CANCER DE LA PROSTATE : le dépistage et la spirale de l’horreur

ARTICLE N° 42 Par le Dr Alain Scohy

Le cancer de la prostate est la 4ème cause de mortalité par cancer. Depuis quelques années, certains médecins remettent en question l’utilité du dépistage et celle des opérations chirurgicales. Mais il y a deux choses que l’allopathie classique est encore loin d’avoir intégrées : d’abord que ce cancer, comme toutes les maladies, est une solution de survie déclenchée par le cerveau inconscient en réponse à un stress psycho-émotionnel. Et ensuite que les fameux PSA, prétendument marqueurs de l’évolution tumorale, sont en réalité les indicateurs d’un processus d’autoguérison en cours. Dans cet article, le Dr Alain Scohy aborde le sens de cette pathologie, apporte des réponses thérapeutiques naturelles et explique pourquoi les traitements conventionnels font plus de mal que de bien.

Ce cancer touche des hommes de plus en plus jeunes … grâce au dépistage ! Le diagnostic est en effet posé le plus souvent à la suite d’un dépistage systématique qui a montré une augmentation du taux de PSA. Dans de très rares cas, le malade a fait une rétention d’urine aiguë qui a nécessité un sondage en urgence.
Bien sûr, la médecine officielle se veut rassurante. Grâce au dépistage, il serait possible – selon elle – d’enrayer le processus cancéreux et de prolonger la vie. Mais le pronostic objectif est beaucoup moins réjouissant qu’ils ne veulent bien le dire… Et c’est normal !
Car la prostate n’est pas un organe anodin. C’est elle qui fabrique le sperme, ce liquide nutritif fondamental qui va
permettre aux spermatozoïdes d’être assez vigoureux pour aller féconder l’ovule ! Le sperme s’accumule dans les vésicules séminales où les spermatozoïdes en provenance des testicules viennent séjourner avant le grand jour, pour eux ! Lors de l’orgasme, les vésicules séminales se contractent et projettent le sperme au fond du vagin. Les spermatozoïdes – chargés à bloc sur le plan nutritif et énergétique grâce au liquide prostatique – vont alors commencer à grimper le long de la glaire utérine pour partir à la conquête de l’ovule ! La prostate est donc pour l’homme l’organe de la puissance et de la virilité par excellence !
Il est clair qu’un cancer de la prostate, dans le paradigme psychosomatique, est relié de manière logique à cette fonction. Curieusement, il ne se produit en général que chez les hommes “mûrs”. C’est vrai que les PSA ne sont pas dosés chez les jeunes et que tout au plus, on parlera de “prostatite” en cas de problème à ce niveau.
Comme toujours, le cancer a pour but de mettre le turbo et de pallier une situation de crise au plan psychologique. L’immense problème “instinctif” des hommes d’âge mûr, c’est la procréation. Et c’est bien là que les choses se corsent. Parce que notre société moderne n’est pas particulièrement portée sur la fécondité : la pilule et toutes les autres contraceptions, sans oublier l’IVG, semblent bien démontrer le contraire. Et pourtant, le problème est bien là !
Le tout est de comprendre une fois pour toutes que notre corps est “piloté” de manière automatique par un fabuleux ordinateur : le cerveau. Et que ce cerveau ne dispose pas d’une réelle intelligence. Il n’est qu’une machine qui fonctionne, comme tout ordinateur, avec ses propres programmes préenregistrés. Des programmes qui nous viennent de nos parents, de nos ancêtres. Avec, pour finalité ultime, la survie de l’espèce ! La fécondité est donc quelque chose de particulièrement important pour notre cerveau. Et comme nous le laissons très souvent aux commandes (la nuit et une grande partie de la journée, comme par exemple lorsque nous digérons), c’est lui qui met en place les priorités de notre vie ! Il suffit alors d’un évènement relativement anodin venant bousculer notre suffisance de mâle pour que le cerveau ordonne la mise en turbo de cette petite glande.
Ce peut être une relation avec une femme beaucoup plus jeune,
Ce peut être une réflexion désobligeante à propos de notre virilité ou de notre capacité à faire des enfants
Ce peut être – pour le grand-père – l’apparente incapacité de nos petits enfants à proroger l’espèce. Et le vieil étalon se donnera pour mission de prendre le relais,
Mais surtout, ça peut être simplement virtuel… Un fantasme sur une femme plus jeune, une simple photographie ou un simple dessin parfois ! Surtout si nous usons, à cette occasion, de la masturbation.

