Éditorial-revue N°37

Mort aux vaccins !

Oui, je sais, ce titre est du genre « rentre dedans ». Mais je l’assume pleinement. Sur ce sujet, la ligne éditoriale de Néosanté est bien plus radicale que celle des autres journaux de santé naturelle, lesquels se contentent souvent d’appeler au libre choix des parents et se bornent à manifester une timide inquiétude quant à la lourdeur du calendrier vaccinal infligé aux enfants. Pour nous, une vaccination imposée ou facultative est déjà une vaccination de trop. Nous appelons à l’abandon pur et simple de cette pratique médicale que nous qualifions volontiers d’obscurantiste, c’est-à-dire fondée sur des croyances et non sur des connaissances validées par la science. La vaccinologie est une idéologie, voire une religion, dont les dogmes ne résistent ni au bon sens ni à l’examen des faits. Exemple : il est totalement faux d’affirmer que les vaccins ont permis d’éradiquer des maladies et que leur apparition fut une avancée sanitaire décisive. Ce mythe est brillamment déconstruit dans un ouvrage paru aux Etats-Unis et et qu’a lu pour nous Pryska Ducoeurjoly (lire son dossier pages 6 à11), ainsi que dans un nouveau livre du biologiste français
Michel Georget. Attention, ces deux bouquins sont dangereusement abrasifs pour les idées reçues !

Mais ne versons pas à notre tour dans l’hostilité de principe : au contraire, reconnaissons que l’idée même de la vaccination est théoriquement excellente ! À son époque, Jenner avait de bonnes raisons de penser que l’inoculation du virus de la vaccine (variole de la vache) pouvait prémunir contre sa forme humaine. Et Pasteur, bien que menteur et faussaire, mérite un peu de crédit pour avoir cru au procédé conçu avant lui. Au fond, la vaccination n’est jamais qu’une variante moderne de la bonne vieille mithridatisation, autrement dit l’absorption d’un poison à des fins d’immunisation. L’antique trouvaille du Roi Mithridate est d’ailleurs allègrement confirmée par la recherche scientifique qui l’a rebaptisée « hormèse ». Ce terme désigne le mécanisme par lequel l’organisme peut s’habituer aux substances qui sollicitent ses défenses, par exemple le venin d’abeille ou le pollen pour les allergiques. Chez des rats et des souris, on a mis en évidence qu’une exposition à de faibles rayonnements nucléaires pouvait protéger d’une irradiation massive, ou bien qu’une ingestion régulière de dioxine à petites doses rendait moins vulnérable à la pollution chimique. Chez l’homme, une étude politiquement incorrecte (lire page 4) vient même de dévoiler un avantage caché du tabagisme pour la santé du cœur ! Bref, aujourd’hui comme hier, il n’est pas sot d’imaginer qu’un individu se renforce au contact de l’adversité. Comme nous l’avons déjà écrit dans Néosanté, l’immunothérapie sublinguale est même un pan de la médecine classique qui nous paraît particulièrement prometteur.

Il y a cependant un gouffre qui sépare cette discipline médicale de sa cousine vaccinale : celle-ci pénètre le corps humain par effraction de la voie cutanée, injecte au passage des substances délétères (mercure, aluminium…), se pratique dès après la naissance et joue les apprenties-sorcières en inoculant très précocement de grandes quantités de germes, fussent-ils désactivés ou atténués. Dans leurs labos, les firmes pharmaceutiques nous préparent encore des centaines de nouvelles mixtures et leurs chercheurs envisagent à présent de vacciner les fœtus dans le ventre de leurs mères. Ce n’est plus de la déraison, mais de la folie pure ! Un seul remède à cette fuite en avant dictée par la soif de profits : l’information. Le public doit bien sûr être averti de l’ampleur des effets secondaires des vaccins. Il doit également savoir qu’on lui raconte des bobards sur les prétendues victoires des vaccinations. Ce sont l’amélioration de l’hygiène et les progrès sociaux qui ont triomphé naguère des épidémies et qui vaincront demain les fléaux affligeant le tiers-monde. L’opinion doit aussi être informée que l’histoire passée et actuelle de la vaccination est jalonnée d’échecs aux conséquences parfois tragiques. Dans Néosanté (voir rubrique « Santéchos » en pages 4 et 5), nous recensons notamment les preuves nombreuses et récurrentes que les flambées épidémiques (rougeole, oreillons, coqueluche…) surviennent parmi les populations les plus vaccinées . La soi-disant protection collective offerte par une couverture vaccinale sans faille, c’est de la foutaise !

De notre point de vue, deux vérités cruciales doivent encore sortir du puits : la première, souvent développée dans nos colonnes, est que la causalité des maladies, y compris les pathologies infectieuses et contagieuses, se situe en amont de l’intervention microbienne. La seconde, qui découle en partie de la précédente, est qu’on ne peut manipuler artificiellement l’immunité d’un nouveau-né sans nuire à l’élaboration de son identité psychique. Il semble déjà que la polyvaccination des nourrissons ne soit pas étrangère à l’explosion de l’autisme. La création prématurée d’anticorps contribue probablement à divers autres désordres psycho-émotionnels dont la prévalence croissante épouse clairement la courbe vaccinatoire. Aux yeux de certains, le succès de la secte pasteurienne coïncide carrément avec une dramatique régression intellectuelle et spirituelle de l’Humanité. C’est aussi notre avis et c’est pourquoi notre encrier est chargé de vitriol : mort aux vaccins !

Yves RASIR

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