attention du grand public sur la nécessité d’une approche globale de la santé.
L’importance de cultiver des émotions positives devient chaque jour plus évidente. Certaines, de nature dynamisantes,  ont la capacité de provoquer un état de bien-être et de plaisir en libérant par exemple de la dopamine, de la sérotonine ou de l’ocytocine.
À l’inverse,  des émotions négatives vont déclencher la production de cortisol, la fameuse hormone du stress, racine de toutes les souffrances. Le corps ne peut pas faire face très longtemps à une torture mentale.
Mieux vaut sans doute quelques écarts dans la bonne humeur que le plus strict des régimes suivi dans la colère ou la  négativité. Des émotions peuvent se révéler bien plus indigestes que certains aliments ayant pourtant la réputation de l’être.

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Virus : théorie particulaire et ondulatoire Application à la Covid-19 et aux différentes approches de médecines

Nul n’ignore les propriétés particulaires et ondulatoires de la lumière. La lumière peut être considérée à la fois comme un flux de particules, les photons, mais aussi comme une onde électromagnétique. Les photons sont donc porteurs des interactions électromagnétiques. La lumière n’est ni particulaire, ni ondulatoire mais elle est particulaire et ondulatoire.
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Psychosomatique et diathèses homéopathiques
La PSYCHOSOMATIQUE ou MÉDECINE NOUVELLE

Il est clair que les cinq lois biologiques découvertes et mises en avant par le Dr Hamer se vérifient jour après jour ! Il faudra bien que les mérites et l’intelligence de cet homme étonnant soient reconnus un jour ou l’autre. La loi ontogénétique différencie l’évolution des somatisations en fonction de l’origine embryologique de l’organe touché. Elle mérite par contre certains aménagements mineurs pour être confirmée à 100% !
Selon le Dr Hamer :

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Interview de MONA BRAZ.
Le druidisme : vers une spiritualité écologique sans dogmes.

Le monde est en proie à de profonds changements globaux, à une transformation à la fois environnementale, sociale, économique, technologique, scientifique et spirituelle. Comment pouvons-nous accompagner ce changement et lui donner du sens ? Lire la suite

EN FINIR AVEC LA « MALADIE » PARODONTALE..

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LETTRE OUVERTE AU GOUVERNEMENT ET À SES CONSEILLERS SANITAIRES

Pour commencer cette lettre je vais aller droit au but qu’elle souhaite atteindre : Je vous exhorte à cesser de porter atteinte à la santé et à la vie des populations par les décisions que vous prenez à leur encontre, sous le prétexte de santé publique. Lire la suite

La mélodie archaïque du Dr Hamer : une musique qui guérit !

Surprenant de la part de cet homme qui a toujours revendiqué l’aspect rigoureusement « scientifique » de ses découvertes biologiques.
Comment l’actualité sanitaire actuelle nous ouvre à un aspect de sa vie qui a été souvent mal comprise, même par ses défenseurs.
 
C’est à partir de 2006 que le Dr Hamer ressort son ancienne composition, il l’enregistre en 2011 et c’est en mars 2013 qu’il annonce officiellement la découverte étonnante.
Si vous allez sur le site (*) de la Médecine Nouvelle Germanique (amici-di-dirk.com) vous pouvez commander le livre avec l’enregistrement d’une composition musicale du Dr Hamer faite en 1976 pour l’anniversaire de ses 20 ans de mariage, 5 ans avant les découvertes biologiques de 1981 qui vont révolutionner le concept de « maladie ».
La musique témoigne des états d’âme du jeune étudiant, amoureux de sa femme mais inquiet lorsqu’elle lui avait annoncé qu’elle était enceinte. Ce qui risquait de compromettre leurs études et leur avenir. Il y a une version chantée par lui, comme fredonnée au chevet de son fils malade, et une orchestrale, plus mélodieuse et solennelle, on peut l’acquérir mais il l’a donnée pour un usage non commercial.
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Cours global sur les Mycrozymas

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AQ-REL® Approche Quantique du Rêve Éveillé Libre

Au fil de mes années de pratique, deux observations se sont imposées à moi :

  • Le transfert patient/thérapeute et son meilleur ami le contre-transfert thérapeute/patient font partie de la thérapie mais comment ne pas prendre la place de l’autre ?
  • Dans la cure de Rêve Éveillé Libre, les symboles peuvent présenter au thérapeute des signes d’amélioration de l’état du patient et pourtant, parfois, le quotidien de ce dernier reste insatisfaisant.

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Entretien avec le Dr Louis Fouché
« La maladie tente de résoudre une souffrance existentielle »

Depuis cet automne, Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur a fait littéralement irruption dans le paysage médiatique, offrant un contrepoint vivifiant au discours mainstream « covidien ». Porté par sa légitimité de médecin, le sourire en bandoulière, il découpe au scalpel la crise sanitaire pour mieux nous en faire comprendre les enjeux cachés et les sombres coulisses. Tout en mettant cette actualité en perspective, afin de ne pas perdre de vue la crise beaucoup plus globale qui effondre notre monde. Porte-parole éclairé du Collectif Réinfocovid (1), sa voix porte et fait mouche. Avec une clarté implacable, une humanité contagieuse et une intelligence rare, ce non-violent formé à la philosophie et à l’éthique, pose des mots chocs et intelligibles sur cette confusion ambiante qui nous aveugle et nous paralyse. Avec son engagement habituel, il nous a accordé un entretien passionnant de deux heures, dont voici la quintessence. Il en appelle à notre courage, rappelant au passage que celui-ci vient du cœur… Allez, haut les cœurs !
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Covid-19(84) ou La vérité (politique) du mensonge sanitaire

La crise de la Covid-19 n’est pas sanitaire, mais politique, et aucune des mesures liberticides n’est fondée scientifiquement ; par contre, la Covid-19 rend évidente la corruption complète du corps politique et de ses appendices médiatiques et scientifiques. Cette corruption reflète la crise du capitalisme financier, et la volonté des oligarques de détruire la démocratie représentative. Le système politique qui se met en place est bien totalitaire, c’est-à-dire que toutes les facettes de la vie des citoyens seront pilotées par une structure idéologique mortifère ne différenciant plus les sphères privées et publiques. Ce totalitarisme sera fasciste, sanitaire et numérique.