Pourquoi la glande s’hypertrophie

La prostate est une petite glande située en avant du rectum, sous la vessie, englobant l’urètre qui permet la miction. L’ordre du cerveau de passer en mode turbo entraîne une mobilisation des microzymas qui la constituent. Ceux qui sont dans les noyaux cellulaires sortent de leur cellule, se multiplient et construisent de nouvelles cellules hyperfonctionnelles. Et l’ensemble de la glande s’hypertrophie. Bien sûr, le processus cancéreux est parfaitement bien organisé. De nouveaux vaisseaux sanguins sont élaborés pour permettre l’apport des matériaux indispensable à la respiration et à l’élaboration de ce précieux liquide dans chacune des nouvelles cellules. De petits canaux sont construits par ailleurs pour drainer la production vers les vésicules séminales. Rien n’est laissé au hasard !
Si la situation est “normale” – c’est-à-dire si l’hygiène de vie est correcte et en l’absence de carence importante en Vitamine C ou autres substances vitales – cette prolifération ne dépassera jamais les limites du tolérable. La miction restera possible sans problème, les éjaculations seront simplement plus abondantes.
Très souvent, cette situation alternera avec des accalmies. Sitôt que le stress tombe, le cerveau ordonne le démontage des cellules turbo … et le taux de PSA augmente ! En effet, il est démontré depuis 1999 que la montée de ce marqueur est synonyme de guérison : il correspond au démontage des vaisseaux sanguins qui assurent l’intendance des cellules cancéreuses turbo !

Écoutons ce qu’en dit Richard Sunder :
Très souvent, le cancer de la prostate s’accompagne d’une importante augmentation du taux de PSA. Constatant la corrélation, les biologistes et les cancérologues, spécialistes de la prostate, en ont conclu que le taux élevé de PSA était un marqueur – d’autant plus inquiétant qu’il est élevé – du cancer de la prostate qu’il faut alors opérer d’urgence. Le seul à avoir proclamé que les prétendus marqueurs des cancers n’en étaient pas et qu’on les interprétait à rebours de ce qu’ils signifiaient est le Dr Hamer, dès les années 80.
Eh bien, il se trouve que le Dr Anne Fortier et ses confrères de Rockville (Etats-Unis) ont démontré que le P.S.A. empêche l’angiogenèse, c’est-à-dire la formation du réseau de vaisseaux et de capillaires sans lesquels la tumeur est incapable de se nourrir et, par conséquent, de se développer. Leur étude, réalisée sur des cultures de cellules, a montré que le P.S.A. inhibe la prolifération des cellules vasculaires. L’effet est d’autant plus marqué que les doses de P.S.A. sont importantes.
Conclusion : le P.S.A. empêche la tumeur de se développer.

En d’autres termes, tout au contraire d’être le marqueur inquiétant d’un cancer, comme le soutiennent la biologie et la cancérologie officielles, le taux de P.S.A., plus il est élevé, plus il empêche le cancer de se développer et plus il constitue le signe d’une réaction de défense face au cancer. De là à imaginer l’utilisation de cette substance pour combattre les tumeurs malignes, il y a un pas que les équipes de recherche ne veulent pas franchir, jugeant leurs résultats encore insuffisants.
Cette découverte date de 1999 et, la semaine dernière encore, en juin 2006, un grand nombre de cancéreux de la prostate ont été opérés, notamment en France, parce que leur cancérologue avait constaté un taux inquiétant (selon eux) de PSA.
(Richard Sünder : http://fr.groups.yahoo.com/group/pansemiotique-psychosomatique )
Mais trop souvent, la carence en Vitamine C pré-existe… Et l’hypertrophie dépasse les bornes, surtout lors des phases d’accalmie et de démontage où l’œdème est systématique. C’est alors que l’urètre est comprimée et que la rétention d’urine se manifeste.

