L’INFARCTUS DU MYOCARDE

Les facteurs de risque de l’infarctus du myocarde, qui touche principalement les hommes de plus de 40 ans, sont bien connus, la publicité relayant abondamment ces croyances. Mais ont-elles un rapport avec la réalité biologique ? Danacol nous sauvera-t-il de l’IDM ?
Les cerfs
La plupart des vieux cerfs que l’on retrouve morts dans la forêt et qui n’ont pas été tués par un prédateur ou par l’homme ont été victimes d’un infarctus du myocarde. Pourtant les cerfs vivent dans un environnement idéal, des sous-bois naturels sans aucune pollution, ils ne boivent pas d’alcool, ne fument pas, ne sont pas bloqués dans les embouteillages, ils se nourrissent d’herbes et de glands, ne consomment aucune « mauvaise graisse » contenant du « mauvais cholestérol » et ils ne font pas de barbecue agrémenté de sauces grasses. Que se passe-t-il alors ? Le vieux cerf vit un conflit très lourd et un grand stress : celui de perdre son territoire proche, c’est-à-dire avant tout sa (ses) femelle(s), chèrement conquis et conservé d’année en année à la période des combats, parce qu’un jour, devenant vieux et moins puissant, il doit céder la place à un jeune cerf qui le boute dehors.
La maladie
L’infarctus en général est défini comme étant une infiltration d’un tissu par un épanchement sanguin. Dans le cas d’un infarctus du myocarde, le myocarde étant le muscle du cœur, il y a une hémorragie intra-myocardique provoquée par l’oblitération d’une ou plusieurs artères coronaires et surtout la nécrose, et donc la mort, de la partie du muscle cardiaque qui n’est plus irriguée par ses artères. L’IDM est donc avant tout une maladie des artères coronaires, les artères qui nourrissent le cœur en lui apportant l’oxygène nécessaire à son fonctionnement. Cependant la célèbre expérience du docteur Hamer sur son chien a démontré que cela ne suffit pas à provoquer un infarctus, la brave bête ayant très bien supporté la ligature successive de ses coronaires, le cerveau inconscient reconstruisant les artères de remplacement nécessaires à la survie. Les signes de l’infarctus (douleur intense, irradiante, sensation d’étau, angoisse, oppression, essoufflement, sueur froide, nausées, vomissements…) étant plus cérébraux que cardiaques, ils font davantage penser à une crise d’épilepsie centrée sur le muscle cardiaque, de ce fait potentiellement mortelle, en présence d’une ou plusieurs artères coronaires bouchées.
L’étymologie
Le mot infarctus vient du latin « in – farctum », « in » étant un préfixe locatif signifiant « dans » ou « en », nous sommes déjà dans la notion de propriété, de territoire, et « farctum » étant le supin de « farcire » = farcir, ce dernier mot signifiant remplir, garnir de farce, bourrer. L’étymologie conduit au territoire gras, dans le sens d’abondamment garni.
L’écoute du verbe
Infarctus = inf/art/que/tue/se = l’art, la qualité de l’enfant (infans) tue celui qui l’a engendré, toute paternité est une future perte de territoire, un deuil à faire.
Myocarde = mis/au/cart (ou quart)/te = tu es mis à l’écart, tu ne peux plus fonctionner qu’à ¼ par rapport à avant, bref tu es mis au placard.
Sens biologique
Selon Robert Guinée, qui a suivi de près les travaux de Hamer, le conflit à l’origine de l’altération des artères coronaires est celui de devoir lutter, de manière masculine, pour reconquérir le territoire perdu, en partie ou en totalité. Il s’agit ici d’un territoire proche, qui est le plus proche du cœur. Celui qui est acculé dans ses derniers retranchements, dans un combat décisif sur son territoire, doit donner immédiatement tout ce qu’il a comme puissance musculaire de combat, ce qui nécessite une solution biologique. Quand le conflit est actif, il y a ulcération de la tunique interne des artères, pour permettre l’accroissement du débit sanguin, mieux nourrir le myocarde et le rendre plus performant, pour que l’individu puisse faire des efforts plus intenses pour reconquérir son territoire. Si le « vieux cerf » qu’est parfois l’être humain, grâce à cette solution biologique, retrouve vite son palais et son harem, il guérira vite. Par contre, s’il échoue et s’il tarde à dépasser son conflit, car c’est très difficile pour lui d’accepter de perdre ce qu’il a de plus cher au monde, l’infarctus du myocarde le guette au cours de la phase de réparation des artères, alors que celles-ci se rebouchent avec l’aide du cholestérol, véritable plâtre biologique, quand a lieu la crise épileptoïde, sorte de décharge électrique envoyée par le cerveau en direction du cœur pour remettre en route les artères endommagées. On constate que si le conflit actif a duré plus de 9 mois, l’infarctus est mortel. Mais dans de nombreux cas, où le conflit était moins intense ou moins long, il provoquera des incidents non mortels ou il passera carrément inaperçu, n’étant diagnostiqué que plus tard lors d’un contrôle de routine.

Ce sont bien sûr les personnalités territoriales qui seront les plus sensibles à ce conflit. Chez les humains, il y a deux grands types de territoire : d’une part le territoire amoureux et familial, d’autre part le territoire du travail. Les conflits de perte de territoire les plus fréquents seront donc les suivants : faillite d’une entreprise pour un indépendant, licenciement pour un employé, changement de poste (un autre prend ma place), pension (mon fils prend la relève mais je ne l’accepte pas), divorce (ma biche va voir un autre cerf), décès du conjoint (après avoir lutté contre la mort), départ de l’enfant qui devient grand (exemple : la fille quitte le père et part à l’étranger avec son époux), etc.
La guérison
Comme on le voit, l’IDM est un phénomène de la phase de réparation des artères coronaires. Alors, me direz-vous, pourquoi dans certains cas est-il mortel ? Tout n’est-il pas programmé en terme de survie ? Les cerfs vont nous apporter la réponse. Il y a le programme de survie individuel, mais aussi, au-dessus, le programme de survie du clan et de l’espèce. Si le vieux cerf qui perd son territoire ne peut pas en faire le deuil et revient sans cesse à la charge, il va perturber le cycle naturel de reproduction, les combats vont s’éterniser alors qu’ils devraient laisser la place au temps des amours, pour que les petits naissent à la bonne saison. Le vieux fait alors courir un risque à toute sa tribu, celui de l’extinction. Dans sa grande sagesse, dame nature a prévu un mécanisme qui, au travers de sa mort individuelle, permet la survie du clan et de l’espèce.
Bernard Tihon

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Un commentaire

  1. cest très intéressant haha. wow facinant. cest à y penser deux fois avant de se pêter un conflit actif en lien avec la perte d’un territoir. doit pas être drôle se pêter un infarctus mais cest logique la phase de vagotonie mais chiant parfois. cest pour ça qu’on dit. non toi je ne te dirai pas c’est quoi ton conflit ou te dire comment faire car si une dame de 85ans a un conflit en lien avec il faut lamener dans une pention d’ospice si elle en fait son deuil et qu’elle est bien à la résidence finalement ouf à va te pêter unee infarctus du myocard t’ah

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