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Les 7 étapes santé

DEUX PRINCIPES DE BASE
Avant d’entrer dans le vif du sujet, j’aimerais vous présenter quelques principes de base qui ont influencé mes actions vers une réadaptation efficace et à succès. Vous pouvez être en accord ou pas avec certains de ces principes mais je vous invite à vous faire votre propre idée après la lecture de tout cet article. Certains principes peuvent également vous surprendre – simplement garder un esprit ouvert jusqu’à la fin. C’est souvent par des méthodes originales que l’on reconnait leurs bénéfices.
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Covid 19 : Le nouveau vaccin ne risque-t-il pas d’être le point de départ d’une nouvelle pandémie ?

Pour pouvoir répondre à cette question et y voir un peu plus clair, il nous faut d’abord connaître les étapes nécessaires à un virus pour se disséminer et ensuite les étapes d’une vaccination-type.

1) Phases nécessaires à un virus pour se disséminer

Il est évident que ces explications ne feront que résumer les principales phases de l’installation et de la dissémination d’une virose, mon but n’étant pas d’assommer les gens par un cours approfondi.

Ainsi voici notre virus, par exemple un SARS-CoV-2, notre coronavirus.

Pour rappel, une particule virale, appelée virion, est composée chez le SARS-CoV-2 :
– d’une grande molécule d’acide nucléique, ici de l’ARN (le stockage de l’information génétique) ;
– d’une enveloppe appelée capside (composée de nombreux capsomères, des sortes de facettes au virion) entourant l’ARN et lui donnant une forme de boudin enroulé sur lui-même ;
– d’une seconde enveloppe extérieure, le péplos, avec les protéines spike en forme d’épines bien connues de tous. La protéine spike (appelée aussi spicule, avec ses deux sous-unités S1 et S2) confère d’ailleurs au virus des propriétés particulières liées à la faculté d’infecter la cellule ou non.

Imaginons que des tas de virions soient présents dans l’air auprès d’un individu. Quelques uns d’entre eux arrivent à pénétrer dans ses narines. Fixons notre attention sur un seul de ces virions, celui qui parvient à passer la membrane cellulaire et à entrer dans une des cellules de la muqueuse. C’est l’étape 1, celle de l’infection, le moment où le virion réussi à passer la barrière protectrice de nos cellules et à entrer à l’intérieur. S’il a pu le faire, c’est qu’il y a eu compatibilité, résonance, entre le virus et la cellule.

A ce moment, après que le virion se soit ouvert dans la cellule, débute l’étape 2. Le virion libère son ARN qui se met immédiatement au travail en utilisant les éléments de la cellule et son métabolisme. Le but du virus est de se multiplier. Il doit donc fabriquer le plus possibles de nouveaux ARN viraux et des protéines virales spécifiques telles que des capsomères (pour construire de nouvelles enveloppes) et aussi des protéines spike (qui iront s’accrocher aux péplos des nouveaux virions lors de la sortie). D’autres éléments viraux pourraient aussi être fabriqués et le métabolisme cellulaire est détourné de ses fonctions normales. La cellule s’en voit affaiblie mais demeure vivante (elle ne peut pas mourir tout de suite sinon le virus ne se multiplierait plus). Cette phase inclut la reconstitution des particules virales. On peut parler de recombinaison. L’étape 2 est donc celle de la multiplication.

L’étape 3 est celle de la libération des virions hors de la cellule infectée. C’est la transmission. Celle-ci est d’abord interne à l’hôte. Les virions sortent de la cellule infectée et se répandent dans les cellules voisines pour y reproduire les mêmes étapes et ensuite recommencent ailleurs dans l’organisme. De multiplications en multiplications, l’individu est totalement infecté et commence à réagir pour maîtriser l’intrus par la production d’anticorps. Des symptômes deviennent parfois visibles à ce moment tels que de la fièvre et des tas d’autres symptômes (maux de tête, fatigue…). S’il a des symptômes, l’individu devient « malade » et c’est alors qu’il prendra la décision de se mettre au lit et/ou de se rendre chez son médecin. S’il est asymptomatique, l’individu porteur ne remarquera rien. Durant cette phase, l’individu est devenu contagieux et le virus ne se gène pas de se disséminer dans l’environnement. C’est la phase de dissémination.

En résume : les phases d’une virose chez un individu sont : infection, multiplication, transmission et dissémination.

2) Les principaux types de vaccins « classiques »

Je ne parlerai bien sûr pas tout de suite des vaccins anti-Covid puisque les laboratoires lancés dans ces nouvelles fabrications en étaient encore aux phases de tests en août 2020. J’évoquerai plus bas les nouveautés envisagées. Je décrirai donc maintenant essentiellement les phases connues des vaccins existants (grippes, polio…).

Il existe depuis de nombreuses années deux grands types de vaccins. Ce sont les vaccins classiques. Il s’agit des vaccins inactivés et des vaccins atténués.

Vaccins inactivés (= tués = inertes): les particules virales sont multipliées en laboratoire sur des milieux cellulaires particuliers (cultures de cellules humaines ou animales) et puis neutralisées par inactivation de leur ARN (par exemple au moyen de formol). Puisque les virions ont été inactivés, leur ARN est incapable de se multiplier. Le vaccin inactivé vise cependant à provoquer une réaction chez l’individu pour lui faire produire des anticorps spécifiques aux enveloppes des virions. On peut aussi utiliser des fractions antigéniques [1] . Ces vaccins ne produisent pas de « maladie » complète et sont incapables de se disséminer, sauf rares cas où, accidentellement, le virus aurait été mal inactivé. Des cas ont eu lieu par le passé. Ils sont en principe plus sûrs, exempts de tout risque infectieux, mais parfois sensibilisants [2] .

Les exemples de ces vaccins inactivés sont nombreux [3] :

Vaccins complets :
– coqueluche,
– leptospirose,
– rage
– encéphalite à tiques
– polio.

