Dr Jean-Claude Fajeau : « Un médecin n’a jamais guéri personne »

« Souvent la peur d’un mal nous conduit dans un pire », philosophait Nicolas Boileau. Ce n’est pas Jean-Claude Fajeau qui le contredira ! Ce dernier voit en nos peurs « un poison émotionnel » qui porte gravement atteinte à notre santé et notre bien-être. Ce docteur en médecine a exercé la médecine chinoise, l’homéopathie, la médecine naturelle, la phytothérapie et se consacre, depuis 1997, à la recherche en Psycho-Somato-Généalogie (1). À l’articulation entre le psychologique et le biologique, cette approche permet d’approfondir la compréhension des mécanismes et principes de la vie. Nous rappelant par là que le corps est l’exutoire des conflits biologiques « animaux » que vivent les humains. « Comprendre, c’est devenir maître de soi », aime à répéter ce chercheur inlassable, qui s’érige contre tout dogme et toute pensée unique. Il est libre, Jean-Claude !    

Propos recueillis par Carine Anselme

Certaines rencontres ne laissent pas indifférent… Ce fut le cas avec Jean-Claude Fajeau. Exit la langue de bois et autres détours diplomatiques, sémantiques, avec cet homme entier ! Dans ce milieu de la guérison, où certains ont une « légère » tendance à se prendre très (trop ?) au sérieux, il préfère, lui, faire les choses sérieusement, dans un mélange d’humanité et d’humilité, de quête de sens et d’excellence – non pour briller, mais pour accompagner au mieux ceux qui sont en chemin vers la guérison. Caractéristique : cet homme a la curiosité chevillée au corps et au cœur – une richesse inestimable « reçue en héritage », nous dira-t-il. Lire, questionner, explorer, apprendre, observer, écouter, expérimenter… il n’a de cesse de creuser son sillon pour nous permettre de dégager le nôtre. En toute liberté. Car tout malade – par nature fragile, vulnérable, stressé, en proie au doute, voire dépressif – est un être unique, singulier, qui doit être traité comme tel. L’enjeu de l’approche proposée par Jean-Claude Fajeau est de l’aider à retrouver son axe, son centre, afin qu’il se prenne en charge. Un travail intime, autant qu’universel.   

Quel cheminement vous a mené de la médecine classique à la Psycho-Bio-Généalogie ?

Il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous… et d’heureuses coïncidences ! J’étais dans un chemin insatisfaisant avec la médecine générale, j’ai alors rencontré des personnes qui m’ont donné un éclairage nouveau sur la façon de se soigner. Je suis dans une recherche permanente. Avec le temps, je sais que la perfection n’existe pas, mais je tente de poursuivre une quête d’excellence : être performant exige une curiosité et une exploration constantes. Depuis l’enfance, je ne me satisfais jamais des réponses toutes faites (Rire) ! J’aime fouiller. Quand l’objectif est la guérison, la logique et la cohérence sont indispensables.

Au cœur du processus de guérison, vous pointez l’importance de la compréhension, de la connaissance…

Pour les gens, la maladie est par essence incompréhensible. La question essentielle à se poser, si l’on veut éviter les récidives et véritablement guérir est : « Pourquoi cela m’arrive-t-il maintenant, et à cet endroit-là (du corps, NDLR) ? » Comprendre s’avère donc une démarche primordiale. Car, en l’absence de ce questionnement et de la réponse adaptée, l’individu ne parviendra au mieux qu’à une rémission. Mais je tiens à préciser que je m’érige contre tout sectarisme, tout bourrage de crâne ou lecture simpliste, unique. Il faut que cela soit logique et cohérent pour la personne elle-même. Le processus d’exploration varie donc considérablement d’un individu à l’autre, en fonction de ses croyances, de son éducation, de son histoire généalogique, etc. C’est un travail important qui implique directement la personne, et dont le résultat dépendra de la manière dont cette dernière va cheminer, se questionner, se remettre en question… Si cette personne est dans une croyance béate, admirative, et qu’elle imagine que le médecin possède une solution magique, cela ne marchera pas. Un médecin n’a jamais guéri personne !

