SIDA : la fin de l’hypnose VIH

Deux ans déjà : ça fait deux ans que le documentaire « House of Numbers » ( lire encadré « Le fim qui dérange » ) est sorti aux Etats-Unis et aucune chaîne ne l’a encore diffusé en Europe. Il est vrai que son réalisateur Brent Leung a été attaqué avec… virulence et très rapidement taxé de « négationnisme ».

Dans ce film plusieurs fois récompensé, ce ne sont pourtant pas seulement des « dissidents du sida » qui s’expriment, mais aussi les plus grands chercheurs « orthodoxes », tous défenseurs de la théorie officielle sur l’origine virale de la maladie. Seulement voilà : les faiblesses et les incohérences de cette théorie sont tellement évidentes que les scientifiques ne peuvent plus les nier. Virus jamais isolés, tests de dépistage non fiables, données épidémiologiques trafiquées, mensonges sur les modes de transmission et les risques de contagion… : l’hypnose collective de la thèse VIH commence enfin à se dissiper  !

Si l’internet haut débit avait existé dans les années 80, à coup sûr, le visage de l’humanité en eût été modifié. Car aujourd’hui, il semble de plus en plus certain que l’hypnose de la pandémie sida infligée à la population mondiale, eût rencontré les mêmes résistances salutaires que la stratégie de la grippe A. D’ailleurs, 25 ans plus tard, les discordances rencontrées par l’hypothèse VIH => sida => mort certaine, n’ont jamais été clarifiées. Pas une seule des questions posées par les chercheurs qui l’ont remise en question n’a reçu une réelle réponse scientifique digne de ce nom. Et si c’était le cas, nous attendons toujours les références des publications qui en attestent.
Pareil à la grippe fantôme de l’hiver 2009-10, le sida se présente comme la machination politico-pharmaceutique la plus machiavélique de l’ère moderne. Car depuis deux ans, les scientifiques totalement orthodoxes, ceux qui ont participé à la mise en place des théories officielles, à jamais incomplètes, changent de ton et révèlent des informations extrêmement inquiétantes .

Une maladie à géométrie variable

En revenant sur l’historique de la maladie, on découvre que la définition du sida a changé plusieurs fois en 25 ans. Au départ, il s’agissait essentiellement d’une maladie touchant une certaine population homosexuelle des Etats-Unis, principalement dans les régions de New York et de San Francisco. C’est là que les docteurs découvrirent des symptômes qu’ils appelèrent GRID ( Gay Related Immune Deficiency – déficience immunitaire associée à l’homosexualité ). L’acronyme SIDA fut choisi plus tard, pour éviter de focaliser injustement la maladie sur la communauté homosexuelle de manière discriminatoire. Pourtant, à cette époque, le symptôme le plus fréquent, le sarcome de Kaposi ( cancer de la peau ), était connu pour être causé par la consommation répétée et fréquente de poppers ( drogue à base de nitrite d’amyle ), utilisés dans les milieux homosexuels. Seule une minorité d’homosexuels consommait ces produits, et la maladie touchait uniquement cette minorité. Dans les années 1990, on a également attribué le sarcome de Kaposi au virus de l’herpès HHV-8 ( ou KSHV ) car on s’était aperçu que de nombreux homosexuels victimes de cette maladie était séronégatifs, et surtout, que leur système immunitaire fonctionnait bien. On a aussi découvert que les deux pathologies dont étaient victimes les malades du sida, à savoir la pneumonie à pneumocystis carinii et une autre maladie d’origine fongique similaire à la candidose ( disons, des champignons ), touchaient en priorité les toxicomanes. Un peu plus tard, une vingtaine de pathologies furent répertoriées dans la catégorie sida, puis il y en eut une trentaine.