Fractions antigéniques :
– tétanos : anatoxine
– diphtérie : anatoxine
– coqueluche acellulaire
– haemophilus : polysaccharide adsorbé et conjugué
– méningo : polysaccharide seul ou conjugué
– pneumocoque : polysaccharide seul ou conjugué
– typhoïde : polysaccharide
– hépatite A
– grippe
– encéphalite japonaise.

Vaccins atténués : la préparation vaccinale contient des virions toujours actifs mais il s’agit de souches virales atténuées. La maladie induite chez l’individu correspond à celle d’une souche virale naturelle mais provoquant peu ou pas de symptômes. On dit que le produit se multiplie chez l’hôte sans provoquer de maladie (en fait de symptôme). Souvent, il ne s’agit que d’une fièvre, une fatigue… Ils ne sont pas dépourvus de risques infectieux (réversion du virus polio, BCGites, vaccine généralisée),
des interférences peuvent survenir entre les virus naturels apparentés et le virus vaccinal [4].

Quelques vaccins qui rentrent dans cette catégorie [5] :
– Vaccin anti-polio oral,
– BCG
– Rubéole
– Oreillons
– Rougeole,
– Fièvre jaune
– Varicelle.

« Une troisième catégorie de vaccins dits «classiques» a par la suite été développée : les vaccins «sous-unité». Dans ce cas, les principes actifs sont constitués par des composants qui représentent des fractions immunologiquement actives des micro-organismes. Ces vaccins, au même titre que ceux à agents inactivés, entrent dans la catégorie des vaccins à agents inertes. »[6]

3) Les phases d’une vaccination-type

Les étapes d’une vaccination surtout avec les virus atténués ont dès lors beaucoup de similitudes avec celles des infections naturelles.

Cependant, « Les antigènes vaccinaux doivent franchir les barrières naturelles isolant l’organisme du milieu extérieur (peau, muqueuse…) et les facteurs de défense non spécifiques susceptibles de détruire les corps étrangers avant que le système immunitaire spécifique ne soit mis en jeu. »[7]

La grande différence est donc que la pénétration initiale est forcée par l’ injection d’une suspension contenant des particules virales vivantes et d’adjuvants. Cette première étape enclenche l’infection (non pas dans une seule cellule mais instantanément dans de très nombreuses cellules à la fois). Toutes ces cellules réagissent ainsi ensemble. Cela correspond à l’infection expliquée ci-dessus sauf qu’elle n’est pas unique. Elle se fait simultanément dans un groupe de cellules au point d’injection ou dans la zone d’infection (par exemple au niveau des muqueuses nasales en cas de sprays vaccinaux). Les phases sont donc aussi infections, multiplications/recombinaison, transmissions et dissémination.

Avec un vaccin atténué, la personne vaccinée devient donc légèrement malade mais elle est dès lors également légèrement infectieuse. Elle pourrait ainsi retransmettre faiblement les souches vaccinales injectées, heureusement atténuées, dans leur entourage.

Ceci est confirmé par le gouvernement du Royaume-Uni qui, le 22 mars 1979, a adopté le Vaccine Damage Payment Act, une “loi prévoyant que des paiements doivent être effectués sur des fonds publics dans les cas où une invalidité grave survient à la suite d’une vaccination contre certaines maladies ou d’un contact avec une personne qui a été vaccinée contre l’une de ces maladies.

C’est pourquoi aussi, l’État d’Israël assure toute personne ayant reçu un vaccin et toute personne entrée en contact avec elle, contre toute atteinte susceptible d’être provoquée à la suite d’un vaccin. Et cela, conformément à la loi sur l’assurance des personnes atteintes par un vaccin de 1989. [8]

Cependant, des mutations postérieures restent possibles puisqu’il s’agit de matériel vivant [9].

La rencontre entre les souches vaccinales et les souches sauvages pourraient aussi exceptionnellement engendrer des croisements et un danger réel d’interactions. Ainsi, avec le vaccin contre la fièvre dengue qui avait été imposé à la population au beau milieu d’une épidémie, la rencontre entre le virus vaccinal et le virus épidémique avait aggravé la maladie chez de nombreuses personnes ayant déjà été infectées, ce qui avait provoqué plusieurs décès. Ce fut la crise du Dengvaxia aux Philippines[10].

La vaccination ne peut malheureusement pas empêcher que certains vaccinés, de par leur sensibilité personnelle, réagissent exceptionnellement plus fort que prévu et/ou aient des complications pulmonaires et/ou se retrouvent gravement affectés par la virose injectée aussi brusquement. On parle d’effets secondaires néfastes. Ainsi, exceptionnellement la vaccination « peut tuer, comme cela a été bien démontré pour la vaccination contre la rougeole[11] » . Souvent ces effets secondaires ont peu de conséquences et ne sont d’ailleurs quasi jamais enregistrés et surtout pas indemnisés. Il est évident que les réactions exacerbées restent heureusement relativement rares et qu’elles ne devraient affecter que des personnes déjà fragilisées. C’est pour de tels effets secondaires que, selon certains, pour le virus de la grippe, il pourrait être déconseillé de vacciner des personnes de plus de 65 ans. Les avis divergent cependant et les conseils habituels sont de les vacciner car ils sont considérés comme des personnes à risque.

De toute façon, les vaccins vivants sont, d’une façon générale, contre-indiqués en cas d’immuno-dépression et, le plus souvent, contre-indiqués chez la femme enceinte.

4) Les adjuvants

Comme écrit ci-dessus, il est souvent nécessaire de recourir à des adjuvants. Un adjuvant a deux fonctions [12] :
– garder l’antigène à proximité du site d’injection,
– activer des cellules, présentant l’antigène de manière à favoriser la reconnaissance immune et la production d’interleukines.