Vous voulez dire que la solution vient de l’intérieur ?   

Oui, la solution est en soi. La recette miracle n’existe pas. C’est le patient, lui-même, qui est un découvreur. J’insiste : j’accompagne les personnes dans leurs explorations, mais je ne suis ni le sauveur, ni le dieu, ni le gourou de personne ! Au contraire : chacun est son propre gourou. C’est ce qui fait que je ne suis pas toujours en accord avec certains collègues, à qui il arrive de jouer sur ce tableau-là… Par nature très indépendant, je les côtoie d’ailleurs assez peu. 

La psychogénéalogie, qui est un de vos outils-phares, permet-elle d’éclairer cette solution intérieure ?

C’est, en effet, une approche fantastique pour partir à la découverte de soi ! Car toute maladie est le résultat d’un deuil inachevé, en relation avec un drame survenu dans les générations précédentes (voir à lire, NDLR). Pour guérir, il s’avère nécessaire de faire tous les deuils et de retrouver l’Amour inconditionnel de soi. On pense souvent que la psychogénéalogie a émergé dans les années 1980, mais elle existait bien avant, portée notamment par les écrits des grands penseurs grecs (Hippocrate, Aristote…) et, encore plus loin, par l’un des plus grands maîtres chinois Lao Tseu. Ils n’avaient, en ces temps-là, aucun de nos outils modernes, mais ils avaient déjà compris que la seule « machine » qui compte, c’est le cerveau.

La maladie serait précisément un message, une « alerte », du cerveau ?

La maladie (le « Mal-A-Dit ») est une réponse organique, donc biologique à un mal-être, un conflit psychologique. À la suite d’un choc émotionnel, la pensée cherche une solution pour résoudre le conflit. Si le stress dure longtemps, le cerveau, centre de commande, trouve une solution pour faire baisser le stress et sauver l’individu, au prix d’une maladie, qui n’est autre qu’un message (du cerveau) pour nous amener à réfléchir aux véritables raisons qui ont provoqué cet état. Selon ce principe, plutôt qu’une ennemie à combattre par tous les moyens, la maladie devient une alliée qui vient nous aider à comprendre… Pour nous amener à plus de conscience, plus d’Amour. 

Vous mettez l’accent sur l’impact de nos peurs, « poison émotionnel », dites-vous, sur l’équilibre et la santé…

C’est, selon moi, la source de tous nos maux. L’émotion est une information, un message du cerveau, en réponse à la peur. Décoder l’origine et le sens de l’émotion permet de ne plus ressentir de peur  – notez qu’il y a des peurs vitales (pour aller plus loin, voir encadré « Les trois façons d’appréhender le monde », NDLR). Il faut différencier les peurs conscientes, des peurs inconscientes. Il y a tout un travail de conscientisation à faire. Si, par exemple, je prends conscience que j’ai peur des chiens (parce que je pense, en raison d’une peur « animale », archaïque, qu’il risque de m’agresser), le chien, lui, n’a plus aucune raison d’agresser. Nous avons une capacité de dépassement de nos peurs, que l’on ne soupçonne pas ! La Psycho-Somato-Généalogie invite à fouler cette voie vers la découverte de soi – ce chemin plein d’amour, habituellement gâché par nos peurs.     

Mais le climat anxiogène de notre époque amplifie cette peur, individuelle et collective…

Cette vision-là des choses vient d’une méconnaissance du passé ! J’étonne toujours beaucoup les gens, car quand on me dit que le monde va de plus en plus mal, je rétorque : « Au contraire, il va de mieux en mieux ! » Je préfère vivre maintenant qu’au Moyen Âge… Objectivement, il y a moins de risques. Vous n’auriez jamais été vous balader à cette époque sur les chemins, qui  étaient de vrais coupe-gorges ! Les peurs aujourd’hui sont exactement les mêmes que par le passé, ce qui a changé ce sont les moyens de communication actuels qui nous connectent en quelques instants à tout ce qui se passe à travers le monde. Les peurs créent une paranoïa collective. Mais on ferait un journal télévisé des bonnes nouvelles, que personne ne le regarderait ! On a besoin, quelque part, de se rassurer par rapport à ce qui se passe ailleurs, à ce qui arrive à d’autres…   

« Il n’y a pas de cause à la peur. Elle n’est qu’imagination. Elle te bloque comme une barre de bois tient la porte fermée. Brûle cette barre », affirmait Rûmi… Diriez-vous que nos peurs sont avant tout imaginaires ?

