La roupie de Sansonetti

Vous le savez : la vaccination est un des sujets de prédilection de la revue Néosanté. Nous assumons pleinement notre réputation de journal « antivaccins » et nous publions régulièrement des articles étayant notre opinion que cette pratique médicale est à la fois fréquemment inefficace, terriblement dangereuse et surtout très inutile. Nombre de ces articles sont accessibles gratuitement sur notre site, par exemple celui sur  les pleurs des bébés et leurs liens probables avec les vaccins,  celui sur l’écologie microbienne et sa perturbation désastreuse par les vaccins,  et  celui sur l’escroquerie des vaccins anticancer.  Nous avons aussi  mis en ligne des articles apportant une information alternative sur la poliomyélite, le tétanos  et la rougeole. Rédigé par une docteure en sciences et publié en septembre 2012, ce dernier article contenait notamment le passage suivant : « Un exemple concret de la conséquence grave de la vaccination sur la santé globale est lié à la fonction oncolytique du virus  de la rougeole, c’est-à-dire sa capacité à infecter et  à détruire spécifiquement les cellules cancéreuses. Dès le XIXe siècle, des rapports parus dans la littérature scientifique décrivent la régression totale souvent spectaculaire de divers types de cancer à la suite d’une infection rougeoleuse ». Cinq ans plus tard, des oncologues américains de la célèbre clinique Mayo viennent d’annoncer triomphalement qu’une de leurs patientes, atteinte d’un cancer des os en phase terminale, était en rémission complète après avoir été traitée par une dose massive du virus de la rougeole ! Outre qu’elle jette un éclairage précieux sur la fonction salutaire des microbes,  cette nouvelle accrédite totalement ce que nous disions à l’époque, à savoir que le vaccin antirougeole est susceptible de détériorer dramatiquement la réponse immunitaire des enfants et de les surexposer plus tard au risque de cancer. Malheureusement, les vaccinateurs fous n’en prennent pas conscience et continuent à croire qu’on peut impunément injecter des germes manipulés et des adjuvants toxiques à des bambins sans défenses.

Il faut donc persévérer.  Remettre  l’ouvrage sur le métier et continuer d’informer le grand  public sur les dessous et les enjeux du mythe vaccinaliste. Nous n’avons pas la prétention d’être la meilleure source d’infos critiques sur les vaccins, et certainement pas la plus exhaustive. Par contre, nous avons pris l’habitude de signaler à nos lecteurs l’existence d’autres sources et outils intéressant(e)s.  À maintes reprises,  nous avons par exemple redirigé notre lectorat vers Initiative Citoyenne, une association lancée par trois femmes belges et dont le site est devenu en quelques années une banque de données indispensable sur les vaccins et leurs dangers. Dans le prochain numéro de Néosanté, nous allons aussi évoquer un travail remarquable effectué aux Etats-Unis, à savoir un film documentaire en sept épisodes  intitulé « The truth about vaccines » (« La vérité sur les vaccins »). Si vous comprenez l’anglais, vous pouvez accéder aux sept vidéos en cliquant ici.  Aujourd’hui, je voudrais vous signaler une autre initiative admirable, celle du Dr Claudina Michal-Teitelbaum. Médecin-pédiatre à Lyon et co-auteure du livre  « Faut-il faire vacciner son enfant ? » , cette intrépide praticienne versée en épidémiologie s’est sentie interpellée par le projet de l’ex-ministre de la santé de rendre 11 vaccins obligatoires en France. Elle s’est interrogée sur la légitimité de cette future loi inique  et elle  vient de publier ses réflexions à travers une passionnante série d’articles postés sur le blog Docteurdu16. Je vous donne le lien menant à l’article le plus récent  , mais je vous encourage à lire attentivement toute la série car elle compose une excellente analyse de la grande fuite en avant vaccinaliste qui se dessine actuellement dans l’hexagone. Ces textes seront particulièrement utiles aux jeunes parents qui cherchent à se soustraire aux obligations vaccinales et  qui sont en butte au discours culpabilisant des autorités sanitaires. Espérons que ce travail fantastique devienne rapidement un livre à mettre entre toutes les mains !

