LE CANCER DU PANCRÉAS ou le conflit de César

Le nombre de cancers et l’impuissance face à eux ne cessent d’augmenter.
Alors que l’industrie pharmaceutique et médicale tente d’accroitre son arsenal de frappe chimique, la résistance s’organise tant dans les cellules que dans les microorganismes.
La solution extérieure n’est donc pas la panacée universelle espérée.
Penchons-nous dès lors sur la solution intérieure, qui ne doit en aucune façon faire fi des solutions extérieures palliatives offertes actuellement.
Les maladies sont toutes multifactorielles. Examinons donc ensemble pour ce faire les différents aspects ou facteurs entrant en compte dans la genèse d’un cancer du pancréas.
Chacun peut ensuite changer ses croyances et ses loyautés ancestrales, ses ressentis. Chacun peut alors développer de nouvelles capacités pour se comporter autrement dans le monde (qui ne pourra que s’en porter mieux) et, par conséquent, ne plus avoir besoin de cancer du pancréas.

1. L’ENVIRONNEMENT

Les cancers du pancréas semblent souvent survenir chez des « Césars » dans leurs domaines respectifs, qu’ils soient scientifiques, industriels, artistiques, religieux, philosophiques ou politiques. Certains représentants célèbres illustres ce fait : Steve Jobs (Apple), Gérard Mortier (directeur de l’opéra La Monnaie), Jean-Luc Dehaene (1er ministre belge) ou Wilfried Martens (1er ministre belge) pour ne citer qu’eux
À cheval sur le duodénum, sous l’estomac et sur les intestins, le pancréas est au carrefour des guerres intestines incompréhensibles… comme chacun de ces hommes a pu en vivre.
La localisation du cancer dans le pancréas nuancera son conflit, c’est-à-dire la façon dont chacun de ces hommes percevra ces guerres intestines. La tête proche du duodénum et du foie donnera une autre sous-tonalité au conflit que le corps ou la queue proche de la rate par exemple.

2. LES COMPORTEMENTS

Ces représentants internationaux célèbres touchés par le cancer du pancréas semblent avoir des points en commun. Ils aiment la chair, l’incarnation et la matière.
Le mot pancréas signifie étymologiquement pan (toute) kreas (chair).
Ce sont des battants et des bêtes de travail, tyranniques avec eux-mêmes et les autres. Ce sont d’exceptionnels leadeurs, des empereurs (César), mais ils peuvent cependant devenir tyranniques et dictatoriaux. Dans le cinéma français, leur œuvre serait « césarisée ».
Deux types de cancers différents anatomopathologiquement se développent à partir des cellules issues de l’endoderme ou de l’ectoderme embryonnaire.
Avec l’endoderme, la notion de digestion primera dans la façon dont est vécu le conflit, alors qu’avec l’ectoderme, c’est la notion de relation-communication qui sera prépondérante.

3. LES CAPACITÉS

Ces hommes sont des génies capables de créer (kreas) tout (pan) et de recréer ou redresser tout ce qui est détruit ou en bonne voie.

4. LES RESSENTIS CONFLICTUELS

Le célèbre et génial professeur Henri Laborit nous a démontré que lorsqu’un être vivant ne peut plus ni fuir ni lutter extérieurement pour le « morceau », il entre en inhibition d’action ou é-motion ( il se sent impuissant) et somatise.
Cela montre bien comment, en situation d’impuissance extérieure, les êtres sensibles recourent à leur joker intérieur : la maladie, pour exprimer ce qu’ils ont du mal-à-dire.
Dans le cas de nos géniaux « Césars », le hic vient de leur « Brutus », qui signifie ‘lourd » à digérer. Brutus, qui a donné les mots brut et brute en français, est l’ignoble fils adoptif de César. César aurait-il été impuissant ou stérile pour devoir adopter plutôt que de procréer en s’unissant à une femme ? César a placé toute sa confiance en Brutus qui va le trahir aussi et le poignarder dans le dos. Anatomiquement, le pancréas a la forme d’une dague, d’une baïonnette ou d’un poignard. C’est l’épée de la justice et de la royauté qui tranche, qui sacre, mais aussi qui, chez les brutes, massacre injustement les justes, comme dans la série télévisée « Game of Thrones ».
Le sentiment qui ressort chez ces personnes, c’est d’avoir été poignardées en plein cœur ou décapitées par un proche de confiance, qui est comme un fils ou un roi qu’on sert fidèlement et loyalement.
Steve Jobs en est le meilleur exemple et le plus médiatisé. Abandonné à sa naissance, il est adopté par les Jobs. Quand il a crée Apple avec son acolyte Steve Wozniak, il engage son Brutus, un commercial de chez Pepsi qui finira par l’évincer de sa propre boîte. C’est un conflit d’ignominie ou d’injustice immonde, ignoble, avec la sensation d’avoir manqué (sous-tonalité du conflit révélée par la situation du cancer sur la tête du pancréas) ou avec la sensation d’avoir raté (sous-tonalité du conflit révélée par la situation du cancer sur la queue du pancréas) de manière incompréhensible.
C’est le conflit de ceux et celles qui, sans comprendre pourquoi (estomac), sont ligotés, bâillonnés en étant injustement placés et maltraités, mis en esclavage en asile, en prison, en maison de retraite, en institutions, à la porte, au placard, ou sur une voie de garage avec un désir interdit de faire justice, par un dominant plus élevé ou plus fort (parent, ainé, patron, supérieur, enfant) de façon injuste, ignoble et totalement indigeste.