La réponse en médecine psychosomatique et
hippocratique

Elle est simple :
Prise de conscience de tous ces mécanismes et mise à plat du stress avec le décodage, puis tout le travail de deuil jusqu’au lâcher prise,
Vitamine C et Vitamine E Naturelle en quantités suffisantes,
Bromélaïne pour aider à démonter la tumeur pendant les périodes aiguës,
Cuisson des légumes à grande eau et à deux eaux successives pour diminuer l’inflammation et l’œdème local,
Ces quatre réponses sont en règle générale suffisantes et permettent d’obtenir une vraie guérison.
Un peu d’homéopathie peut aider, et en particulier PALIURUS SPINA CHRISTI en 30 K ou 5 CH (épine qui a servi à confectionner la couronne du Christ). Il suffira de porter le tube de granules en poche pour avoir l’effet,
Le ZINC peut optimiser les performances sexuelles et éviter le sentiment de dévalorisation et les conséquences que cela pourrait entraîner,
À la limite, quelques hormones mâles pourraient aller dans le même sens !
Et dans tous les cas, une solution très accessible peut-être d’acquérir une grosse voiture, longue et puissante, … et même si possible onéreuse ! Vous pourrez ainsi retrouver par sublimation la PUISSANCE qui vous fait plus ou moins défaut !

La clé ultime sera bien sûr de grandir en conscience, en sagesse et en amour, de diminuer le nombre de repas dans la journée (la digestion nous ramène en pilotage automatique) pour privilégier celui du soir, et de travailler à une autre fécondité, sur d’autres plans que purement génital.

L’aventure allopathique = la spirale de l’horreur !

Il y a d’abord le fichage du patient selon des critères multiples et complexes, soi-disant pour mesurer la gravité du processus. C’est déjà un stress monstrueux, où la peur de la mort et la dévalorisation sont évidentes.
La peur de la mort va entraîner la construction par le cerveau d’une nouvelle bouée de sauvetage au niveau du poumon. Les médecins parleront de métastase pulmonaire ou, mieux, de lâcher de ballons si les bouées sont multiples ! Curieusement, cette théorie gratuite des “métastases” – dont jamais personne n’a pu faire la preuve – est contredite par la pratique des transfusions : comment pourrait-on prendre le risque d’une transfusion si l’on était vraiment convaincu que les cellules cancéreuses peuvent ainsi faire du tourisme dans tout l’organisme ?

La dévalorisation va se traduire par des caries au niveau des ganglions lymphatiques et de l’os… Dès que la peur sera un peu estompée, les ganglions se reconstruiront et donc vont provisoirement gonfler, parfois de manière considérable. Bien sûr, les médecins parleront de ganglions cancéreux sentinelles et/ou métastatiques… Il en sera de même au niveau des os où la reconstruction s’accompagnera d’un important œdème. Cet œdème et le caractère plus ou moins exubérant de la reconstruction (comme un calle osseux suite à une fracture) va distendre le périoste, une membrane très peu élastique qui entoure l’os dans sa globalité. Cette distension entraînera d’importantes douleurs locales (pires la nuit puisque la nuit est tout particulièrement consacrée à la réparation) parce que l’innervation des os est basée essentiellement à ce niveau.
La scintigraphie osseuse – qui est une méthode d’investigation complexe à l’aide de substances radioactives – mettra en évidence les caries osseuses avec les ébauches de reconstruction. Les médecins parleront de remaniement osseux inquiétant et le pronostic global s’assombrira un peu plus.

La chirurgie mutilante, que l’on pratiquait à l’époque de mon installation (dans les années 1970) est aujourd’hui abandonnée. Elle avait l’avantage d’être radicale et d’obliger le patient au lâcher-prise par rapport à sa fécondité à venir. Mais la dévalorisation était bien sûr au rendez-vous, avec les caries lymphatiques et osseuses habituelles.
Actuellement, la chirurgie la plus couramment pratiquée est la tunnelisation.

