Editorial N° 53

Une lumière dans la nuit

Oui, je sais : dans Néosanté, nous avons déjà publié plusieurs articles et dossiers sur le sida. Certains lecteurs nous ont déjà fait le reproche d’accorder une place démesurée à cette maladie touchant finalement peu de monde. Et ils ont bien raison ! Contrairement aux prévisions apocalyptiques des marchands de panique, ce fléau soi-disant transmissible a fait long feu et l’effroyable épidémie annoncée n’a pas eu lieu. Au lieu d’en rajouter une couche, nous pourrions arrêter de parler de cette affection en fin de compte très peu répandue. Il y a pourtant urgence à revenir sur le sujet car la doctrine officielle sur le syndrome d’immunodéficience acquise, au lieu d’être abandonnée en raison de ses incohérences et de ses prophéties foireuses, est quasiment en passe de triompher ! Je m’explique par une rapide chronologie : début des années 80, l’apparition de la pathologie parmi les homosexuels urbains américains ne laisse guère planer de doute. Leur vie sexuelle débridée (plusieurs centaines de partenaires par an), leur usage affolant d’antibiotiques à large spectre et surtout leur consommation effrénée de drogues « récréatives » (dont les très toxiques « poppers ») suffisent amplement à expliquer l’effondrement de l’immunité exposant à quelques maladies opportunistes typiques (sarcome de Kaposi, pneumocystose). Tout change avec la découverte du HIV par Gallo et Montagnier. Ce dernier proclame très vite que le rétrovirus est tout au plus un cofacteur, mais on ne l’écoute déjà plus : la machine du marché est en marche avec la création du dépistage, la recherche illusoire d’un vaccin, le recyclage de l’AZT (un médicament anticancéreux abandonné pour cause d’hypertoxicité) et enfin l’invention des trithérapies où le poison est dilué parmi d’autres molécules antivirales.

Bilan ? Réussite commerciale totale ! Aujourd’hui, il ne reste plus grand monde pour mettre en doute l’hypothèse virale. Les « dissidents » de l’hypothèse chimique ont beau continuer à dénoncer l’imposture en alignant les arguments, leur discours est devenu inaudible par la faute du black-out médiatique. Aujourd’hui, en 2016, le piège est presque refermé : suite au reflux de la mortalité, l’opinion publique est convaincue que les trithérapies marchent et donc que le coupable est bien le microbe combattu ; grâce aux tests-express, le contingent de séropositifs continue à croître et la clientèle des labos est donc assurée ; cerise sur le gâteau pharmaceutique, l’arrivée du Truvada et d’autres remèdes « préventifs » va médicaliser des millions de bien-portants même pas contaminés ! Le plus retors des businessmen mafieux n’aurait pas pu rêver mieux que cette rente garantie pour de nombreuses décennies. La faille, car il y a une faille, c’est que l’information « alternative » continue à circuler, un tout petit peu grâce à nous et beaucoup grâce à internet. Sur la toile, les propos du biologiste moléculaire Peter Duesberg, du rétrovirologue Étienne de Harven et d’autres scientifiques contestataires ne sont pas (encore) censurés et trouvent écho chez de nouveaux lecteurs. Ils font surtout mouche dans une population très particulière, celle des séropositifs en pleine santé qui ne perçoivent aucun signe inquiétant et qui semblent héberger le HIV sans inconvénient. Selon la théorie admise, ces « contrôleurs » naturels du virus seraient une infime minorité. Mais comme vous allez le lire dans le dossier de Pryska Ducœurjoly (page 6 et suivantes), aucune étude sérieusement conduite ne permet d‘affirmer une telle chose. Si ça se trouve, les séropositifs « autorésistants » au sida sont beaucoup plus nombreux !