En fait, la présence d’adjuvants a pour but d’augmenter la réactivité de l’individu pour qu’il produise plus d’anticorps, sinon la plupart des vaccins n’aurait que peu ou pas d’efficacité. Augmenter la réactivé, cela veut dire, en cas de vaccin atténués, empêcher les cellules de l’individu sain de neutraliser trop vite les virions vaccinaux injectés. Il faut que les cellules soient infectées et multiplient les virions. En d’autres mots, il s’agit d’affaiblir les cellules saines du vacciné pour qu’il tombe malade. Cette action n’est malheureusement pas spécifique et le vaccin, en affaiblissant l’individu, ne peut que le rendre momentanément plus fragile à tous les pathogènes et aux autres virus qui seraient présents au même moment dans l’environnement. [13]

C’est une des raisons pour lesquelles on ne peut jamais vacciner quelqu’un qui est déjà malade d’autre chose.

Tout cela a été confirmé par le Dr. Soumya Swaminathan Swaminathan, Scientifique en chef de l’OMS et pédiatre, lors d’une intervention le 3 décembre 2019 : « Il me semble que les adjuvants, multiplient l’immunogénicité des antigènes [capacité qu’à un antigène de provoquer une réponse immunitaire bien spécifique], auxquels ils sont ajoutés, et que c’est leur intention. Il me semble qu’ils multiplient la réactogénicité dans de nombreux cas, et il me semble donc qu’il n’est pas surprenant qu’ils multiplient l’incidence des effets indésirables associés à l’antigène, mais ceux-ci peuvent ne pas avoir été détectés par manque de statistiques fortes dans les études initiales. »

Lors de l’intervention du Dr Stephen Evans, Professor of Pharmacoepidemiology, London School of Hygiene & Tropical Medicine, ce même jour du 3 décembre 2019, le Dr. Martin Howell Fride, coordinateur du Initiative of Vaccine Research, répond : « Vous avez raison. Lorsque nous ajoutons des adjuvants, en particulier certains des adjuvants les plus récents, tel que l’AS01, adjuvant dérivé de la saponine, nous constatons une réactogénicité locale accrue. »

5) Les vaccins du nouveau type avec VGM (Virus génétiquement modifié).

Comme expliqué ci-dessus, il existait les deux types de vaccins ainsi que les vaccins « sous-unités » mais depuis le printemps 2020, avec l’avènement de la Covid-19, et probablement bien avant, un troisième type a été imaginé et des tests sont en cours. Ils ne sont que l’évolution de la technique des vaccins « sous-unités ».

En ce qui concerne les vaccins pour animaux, Bertagnoli et al décrivaient en 2008 déjà, les principes d’obtention et le développement de vecteurs vaccinaux fondés sur l’emploi de poxvirus animaux à spectre d’hôte étroit (virus myxomateux), d’adenovirus humains ou animaux défectifs (c’est-à-dire ayant perdu toute capacité à se multiplier chez l’hôte) ainsi que de rhabdovirus de poissons modifiés par génétique inverse [14]. Il y a douze ans déjà, la virologie progressait dans la préparation de vaccins recombinés.

A propos de ces futurs vaccins anti-covid, on pouvait ainsi lire en juillet : “…avec un vaccin de chez Astra-Zeneca, en collaboration avec l’université d’Oxford, qui se trouve déjà en phase III (ce qui signifie qu’il est testé sur plusieurs milliers d’individus) et qui pourrait se trouver sur le marché dès le mois d’octobre. De manière assez ironique, ce vaccin utilise un virus pour transporter CERTAINS gènes de Covid-19 dans nos cellules et créer ainsi une réaction immunitaire.

Ce n’est pas de la science fiction ni du complotisme. Je trouve sur le site AFP factuel [15] , parlant de la lutte contre les fausses informations et de l’Institut Pasteur :
« (le vaccin rougeole peut être recombiné et utilisé comme un véhicule pour induire une réponse immunitaire contre d’autres agents pathogènes, ici SARS-cov1)“, explique l’institut Pasteur dans un démenti publié [16] sur son site le 18 mars. » et « “Le savoir-faire développé en 2003 contre SARS-cov1, et le candidat-vaccin breveté en 2004, sont actuellement appliqués par les scientifiques concernés pour un projet en cours de vaccin potentiel contre SARS-cov2 (responsable de Covid-19), notamment en utilisant la plateforme rougeole ». L’Institut Pasteur parle bien de recombinaison.

Je vous explique. Plutôt que d’injecter un virus entier, on injecte un génome manipulé contenant une portion de l’ARN viral de la Covid-19. C’est donc l’antigène modifié. On peut utiliser comme transporteur le vaccin rougeole comme expliqué ci-dessus mais il semble que, dans plusieurs vaccins, on pourrait y mettre aussi un virus de chimpanzé ou sinon il devrait y avoir un enrobage particulier pour imiter des virus. Une fois dans nos cellules, ce génome viral produira ce qu’il lui est prévu de fabriquer, soit entre autres des protéines capsidiales et des protéines Spike dont j’ai parlé. Remarquons que le virus transporteur utilisé n’est probablement pas seulement un véhicule mais aussi le multiplicateur nécessaire au sein de la cellule (puisque la portion d’ARN viral de la Covid-19 retenue pour la fabrication du vaccin n’a pas nécessairement cette fonction de permettre le recopiage).

Le risque est le suivant. De nouveaux virus pourraient se reconstituer de façon naturelle, donc avec des virus ou variants circulants (et/ou avec les diverses portions virales du vaccin), dans les cellules du vacciné et en sortir. J’insiste, il s’agit de phénomènes tout-à-fait naturels. Le Professeur Didier Raoult parle de ré-appariements (rappariements?) entre virus. « Les coronavirus sont connus pour faire des ré-appariements entre virus. … Il y a des modifications qui se font entre les différents coronavirus entre eux et il est possible qu’il y ait des ré-appariements avec des rhinovirus »[17]. Les rhumes circulent fortement en cette période automnale !

Maintenant, s’ils se font bien entre virus dans la nature, je ne vois pas pourquoi ces ré-appariements n’arriveraient pas aussi entre les variants de virus vaccinaux et leurs génomes véhicules (rougeole ou autre).

Globalement, nous avons le même processus que celui dont je vous ai parlé au début mais modifié génétiquement par mutation naturelle : infections (avec le génome injecté et son éventuel véhicule), multiplications et recombinaisons/ré-appariements (de virus complets mais qui sont tout nouveaux), transmissions et dissémination de ce nouveau virus dans le corps … et probablement transmission hors de l’hôte. Si la probabilité reste faible, le risque zéro n’existe sûrement pas.