Définitions changeantes

En 1993, les scientifiques déclarèrent que si le nombre des lymphocytes CD4 descendait en dessous de 200, chiffre de référence, une personne avait le sida, sans avoir développé la moindre maladie. Curieusement, chaque changement de définition eut pour particularité d’accroître le nombre des malades, au moment où il diminuait fortement, plus particulièrement en 1993. La nouvelle définition augmentait la population infectée des pays riches de plus de 100%. Alors, le sida est-il un syndrome, une maladie chronique, un décompte des lymphocytes T, dont la définition change d’une époque et d’une région de la planète à l’autre  ? Pour détourner l’attention de ces réalités, les défenseurs de l’hypothèse VIH-sida poussent des cris d’horreur, jouent l’hystérie en direct sur les grandes chaînes de télévision, et réussissent à convaincre un large public en utilisant l’émotion. Pour les discréditer et les dénigrer, ils n’hésitent pas à s’attaquer à la vie privée des scientifiques qui posent des questions sur la base de travaux solides publiés dans les revues les plus sérieuses. La réalité, c’est que les doutes émis depuis le début de cette affaire persistent et sont renforcés de jour en jour, non seulement par les magazines spécialisés qui leur accordent de plus en plus de crédit, mais aussi par les travaux de scientifiques à la pensée totalement orthodoxe . Voici les principales anomalies qui imposent la révision de l’hypothèse selon laquelle le VIH est le seul micro-organisme responsable du déficit immunitaire acquis.

La « découverte » du VIH

La découverte du VIH est officialisée le 23 avril 1984 par la Secrétaire d’Etat à la Santé de l’administration Reagan, Margareth Heckler, lors d’une conférence de presse télévisée dans un grand restaurant newyorkais. Etonnant  ! Habituellement, une telle découverte fait l’objet d’un ou plusieurs rapports de travaux validés par la communauté scientifique, avant d’être publiés plus largement dans les magazines de référence, puis à l’intention du public. Or, à cette date, rien ne permet de valider une telle découverte. Le nouveau virus porte le nom HTLV III. Il s’agit d’un rétrovirus semblable à deux autres du même type, les HTLV I et II, qui ont été découverts par le Professeur Robert Gallo. L’essentiel de la carrière de Robert Gallo consiste à trouver des virus à l’origine de certaines formes de cancers. Il y est parvenu… sur des souris. Le jour de cette annonce très officielle, le même Robert Gallo a déjà enregistré une demande de brevet américain pour dépister le VIH. On peut invoquer l’urgence et la gravité de la situation, prétexter qu’il est nécessaire d’agir immédiatement, par anticipation ( comme dans le cas d’une certaine grippe A ). A cette époque, ni aujourd’hui d’ailleurs, il n’existe de vaccin contre le VIH. Aucune Secrétaire d’Etat ou Ministre de la Santé ne peut donc se faire vacciner sous les projecteurs, pour rassurer et entraîner les foules à se protéger d’une épidémie fatale. La procédure utilisée pour une telle annonce – télévision, médias, projecteurs, heure de grande audience, etc. – n’a de scientifique que sa communication; mais elle ressemble surtout à un coup médiatique bien ficelé. Par contre, il est intéressant de savoir qu’un an avant Robert Gallo, Luc Montagnier a accompli la même démarche pour obtenir le brevet et le droit de développer des tests de dépistage aux USA, pour le même virus qu’il avait découvert. Sa demande est restée sans suite, officialisant ainsi la découverte du virus par l’éminent professeur américain. Bizarre, étrange  !