Il est rare que l’être humain se réfère au monde animal, dont il est pourtant une émanation. Or, la société est toujours aussi animale, elle n’a rien « d’humain » ! Nos peurs sont foncièrement animales, et nous fonctionnons comme des animaux. Ces peurs très prégnantes qui nous dirigent, sont pourtant peu nombreuses : la peur des prédateurs, la peur de l’agression, la peur de perdre sa « place » (en lien avec les conflits de territoire)… Prenons la peur du manque, si répandue chez l’humain : elle nous renvoie à la peur animale du manque de nourriture, d’eau. Je suis allé au Sahel, et j’y ai vu effectivement des troupeaux entiers décimés… Mais dans nos sociétés occidentales, le manque de nourriture et d’eau est le plus souvent imaginaire. Cette peur est donc un réflexe biologique. En parlant de peurs imaginaires, je sais de quoi je parle : j’étais un enfant surprotégé par trois mères (ma maman et deux grandes sœurs) – elles m’ont transmis un nombre incalculable de peurs imaginaires (« Fais pas ci, fais pas ça ! »). Enfant, j’étais du coup assez souvent malade, au point que j’ai voulu faire médecine. Grâce à la connaissance, cela m’a libéré de la peur de la maladie… et je n’ai plus jamais été malade !

Vous évoquez aussi souvent le manque d’amour, comme élément-clé de nos problématiques humaines…

Plutôt que de parler de manque d’amour, je dirais plutôt qu’il n’arrive pas à s’exprimer. Quand je demande aux gens : « Quel est le contraire de l’amour ? », on me répond que c’est la haine. Pour moi, le contraire de l’amour, c’est la peur ! Et cette dernière peut, de fait, conduire à la haine. On le voit clairement de nos jours. Les extrémismes de tous bords viennent d’une méconnaissance, qui engendre la peur – source de haine. Il existe bien des gens qui se réunissent dans des séminaires pour déployer « l’amour », mais la peur les reprend une fois qu’ils retournent dans leur milieu…

Comment travailler alors efficacement sur nos peurs ?

Tout le travail à faire est de chercher à comprendre pourquoi nous avons si peur… C’est la base de tout. Je relis à ce propos Georg Groddeck, considéré comme le « père » de la psychosomatique. J’en profite pour soulever un point : je ne supporte pas la tendance actuelle qui consiste à démolir systématiquement le passé, à l’image des attaques virulentes contre Freud. Il faut se remettre dans le contexte (montée du nazisme, etc.) et imaginer les moyens dont il disposait : pour l’époque, c’est un travail fabuleux ! Plutôt que de faire table rase et de jeter le bébé avec l’eau du bain, je crois qu’il faut s’appuyer sur le passé pour faire évoluer les choses. La vie, c’est le mouvement. Je suis contre les intégrismes et les dogmes.

Si je comprends bien, vous êtes contre tout ce qui est « fermeture » ?

Absolument. Tout ce qui relève de la fermeture empêche de guérir. Toutes les maladies, d’ailleurs, sont des maladies de fermeture, donc de peur. Alors que la guérison est un mouvement d’ouverture : du cœur et de la connaissance. Dans ce chemin de vie, pour que les humains soient totalement humains, ils devraient vivre sans peur animale… donc sans aucune peur ! La clé de tout ça, c’est le fameux « Connais-toi toi-même ».