Bill Gates (Pourquoi lui ? Serait-il aussi virologue?) a bien compris ce mécanisme de multiplication qu’il trouve génial et explique : « Plutôt que d’injecter l’antigène d’un agent pathogène dans votre corps, vous lui donnez le code génétique nécessaire pour produire cet antigène lui-même. Lorsque les antigènes apparaissent à l’extérieur de vos cellules, votre système immunitaire les attaque et apprend à vaincre les futurs intrus au cours du processus. En gros, vous transformez votre corps en sa propre unité de fabrication de vaccins. » [18]

Notons que cette explication n’est en fait qu’une variante de ce que font déjà les vaccins de virus atténués (on les injecte et ils se multiplient) sauf que Bill Gates comparait certainement :
– les vaccins de virus inactivés (on n’injecte que des virus « morts », donc la seule partie utile est l’enveloppe, la fraction antigénique => « injecter l’antigène d’un agent pathogène »)…
– avec les nouveaux vaccins, ces portions d’ARN viraux de la Covid-19 liés à un virus transporteur (=> « vous lui donnez le code génétique nécessaire pour produire cet antigène lui-même »).

Il faut attirer l’attention sur le fait que les firmes manipulent aujourd’hui de plus en plus de l’ARN et que l’ARN viral est fondamentalement identique au nôtre. En effet, le but de l’ARN viral est de faire travailler nos cellules pour produire des virions, comme l’explique Bill Gates. Donc cet ARN viral interférera avec notre propre ADN et nos ARN. C’est toujours comme cela que les virus opèrent ! Mais il n’y a qu’un pas vers la catastrophe si ce qu’on injecte est à risque. Et c’est là qu’il faudrait redoubler de prudence. Cela dépendra donc de ce qu’on va vraiment injecter et des recombinaisons qui pourront se faire. C’est d’ailleurs ce qui est déjà arrivé lors des essais de Astra Zeneca, avec un mort d’une maladie inconnue.

Je reviens sur la recombinaison lors de la phase de multiplication. Elle pourrait permettre la création de nouveaux virus si des génomes issus de virus distincts se retrouvent naturellement au sein de la même cellule. C’est de cela dont parle le Professeur D. Raoult dans la vidéo de l’IHU du 23 octobre 2020. Il évoque les ré-appariements entre les coronavirus qui circulent et éventuellement les rhinovirus. Il s’agit d’un phénomène normal puisque plusieurs viroses coexistent simultanément dans la nature et pourraient donc infecter un même individu tout juste vacciné. Cela est déjà arrivé et je vous renvoie à nouveau à la crise du Dengvaxia aux Philippines évoquée ici plus haut.

Le phénomène de recombinaison est également ce qui est arrivé dans l’affaire Wakefield, médecin britannique qui a montré que des enfants présentaient des troubles autistiques suite à une vaccination par le R.O.R. (mélange de trois vaccins monovalents rougeole, oreillons et rubéole), la valence rougeole étant en cause.

De plus, si les futurs nouveaux vaccins utilisent des transporteurs tels que des virus de la rougeole ou de chimpanzé ou autre, verrons-nous apparaître un recombinant rougeole-coronavirus ou un adénovirus de chimpanzé – coronavirus ou une autre combinaison ?

Sachant que l’idée est de vacciner une proportion importante de la population mondiale (plusieurs milliards d’individus), on multipliera ce risque infime de recombinaison par plusieurs milliards de fois. Statistiquement, plus on vaccinera, plus le risque augmentera. C’est là, pour moi, que pourrait se trouver le risque d’une vraie pandémie, celle incontrôlable, injectée dans un individu mais qui se disséminerait dans la population mondiale. Et à ce moment là, vous pourriez réellement avoir peur pour vous et vos familles. « Ce qui me fait réellement peur, c’est l’empressement de certains gouvernements à vouloir mettre le plus vite possible un vaccin sur le marché. [19] »

Je ne peux donc que recommander la plus grande prudence et certainement pas l’empressement actuel.

6) Le vaccin de tous les dangers si on n’y prend garde.

A voir cet empressement et même la clause d’exemption de responsabilité pour les firmes préparant dans l’urgence les nouveaux vaccins, où reste donc le fameux principe de précaution ? Le corps médical aurait-il la folie de mettre de force le loup dans la bergerie, je veux dire des portions de virus transformés et multiples au sein de nos propres cellules ? Je n’oserais même pas prendre ce risque et encore moins vous proposer de tester les premiers vaccins. Les risques pourraient être insidieux, pas immédiats, parfois des chocs anaphylactiques, parfois des symptômes multiples, des changements de comportements d’individus, parfois des faiblesses à de nouvelles infections, parfois des allergies inexpliquées, des infections croisées, des recrudescences de maladies orphelines, inexplicables ou de société, parfois de nouvelles mutations plus virulentes… Les maladies virales sont parfois lentes à s’extérioriser. Il faudra bien du temps pour s’assurer de l’innocuité de ce nouveau type de vaccins.

Savez-vous que « lors de précédents essais de vaccins contre des coronavirus, le risque de facilitation de l’infection et de surréaction du système immunitaire a déjà été confirmé » [20].

Quels seraient les transformations cellulaires induites avec des portions de génomes issus de plusieurs virus à la fois et tous différents selon les entreprises qui auraient recomposé des faux virus ARN artificiels ? Quels pourraient être les effets pervers du vecteur qui pourrait être utilisé, un virus de chimpanzé, par exemple avec le futur vaccin ChAdOx nCov-19 ? Il s’agit d’un adénovirus censé stimuler des réponses immunitaires très robustes, à la fois des anticorps et des cellules T [21]. Comme écrit plus haut, on peut aussi utiliser le virus de la rougeole qui a l’avantage d’être très bon marché [22]. Tous cela ne sont que des mélanges de génomes d’origines diverses. Et ceci nous ramène aux risques des vaccins combinés.