Fraude au virus

En effet, en 1983, Luc Montagnier et Françoise Barré-Sinousi ont identifié une activité rétrovirale chez un patient du sida. Ils ont trouvé le LAV ( en français, virus associé à la lymphadénopathie, la mort des lymphocytes ). Mais ils n’ont pas réussi à isoler le LAV conformément aux protocoles. Une étape essentielle n’a pu être accomplie : la purification du virus . En conséquence, l’affaire ne retient pas l’attention de la communauté scientifique. Luc Montagnier a envoyé les travaux de son laboratoire à un collègue américain très en vue, Robert Gallo, pour qu’ils soient validés et publiés. L’année suivante, Robert Gallo présente les photos du HTLV III, prétendu responsable du sida : celles-ci sont identiques au virus de Montagnier – alors, ne proviennent-elles pas des mêmes cultures  ? Scandale en haut lieu, vaguement étouffé par les instances politiques  ! Jacques Chirac, alors 1er ministre, attaque l’administration Reagan. Il faudra plus de trois ans pour aboutir à un compromis. France et Etats-Unis agréent de se partager les bénéfices sur les tests de dépistage ; Robert Gallo et Luc Montagnier se partageront un temps la gloire de la découverte du VIH ( et des royalties sur les ventes de tests, évidemment ). Le dernier épisode de cette scandaleuse histoire remonte à 1992, quand Robert Gallo est officiellement reconnu coupable de fraude par un comité d’éthique scientifique américain . Ce qui explique pourquoi, seuls les Professeurs Luc Montagnier et Françoise Barré-Sinousi se voient attribuer le Prix Nobel de Médecine, le 6 octobre 2008. L’histoire du sida démarre sur une énorme et incroyable affaire de corruption digne du Watergate, où la gloire et les millions de dollars font battre de l’aile la crédibilité de la médecine moderne et de nos dirigeants.

Le VIH n’a jamais été isolé dans les règles  !

La méthode permettant d’affirmer que l’on a isolé un nouveau virus appartient aux fondamentaux de la virologie. Dans le cas présent, les photos qui accompagnent le document relatant la première isolation du LAV ( appelé plus tard VIH  ) réalisée à l’Institut Pasteur, représentent le bourgeonnement de rétrovirus à la surface de cellules, qui furent rajoutés à la culture des cellules d’un patient. Les cellules produites par le rétrovirus sont des lymphocytes placentaires isolés à partir du sang d’un cordon ombilical. Ce ne sont pas des cellules ayant pour origine le sang d’un patient pré-sidéen . Car il n’a jamais été possible d’isoler et de purifier le VIH à partir du sang d’un malade du sida, même en phase terminale, ni chez des patients étiquetés comme présentant une « charge virale » élevée. Au nombre de cinq, les règles de l’isolation d’un rétrovirus n’ont même pas été respectées.
Nous savons aujourd’hui que la seule présence de la rétrotranscriptase ne suffit pas à démontrer l’existence du VIH ; cette enzyme est reconnue pour ne pas être spécifique aux rétrovirus . Il faut aussi savoir qu’il existe des quantités de virus inoffensifs qui ne causent apparemment aucune maladie. De surcroît, tous les chromosomes humains contiennent des traces de rétrovirus qu’on appelle «rétrovirus endogènes». Ces rétrovirus endogènes sont décelables en quantité variable dans l’ADN circulant dans le plasma sanguin et ont, à coup sûr, introduit une énorme confusion dans l’étude du VIH, en particulier dans la détermination d’une prétendue «charge virale» .
Les images des particules virales publiées dans les magazines scientifiques et grand public, sensées représenter le VIH, proviennent de cultures cellulaires photographiées au microscope électronique. Elles ne représentent jamais des particules de VIH issues de prélèvements sur des malades du sida. De plus, ces images sont travaillées à l’aide de programmes informatiques, leurs couleurs sont amplifiées et on y ajoute parfois des effets 3D. Ce sont les images utilisées pour convaincre la planète entière de l’existence et de l’isolation du VIH.

Les dépistages en question

Que signifie « séropositivité »  ? Qu’est-ce que les tests de dépistage identifient réellement  ? Dans un cas de grossesse, un test de grossesse ne dépiste jamais un fœtus, mais un état de l’organisme. De même, les tests de dépistage du VIH ne dépistent jamais le virus, ni la maladie. Ils détectent une réaction de l’organisme à la présence supposée du VIH, sous forme d’anticorps ou de protéines présumées d’origine rétrovirale.