De notre côté, nous continuons à apporter notre petite pierre à l’édifice. Et pour ce faire, nous avons entamé une collaboration avec Pierre-Jean Arduin, un jeune polytechnicien et docteur en neurosciences français qui a publié à compte d’auteur l’ouvrage « Pourquoi vacciner ? ». Sorti l’année dernière, ce bouquin n’est pas un réquisitoire contre les vaccins mais un exposé très bien documenté qui remet en cause de manière argumentée certaines idées pro-vaccinales. Dans le Néosanté n° 56 de mai 2016, nous avons publié de larges extraits de ce livre hautement recommandable, ceux où l’auteur dresse la liste des principales maladies combattues par la vaccination et où il en résume l’état des connaissances. Riche en références et illustré par des graphiques éloquents, Pourquoi vacciner ? arrive à la conclusion que les vaccins ont joué un rôle mineur dans la disparition des grands fléaux épidémiques et que leur utilité est pour l’heure loin d’être évidente, notamment en raison de leurs risques avérés. De Pierre-jean Arduin, nous avons également publié en ligne un article exclusif sur les notions d’ « immunité de troupeau » et de protection collective, dans lequel il explique que cet argument altruiste n’est pas non plus fondé sur des preuves très convaincantes. Vous pouvez lire ou relire ce décryptage en cliquant ici. Après avoir publié ce texte, je me suis dit que j’allais faire une pause éditoriale sur le thème des vaccins. Je ne voyais pas trop ce que je pouvais encore apporter d’original et de « ré-informatif » dans ce domaine. Mais j’ai changé d’avis en lisant récemment le livre « Vaccins : pourquoi ils sont indispensables » de Philippe Sansonneti. Professeur à l’Institut Pasteur et au Collège de France, cet éminent savant est considéré comme un des plus grands spécialistes mondiaux de la prévention par les vaccinations. S’il a pris la plume, c’est précisément pour plaider en faveur de cette approche controversée et pour répondre aux inquiétudes croissantes de la population. Or son ouvrage, d’une insigne indigence, est une véritable insulte à l’intelligence. C’est un bric-à-brac de contre-vérités, d’approximations et d’arguments d’autorité que ne vient appuyer aucune référence scientifique ! Pour tout dire, ce petit opus de 200 pages censé nous démontrer l’indispensabilité des vaccins mentionne pour seules sources bibliographiques une dizaine d’autres livres mais pas une seule étude digne de ce nom. Bref, Sansonetti prend les gens pour des benêts tout justes bons à le croire sur parole et incapables de vérifier ce qu’il raconte. À mes yeux, ce document de pure propagande n’est que roupie de sansonnet, c’est-à-dire une chose parfaitement insignifiante. (*)

Mais plutôt que d’incendier ce bouquin – ce serait lui faire trop d’honneur – , j’ai préféré demander à Pierre-Jean Arduin d’en faire une lecture critique rationnelle et posée, sans intention délibérée de dénigrer, uniquement dans le but d’en souligner les faiblesses. D’un naturel calme et pondéré, rigoureux et consciencieux, le polytechnicien a mis trois mois pour faire ce travail et pour me livrer un article de 20.000 caractères. Sa conclusion ? « Je reste convaincu que le bénéfice des vaccins reste nettement surévalué et ses conséquences néfastes largement tues.
De prime abord, j’envisageais de l’imprimer dans le mensuel Néosanté du mois de juillet. J’ai cependant choisi de le diffuser plus largement en le mettant en ligne et en l’offrant en lecture aux abonnés de la newsletter (cliquez ici pour lire). Pourquoi ce revirement et pourquoi donner gratuitement un travail que je rémunère ? Parce Pierre-Jean m’a communiqué deux détails qui m’ont remué les tripes : le livre de Sansonetti figure en tête des ventes dans sa catégorie sur Amazon tandis que le sien n’a trouvé à ce jour que 300 acheteurs. Je trouve ça vraiment trop injuste : le formidable essai du jeune ingénieur a été passé sous silence par la presse tandis que le bouquin indigne du distingué professeur bénéficie d’un énorme et très lucratif soutien médiatique. À mon humble niveau, je vais donc tenter d’inverser quelque peu les tendances : je vous partage l’article décrivant en quoi le livre de Sansonetti ne vaut guère plus qu’une roupie et je vous encourage vivement à acquérir l’ouvrage de Pierre-Jean Arduin. Cliquez ici pour le commander directement.