La portion du génome viral du HIV (SIDA) présente dans le SARS-CoV-2 ne serait-elle pas l’un des responsables d’une partie de l’agressivité du virus sur les individus au début de la pandémie comme le prétend le Professeur Luc Montagnier [23] et d’autres scientifiques [24] ou aussi une portion génomique de la malaria [25] (affirmation contestée [26]) ? Je ne prétends nullement que ces portions virales semblables à celles du HIV ou à du génome de malaria proviendrait de manipulations génétiques humaines puisque ce genre de recombinaison est un phénomène naturel. Ainsi, avec diverses portions de virus dans un nouveau vaccin et à une très grande échelle, les firmes pharmaceutiques ne risqueraient-elles pas de jouer aux apprentis sorciers ? Ne se dirigent-elles pas vers des remèdes qui pourraient générer à leur tour un nouveau virus non maîtrisable, le virus de tous les dangers ?

Les vaccins, puisqu’ils contiennent du matériel génétique vivant, reproductible, capables de se recombiner naturellement et évolutifs, sont toujours porteurs de nombreux dangers potentiels redoutables. Ce sont des bombes à retardement biologiques.

Tant qu’il est encore temps, utilisons plutôt le peu d’argent qui restera dans les caisses de l’état à promouvoir intensément tout ce qui est bénéfique à la santé et à stimuler naturellement nos systèmes immunitaires : nourriture saine et équilibrée, vitamines et oligoéléments, marche et sport, sortir de chez soi, éviter les endroits confinés (!), aérer, pensées positives… Là, ce serait tout notre niveau de santé global qui pourrait être amélioré et notre résistance immunitaire globale contre toutes les viroses et autres maladies.

Nous aurions ici enfin les vrais mesures de précautions.

Ir. Jean-Luc Matthieu
Bio-ingénieur phytovirologue, retraité

 

 

[1] « Vaccinations : bases immunologiques, indications, efficacité, complications », P. MASSIP – Septembre 2002, dans http://www.medecine.ups-tlse.fr/DCEM2/MODULE7/item85/indexI1.htm : « Les fractions antigéniques ou sous-unités vaccinantes qui sont soit des particules virales, fractionnées, soit des toxines naturelles détoxifiées (anatoxines), soit des antigènes capsulaires (polysaccharides de pneumocoques ou de méningocoques) ou membranaires (protéines bactériennes ou virales).

[2]« Vaccinations : bases immunologiques, indications, efficacité, complications » dans http://www.medecine.ups-tlse.fr/DCEM2/MODULE7/item85/indexI1.htm

[3] « Vaccinations : bases immunologiques, indications, efficacité, complications » dans http://www.medecine.ups-tlse.fr/DCEM2/MODULE7/item85/indexI1.htm

[4] « Vaccinations : bases immunologiques, indications, efficacité, complications » dans http://www.medecine.ups-tlse.fr/DCEM2/MODULE7/item85/indexI1.htm : « L’un des risques essentiels est la possibilité de réversion à des formes virulentes (polio oral). Il est difficile de maintenir un germe actif sans modification de son infectivité, tout en préservant son innocuité. »

[5] « Vaccinations : bases immunologiques, indications, efficacité, complications » dans http://www.medecine.ups-tlse.fr/DCEM2/MODULE7/item85/indexI1.htm

[6] BERTAGNOLI S., PIGNOLET B. , BIACCHESI S. , ELOIT M. , KLONJKOWSKI B. ,RICHARDSON J. , BREMONT M. , INRA Prod. Anim., 2008, 21 (1), 127-136 , https://oatao.univ- toulouse.fr/4785/1/bertagnoli_4785.pdf

[7] « Vaccinations : bases immunologiques, indications, efficacité, complications » dans http://www.medecine.ups-tlse.fr/DCEM2/MODULE7/item85/indexI1.htm

[9] « Vaccinations : bases immunologiques, indications, efficacité, complications » dans http://www.medecine.ups-tlse.fr/DCEM2/MODULE7/item85/indexI1.htm : « L’un des risques essentiels est la possibilité de réversion à des formes virulentes (polio oral). »

[10] DEPUYDT Senta, Vaccin Covid-19, Les bonnes raisons de dire NON, Néosanté n°103, septembre 2020, p. 8.

[11] La Libre Belgique du 7 septembre 2020, p. 22-23, entretien avec Éric Muraille, « Que sait-on du Covid-19 ».

[12] Vaccinations : bases immunologiques, indications, efficacité, complications » dans http://www.medecine.ups-tlse.fr/DCEM2/MODULE7/item85/indexI1.htm

[13] En outre, de nombreux auteurs affirment que la présence d’adjuvants (aluminium principalement) induirait à plus long terme des effets nuisibles sur la santé des vaccinés.

[14] BERTAGNOLI S., PIGNOLET B. , BIACCHESI S. , ELOIT M. , KLONJKOWSKI B. ,RICHARDSON J. , BREMONT M. , INRA Prod. Anim., 2008, 21 (1), 127-136 , https://oatao.univ- toulouse.fr/4785/1/bertagnoli_4785.pdf

[15] https://factuel.afp.com/non-le-coronavirus-detecte-en-chine-na-pas-ete-cree-puis-brevete-par-linstitut-pasteur

[17] https://www.youtube.com/watch?v=ToFWzGtVot4&feature=youtu.be : Mutations, variants : ce que les génomes nous apprennent, IHU Méditerranée-Infection, 27 octobre 2020, par le Professeur Didier Raoult, à 8’ 15’’ et après.

[18] cité par DEPUYDT Senta, Vaccin Covid-19, Les bonnes raisons de dire NON, Néosanté n°103, septembre 2020, p. 8.

[19] La Libre Belgique du 7 septembre 2020, p. 22-23, entretien avec Éric Muraille, « Que sait-on du Covid-19 ».

[20] DEPUYDT Senta, Vaccin Covid-19, Les bonnes raisons de dire NON, Néosanté n°103, septembre 2020, p. 8.

[21] DEPUYDT Senta, Vaccin Covid-19, Les bonnes raisons de dire NON, Néosanté n°103, septembre 2020, pp. 5-10.