Quoi qu’il en soit, un phénomène est en train d’émerger via le web et les réseaux sociaux : l’éclosion d’une communauté de personnes diagnostiquées porteuses du HIV et qui ont décidé de ne pas commencer de traitement. Ou bien, encore plus courageusement, d’interrompre leur cure antivirale. Notre journaliste est allée à leur rencontre, en a interrogé plusieurs et les a spontanément qualifiés de « sérodissidents ». Leurs témoignages sont très intéressants, car ils révèlent combien deux « dogmes » de la science dominante – la charge virale et le taux de cellules CD4 – ne résistent pas aux faits. Malgré l’absence de médication, ces deux paramètres jouent au yoyo et montent et descendent, parfois au-delà des normes, sans motif explicable. Et lorsque les chiffres ne sont franchement pas bons, qu’ils sont censés annoncer l’entrée imminente en maladie, certains sérodissidents constatent au contraire qu’ils ne se sont jamais aussi bien portés. Entre la thèse officielle et ce vécu personnel des rebelles, il y a à tout le moins une zone d’incertitude qui devrait susciter questions et remises en question. Mais je ne me fais pas d’illusion : le mythe de la piste infectieuse et le mensonge de la transmission contagieuse sont tellement implantés dans les esprits que la grande escroquerie n’est pas près de s’effondrer. Pour la médecine classique, sans doute, les sérodissidents resteront des sidéens en sursis égarés en territoire obscurantiste. Et s’ils étaient plutôt des lumières dans la nuit, un début de dévoilement de la vérité ? Sans les encourager dans leur démarche (*) – ce n’est pas notre rôle – nous saluons avec respect leur geste de bravoure.

Yves RASIR


(*) Aux éventuels lecteurs séropositifs qui seraient tentés par l’abstinence thérapeutique,
Néosanté recommande de ne pas le faire sans l’avis d’un professionnel de santé ouvert à cette possibilité.

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Un commentaire

  1. L’hypothèse VIH/SIDA en clair – Les faits

    On ne détecte pas le virus ou que très rarement même chez des malades au stade final du sida, seule une chance rare et une extrême persévérance peuvent faire apparaître le VIH chez une personne séropositive, donc un problème énorme se pose pour les virologues qui ne trouvent pas de virus actif chez les malades…
    On ne remarque que des anticorps qui serait une réponse de défense au VIH. En fait ces anticorps sont non spécifiques puisqu’on les retrouve dans 70 autres causes ou facteurs pouvant faire cette même réaction de « séropositivité » (liste de Christine Johnson).
    Les anticorps sont traditionnellement un signe de ce que le système immunitaire a rejeté le virus (vaccination naturelle efficace et protection absolue contre une maladie infectieuse). Certaines personnes ont d’ailleurs naturellement des taux d’anticorps élevés et sont bien entendu en parfaite santé.
    Ce sont des anticorps que reconnaissent les « tests de dépistage » de l’infection et non le virus lui-même… Ces tests de dépistage sont aléatoires, car les critères de diagnostic ne sont pas les mêmes dans tous les pays, vous pouvez donc vous retrouver positif au Canada et négatif en France, la définition de séropositivité varie donc d’un pays à l’autre, aux USA cela dépend d’un laboratoire à l’autre… Encore mieux au Royaume Uni le test Western Blot n’est pas reconnu valide pour confirmer une infection au VIH.
    Cela signifie que la première chose à faire en cas de test VIH +, c’est d’en chercher la cause !
    Pour qu’un test soit fiable, un virus doit être isolé de manière purifiée, ses protéines spécifiques pourront alors être reconnues par le test.