Au fil des années, les méthodologies et le nombre des protéines recherchées lors des tests de dépistage ont évolué, passant de 2 à 10. Par contre, ce ne sont pas les mêmes protéines, ou le même cocktail de protéines qui intéressent les chercheurs d’un pays à l’autre. On ne cherche pas la même chose, mais on annonce le même résultat : séropositivité, VIH, mort certaine ou presque, et surtout, nécessité immédiate de prendre des drogues antivirales extrêmement toxiques. On peut donc être séropositif dans un pays et pas dans l’autre… C’est bon à savoir  ! Au départ, les deux protéines les plus recherchées étaient la p24 et la p41 – on trouve également ces deux protéines chez des patients victimes de scléroses multiples, de lymphomes des cellules T et de verrues ( réactions croisées les plus courantes  ). On a par ailleurs trouvé de nombreux donneurs de sang en bonne santé, porteurs de la protéine p41 . On a la preuve que ces protéines ne sont pas significatives d’une séropositivité au VIH. Et ce n’est pas tout. Les tests de dépistage subissent d’autres réactions croisées. Les plus connues sont la tuberculose, le diabète, la malaria, l’anémie aplasique ou thalassémie; elles peuvent aussi être générées par un haut niveau d’adrénaline, par certains corticostéroïdes ou le virus d’Epstein-Barr ( herpès ) . Au total, la littérature répertorie pas moins de 65 raisons autres que le VIH, pouvant donner un test de dépistage positif, la séropositivité, avec toutes ses conséquences . Ce sont tous les faux séropositifs, dont on évite soigneusement de parler. Car il arrive que des malades du sida soient séronégatifs : dans ce cas, le test de dépistage ne reconnaît pas les protéines que le VIH est supposé générer dans l’organisme du patient. Pourtant, les symptômes de la maladie sont identiques, une grave chute des défenses immunitaires. Pour combler cette lacune, on a donné un deuxième nom à la même maladie : la lymphadénopathie idiopathique des CD4 T. C’est le sida sans VIH.

Il y a d’ailleurs belle lurette que les tests de dépistage ne sont plus pratiqués dans les pays pauvres, notamment en Afrique, où le sida répond à la «Définition de Bangui» . Mais est-ce bien important  ? Les Africains sont porteurs de nombreuses causes de réactions croisées aux tests de dépistage. Qui plus est, pas un seul élément sur la non-spécificité des tests n’a été résolu depuis qu’ils existent. En conséquence, pas un seul test de dépistage ne permet d’affirmer avec certitude qu’une personne est infectée par le VIH.

Vous avez dit « épidémie »  ?

Le docteur Gottlieb fut le premier à décrire en 1981 la corrélation entre une nouvelle forme de déficit immunitaire dans un groupe de jeunes homosexuels . Des dizaines d’articles suivirent, soulignant le lien direct entre les drogues et la nouvelle maladie ( Harold Jaffe, Harry Haverkos, James Curran et d’autres ). Le CDC réalisa une étude épidémiologique, confirmant que les jeunes gens qui tombaient malades consommaient tous un arsenal de drogues dites récréatives et aphrodisiaques. L’impact de leur style de vie sur les maladies identifiées était une évidence épidémiologique : le sida était associé à la consommation frénétique de drogues dures et à la malnutrition ( la malnutrition est très présente dans les causes du sida africain, l’homosexualité et la toxicomanie ).
L’épidémie africaine fut déclarée en 1984. Contrairement à sa jumelle occidentale, celle-ci est distribuée de manière équitable entre hommes et femmes ; de plus, elle ne répertorie aucun groupe à risques. En revanche, ses manifestations pathologiques sont les mêmes que les anciennes maladies connues, largement propagées sur le continent africain : des fièvres chroniques, la perte de poids, les diarrhées, la tuberculose, sont parmi les plus courantes. On peut s’étonner que ces maladies, désormais appelées sida, étaient jadis associées à la malnutrition, la pauvreté et le manque d’hygiène du à la mauvaise qualité de l’eau . Notons que la définition de Bangui du sida africain aurait été validée parce que la majorité des gouvernements ne pouvaient pas payer les kits de dépistage, et que les services sanitaires ne possédaient pas les infrastructures permettant de réaliser les tests.