Vous faites la différence, d’ailleurs, entre le savoir et la connaissance…

Plutôt que de parler de « Ministère de l’éducation nationale », je préfèrerais que l’on parle de « Ministère de l’élévation nationale » (Rire) ! Il faudrait tout revoir dans le système scolaire. L’école dispense un savoir livresque – la hauteur de telle montagne, les dates des batailles de Napoléon, etc. Des notions qui, au final, n’intéressent pas grand monde, et qui contribuent à faire de l’enfant un bon petit soldat de la société ! Bien sûr, un peu de culture générale est nécessaire, mais il serait bien plus essentiel d’accompagner l’inclination naturelle des enfants qui, très jeunes, posent des questions sur le pourquoi des choses, sur le sens de la vie, sur la mort, sur la biologie de l’être vivant, sur la nature, etc. La prédominance de certaines matières, comme l’orthographe et les maths, contribue à faire rentrer l’enfant – futur adulte – dans un moule. Cela n’aide pas à réfléchir par soi-même ! L’école, mais aussi les parents, devraient plutôt répondre aux vrais questionnements de l’enfant. En lieu et place de l’infantilisation qui prédomine actuellement – un système où parents et institutions instillent le programme animal de la peur (cela part souvent d’un bon sentiment – rappelons que nos parents et grands-parents ont connu des drames bien pires que nous !) – on arriverait à une autonomisation de l’être. Cette connaissance ouvre alors une porte essentielle sur le chemin de vie : elle mène à la liberté, donc à la confiance.

Cette liberté de pensée, qui vous est si chère…

Oui, car tant que l’humain n’est pas totalement libre de ses pensées, il reste un esclave qui continuera à se faire manipuler par les peurs. Cette liberté la plus totale demande une remise en cause de beaucoup de croyances (familiales, sociétales, etc.). Quand on arrive à ce degré de liberté, les relations s’améliorent grandement, et l’on peut alors expérimenter l’amour avec un grand « A ». C’est ça, pour moi, la véritable sagesse ! Ce n’est pas ne faire aucune bêtise, ni se retirer hors du monde (rappelons que l’autre est le miroir de notre inconscient), mais bien arriver à une maîtrise telle de sa connaissance, qu’on n’éprouve plus aucune peur ; même de la mort, inscrite dans le cycle de la vie.      

Que faire, en tant que parents, quand on n’est pas suffisamment disponibles ou « outillés » pour répondre aux questionnements de l’enfant ?

Vous mettez le doigt sur un point essentiel de notre  société : la disponibilité des parents est devenue problématique. Je vais vous étonner, mais pour moi l’humain ne devrait pas partir à la « chasse ». Selon moi, il n’est pas fait pour travailler, mais bien pour créer et participer à la Beauté du monde. En ce sens, selon moi, les artistes ne sont pas assez valorisés dans cette société. Ils sont d’ailleurs les meilleurs alliés pour comprendre nos émotions et nos peurs ; si l’on vibre devant une œuvre, c’est bien souvent que nous partageons les mêmes émotions, les mêmes conflits. L’œuvre nous invite alors à une meilleure compréhension de nous-mêmes.

Quelque part, vous êtes resté cet enfant curieux, en questionnement permanent… Comment avez-vous mis le pied dans ce travail de connaissance, que vous préconisez aujourd’hui ?

Je n’avais aucune prédisposition ; je n’avais pas, par exemple, un précepteur qui aurait répondu à mes questions ou m’aurait renvoyé à des lectures appropriées, mais j’avais un petit quelque chose en plus… une curiosité innée, qui n’est pas naturelle chez beaucoup de gens. C’est un héritage, aussi ! Comme si on avait dans ses gènes, l’envie d’en savoir plus. D’apprendre à se connaître, pour mieux connaître les autres. Tout, alors, devient médecine – du corps et de l’esprit.

Comme l’influence de la généalogie est au cœur de votre approche, de qui vous vient cette curiosité, dont vous dites qu’elle est un héritage ?

