Éditorial – revue N°6

L’objectif principal de Néosanté, c’est de favoriser l’avènement de ce que nous appelons « la nouvelle médecine du sens ». A travers le « Cahier Décodages » (pages 17 à 24), nous cherchons en effet à décoder ce que nous disent les maux et leurs symptômes. Et au-delà des maladies, nous allons  bientôt élargir le propos pour explorer le sens biologique des comportements, des  incidents et  des accidents, des échecs et des déconvenues, bref de tous les événements  de la vie et de ses aléas plus ou moins douloureux . Car, comme l’écrit si bien notre nouveau collaborateur Jean-Philippe Brébion (lire page 25), tout ce qui nous arrive au cours de notre existence n’arrive pas par hasard,  tout est porteur de sens !  Et tout peut être hissé des eaux noires du cerveau inconscient vers la lumière de la conscience.

La santé étant un tout , nous publions également des articles relatifs à ce que les naturopathes appellent « l’hygiène vitale », autrement  dit les moyens de se forger  un corps sain  susceptible d’accueillir un esprit sain . Mais pas question pour nous  de faire l’article des médecines douces et de vous vanter mille et un remèdes. Notre  projet est plutôt de mettre en valeur les méthodes et techniques qui aident  justement à s’affranchir des médications, fussent-elles 100% naturelles. Ainsi, dans sa rubrique « Sentiers de santé » (page 37),Jean-Jacques Crèvecoeur nous emmène-t-il ce      mois-ci  à la découverte des lavements au café : un outil  simple et puissant de détoxination !  De son côté, notre spécialiste  « paléo », Yves Patte, nous explique (page 28 et suivantes) tous les avantages d’un entraînement sportif intense et respectueux de la physiologie humaine, celle-ci s’étant élaborée à l’époque paléolithique.  Plus ses gênes renouent avec un contexte ancestral, moins l’Homo Sapiens  s’avère vulnérable aux pathologies modernes.

Une autre de nos ambitions, et non des moindres, est de hâter le déclin annoncé de la médecine pasteurienne  pharmaco-chimique. Comment ? En pointant régulièrement ses errements funestes et ses erreurs manifestes.  La plus évidentes de ces erreurs, celle qui saute actuellement aux yeux, c’est de croire que des drogues délétères et des produits toxiques présentent moins de risques que de bénéfices pour la santé. Dans son livre choc, la cancérologue Nicole Delépine (lire son interview en pages 12 et suivantes) dévoile ainsi « la face cachée des médicaments »,  c’est-à-dire un enchaînement de scandales sanitaires de plus en plus tragiques. Et, nous dit-elle, parfaitement prévisibles !
Ce que la  doctoresse n’avait peut-être pas prévu, c’est que deux nouvelles bombes allaient éclater  en octobre (lire page 33) : en France,  une étude vient d’établir un lien entre la maladie d’Alzheimer et la consommation de somnifères ; et en Belgique,  un pharmacologue  vient de déposer plainte pour « activité criminelle » contre le fabricant du Motilium. Ce  banal médicament contre les nausées aurait déjà fait des milliers de morts par arrêt cardiaque ! A cette allure-là,, les rayons des pharmacies ressembleront bientôt à un salon de l’armement..

Si la vérité  sur les médocs n’a pas besoin de nous pour sortir du puits, il y cependant un seau, un énorme seau  qui reste à remonter au grand jour : celui des causes réelles du SIDA.  Nous  consacrons  à nouveau notre dossier  à cette problématique (page 4 et suivantes)  parce qu’elle est vraiment emblématique du déraillement de la médecine officielle.  Il y a 40 ans, plusieurs raisons  de l’immunodéficience étaient déjà connues :  on la retrouvait chez les patients greffés traités avec des médicaments immunodépresseurs, ainsi que chez des cancéreux soignés avec  de l’AZT.   Il y a 30 ans,  on a vite compris aussi que les « comportements à risque » (toxicomanie,  malnutrition, promiscuité sexuelle, consommation abusive d’antibiotiques à large spectre…) pouvaient suffire à expliquer l’écroulement du système immunitaire. C’est seulement la découverte providentielle du  HIV  qui a  transformé ce syndrome clairement iatrogène  en maladie contagieuse d’origine virale, et fait perdre ainsi  trois décennies à la science médicale. Car dès le début, le principal suspect était déjà dans les filets :  un médicament appelé « popper » et dont Renaud Russeil nous raconte l’hallucinante saga.  Utilisé comme dopant par les GI au Vietnam, employé ensuite comme désodorisant puis recyclé  par les homosexuels comme « drogue récréative »,  ce vasodilatateur aux effets ravageurs vient seulement d’être interdit en France.  Mais il est encore disponible en officine  et son commerce clandestin se porte très bien ! Détail qui tue : le plus gros producteur US de cette substance pathogène a été absorbé plus tard par la fabricant de l’AZT qui est devenu à son tour le géant mondial des vaccins, j’ai nommé GSK. Ça ne s’invente pas.

Yves RASIR

Revue disponible à la pièce dans la boutique:

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