La construction de chiffres

Pour ceux qui croiraient encore aux risques d’infection par le VIH, voici ce qu’en disent deux épidémiologistes de renommée mondiale. James Chin a passé la majeure partie de sa carrière au service des agences les plus orthodoxes du sida. Il fut responsable du bureau de l’épidémiologie en Californie au début des années 80, avec pour tâche le suivi des maladies transmissibles. De la fin de la décennie à 1992, il occupa à l’OMS, à Genève, le poste de responsable du développement de méthodes et directives pour le suivi mondial et régional du sida. Depuis sa démission, il a œuvré pour la plupart des grandes agences internationales telles que ONUSIDA, l’OMS, la Banque Mondiale, USAID, etc. James Chin est l’auteur d’un ouvrage intitulé «The Aids Pandemic», qui remet en question les chiffres catastrophiques annoncés depuis vingt ans par les agences internationales . Il affirme que l’histoire du VIH a été déformée par ONUSIDA et les activistes, afin de défendre l’hypothèse que le VIH est un virus capable de se transmettre dans toutes les populations. C’est au milieu des années 90 que James Chin entra en conflit. Il écrit dans son livre : « Pendant cette période, j’en suis venu à réaliser que les programmes du sida développés par les agences internationales et les organisations qui leur étaient fidèles, étaient davantage corrects au plan social, politique et moral, que conformes au plan épidémiologique ». Concrètement, un virus n’a pas la capacité de choisir les groupes sociaux où il se propage, comme c’est le cas du VIH, qui cible essentiellement les personnes régulièrement soumises à de fortes doses de drogues toxiques . Comment expliquer que les hommes soient plus facilement infectés que les femmes  ? Comment expliquer que le nombre des décès est moins important chez les personnes infectées qui ne suivent pas de traitement antiviral ( 1-4% ), que chez les personnes infectées qui suivent un traitement ( 7-9% )  ?

Les aveux de James Chin

James Chin se demande pourquoi il a fallu si longtemps aux institutions pour corriger leurs erreurs sur les chiffres de la propagation du VIH. En effet, dans son rapport de novembre 2007, ONUSIDA a confirmé avoir surestimé la pandémie, qui a atteint son point culminant à la fin des années 90. Elle diminue depuis. James Chin persiste et signe en déclarant : « le VIH est incapable de se propager en épidémie dans la très grande majorité des populations hétérosexuelles. Regardons les données et investissons l’argent là où se trouvent les vrais problèmes ». Et c’est le deuxième point de discorde entre l’éminent épidémiologiste et les thèses officielles, dont il démontre le non-sens . Car les risques de transmission varient de 1 pour 1000 de la femme vers l’homme lors d’une relation sexuelle ( risque le plus bas ), à 90% dans le cas d’une transfusion avec du sang infecté ( risque le plus élevé ). Pour James Chin, « le risque d’exposition au VIH auquel est confrontée la vaste majorité des personnes appartenant à la population ‘générale’ n’est pas mesurable », tant il est faible. Dès lors, dans l’hypothèse où le VIH aurait un rôle à jouer dans cette maladie, la pandémie devient tout simplement impossible. Et les millions dépensés pour l’empêcher de se propager sont un gaspillage scandaleux de l’argent, de notre argent, à nous, contribuables. A qui profite le crime  ?

Les travaux de Nancy Padian

Nancy Padian est également épidémiologiste. Elle a réalisé la plus grande étude sur la transmission du VIH dans les couples hétérosexuels . Cette étude comprenait 82 femmes infectées et leur partenaire, et 360 hommes infectés et leur partenaire, tous hétérosexuels. L’usage des préservatifs parmi les couples était inférieur à 0,001% lors de leur entrée dans l’étude, et 90% des sujets n’avaient pas eu d’autre partenaire depuis au moins une année avant d’entrer dans l’étude. Le résultat est étonnant : sur 360 épouses, 68 seulement furent infectées par leur mari (19%). Chez les hommes, 2 furent infectés sur 82 (2,4%). Le risque d’infection de l’homme vers la femme fut évalué à 0,0009%, environ 8 fois supérieur à celui de la femme vers l’homme. Le document conclut que le risque d’infection dans les couples hétérosexuels est très bas, soulignant par ailleurs que les relations sexuelles anales, la présence d’une maladie sexuellement transmissible et l’usage par l’un des deux partenaires de drogues intraveineuses, sont les cofacteurs les plus importants dans les risques de transmission. Nancy Padian souligne aussi que les résultats de cette étude concordent avec des études antérieures du même type.