[22] Émission Radio Courtoisie du 18 septembre 2020 à 20h38, à la 30e min 15 sec. https://www.youtube.com/watch?v=Aj8m_Ry8CXI&feature=youtu.be</div>

[23] Professeur Montagnier, prix Nobel de médecine et expert du HIV

[24] Pr. Jean-Bernard Fourtillan, sur https://twitter.com/ParticipationA/status/1323399688142376960 vers 6’12 et après.

[25] Émission Radio Courtoisie du 18 septembre 2020 à 20h38 https://www.youtube.com/watch?v=Aj8m_Ry8CXI&feature=youtu.be

Massage russe : libérer le corps et sa mémoire

Se faire piétiner pour atteindre davantage de bien-être. Ce n’est pas un rite masochiste mais un soin thérapeutique appelé massage russe. Issu d’un art martial réservé un temps aux troupes d’élite communistes, il libère les tensions musculaires mais aussi émotionnelles que le corps garde en mémoire. Son originalité réside dans l’utilisation du pied par le masseur et de la respiration par le massé pour créer un paradoxe douleur/détente aux vertus thérapeutiques.
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INTERVIEW / FRANÇOIS JORTAY, CHERCHEUR LIBRE

« Le covidisme est une forme de religion,  avec ses temples médiatiques et ses prêtres-experts »

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Effet matrice : au-delà des nutriments

Les vertus des mets qui iront contempler les voûtes de notre estomac sont généralement considérées à l’aune de leur composition en nutriments. Or, la réalité est bien plus complexe lorsqu’on s’intéresse à l’effet matrice, qui envoie dans les cordes les recommandations nutritionnelles les plus répandues.
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LES MASQUES : une supercherie scientifique

Les autorités le reconnaissent elles-mêmes : il n’y a aucun fondement scientifique à l’utilisation des masques pour protéger la population de la pandémie de coronavirus – pour autant que celle-ci soit réelle. Non seulement ceux-ci sont inefficaces et inutiles, mais ils présentent même des inconvénients avec des conséquences sanitaires potentielles néfastes. En fin de compte, la seule justification admise par l’OMS est un effet psychologique potentiellement bénéfique sur la population vis-à-vis de l’ensemble des mesures prophylactiques imposées par les autorités. Toutefois, même cet effet-là présente des inconvénients, car il n’a quasiment pas été scientifiquement étudié. Le château de sable de la pandémie de coronavirus commence à s’écrouler, mais la mesure emblématique de l’imposition des masques est particulièrement intéressante pour démontrer la manipulation de la population à partir d’arguments  plus politiques que scientifiques.

Par Hughes Belin

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Interview de François Jortay

Interview

FRANÇOIS JORTAY :

« Le covidisme est une forme de religion, avec ses temples médiatiques et ses prêtres-experts »

Mensonges, supercheries, comportement magique, quasi-religion, charlatanisme : on ne peut pas dire que François Jortay y va avec le dos de la cuillère dans sa longue analyse de la gestion de la crise du Covid-19. Pour vous en donner un avant-goût et peut-être le désir de la lire (deux fois, comme il le conseille), nous lui avons demandé d’en résumer les points les plus saillants. Dans cette interview exclusive, il montre l’ampleur du catastrophisme médiatique et sa puissance de conviction (c-à-d de conditionnement) sur les gouvernements et une partie considérable de la communauté scientifique. En outre nombre de scientifiques seraient victimes d’une incompréhension des limites de la modélisation mathématique appliquée à des phénomènes écosystémiques et sociologiques. L’incapacité (historiquement vérifiée) des modèles épidémiologiques à prédire l’avenir a “justifié” l’inversion du principe de précaution, foulant ainsi au pied les principes élémentaires de la méthode scientifique. Cette « nouvelle religion » qu’il dénomme “covidisme” entraîne la population dans un enfermement cognitif délétère. L’analyse de François Jortay est implacable. Il démonte les modèles prévisionnels, au centre de toute la machinerie covidiste, et il dénonce la supercherie consistant, dans la gestion de l’épidémie, à utiliser le nombre brut de tests positifs sans le rapporter au nombre de tests réalisés (cas positifs/tests). Alors que l’indicateur le plus important, assène-t-il, c’est la mortalité toutes causes. En fin de compte, non seulement dit-il tout haut ce que de nombreuses personnes, y compris des scientifiques, pensent tout bas, mais son voyage au cœur des modèles mathématiques a le mérite de révéler au grand jour les failles du discours officiel – faut-il l’appeler « propagande » ? Néosanté a souhaité mettre en lumière son travail citoyen, loin des spotlights, pour contribuer à la réappropriation du débat scientifique par la société autour de la gestion de la crise du Covid-19. Lire la suite

Inefficacité des mesures de confinement sur la propagation du Covid-19

Une preuve actuelle de l’inefficacité des mesures de confinement ressort du graphique du nombre de décès provoqués en Belgique par le Covid-19 (ou du moins déclarés comme tel).
Source :
https://www.worldometers.info/coronavirus/?base=647&amp;campaignId=1093269&amp;segmentId=1103097&amp;shootId=1138394#countries
On peut y observer que la courbe de décès décroît de façon régulière depuis le 16 avril, particulièrement si on travaille avec les courbes lissées à trois ou surtout à sept jours.
Il a été largement annoncé d’une part que le confinement était nécessaire (il devait réduire les transmissions virales) et d’autre part que le déconfinement représentait un risque de nouvelles transmissions, voire d’une explosion des infections et décès.
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LE RETOUR DES SANGSUES : L’HIRUDOTHÉRAPIE AU XXIe SIÈCLE

Le monde de l’hirudothérapie est prodigieux mais reste encore très méconnu. Mon expérience personnelle a commencé il y a 15 ans et a été un tournant dans ma vie professionnelle, puisque j’ai abandonné la médecine conventionnelle pour m’impliquer à 100% dans la médecine naturelle. Tout remonte à l’époque où ma mère a dû subir une opération du genou suite à une arthrose sévère.
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Ce que nous apprend le coronavirus sur l’évolution humaine et terrestre

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zach-bush

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Deuxième lettre à mes patients

Le 25 mars dernier, j’ai, dans un courrier adressé à mes patients, et qui fut relayé aimablement par Néosanté[1] et Santé-Nature-Innovation[2], exposé mon point de vue de médecin de terrain afin de préciser les différences fondamentales entre cause, facteurs déclenchants et aggravants dans l’expression des symptômes que présente un malade, par exemple lors d’infections.
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Microbiome et Psychobiologie

Microbiome

On a déjà beaucoup dit sur le lien entre les intestins et le cerveau, ou sur le lien entre nos « deux cerveaux ». Mais il existe peu d’écrits sur le lien entre la flore dominante dans notre appareil digestif et les maladies ou afflictions psychologiques d’une personne. Pour cela il est important de d’abord définir nos flores principales. Lire la suite

Où est passée la grippe saisonnière ?