    La plupart des gens croient que le test de « charge virale » met en évidence le vrai virus, or ce n’est pas le cas. Ce test recherche de minuscules brins d’ARN qu’on déclare être spécifiques au VIH. On applique alors une formule mathématique complexe qui génère un nombre qu’on étiquette « charge virale » ce terme est trompeur car il suggère que le virus est présent à un titre élevé, bien qu’un virus infectieux soit généralement indétectable. Au lieu de cela, ce terme désigne la quantité de fragments d’ADN viral qui peuvent être générés in vitro par la réaction en chaîne polymérase ‘PCR’ (amplification de l’ordre du milliard de fois) au départ de l’ARN de rares virus neutralisés par les anticorps, ou de l’ADN des rares cellules infectées de manière latente isolées à partir du patient (artificiellement et à l’extérieur du corps, in vitro).
    La méthode PCR a été inventée par le prix Nobel Kary Mullis opposant de l’hypothèse VIH/SIDA… Ainsi, pour prendre un exemple : une personne qui a fait une infection par Cyto Mégalo Virus qui est en train de disparaître, verra une diminution régulière de la charge virale de ce virus bien précis. Il en est de même pour d’autres infections virales comme l’hépatite B ou la mononucléose infectieuse. Par contre dans le cas du VIH, on ne sait pas ce qu’on mesure puisque ce très hypothétique virus n’a jamais été vu, isolé ou cultivé ! Kary Mullis a toujours refusé de donner son aval pour l’utilisation de sa technique dans le cas du VIH !

    Le nombre d’unités infectieuses constitue le seul critère clinique correct pour déterminer si l’on est en présence d’une pathogénie virale. Aucun scientifique n’a JAMAIS réussi à démontrer, au microscope électronique, la moindre particule de rétrovirus directement dans le sang d’un patient étiqueté comme ayant une « charge virale » élevée! (toujours pas isolé et multiplié en culture de manière purifiée à ce jour – ‘purification par centrifugation de gradient de densité de saccharose’).

    Le virus latent et biochimiquement inactif ‘VIH’ n’est présent que dans moins d’un lymphocyte T4 sur 500, il n’existe en biologie aucun précédent de gène dormant ayant jamais eu un effet quelconque ni, moins encore, causé une maladie mortelle.

    Le professeur émérite d’immunologie de l’université de Genève Alfred Hassïg explique pourquoi
    les personnes diagnostiquées séropositives risquent entre autres choses de présenter une baisse de leur taux de cellules T, en effet sous l’état de stress (cortisol ) ou d’administration de corticoïdes, les cellules T circulantes dans le sang (2%) se réfugient principalement dans la mœlle osseuse, elles reviennent dans la circulation sanguine lorsque le stress s’estompe.

    Le virus VIH ne respecte aucun des postulats de Koch qui servent à prouver qu’un microbe est la cause d’une maladie. C’est la seule maladie vraiment virale qui ne se conforment pas parfaitement aux postulats de Koch.
    Hypothèse : ‘Le VIH pénètre dans la cellule et la désintègre immédiatement!’ – Ceci n’a jamais été observé et est absolument contraire à la caractéristique spéciale enseignée à propos des rétrovirus, à savoir que les rétrovirus ne tuent pas la cellule hôte.

    Le ‘SIDA’ a toujours existé, c’est un nouveau nom qui sert à étiqueter d’anciennes maladies (tuberculose, paludisme, immunodépression… environ 35 à ce jour), la liste dans laquelle on inclus ces maladies est de plus en plus allongée, ce qui permet d’essayer de justifier la pandémie annoncée depuis les années 80′.
    Si une personne est atteinte de la tuberculose et qu’elle est séropositive, on dira qu’elle a le SIDA. Mais si elle est séronégative on dira qu’elle a la tuberculose. Même chose pour les autres maladies.

    Plus de 30 ans et plus de 200.000.000.000 de dollars ont été investi dans la recherche sans aboutir, alors que le premier virus a été isolé au 19ème siècle, en 1 semaine et sans moyens. Devant autant d’échecs, abstraction faite des bénéfices mirobolants réalisés par les laboratoires pharmaceutiques, il serait temps d’investiguer vers d’autres pistes plus prometteuses, car l’hypothèse VIH-SIDA est restée improductive et non démontrée jusqu’à ce jour.