Sida et prostitution : l’autre incohérence

Qui penserait en 1984, à innocenter les prostituées, ces femmes moralement coupables dans le subconscient collectif  ? Ainsi, la pandémie annoncée allait se propager à travers les prostituées. Pas de chance ! En 1994, Luc Montagnier affirmait déjà dans le magazine La Vie, que les professionnelles du sexe n’étaient pas infectées malgré le nombre important de contacts annuels (de 1500 à 2000) . Des études ont été menées en Europe, en Asie et en Amérique, révélant la rareté de la séropositivité chez les prostituées. Les victimes du sida, chez les prostituées comme dans les autres groupes, homo et hétérosexuels, hommes et femmes, sont consommatrices de drogues dures, souvent par voie intraveineuse. Alors, qui est responsable  ?

Sida et maternité : scandale et horreur

Si les tests de dépistage sont non spécifiques et incapables d’identifier la présence du VIH, annoncer à une femme enceinte qu’elle est séropositive et qu’elle risque de transmettre le virus à son enfant, est le plus terrible des mensonges de la médecine moderne.
Voici ce que tous les futurs parents doivent savoir :
– Le fait d’être enceinte est l’une des causes majeures pouvant générer une réaction croisée sur un test de dépistage et produire une fausse séropositivité.
– Pour autant que le virus soit présent et responsable du sida, toutes les études ont démontré que la transmission de la mère vers l’enfant est excessivement rare, voire inexistante, malgré les messages contradictoires relégués par la majorité des médias.
– Un enfant développe son système immunitaire au bout de 18 mois. Nous savons déjà que les tests ont peu de signification; celle-ci disparaît totalement si le test est pratiqué avant 18 mois. Il démontre la volonté de forcer l’angoisse chez la mère et le père, pour les soumettre aux thérapies toxiques qui mettront en danger la vie de la mère et de l’enfant.
– Dans la majorité des cas, un enfant testé positif à la naissance se séroconvertit naturellement quand il développe son propre système immunitaire.
– L’AZT et les autres thérapies antivirales sont connues pour être cancérigènes, mutagènes. Quand elles furent mises sur le marché, elles étaient contre-indiquées pendant la maternité.
– Les thérapies antivirales administrées à tous les patients du sida sont extrêmement toxiques ; dans de nombreux cas, ces thérapies sont suspectées d’être la cause de l’apparition des maladies du sida chez les bébés et leurs mères .
– La seule étude jamais réalisée qui soutienne la nécessité de prendre de l’AZT, la zidovudine (et toute autre drogue antivirale), fut sponsorisée par le fabricant lui-même, Glaxo Wellcome (ACTGO76). Le résultat indiquant le niveau de transmission serait de 25,6% sans traitement prophylactique, et de 8,3% avec traitement. Ce résultat a été invalidé pour défaut de protocole.
– Effets des antiviraux sur les mères : détérioration musculaire importante, anémie aggravée, impact sur le système nerveux, le foie, lymphome, nausées importantes, diarrhées et symptômes de démence, avortement.
– Effets des antiviraux sur les nouveaux-nés : malformation de la tête, visage triangulaire, sixième doigt, albinisme, oreilles déplacées, cavité dans le thorax, doigts soudés, anémie, etc.

