CANCER DU POUMON

Hervé est né en 1937. Marié, père de famille, gros fumeur à une époque de sa vie (3 paquets par jour de gitanes maïs), chrétien authentique pratiquant, il est venu nous consulter en mai 2009 pour un cancer bronchique apparu sur un terrain bronchiteux chronique. Il venait de commencer alors les bilans officiels et attendait le verdict de la réunion de concertation du service d’oncologie. Le scanner thoracique montre un “infiltrat alvéolaire postéro-basal droit, para-médian, avec bronchogramme aérique prenant le contraste en bas, avec réaction périfocale vers le hile et vers la plèvre. Il existe de petites adénopathiles médiastinales et hilaires droites”. La tomographie à positons montre en plus “un nodule antérobasal droit plus actif au contact de la plèvre”. La scintigraphie montre des “lésions rachidiennes diffuses, en particulier une image dorsale moyenne litigieuse, ainsi que des problèmes également litigieux au niveau sacro-iliaque droit”. Les trois biopsies réalisées confirment la présence de cellules malpighiennes carcinomateuses. En clair, Hervé présente un cancer broncho-pulmonaire avec métastases près de la plèvre, sur le rachis dorsal, les articulations sacro-iliaques et bien sûr des localisations ganglionnaires.

Après avoir fait un important travail tant au plan corporel (vitamines et autres compléments), que psychologique et spirituel, nous avons réussi à le convaincre de ne RIEN faire de ce que propose la médecine officielle ! Il faut noter qu’il va subir pendant des années une grosse pression de la part de son entourage. Tous voudraient qu’il se fasse au moins opérer ! Ils font tout pour qu’il prenne rendez-vous chez le pneumologue pour le “suivi”. Il tient bon, mais ce n’est pas sans difficulté. Il explique en juillet 2009 : “Je n’ai pas vu de médecin depuis le petscan. Quelques fois, j’ai un peu de stress ou d’angoisse et je me demande où j’en suis, je me dis qu’il y a peut-être des choses cachées qui évoluent et le doute est de retour. J’essaie de respirer. Je m’en prends plein la figure ! Les enfants s’intéressent beaucoup ! Je suis surveillé. Ce n’est pas facile du tout. En plus j’ai parfois une discrète oppression au niveau de la région rétrosternale quand je suis stressé”.
Il revient nous voir régulièrement tous les 2 ou 3 mois, jusqu’en mars 2011 où il se considère comme guéri et ne nous contacte plus qu’en cas de problème aigu. Il oublie la vitamine C quand ça va mieux, et ses problèmes bronchiques réapparaissent alors facilement, et, avec eux, la panique bien sûr. C’est le cas par exemple au printemps 2012, où nous profitons d’un voyage pour le consulter chez lui pour une bronchite qui traîne depuis des semaines. La reprise sérieuse des vitamines (C, et complexe B) suffit à tout remettre en ordre en quelques jours. Au mois d’août 2013, son épouse se fait une entorse. Il l’accompagne chez le médecin qui en profite pour lui faire faire une prise de sang, sous prétexte qu’il le trouve essoufflé. De nouveaux “marqueurs” sanguins semblent en faveur d’un infarctus massif, avec un cœur qui ne fonctionnerait qu’à 40 %… Certes, il est un peu essoufflé à l’effort, mais sans plus, et en grande partie du fait de spasmes bronchiques. Selon le cardiologue, il aurait deux artères coronaires obstruées partiellement et il est question d’intervention à ce niveau.

Là encore, nous lui avons proposé de refuser toute intervention et de se mettre sous Vitamine E Naturelle à forte dose pour re-perméabiliser ses artères coronaires (nous avons eu déjà des résultats très positifs à ce niveau parmi nos clients). Il semble clair que les médecins majorent le tableau : un cœur ne fonctionnant qu’à 40% de ses capacités, cela n’est pas objectivement viable, Hervé devrait être mort ! À noter incidemment que le scanner thoracique effectué à l’occasion de cette nouvelle hospitalisation ne montre plus aucune trace du problème cancéreux de 2009, hormis quelques adénopathies minimes résiduelles. Le médecin interrogé explique qu’il s’agit d’un « miracle » ! Mais oui…

Dr Alain Scohy (Espagne)

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