Actualités Revue N°8

2012, apocalypse grippale ?

Non, Néosanté ne mange pas de ce pain-là : on ne va pas vous faire paniquer avec les prophéties Maya et le cortège de cataclysmes que certains prédisent. En revanche, il faut prendre très au sérieux le grand péril grippal qui menace l’humanité en cette année fatidique. Flagrant délit de contradiction alors que notre revue ne cesse de répéter que « le microbe n’est rien et que le terrain est tout » ? Contagion de nos convictions par la biophobie ambiante qui assimile virus et bactéries à des ennemis du genre humain ? Nullement.
Grâce aux travaux du Dr Hamer, nous savons bien que les micro-organismes ne sont pas, en soi, des vecteurs de maladie. La quatrième « loi biologique de la nature » nous montre au contraire qu’ils participent au processus d’autoguérison. La hantise des germes est donc une sottise et la guerre qu’on leur fait une absurdité. Deux bémols importants doivent cependant être apportés à ce pan de la Médecine Nouvelle. D’abord, le Dr Hamer lui-même souligne que l’Homme ne peut vivre en symbiose qu’avec l‘environnement microbien (re)connu de son système immunitaire . Or, et c’est le deuxième bémol crucial, l’équilibre naturel entre l’Homme et son biotope est forcément rompu lorsque les lois de la nature sont bafouées. Si les animaux d’élevage sont entassés hors-sol, multivaccinés et « soignés » aux antibiotiques, guère étonnant que des virus mutants y apparaissent. Comme le souligne Françoise Joët dans son dossier (lire page 4 et suivantes), les vaccinations massives de populations humaines bouleversent également des équilibres millénaires et perturbent des évolutions plus récentes. Qu’ils soient vivants ou atténués, recombinés ou transgéniques, les virus vaccinaux induisent une belle pagaille écologique ! A l’instar des médicaments biocides, les vaccins provoquent en tout cas un phénomène de résistance qui sélectionne les germes et les rend parfois plus virulents.
Mais cela n’est pas encore si grave. Le virus de la grippe porcine, par exemple, est très contagieux mais fort peu agressif. A contrario, celui de la grippe aviaire est plus dangereux mais il se transmet très difficilement. C’est parfaitement normal puisque le rôle vital des virus exige la survie de leurs hôtes : dans la nature, les germes les plus « forts » seront donc les moins infectieux, et inversement. Ainsi, sauf choc émotionnel collectif de grande ampleur, le H1N1 sera toujours synonyme de « grippette » banale et le H5N1 de maladie aiguë peu répandue. Le problème, c’est que la science apprentie-sorcière a mis à exécution le projet complètement fou de casser cette logique de vie : fin 2011, des chercheurs de Rotterdam ont créé par manipulation génétique une « super grippe aviaire » hautement transmissible à l’homme (1). N’en déplaise aux conspirationnistes, le but n’est évidemment pas de décimer le globe : il s’agit d’anticiper une hypothétique mutation du H5N1 pour concevoir un vaccin ou un remède. Mais si par malheur le virus s’échappe du laboratoire néerlandais ou qu’il tombe dans des mains terroristes, bonjour les millions de morts ! Signe que notre titre n’a rien d’excessif, certains virologues ont appelé à la destruction du super virus et de sa recette. Pour ma part, je n’oserais pas prophétiser que la science reprendra conscience en 2012…

Yves Rasir

(1)Voir notamment les deux pages consacrées à ce sujet par le quotidien Le Soir dans son édition du 17 décembre sous le titre : « un virus mutant qui fait trembler l’Europe »

Sodas & agressivité

Une enquête menée dans une école américaine a montré que les jeunes qui avaient bu plus de cinq cannettes de boissons sucrées dans la journée se comportaient de manière plus agressive. Ce comportement agressif incluait, entre autres, le fait de porter une arme et l’usage de la violence. Ce comportement n’était pas corrélé à la situation familiale ou à d’autres habitudes
malsaines telles que le tabac et l’alcool. (Source : ABC Santé)

Foie & paracétamol

La toxicité du célèbre antidouleur envers le foie vient d’être confirmée par une grande étude publiée dans le British Journal of Clinical Pharmacology. Sur 938 patients admis dans un service de transplantation hépatique, 450 avaient pris plus de 4g de paracétamol par jour dans la semaine précédente.
(Source : LaNutrition.fr)

Cervarix & Gardasil

Aux Etats-Unis, la vaccination HPV provoque tellement d’effets secondaires qu’on leur a donné un nom : le « post-Gardasil syndrome ». Parmi les symptômes, des maux de têtes, des douleurs d’estomac et des infections buccales ou urinaires nécessitant parfois l’hospitalisation des adolescentes. Mieux toléré, le Cervarix ? Pas du tout. En Grande-Bretagne, où c’est le vaccin de GSK qui a été choisi pour vacciner les jeunes filles, on parle désormais de « post-Cervarix syndrome ».(Source : NaturalNews)

Encore le bisphénol

L’emploi du bisphénol A, perturbateur endocrinien avéré et probable agent cancérigène, est aujourd’hui interdit pour la fabrication des biberons. Mais on en retrouve encore dans le revêtement plastique qui tapisse de nombreuses conserves alimentaires. Des chercheurs de l’Université de Harvard viennent de montrer que les buveurs de soupe en boîte voient leur taux urinaire de bisphénol A multiplié par 20 en seulement 5 jours ! Une autre équipe de Harvard vient de publier une étude montrant que l’exposition prénatale au bisphénol A augmente plus tard l’anxiété et les comportements agressifs des petites filles. Conclusion : vive la soupe fraîche !

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