Conclusion

Nous soulignons à l’attention des lecteurs que cet article ne nie jamais l’existence du sida. Les populations touchées par le déficit immunitaire existent, c’est une certitude. Mais nous sommes bien forcés de constater que la science, la médecine, la pharmacie du sida n’ont pas ou peu avancé en 25 ans, malgré les milliards investis dans la recherche. Le diagnostic affirmant que le sida est une maladie infectieuse et transmissible, de cause rétrovirale, rencontre trop de lacunes pour être acceptable. Sa propagation ne correspond pas à celle d’une maladie virale infectieuse ; les thérapies s’avèrent inefficaces, tout au plus, elles prétendent rallonger la vie des malades, sans convaincre. Elles sont reconnues pour être d’une extrême toxicité, létales dans certains cas.
Avant la psychose avortée de la grippe A, le sida nous a permis d’assister à la plus grande épidémie de peur au niveau planétaire. Devant autant d’échecs, abstraction faite des bénéfices mirobolants réalisés par les laboratoires pharmaceutiques concernés, on peut se demander si la générosité et la volonté de sauver des vies humaines sont les raisons pour lesquelles un véritable débat scientifique digne de ce nom n’a jamais été ouvert. Quant au serment d’Hippocrate…

Par Renaud Russeil

Une version plus complète de ce dossier, avec de nombreuses références, est mise en ligne sur notre site (neosante.eu)

Les illustrations sont extraites du film « House of Numbers »

ournaliste indépendant, Renaud Russeil est l’auteur du livre « Enquête sur le sida, les vérités muselées ». publié en 1997 aux éditions Vivez Soleil . Non réédité, cet ouvrage est cependant disponible sur le web : www.sidasante.com/renaud/rrindex.htm

HOUSE OF NUMBERS
Le film qui dérange

Le documentaire américain « House of numbers » met à mal la théorie officielle du sida et sa prétendue causalité virale. Les plus grands chercheurs, dont le Professeur Luc Montagnier , découvreur du virus VIH, y remettent en cause les croyances les plus courantes sur ce que nous savions de la maladie.

Le sida est apparu dans la société moderne ( New York et San Francisco ) il y a environ trois décennies. Trois décennies au cours desquelles de nombreux chercheurs ont demandé des réponses aux affirmations insuffisantes qui entourent la maladie : isolation du VIH, transmission de ce virus, mode d’infection, thérapies, etc.
Dans le film documentaire House of Numbers, Brent Leung pose ces questions aux plus grands spécialistes, qui nous livrent un verdict inattendu, étonnant, décapant. Il est important de souligner que ce ne sont pas des dissidents qui élèvent la voix dans House of Numbers, mais des scientifiques qui ont œuvré tout au long de leur carrière, sur la base que le VIH est la cause unique du déficit immunitaire acquis, et que la séropositivité aux tests de dépistage est synonyme de mort certaine. Ils soulignent aujourd’hui les faiblesses et les incohérences de cette théorie.

Un problème d’épidémiologie
Le titre du film, House of Numbers, vient d’une phrase de James Chin, ancien responsable du suivi et du contrôle des maladies transmissibles pour l’Organisation Mondiale de la Santé ( OMS ) et du programme mondial du sida ( ONUSIDA ). Il affirme dans une interview que la « construction de chiffres » concernant l’épidémie est en train de s’effondrer. James Chin explique ce phénomène en détail dans son livre
The Aids Pandemic – the Collision of Epidemiology with Political Correctness ( La pandémie du sida – la collision entre l’épidémiologie et le politiquement correct ).

Nous apprenons, par la voix de hauts responsables du CDC ( Centre de contrôle des maladies infectieuses américain ), James Curren, Harry Haverkos, Robert Gallo ( longtemps considéré comme le codécouvreur du VIH ), que la politique du sida fut principalement décidée dans le but d’obtenir des financements pour la recherche. Dans les années 80, les fonds manquaient et les organismes de santé publique tels que le CDC avaient besoin de maladies infectieuses, d’une épidémie, pour résoudre ce problème. Karry Mullis, Prix Nobel de chimie, confirme cette affirmation tumultueuse. La solution consista à faire du sida une maladie infectieuse qui toucherait l’ensemble de la population. Pourtant, on se souvient que dans les premières années, les symptômes du déficit immunitaire étaient essentiellement une maladie pulmonaire ( pneumocystis ) et une forme de cancer de la peau ( sarcome de Kaposi ), qui affectaient uniquement des patients homosexuels. Précisons que ces patients avaient un mode de vie hautement susceptible de provoquer cette réaction dans leur organisme ( une sexualité débridée et la prise de drogues extrêmement toxiques ). Ce n’est pas pour rien que Michael Gottlieb, premier praticien à avoir identifié cette maladie, rappelle dans le film qu’elle touchait uniquement des homosexuels, au point qu’il la baptisa GRID ( Gay Related Immune Deficiency ).