    Par exemple, le « stress oxydatif » souligné par le Pr. Luc Montagnier (prix Nobel et découvreur du VIH) et bien d’autres scientifiques (+/- 2000) dont plusieurs prix Nobel pourrait être une piste à exploiter sérieusement, ce stress peut induire une immunodépression toxique grave comprenant un ou plusieurs facteurs (malnutrition, carences, médicaments (+/- 2.000) dont ‘ARV’ (Antirétroviraux), produits chimiques, drogues récréatives principalement « Poppers » et drogues injectables, transfusions sanguines à répétition, etc.)
    « Le problème ce n’est pas le virus sur la seringue, mais la drogue qui est dedans » (Pr. Peter Dusberg)
     » Le stress est le vrai VIH » (Dr. Marc Deru)

    De ce fait, le SIDA ne se transmet pas sexuellement, contrairement aux autres IST (gonorrhée, syphilis, etc.). Plusieurs centaines de rapports médicaux ont été établis à propos de prostituées africaines, états-uniennes, européennes et asiatiques, ainsi que sur des couples séro-différents, uniquement les personnes consom-matrices de drogues ont les syndromes du SIDA. L’homme a naturellement des relations sexuelles depuis 2.000.000 d’années et les virus étaient là avant nous, il n’y a pas de ‘nouveaux virus’ depuis 1980…

    Le Pr. Montagnier est très clair dans ce qu’il explique lors de l’interview avec le journaliste Brent Leung, le répétant à plusieurs reprises de différentes manières. Pour l’essentiel, il dit que :

    – On peut être exposé au VIH plusieurs fois sans être infecté de manière chronique, un bon système immunitaire peut s’en débarrasser en quelques semaines.
    – On peut combattre le Sida grâce à une alimentation correcte et en se préservant d’autres infections affaiblissantes.
    – L’importance d’un vaccin et de médicaments contre le SIDA est exagérée.
    – La médication ARV est toxique et ne peut être prise à vie comme par exemple l’insuline chez les diabétiques.
    – Le SIDA peut être traité autrement qu’avec un vaccin, avec des choses peu coûteuses et -hautement efficaces.
    – Pour se protéger du SIDA, ce dont les Africains ont réellement besoin, c’est d’une meilleure nutrition.
    – Les faits concernant la nutrition et le SIDA sont négligés (par l’établissement médical et les administrations locales).

    5 points scientifiques simples pour prouver que le VIH cause le SIDA :

    1. Isoler le VIH de manière purifiée.
    2 . a) Prouver que le VIH détruit les lymphocytes TDC 4
    b) Prouver que le VIH détruit les lymphocytes TDC 4 en présence d’anticorps et ce de manière plus rapide que la réplication de nouveaux lymphocytes.
    3. Trouver du VIH en grand nombre chez tous les séropositifs.
    4. Exclure toutes autres causes de positivité.
    5. Montrer les sources qui constituent la preuve que le VIH est la cause du SIDA.

    Réf. : Dr. Robert Wilner, Bryan Ellison, Pr Peter H. Duesberg, Dr Charles A. Thomas Jr., Dr Kary Mullis, Dr Robert Root-Bernstein, Dr Gordon Stewart, Dr Joseph Sonnabend, Dr Jim Humble, T.C. Fry, Celia Farber, Claude Tracks, Dr Etienne De Harven, Pr Luc Montagnier, Pr Henry H. Bauer, Dr. Eleni Papadopulos, Pr Alfred Hassïg, Dr Marc Deru …

    Documentaires : « House of Numbers », « Sida, le doute » (Arte).
    Livres : « L’invention du virus du sida », « Les 10 plus gros mensonges sur le sida », « Sida supercherie scientifique et arnaque humanitaire », « Sortez de l’hypnose collective », « Théorie VIH du sida, incohérence scientifique ! »…

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