Il faut savoir que l’urètre passe à l’intérieur de la prostate et qu’elle possède deux sphincters (robinets) : le premier se trouve à la sortie de la vessie, juste au-dessus de la glande. Le second se trouve au niveau du périné musculomembraneux, sous la prostate. Entre les deux, l’urètre reçoit les conduits éjaculateurs qui amènent le sperme et permettent l’éjaculation. La tunnelisation consiste à creuser un tunnel au cœur de la masse prostatique jusqu’à la vessie en emportant le sphincter supérieur. Le sphincter inférieur est théoriquement suffisant pour permettre la continence de manière habituelle…
Mais par contre, les prochaines éjaculations remonteront automatiquement dans la vessie et le patient retrouvera son sperme dans ses urines. Ce qui peut entraîner là encore une profonde dévalorisation sexuelle … et des caries osseuses au niveau du bassin en particulier.

La thérapeutique hormonale est souvent utilisée. Il s’agit d’hormones femelles qui modifient profondément le caractère du malade en le féminisant un maximum. Bien sûr, l’efficacité thérapeutique est évidente. Plus de désir sexuel, plus la moindre pulsion, donc plus de souci… Mais la dévalorisation, là encore, peut être au rendez-vous avec ses conséquences néfastes ! Bien sûr, il ne s’agit pas de stopper ou d’oublier sa “pilule” : la sortie de cette dépersonnalisation artificielle amènerait une prise de conscience terrifiante, avec à la clé de multiples caries osseuses par sentiment de dévalorisation.
La bombe atomique au cobalt (radiothérapie) est aussi proposée. L’inconvénient majeur est que l’irradiation atomique ne se cantonne pas à la glande prostatique elle-même, mais diffuse à tout son voisinage. La vessie et le rectum vont être particulièrement sensibles et les conséquences ne seront pas négligeables. C’est une brûlure particulièrement néfaste. La glande, quant à elle, va se rétracter et se nécroser. Au final, le patient se retrouvera totalement impuissant, comme après les interventions chirurgicales d’antan. D’où là encore de multiples localisations osseuses !
La chimiothérapie n’est pas proposée en général en première intention pour ce cancer. Elle n’interviendra que lorsque la situation sera dépassée selon les médecins, c’est-à-dire lorsqu’ils auront constaté les localisations pulmonaires, lymphatiques et osseuses qu’ils auront provoquées … mais qu’ils baptiseront métastases. Nous le savons tous, cette chimiothérapie à base de poisons absolument effroyables n’est qu’une arme palliative permettant de faire croire au patient que l’on fait encore quelque chose pour lui, qu’il y a encore une petite chance. Dans la réalité, bombe atomique et chimiothérapie ne font que précipiter la fin dans des souffrances plus ou moins grandes.
La « mort fine » viendra bien sûr parachever le processus ! Le patient mourra d’une overdose de morphine, dans un état d’abrutissement profond, sub-comateux, sans avoir rien compris et surtout sans avoir profité de l’occasion pour grandir en sagesse, en conscience et en amour !

Docteur en médecine, homéopathe et acupuncteur, Alain Scohy a exercé la médecine générale en France pendant plus de 20 ans, jusqu’à sa radiation pour délit d’opinion sur la vaccination. Ecrivain et conférencier, auteur de nombreux ouvrages, il anime avec son épouse Brigitte l’Institut Paracelse, dans le Nord de l’ Espagne. On y forme des accompagnateurs et on y accueille des malades désireux d’explorer le sens des pathologies.
Info : www.alain-scohy.com
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Un commentaire

  1. Merci pour cet excellent article qui m’éclaire sur l’hypertrophie de la prostate. C’est la première fois que je lis une explication aussi compréhensible et logique. Le Dr Scohy y explique en outre merveilleusement les effets des différents traitements proposés par la médecine classique et aussi l’interprétation erronée d’un taux de PSA élevé. Pour ma part, pour éviter une désastreuse « aventure allopathique », je cherchais depuis longtemps à comprendre pourquoi le corps crée cette hypertrophie de la prostate : « Il suffit alors d’un évènement relativement anodin venant bousculer notre suffisance de mâle pour que le cerveau ordonne la mise en turbo de cette petite glande ». Il faut alors entamer la « Prise de conscience de tous ces mécanismes et mise à plat du stress avec le décodage, puis tout le travail de deuil jusqu’au lâcher prise » et surtout choisir la clé ultime, celle de « grandir en conscience, en sagesse et en amour, de diminuer le nombre de repas dans la journée pour privilégier celui du soir, et de travailler à une autre fécondité, sur d’autres plans que purement génital ». Merci, merci, merci.

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