Cherche virus désespérément

Pour être responsable d’une maladie, un virus doit répondre aux quatre postulats de Koch : être présent dans chaque cas de la maladie, ne pas être présent dans d’autres maladies, provoquer les mêmes symptômes dans une autre culture, pouvoir s’isoler à partir de la nouvelle culture infectée. On nous dit que le virus change constamment de forme ; cela ne suffit pas pour expliquer qu’il est souvent introuvable chez les malades en phase terminale, chez qui il devrait pulluler.
Quand on demande aux spécialistes ce qu’ils savent de l’isolation du VIH, ils sont très embarrassés et renvoient à Robert Gallo, qui a été destitué de sa prétendue découverte et n’a jamais publié de document reconnu démontrant l’isolation. La preuve scientifique n’existe pas. Le document publié par Françoise Barré-Sinoussi et Luc Montagnier n’a jamais été confirmé par d’autres isolations conformes aux protocoles.
D’autre part, l’étude la plus importante réalisée à ce jour chez des couples hétérosexuels, a clairement démontré que le VIH avait très peu de chances de se transmettre lors de pratiques hétérosexuelles. Nancy Padian a conduit cette étude pendant dix ans, auprès de 360 hommes et 82 femmes infectés, et leurs partenaires . Elle affirme dans le film : « Je pense que le VIH est plus difficile à transmettre que la plupart… ( elle hésite ) de nombreux… ( elle hésite encore ) la plupart des maladies sexuellement transmissibles. Je pense que ce fait est tout à fait reconnu. » De tels propos sont en total désaccord avec les messages encore médiatisés dans la première décennie du XXIe siècle. Nancy Padian fait partie des chercheurs convaincus que le VIH est responsable du sida.

Le sida sans VIH existe-t-il  ?

Plusieurs chercheurs qui ont toujours soutenu, et soutiennent encore l’hypothèse du VIH, soulignent que la définition de la maladie a évolué avec les années, plus particulièrement quand le nombre des malades était en forte baisse. Le changement le plus important serait le comptage des cellules CD4 ( défenses immunitaires ), apparu en 1997, auquel on a donné le nom de « charge virale ». Avec cette évolution, une personne dont la charge virale était considérée élevée ( selon le test utilisé ), entrait dans la catégorie « sida », sans infection ( maladie opportuniste ) et sans VIH ( sans séropositivité ). D’où la question : le VIH est-il la cause du déficit immunitaire acquis  ? Car tous ces scientifiques affirment savoir que la vraie cause du sarcome de Kaposi est la consommation par les homosexuels de drogues appelées « poppers », responsables également, comme la plupart des drogues, de maladies pulmonaires telles que la pneumocystis.
Le film couvre de nombreux autres sujets, tels que la capacité des tests de dépistage à réellement déterminer la séropositivité au VIH ; un problème persistant depuis leur mise sur le marché, qui n’est toujours pas résolu en 2010 ( tests Elisa et Western Blot ). On y parle aussi de l’AZT et des multithérapies…On trouve encore ce passage largement diffusé sur le web, dans lequel Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine avec Françoise Barré-Sinoussi pour l’isolation du VIH, affirme qu’une bonne alimentation et une bonne hygiène de vie suffisent pour éliminer en quelques semaines le virus de l’organisme humain.

Par-delà « la controverse sur la réalité du sida », House of Numbers présente un autre intérêt majeur : il révèle ou confirme la face cachée du système de santé moderne, aujourd’hui géré par des politiciens, des économistes et les industriels de la pharmacie.

Le DVD House of Numbers est disponible sur le site du film ( http://www.houseofnumbers.com/site/store ). Un extrait sous-titré en
français est accessible depuis notre site ( neosante.eu ).

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