Je suis le clone de mon grand-père paternel (né en 1886) – je porte le même prénom et le même numéro dans la fratrie. Son parcours, durant la guerre 14-18, l’a mené en Syrie. Étonnamment, en 2014, les Français sont à nouveau en Syrie !! Mon père était en admiration totale pour son père – mon grand-père, donc. Quand ce dernier est rentré de la guerre, il n’a eu de cesse de répéter que toutes ces horreurs, c’était à cause de l’ignorance ! Ce modeste menuisier-ébéniste s’est mis à lire chaque jour une page du dictionnaire. Mon père s’est inspiré de lui et aimait à dire que les réponses se trouvent dans les livres. Quant à moi, j’ai toujours quatre ou cinq livres en route : de nouveaux titres, mais aussi les livres que je relis – au moins trois fois.

Les livres sont donc pour vous aussi une clé de la connaissance – pourtant vous remettiez en cause la connaissance livresque ?

Entendons-nous, la lecture est, selon moi, le meilleur des guides pour aiguiser la curiosité et le sens critique. Pour réfléchir. Se questionner… Les livres ne doivent pas, pour autant, devenir nos « maîtres ». En tout, la mesure ! D’ailleurs, toute passion démesurée devient une drogue, à même de provoquer un manque. La passion est donc liberticide. Où est le plaisir, alors ?! Je prends l’exemple d’une patiente, paralysée. La première pensée qu’elle m’a partagée a été pour la danse country, activité qu’elle pratiquait intensément, passionnément. Cela lui était donc intenable de ne plus pouvoir pratiquer cette discipline – dans son cas, il était intéressant d’aller interroger le pourquoi de cette passion dévorante, dans son parcours. Ce qui est curieux chez les humains, c’est que trop d’amour (d’une manière générale) tue l’amour. Mais trop de haine, ne tue pas la haine… et trop de négatif tue tout court ! Trop d’amour (avec un petit « a ») enclenche la peur. L’Amour vécu dans la liberté n’engendre aucune peur, aucune jalousie, aucune possessivité, aucun manque.

Quels sont vos auteurs de « chevet » ; ceux qui, selon vous, peuvent utilement nous accompagner sur le chemin de la connaissance ?

Il y les philosophes grecs (Platon, Aristote, etc.), les grands auteurs classiques (Victor Hugo, Émile Zola, Honoré de Balzac, etc.), mais aussi André Comte-Sponville ou encore Michel Onfray (un peu trop politisé, à mon goût) ou Don Miguel Ruiz (« La maîtrise de l’amour » est un ouvrage formidable). Je lis également des livres autour du bouddhisme. Sans oublier, bien sûr, les « grands » de la psychogénéalogie, tels que Georg Groddeck ou Alejandro Jodorowsky.

Puisque nous avons abondamment évoqué les peurs, proposez-vous, dans votre approche de la Psycho-Bio-Généalogie, des actes psychomagiques, chers à Jodorowsky ?

J’en propose certains, dérivés de ce que Jodorowsky propose… mais c’est parfois difficile à faire passer. Lui, avec son charisme, y parvient mieux (Rire) ! Ces actes sont précisément opérants parce qu’ils viennent montrer concrètement à la personne que c’est le premier pas qui coûte. Qu’il y avait une peur à surmonter. En revisitant ainsi ses peurs, cela remet la personne dans son conflit en le dédramatisant. C’est une manière aussi d’enclencher l’humour, qui permet de prendre du recul. Pour pouvoir guérir, il faut « gai-rire »… surtout de soi-même !
                                                                  

POUR ALLER PLUS LOIN
(1) Centre de Psycho-Bio-Généalogie PHILAE : www.centrephilae.com  

À lire : Pathologies ostéo-articulaires et musculaires (2014), Le malade face à la maladie –Portrait psychologique du malade (2008), Guérir, un acte d’Amour (2006), La maladie, un deuil inachevé (2006), La diététique biologique – Le processus biologique des problèmes de poids (2005). Tous ces ouvrages de Jean-Claude Fajeau sont édités par PHILAE (voir site Internet ci-dessus).   Ils sont tous disponibles dans la médiathèque de Néosanté (neosante.eu)

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