Précision utile : c »est un geste désintéressé et je ne toucherai aucune commission par livre vendu. Je fais cela uniquement pour soutenir notre collaborateur dans sa démarche informative. Et il sera payé pour l’article que je renonce à publier dans notre périodique payant. En revanche, je songe aux finances des éditions Néosanté en vous annonçant qu’un autre article sur les vaccins sera imprimé dans le numéro d’été du mensuel. Dans la rubrique « Santéchos », on va en effet vous parler d’une étude scientifique montrant que les enfants non vaccinés sont en meilleure santé que les enfants vaccinés. Ce n’est pas la première du genre, mais c’est la première à être publiée dans une revue à comité de lecture, et donc à répondre aux critères de la science la plus pointue. Et que dit cette enquête réalisée sur des centaines d’enfants américains ? Que ceux d’entre eux épargnés par les vaccinations courent beaucoup moins de risques de déclarer des maladies chroniques, des allergies, des troubles de l’apprentissage et des troubles neuro-développementaux comme l’hyperactivité et l’autisme. Par rapport à ses congénères vaccinés, un enfant sans vaccin court par exemple 4 fois moins de risques (!) d’être diagnostiqué autiste ! Évidemment, ne comptez pas sur les médias de masse pour vous informer de cette recherche et de ses accablantes conclusions. Il faudra lire Néosanté pour échapper aux sornettes des sansonnets chargés de vous chanter les louanges des vaccins.

Yves Rasir

(*) Dans cette jolie expression, la roupie ne désigne pas la monnaie indienne, c’est un terme d’ancien français désignant une vulgaire crotte de nez….

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2 commentaires

  1. Bonjour,
    tout d’abord permettez moi de vous remercier pour votre travail et ces informations toujours intéressantes.
    Et aujourd’hui, j’aimerai simplement apporter un témoignage sur la vaccination, je ne vais pas rentrer dans le détail pour faire court.
    Je dois faire pour mon travail une vaccination (méningite) tous les 3 ans, à chaque fois j’y vais à reculons car je ne suis pas pour, et il y a 3/4 ans j’ai remarqué que je recommençais à avoir les mêmes problèmes que j’avais déjà eus 3 ans auparavant (douleurs musculaires, atrophie, surtout dans les jambes m’empêchant de continuer entre-autre le sport), forcément j’ai fait le lien mais je me suis heurtée au déni du corps médical qui m’a fait tout un tas d’exams (négatifs), et conclusion que je faisais de la dépression (eh oui !!). Bref j’ai refusé le dernier et à ce jour, comme je ne peux plus occuper mon poste, il y a de forte chance que je finisse pas l’année dans mon entreprise.
    Ceci non pas pour me plaindre, car à ce jour cela va bien mieux à me soigner moi-même de façon plus naturelle, mais pour souligner le fait qu’il est très difficile ne serait-ce que d’essayer de faire prendre conscience que les croyances ne sont pas toujours « vraies »! et on se sent parfois très seul!
    En tout cas merci de m’avoir lu
    Cordialement

  2. Monsieur, Vous avez mille fois raison. Et je vous remercie de continuer d’ essayer d’ouvrir nos consciences. Ce qui n’est pas toujours facile dans ce pays.
    Pour ma part, ma mère a été « achevée » avec un vaccin de la grippe administré en novembre 1985, alors qu’elle se remettait tout doucement d’un AVC à 76 ans.
    Et quant à moi je souffre depuis 60 ans de vaccins de la polio que j’ai eu entre 10 et 12 ans…(les médecins à l’époque ne comprenaient rien à mes douleurs dans le trapèze, lieu d’injection, et disait que j’inventais!) C’était tout simplement la miofasciite à macrophage, enfin connue maintenant et dûe à l’aluminium dans les vaccins.
    Merci de m’avoir permis de m’exprimer, pendant qu’on peut encore le faire…
    Bien cordialement à Vous.
    Bernard Bourgoin

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