Actualités Revue N°20

La pilule contraceptive ne passera jamais !

Et hop, un scandale sanitaire de plus ! Il aura fallu qu’une femme dont l’accident vasculaire cérébral a sans doute été causé par une pilule de « troisième génération » porte plainte contre la firme Bayer pour que les médias hexagonaux s’emparent du sujet et que la France politicienne s’étripe dans une polémique dont elle a le secret. Ce qui est sidérant, c’est qu’on puisse être sidéré de découvrir les effets secondaires de la contraception chimique. Aux Etats-Unis, les procès contre les labos font l’actualité depuis de nombreuses années. Et comme l’ont souligné plusieurs experts interrogés, cela fait près de 20 ans qu’on sait que les « nouvelles » pilules ont augmenté, au lieu de le diminuer, le risque de thromboses veineuses et d’accidents artériels. En 1995 déjà, l’Affsaps (aujourd’hui Agence nationale de sécurité du médicament – ANSM) et la Haute Autorité de santé (HAS) recommandaient de prescrire d’abord les pilules de deuxième génération et de ne recourir à celles de troisième génération qu’en cas d’intolérance. Aux gynécologues de rendre des comptes et d’expliquer pourquoi ils ont passé outre les avertissements !

Un de leurs arguments est cependant éminemment recevable : sur le terrain, les prescripteurs ont remarqué que les pilules les plus « modernes » étaient mieux supportées. Et c’est bien normal, puisque les anciennes n’ont rien à envier à leurs descendantes en matière de toxicité ! J’ai vérifié dans ma bibliothèque : le livre « Bitter Pill » (« Pilule amère ») du Dr Ellen Grant est sorti en Angleterre en 1988. Le signal d’alerte avait donc déjà été lancé il y a 35 ans par cette pionnière convaincue de la contraception hormonale. Préfacée par Lucien Israël, son édition française est arrivée dans les librairies en 1998. Or cet ouvrage, qui ne parle que des « vieilles » pilules, n’évoque pas seulement les risques de phlébite, d’AVC ou d’infarctus : il dénonce des tas d’inconvénients gravissimes, à commencer par un risque accru de cancer du sein ! Dans son nouveau livre sur « La brutalisation du corps féminin », dont nous publions les bonnes feuilles sur notre site, le Dr Marc Girard consacre un chapitre à la pilule où il souligne que ses dangers étaient connus dès le début des années 60, et même avant son invention puisque l’impact emboligène des oestrogènes de synthèse était déjà bien documenté à cette époque. Dans le paragraphe sur « les effets indésirables de la pilule », le Dr Girard mentionne un ouvrage de référence anglo-saxon qui les répertorie sur 50 pages A 4 ! Affirmer, comme le fait la gynécologue féministe Joëlle Brunerie-Kaupfmann, que « la pilule n’a pas d’effets secondaires », c’est donc se livrer à une désinformation honteuse, voire criminelle.

Pout ma part, j’en suis persuadé : qu’elle soit de 1ère , de 4ème ou de 97ème génération, la pilule contraceptive sera toujours dangereuse et ne sera jamais bien tolérée. Pour la simple et bonne raison que ce « médicament » sans vertus curatives s’oppose à l’instinct le plus puissant qui soit, celui de donner la vie. Dans la nature, les plantes aux effets anticonceptionnels et abortifs figurent aussi parmi les plus toxiques, ce n’est pas un hasard ! Et quand il essaie de les imiter, l’apprenti-sorcier humain augmente généralement le potentiel pathogène des végétaux. Le premier sens de la vie, c’est de chercher à se perpétuer elle-même, et il est vain d’espérer une méthode chimique qui contrecarre cette « bio-logique » sans conséquences funestes pour la santé des femmes. Des risques moins élevés que ceux de la grossesse ? C’est ce que nous chantent sur tous les tons les défenseurs de la contraception orale. Le hic, déjà découvert par Françoise Dolto, c’est que le désir d’enfanter est en très grande partie inconscient. Et donc que la pilule, involontairement « oubliée » en période d’ovulation, n’offre même pas la « protection » qu’elle est censée fournir. D’ailleurs, il est scientifiquement prouvé que la planification naturelle des naissances par la méthode des indices combinés est plus efficace que le poison du Dr Pinkus. Puisque personne n’en parle jamais, Néosanté se fera un plaisir de remédier bientôt à cette omerta médiatique !

Yves Rasir

Dépression & sodas

Selon une étude menée par des chercheurs du National Institute of Health (Etats-Unis) qui ont suivi pendant dix ans les habitudes alimentaires de 263 000 adultes, les personnes qui boivent au moins quatre cannettes de boisson sucrée par jour présentent un risque de dépression 30 % plus élevé que celles qui n’en consomment pas.

Fast-food & asthme

Corroborant notre rubrique « Paléonutrition » de ce mois (lire page 42), une étude internationale menée dans plus de 100 pays indique que les enfants et adolescents qui se nourrissent de fast-food au moins trois fois par semaine ont un risque accru de 30% de souffrir d’asthme sévère. Les enfants et ados accros à la restauration rapide augmentent aussi leurs chances d’avoir une rhinite allergique ou un eczéma grave.

Patch & anneau

Il n’y a pas que la pilule ! Mi-janvier, le Syndicat national des gynécologues obstétriciens de France a alerté sur les risques des patchs et des anneaux contraceptifs. Un étude danoise publiée en mai 2012 dans le British Medical Journal faisait était d’un risque de thrombose veineuse multiplié par 7,9 avec les patchs transdermiques et par 6,5 avec les anneaux par rapport aux femmes ne recourant pas à la contraception hormonale.

Vaccinations & effets neurologiques
Cris persistants, convulsions, spasmes, tremblements, pertes de conscience, épilepsie : ces réactions neurologiques diverses et parfois graves sont trois fois plus nombreuses chez les nourrissons vaccinés simultanément avec le vaccin Prevenar 13 (pneumocoque) et le vaccin hexavalent Infanrix (tétanos, diphtérie, coqueluche, Haeomophilus B, polio, hépatite B). Cette incidence accrue a été repérée par les autorités sanitaires italiennes et a été confirmée dans un rapport confidentiel de la firme Pfizer (fabricant du Prevenar) que l’association belge Initiative Citoyenne a réussi à se procurer. Bien qu’admettant les faits, la firme estime évidemment qu’on ne peut pas attribuer avec certitude ces réactions neurologiques à la combinaison de vaccins. En France comme en Belgique, les vaccinateurs continuent donc d’injecter le cocktail avec la bénédiction des responsables politiques….

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