Un docu « alu-cinant »

Ma lettre d’aujourd’hui sera  brève : je voudrais simplement vous inviter à visionner un documentaire consacré à l’aluminium dans les vaccins. La question des adjuvants,  ce n’est pas trop la tasse de thé de Néosanté. C’est plutôt celle des défenseurs de la vaccination qui s’interrogent uniquement sur la nocivité des composants visant à doper la réponse immunitaire. Un Henri Joyeux, par exemple, ou un Romain Ghérardi, se définissent comme des  « provaccins inquiets » ou des « provaccins intelligents ». Ils ne remettent jamais en cause le principe même de l’immunisation artificielle, ni les prétendues victoires de cette technique dans l’éradication des maladies infectieuses.  Ces dissidents modérés veulent seulement minimiser les risques et faire appliquer le principe de précaution à propos de l’aluminium présent dans les seringues. C’est un combat louable et nous les applaudissons bien volontiers de le mener. Mais c’est très insuffisant à nos yeux : pour nous, c’est la fausse science vaccinale dans son ensemble qui doit être abandonnée. Ce ne sont pas seulement les adjuvants qui posent problème, mais la méthode en elle-même. Celle-ci repose sur  la « théorie du germe », c’est-à-dire sur une vision pasteurienne de la vie qui assimile les microbes à des ennemis et qui considère l’immunité comme une armée chargée de les repousser. Or ce n’est pas comme ça que ça marche : notre planète n’est pas un monde impitoyable divisé entre des gentils (humains ou animaux) et des méchants (virus ou bactéries) qui  les attaquent par instinct de prédation ! 
 
Il serait temps de sortir de ce manichéisme infantile. Mais pour ce faire, il conviendrait de réaliser que la dangerosité des vaccins repose bien davantage sur leur contenu biologique, et donc sur leur… efficacité. Ce sont en effet les agents infectieux injectés (morts, vivants ou « atténués ») qui vont agir en simulant la maladie, les adjuvants n’étant là que pour amplifier le mécanisme. Or la nature ne s’imite pas impunément : soit la protection offerte est incomplète ou éphémère (d’où les multiples épidémies dans les populations vaccinées), soit elle perturbe profondément l’écologie microbienne et les relations entre l’Homme et  le microcosme. Le cas de la rougeole est à cet égard exemplaire : depuis que les apprentis-sorciers vaccinateurs cherchent  à tout prix  à éliminer cette affection bénigne de la petite enfance, elle frappe plus gravement les bébés et les adultes. Dans Néosanté,nous vous avons déjà dévoilé cet envers du décor et expliqué pourquoi d’autres maladies soi-disant éradiquées reprenaient vigueur en versions plus menaçantes. En dehors de leurs ingrédients chimiques et métalliques potentiellement toxiques, les vaccins sont une manière insensée de jouer avec le vivant, petit ou grand. D’ailleurs, les mixtures vaccinales de dernière génération sont obtenues par génie génétique, ce sont des OGM qui résultent de bricolages encore plus périlleux.  On est  en plein dans la logique prométhéenne consistant à se prendre pour des dieux, et c’est surtout  là que  se situe la folie dangereuse. 
 
Ceci dit, ne banalisons pas la nocivité des adjuvants. Le scandale du vaccin antigrippal H1N1 a révélé qu’une substance aussi commune que le squalène (extrait d’huile de poisson) pouvait provoquer de redoutables effets secondaires quand on l’inoculait sous la peau. Des milliers de cas de narcolepsie, une maladie invalidante et incurable, sont sur la conscience des politiciens ayant autorisé cette expérimentation digne de Joseph Mengele. A fortiori, la méfiance s’impose envers les sels d’aluminium qui peuvent persister sur le site d’injection et remonter dans le cerveau. Bien sûr, les labos et les autorités sanitaires nous affirment mordicus que ce métal employé depuis un siècle est parfaitement inoffensif aux doses utilisées. Mais qu’en est-il exactement ?  Est-il si innocent  qu’on le dit ? Y-a-t-il consensus pour tenir un discours rassurant ? C’est ce qu’a voulu savoir une  jeune maman française, dubitative et intriguée au départ par le fait que son vétérinaire lui proposait pour son chat un vaccin sans aluminium. Pendant 18  mois, elle a enquêté sur cet adjuvant,  en épluchant la littérature le concernant,  en  remontant aux sources scientifiques et en les confrontant entre elles. Ce travail de fourmi, elle en  a fait une longue vidéo de 2 heures qu’elle a intitulée « L’alu total »et qu’elle  vient de mettre en ligne (gratuitement et intégralement !) sur Youtube et Agoravox. Pour moi, c’est une œuvre d’investigation  qui mérite amplement d’être appelée documentaire. Et en plus, son auteure a soigné la forme et manié l’humour  au point que son film captive de bout en bout malgré sa longueur. Il est à la fois pédagogique, accessible, drôle et imparablement informatif  puisque la vidéaste a collecté de très nombreuses données vérifiées et recoupées. Bref, ce docu « alu-cinant » est un bijou de journalisme citoyen à partager sans modération ! Si vous avez deux heures devant vous et que vous voulez connaître la vérité sur l’aluminium vaccinal , regardez-le en cliquant ici. Et si vous n’avez pas le temps maintenant, ne trainez pas trop car ce ne serait pas étonnant que cette vidéo explosive soit censurée par les médias sociaux. 
 

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