5. LES CROYANCES ET LES VALEURS

Nous ne sommes pas au pays de Bisounours. Il ne faut pas croire que parce qu’on a tout fait pour quelqu’un, il sera éternellement plein de reconnaissance et de gratitude à notre égard. Et ils semble que c’est ce que ces hommes célèbres ont cru.
Rares sont les humains aussi fidèles que des chiens. La plupart sont des bêtes « ingrates » qui mordent la main du « Roi » qui les nourrit et les a sauvés par l’adoption.
Beaucoup de parents qui ont adopté, et même avec leurs propres enfants biologiques, ont fait l’expérience pénible de César eux aussi. Il est à noter que les croyances et les valeurs limitantes sont des mémoires traumatiques transgénérationnelles, périnatales et personnelles que chaque être humain porte en lui.
Ces croyances et ces valeurs attireront des situations de vie répétitives qui, si elles ne sont pas vécues en conscience, ne feront que se renforcer .

6. L’IDENTITÉ

La question cruciale, avec une maladie, est de savoir « QUI NE SUIS-JE PAS ? ».
Nous ne sommes pas nos aïeux, nos valeurs, nos croyances, nos émotions, nos capacités, nos comportements, y compris notre cancer et notre environnement.
Mais alors, qui sommes-nous vraiment ?
Quand on s’identifie à son fils (« tel père, tel fils ») ou à sa fille, fût-il (elle) réel(e), imaginaire, virtuel(el) ou symbolique, on court le risque, en cas de trahison de celui (celle)-ci, de ne plus exister. C’est bien souvent ce que des personnes souffrant d’un cancer du pancréas ressentent, quand ils sont trahis en tout cas

7. LE BUT, LE PROJET OU LA MISSION

Quand sert le cancer ? La Nature et son Créateur sont intelligents.
Le but du cancer et de la maladie en général n’est pas de tuer, mais d’aider à changer, à percevoir les évènements différemment, pour mieux poursuivre sa vie.
Le but des cancers du pancréas d’origine endodermique est d’apporter la puissance pour digérer l’injustice suprême.
Le but des cancers du pancréas d’origine ectodermique est d’apporter la puissance pour être en relation-communication saine sans envahir ni être envahi.
Ce ne fut cependant pas le cas de Steve Jobs qui, fort de ses injustices, a fait adopter (délocaliser) sa production en Asie pour satisfaire ses actionnaires et ses clients grâce à de la main-d’œuvre injustement sacrifiée.

8. LE BON SENS

Le bon sens populaire dirait : à quoi cela sert-il de mieux communiquer avec des I-phone et I-pad si c’est pour faire souffrir et crever nos semblables chinois ?
Le cancer du pancréas convient à une voie économique et politique plus juste, équitable et écologique.
Pour comprendre plus en profondeur, partons des racines des mots.
La racine hébraïque du mot pancréas est Lamed-Beth ou Veth.
Lev signifie le cœur et LaVLaV, le pancréas.
Le pancréas est donc deux cœurs réunis prononcé LiVLeV.
La même racine signifie : bourgeonner, fleurir, s’épanouir, s’écrier, brailler.
Le cœur en hébreu LeV, représenté par la moitié des lettres du pancréas, impose un rythme et une direction unique, celle de l’amour : LoVe en anglais.
Le fait de redoubler le nom provoque la confusion (BiLBel, anagramme de LaVLaV) et le désordre. On ne peut donc pas suivre deux directions en même temps.

9. LA SAGESSE À TRANSMETTRE

À moins de continuer orgueilleusement à souffrir de toute puissance digne des grands dictateurs et tyrans, ce n’est pas par la propre volonté et puissance humaine, financière et politique personnelle que le monde extérieur pourra véritablement changer
Néanmoins, chaque être humain peut changer son monde ignoble intérieur et par ce biais, rendre le monde extérieur plus noble.
Mais ce changement-là doit être effectué par chacun, car personne ne peut le faire pour quelqu’un d’autre, même s’il était payé des milliards.
Créés à l’image de Dieu, nous sommes des créateurs-destructeurs.
Dans son livre « De l’Homme Cancer à l’Homme Dieu », le Dr Bernard Woestelandt nous ramène vers cette sagesse d’unité dans l’Amour, la Lumière et la Justice.
Chacun d’entre nous a pour ce faire la possibilité de redécouvrir qui il est vraiment et quelle est la mission de son âme sur terre.
Chacun peut ensuite changer ses croyances et ses loyautés ancestrales, ses ressentis. Chacun peut alors développer de nouvelles capacités pour se comporter autrement dans le monde (qui ne pourra que s’en porter mieux) et, par conséquent, ne plus avoir besoin de cancer du pancréas.
Steve Jobs et Jean-Luc Dehaene se sont rejoints dans leurs discours pour nous transmettre le message de Sagesse : »Notre temps est limité, ne le gâchez pas ! »

Dr Eduard Van den Bogaert

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