Éditorial – revue N°21

LA LEUCÉMIE, C’EST LA VIE !

Naguère, je vous ai raconté les deux événements qui ont changé radicalement mon regard sur la santé et la médecine. Le premier, c’est d’avoir vu à l’œuvre le Dr Ryke Geerd Hamer lorsqu’il examinait les scanners cérébraux de patients inconnus de lui et qu’il parvenait, sur cette seule base, à diagnostiquer les cancers dont ils souffraient, ainsi que leur stade d’évolution. C’était la preuve indéniable que cette maladie se déclenche dans le cerveau, ou en tout cas qu’elle y laisse un impact radiologiquement détectable. Le deuxième cap décisif fut d’avoir moi-même vérifié que les autres maux du corps laissent également une trace visible dans la boîte crânienne : en lisant mon scanner cérébral, un médecin « hamérien » a pu me dire que j’avais un problème à l’épaule gauche, laquelle était effectivement affectée à l’époque par une capsulite. Il y a cependant un troisième épisode qui m’a définitivement convaincu. Alors que je l’appelais pour avoir son avis sur une forme de leucémie que ma nièce et filleule était soupçonnée de développer, ce même médecin m’a tout de suite répondu que « c’était la pathologie typique des enfants dont les parents divorcés se disputent la garde ». J’en fus estomaqué parce que je n’avais encore rien dit d’autre, qu’il ne connaissait nullement ma famille, et qu’il tapait pourtant dans le mille. La situation qu’il décrivait était exactement celle que vivait la fille de ma sœur !

Ces trois moments marquants expliquent pourquoi je considère personnellement la « médecine nouvelle » du Dr Hamer comme une révolution scientifique majeure et pourquoi je milite ouvertement en sa faveur. Concernant la leucémie, le médecin allemand se situe aux antipodes de la vision classique puisque cette maladie n’est pas du tout, selon lui, un cancer du sang ! D’après son expérience, elle serait en réalité la phase de guérison d’un cancer des os ! Ça paraît fou, mais ce n’est sans doute pas faux. Cette hypothèse expliquerait notamment que la médecine conventionnelle puisse se targuer d’un taux de réussite nettement supérieur à ses scores oncologiques habituels. On guérit souvent de la leucémie parce qu’on est souvent déjà guéri lorsque les symptômes apparaissent ! Mais alors, pourquoi cette réparation de lésions osseuses ? Selon Hamer et tous les héritiers de ses découvertes, les affections osseuses parlent toujours de dévalorisation de soi. Dans le cancer des os, la dévalorisation est si grave et si profonde que la seule solution biologique de survie trouvée par le cerveau consiste à creuser le squelette. Cela passe généralement inaperçu jusqu’à ce que la lyse se termine, autrement dit après que la personne a résolu son conflit de dévalorisation et que la moelle rouge commence à se reconstruire. Au lieu de faire peur, écrit le Dr Alain Scohy (lire p 4 et suivantes), le diagnostic de leucémie devrait plutôt mettre en joie puisqu’il prouve que le stress est dépassé et que l’estime de soi est revenue. Au fond, cette maladie traduit le retour de l’envie de vivre ! Malheureusement, cette envie peut refluer et le patient peut « retomber » dans le conflit. Comme l’explique encore le Dr Scohy, la médecine classique parle alors de « rémission » sans voir qu’elle signifie en fait une reprise du processus cancéreux au niveau des os ou des ganglions. Assez tragiquement, les rechutes et les issues fatales peuvent résulter d’un diagnostic angoissant, du pronostic pessimiste sous-jacent, voire de traitements inopportuns ou appliqués à contretemps…

N’accablons cependant pas les Diafoirus modernes. Les complications liées à la guérison leucémique imposent parfois des interventions urgentes et nécessaires en milieu médicalisé. N’oublions pas non plus une des autres découvertes capitales du
Dr Hamer, à savoir que la phase réparatrice d’une maladie est d’autant plus périlleuse que le choc psychique a été rude. Je ne dis donc pas qu’il faut bloquer l’accès aux hôpitaux et vider leurs pavillons de leucémiques ! Néanmoins, il faut arrêter de croire que le Télévie (*) et les milliards investis dans la recherche serviront à grand chose tant qu’on ne regardera pas en face la cause première des pathologies osseuses, soit le maudit sentiment d’avoir perdu toute valeur à ses propres yeux. Pour combattre ce vrai coupable, Alain Scohy préconise un travail qu’il qualifie de « psycho-spirituel ». De son côté, le neuropsychiatre belge Jean Lerminiaux a mis au point une thérapie qui consiste à « inverser le ressenti émotionnel » (lire interview page 10) et qui ferait probablement merveille si ses confrères cancérologues étaient plus ouverts à la psychosomatique. Pour ma filleule, le médecin consulté a suggéré à ses parents de conclure la paix et d’expliquer à la fillette qu’elle n’était pour rien dans le déclenchement de la guerre. Je ne pourrai jamais prétendre que cette ordonnance l’a sauvée puisque la plupart des leucémies évoluent spontanément vers la guérison. Mais toujours est-il qu’elle est bien vivante et pas prête à faire pleurer dans les chaumières via les caméras du Télévie …

Yves RASIR

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Un commentaire

  1. Bonjour
    Je suis vivement intéressé à votre revue et à son contenu et je souhaite recevoir régulièrement des articles.
    Merci et au plaisir de vous lire
    Christian Lathion

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