Enquête sur les statistiques du nombre de décès liés au coronavirus

Alors que la grippe fait en moyenne 10 000 morts tous les ans, nous n’en avons quasiment pas entendu parler cette année ! Et si on avait classé coronavirus une majorité de personnes atteintes de la grippe ?  Cela semble bien le cas en France, en Belgique, en Suisse. En réalité, nous sommes actuellement incapables de faire la différence entre les décès liés à la grippe ou au coronavirus cette année ! D’autant plus que la fiabilité des tests laisse franchement à désirer !

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Le fiasco du Smon

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Duesberg

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Épidémie : comment la peur nous impacte

Le but de cet écrit n’est pas de faire le procès de la situation actuelle et du paradigme qu’elle incarne mais plutôt de proposer un éclairage différent de ce que nous avons l’habitude d’entendre et de lire. Ce que nous sommes en train de vivre à l’échelle mondiale est une manifestation de plus d’un phénomène qui n’a rien de nouveau : notre connaissance trop faible des mécanismes du traumatisme, de la peur et du fonctionnement étroitement lié de nos émotions et de notre corps, par le biais de notre système nerveux.
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Nos mythologies Pasteuriennes

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ceulemans

Ci-dessous la version anglaise : Our Pasteurian Mythologies

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La Libération Emotionnelle Animale –

Par Olivier Hibon et le Dr Nayla Cherino Para.
 

  1. Historique
  2. Constat
  3. Recherche
  4. Application : la méthode
  5. Découverte : Le Centaure
  6. Application concrète par le Dr Nayla Cherino Parra
  7. Conclusions et Perspectives
  8. Lire la suite

Psychologie évolutionniste et maladies mentales

Lorsque le rédacteur en chef de Néosanté m’a proposé, il y a quelques mois, de préparer un article sur la psychologie évolutionniste, je dois bien avouer que je ne me doutais pas des réflexions que ça allait déclencher dans ma pratique. Bien que je sois en charge de la rubrique « paléo nutrition » dans Néosanté depuis le premier numéro (mai 2011), et que je sois par ailleurs sociologue de formation, je n’ai jamais complètement lié ces deux champs de recherche. Du moins au-delà d’un niveau que je qualifierais aujourd’hui de superficiel, à savoir l’impact de notre mode de vie moderne (sédentaire, industriel, artificiel, etc.) sur notre santé. Avec un focus particulier sur la question de notre alimentation.
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L’INSTANT PRESENT, CLEF DE TOUTES LES GUERISONS

L’univers est le fruit de milliards de dualités dynamiques en perpétuelle recherche d’équilibre.
Une dualité dynamique est la façon dont l’énergie crée toutes choses mais aussi la façon dont chacune de ces choses se maintient dans la durée par une recherche d’équilibre instable entre ses deux polarités opposées. Lire la suite

L’Aloe arborescens, l’Aloe vera puissance 3

L’Aloe vera ne doit plus être présenté, il est maintenant bien connu des thérapeutes et du public. Il appartient au genre Aloe, qui compte plus de 400 espèces, parmi lesquelles l’Aloe arborescens beaucoup moins répandu et utilisé. L’Aloe arborescens est souvent confondu avec l’Aloe vera tant ce dernier est entré dans l’inconscient collectif par le matraquage publicitaire dont il fait l’objet. Il suffit en effet de voir le mot « Aloe » pour penser directement à l’Aloe vera, même si la mention « arborescens » apparaît à sa droite. Notre cerveau est bien conditionné et nous joue quelques fois de petits tours ! Cet article vous permettra de ne plus tomber dans le piège et de mieux faire connaissance avec une plante trois fois plus riche en principes actifs.
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LE TRAVAIL DE RESPIRATION HOLOTROPIQUE

Un cheminement
 
C’est vers la fin de notre formation psychiatrique, psychologique et psychanalytique, qu’est née en nous une « certaine idée » de la thérapie, et ce à la suite de questionnements sur l’efficience de la pratique psychanalytique et psychothérapique : pourquoi celles-ci pouvaient se révéler opportunes, aboutir à un changement et une guérison pour certains, alors que, pour d’autres, on se trouvait confronté à une analyse ou une psychothérapie interminable, sans changement majeur ?
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Mon expérience de l’alimentation cétogène

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Je suis naturopathe depuis 25 ans. J’ai toujours prodigué les conseils suivants : « Mangez bio autant que possible » ,« faites de l’exercice », « sélectionnez les aliments les plus sains » etc… Bref comme n’importe quel naturopathe le ferait. Et ma référence jusqu’à l’an passé a été la pyramide alimentaire. (Peu importe le pays, celles-ci sont identiques). Lire la suite

Nos livres

La vérité sur le cancer une santé vraie
Le sens des maux 01 Le sens des maux 02 Le sens des maux 03
Le sens de la vie tome 1 Le sens de la vie tome 1 Sens de la vie:TOME 3
Psychobiologie Appliquée Tome 1 Psychobiologie Appliquée Tome 2 Psychobiologie Appliquée Tome 3
Et si les maladies étaient des mémoires de l’évolution ? Le Biodico Sens des Maux 4
En finir avec la perte de vos dents En finir avec le Diabète et les maladies métaboliques AUX SOURCES DE LA NATUROPATHIE


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